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24/12/2016

UN AVENIR A NOUVEAU LUMINEUX 17

au magma présent de l'écriture,

A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter) le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...

 

UN AVENIR A NOUVEAU LUMINEUX

17

 

Le ciel à le sourire au cœur.
Je te vois revivre, vivre enfin.
Te voilà à nouveau cette femme singulière et sensible drapée de folles audaces et de désinvoltures, toute entière rayonnante de bonheur sensoriel et sensuel.
Tu es ce que tu étais, éperdument investie de cette grâce bouleversante et de cette harmonie sans pareille qui t'appartiennent en propre.
Je te perçois pleine de tendresse débordante, et je ploie sous la vérité nue de mes sentiments à toi.
Ils se déploient avec orgueil en autant de bouquets saisissants et indéniables.
Et j'éprouve en mon tréfonds à mesurer l’extraordinaire limpidité, ainsi que l'intensité toute particulière de nos regards échangés en toute complicité.

(A SUIVRE...)

 

P. MILIQUE

07/06/2015

A L’ÉPICENTRE DE NOS RÊVES 5

au magma présent de l'écriture,

A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter) le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...

 

A L’ÉPICENTRE DE NOS RÊVES
5

 

De sa force vive s'élève un chant d'ivresse, voluptueuse mélodie de caresses.

La joie, telle une passion qui revit le présent, se fait vibrante et magnétique.

C'est un trésor qui se possède – ou pas – , une mer qui fait briller le vent dans les veines.

Elle est palpitation de clarté mariant durablement le bleu du ciel.

Et, quand son flamboiement s'accentue, c'est de tout l'or du monde que soudain elle s'enflamme.

(A SUIVRE...)

 

P. MILIQUE

24/04/2015

LA NUIT DE LA POÉSIE 27 MARS 1970

LA NUIT DE LA POÉSIE 27 MARS 1970

Revivez le plus grand moment de l’histoire de la poésie québécoise : cette nuit du 27 mars 1970 où tous les grands poètes se sont rassemblés au Gesù pour une énorme célébration littéraire.

 

La nuit de la poésie 27 mars 1970

par Jean-Claude Labrecque

et par Jean-Pierre Masse,

Office national du film du Canada

05/12/2013

GÉRER SA HONTE 1

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GÉRER SA HONTE

1

 

Si tu m’aimes, comme tu n’as de cesse de le répéter au vent,

Accepte, le cœur large ouvert, ce modeste geste de contribution.


Accepte-le, cela me redonnera le courage de croiser ton regard,

Accepte-le afin que je revive auprès de toi l’inespéré de toujours,

Qui, au fil décanté des jours, m’aidera à oublier le rien devenu.

 

Certes, il est de notoriété publique que l’amour ne saurait se résumer

A de basses manœuvres de logistique ordinaire riches d’aucune valeur

Même si tout un chacun sait à combien d’obscènes guerres querelleuses,

D’actions perturbatrices et destructrices elles peuvent s’abaisser parfois.

 

Et voilà que tout d’un coup je m’éprouve reprendre place auprès de toi.

La maladie outrancière, l’épuisement, l’irréfragable combat morphinique,

Aura fait de moi, je m’en rends bien compte, un être confus et incohérent.

(A SUIVRE...)


P. MILIQUE

20/08/2013

SI NOUS VIVIONS EN 1913

 

SI NOUS VIVIONS EN ...

NOUS N’ÉCOUTERIONS PAS LA RADIO

PAR

Antoine PROST


Vieille radio © wikimedia commons - 2013

Alors que la France s'apprête l'an prochain à commémorer le centenaire de la guerre 14-18, France Inter vous invite a revivre comme... en 1913. L'été avant l'entrée en guerre, comment vivions-nous ? Premier épisode : nous n'écouterions pas la radio, puisqu'elle n'existait pas. Mais alors, comment s'informait-on ?

14/07/2013

MARCELINE DESBORDES VALMORE: "LA COURONNE EFFEUILLEE"

 

 MARCELINE DESBORDES VALMORE

"LA COURONNE EFFEUILLEE"

LU PAR

AUGUSTE VERTU

 

J'irai, j'irai porter ma couronne effeuillée
Au jardin de mon père où revit toute fleur ;
J'y répandrai longtemps mon âme agenouillée :
Mon père a des secrets pour vaincre la douleur.

J'irai, j'irai lui dire au moins avec mes larmes :
" Regardez, j'ai souffert... " Il me regardera,
Et sous mes jours changés, sous mes pâleurs sans charmes,
Parce qu'il est mon père, il me reconnaîtra.

Il dira: " C'est donc vous, chère âme désolée ;
La terre manque-t-elle à vos pas égarés ?
Chère âme, je suis Dieu : ne soyez plus troublée ;
Voici votre maison, voici mon coeur, entrez ! "

Ô clémence! Ô douceur! Ô saint refuge ! Ô Père !
Votre enfant qui pleurait, vous l'avez entendu !
Je vous obtiens déjà, puisque je vous espère
Et que vous possédez tout ce que j'ai perdu.

Vous ne rejetez pas la fleur qui n'est plus belle ;
Ce crime de la terre au ciel est pardonné.
Vous ne maudirez pas votre enfant infidèle,
Non d'avoir rien vendu, mais d'avoir tout donné.