29/05/2013
BORIS PASTERNAK RECUEIL "LA VIE EST MA SOEUR, ET VOICI QU'ELLE EXPLOSE... "
BORIS PASTERNAK
RECUEIL
"MA SOEUR LA VIE - L'ETE 1917"
"LA VIE EST MA SOEUR, ET VOICI QU'ELLE EXPLOSE... "
Lu par Louis ARENE
(Traduction par Michel Aucouturier et Hélène Henry, Bibliothèque de la Pléiade, 1990)
On se rappelle de Boris Pasternak, et son livre « Le docteur Jivago ».
On s’en souvient surtout grâce au film américain de David Lean, en 1965, avec Omar Sharif et Julie Christie. Ce que l’on sait moins c’est que ce roman fut interdit de publication en U.R.S.S., mais qu’il parut en France en 1958, grâce à l’éditeur italien Giangiacomo Feltrinelli, à qui Pasternak avait confié son manuscrit.
Ce fut la naissance de la dissidence littéraire.
Boris Pasternak reçoit le prix Nobel, et cela devient une « affaire » dans la Russie soviétique.
On l’oblige à refuser le prix, on le couvre de calomnies, on le persécute, lui et sa famille. Il est déchu de ses droits de citoyen.
Il meurt le 30 mai 1960 chez lui, à Peredelkino, le village des écrivains, à l’âge de soixante-dix ans. (Lire « Le dossier de l’affaire Pasternak » préfacé par Jacqueline de Proyart, collection Témoins/Galllimard).
Le docteur Jivago ne sera publié en U.R.S.S, qu’en 1988.
On connaît moins la poésie de Boris Pasternak : il fut un grand poète lyrique.
Certains de ses poèmes trouveront leurs échos dans « le docteur Jivago » dont l’action se situe dans le moment de la guerre civile.
Le recueil « Ma sœur la vie », fut écrit pendant l’été 1917.
Été de la révolution, et révélation poétique pour Pasternak.
Dans une lettre posthume à Rainer Maria Rilke, mort en 1926, il écrit :
« Je n’ai sans doute pas su vous parler comme il fallait de ces jours éternellement premiers de toutes les révolutions où les Desmoulins bondissent sur la table et enflamment les passants par un toast à l’air qui les entoure. J’en ai été le témoin. (…) J’ai vu l’été sur la terre, paraissant ne pas se reconnaître lui-même, naturel et antéhistorique, comme dans une révélation. J’ai laissé un livre sur lui. J’y ai exprimé tout ce que l’on pouvait apprendre sur la révolution de plus inouï et de plus insaisissable. »
Déjà en 1922, dans une lettre au poète symboliste Valeri Brioussov parlant d’une entrevue avec Trotski, où celui-ci jugeait sa poésie comme « individualiste » et appartenant au « passé bourgeois » Pasternak écrit :
« J’aurai dû lui dire que Ma sœur était révolutionnaire dans le meilleur sens du terme.
Que le stade de la révolution le plus cher au cœur et à la poésie, que le matin de la révolution et son explosion, lorsqu’elle ramène l’homme à la nature de l’homme et qu’elle regarde l’Etat avec les yeux du droit naturel (les Déclarations des droits américaine et française), s’expriment dans ce livre par son esprit même. »
Poèmes choisis par Hélène Bleskine
Prise de son, montage : Julien Doumenc et Pierre Henry
Réalisation : Michel Sidoroff
Assistante à la réalisation : Laure-Hélène Planchet
23:02 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : : au magma present de l'ecriture, boris pasternak, ma soeur a vie, benjamin avergnhe, michel aucouturier, héène henry, le docteur jivago, david ean, omar sharif, juie christie, roman, interdit de pubication, urss, france, éditeur, giangiacomo fetrinelli, manuscrit, dissidence, prix nobel, russie soviétique, refuser e prix, couvrir de caomnies, persécuter, déchoir, droit citoyen, peredekino, jacqueine de proyart, témoigner, poète lyrique, guerre civile, révélation poétique, ettre posthume, rainer maria rilke, desmouins, valérie, brioussov, entrevue, trotski;éleveur, laitier, inciter, louis arene, subir, oradour sur glane
CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER : 9/01/2013
CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER
9/01/2013
16:55 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, philippe meyer, pascal clarck, philippe colin, xavier mauduit, protection, télé-surveillance, mise en service, météorologie, professionnel de la santé, médiocrité, bretagne, sud de la loire, giboulée, éclaircir, régional, averse, normandie, belgique, allemagne, arrestation, braqueur, récidiviste, suspect, suspecter, agréssio, mariage homosexuel, syrie, au coeur de l'actualité, patrick cohen, arme chimique, affaire tapie, se porter partie civile, gros salaire, informer, intervalle, distinction
DÉCADENCE
DÉCADENCE
L’injustice est visible
Et sans discernement
Qui me pétrifie d’horreur vive.
Je perçois des choses hideuses
Au magma du quotidien et,
Le long de ces nuits égarées,
Je descends avec délectation
L’escalier imaginaire du vide absolu.
P. MILIQUE
09:57 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, bernard adamus, université, vacances de pâques, injustice, visible, chorale, sans discernement, ppétrifier, horreur, vive, grincement, percevoir, chose, hideux, magma, quotidien, tout au long, nuit, égaré, descendre, avec délectation, escalier, imaginaire, vide absolu, choriste, trombonne à coulisse, trompette, tuba, guitare, batterie
FLÈCHES PERDUES
FLÈCHES PERDUES
Il advient souvent que des pensées nostalgiques
Prennent forme et s’alourdissent de pesants regrets.
Par bonheur, demain n’est pas encore pour demain.
Qu’il est donc douloureux de porter en son profond
Cette pénible et embrasée perception de l’invisible
Lorsqu’elle prend la forme incontournable
De demandes ferventes adressées à qui n’est pas là.
Elles sont si débordantes de reproches, si fatiguées,
Qu’elles n’atteignent jamais leur destinée.
Ce sont des flèches vers ce qui d’évidence
Ne peut que se maintenir hors de portée.
Cristaux de pensées projetées dans l’océan,
Retenu et comprimé au profond d’un regard
Fiché dru à l’autre bout de la mémoire.
Quand tu m’embrasseras, le ciel s’embrasera,
Et le flot se partagera devant tant de bonheur.
Il s’inscrira tel du blanc mouvant dans l’infini du ciel,
Aussi léger que l’air dans le bruissant du soir venant.
Et c’est le cœur battant plus fort à l’idée du trésor
Que le lendemain fera son nid aux creux du présent.
P. MILIQUE
09:15 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, flèche, peine perdue, advenir, pensée, nostalgie, prendre forme, alourdir, peser, regret, bonheur, douloureux, porter, tréfonds, pénible, emraser, perception, invisible, incontournable, ferveur, déborder, reproche, fatguer, cristal, océan, comprimer, mémoire, mouvance, le coeur battant, dérouter
JEAN GUIDONI (CAPTATION PERSONNELLE) "C'EST PEUT-ÊTRE"
JEAN GUIDONI
(CAPTATION PERSONNELE)
"C'EST PEUT-ÊTRE"
JAMAIT/GUIDONI/DIDIER
CHANTENT LEPREST
THEÂTRE OLYMPE DE GOUGES
MONTAUBAN
LE 8 MAI 2013
05:43 Publié dans MUSIQUE | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : : au magma present de l'ecriture, patrick milique, yves jamait, léo ferré, c'est extransalle eurytmie, montauban, festival alors chante, dans tes bras, feu, aimer, chutes, dévaster, soldat, maladroit, tambour, homme des bois, monaco, monégasque, anarchie, anachiste, endormir, vacarme, nombril, lumière, corse, excuser, marc de chaumont, absolution, absoudre, jean guidoni, romain didier, névrosé, effacer, mémoriel, hubert-félix thiéfaine, violoncelle, brume, adoucir, contour, valse, murmure, les mots bleus, molécule, laboratoire, orgasme, jouissance, jouir, jimi hendrix, purpe haze
28/05/2013
CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER : 28/05/2013
CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER
28/05/2013
23:32 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, philippe meyer, patrick miique, se vanter, chandelle, vieilesse, maison de retraite, téléphone, national, maltraitance, association alma, appeler, jura, canta, ariège, lozère, territoire de belfort, corse, frontière, vieillir en liberté, nourrir de force, xcontention, tutoyer, infantiliser, s'n remettre à la famille, violer, gaver, intéresser, assommer, prêter une oreille attentive
LA PARISIENNE LIBEREE : " TRAVAILEUR ELASTIQUE "
LA PARISIENNE LIBEREE
" TRAVAILEUR ELASTIQUE "
Paroles et musique : La Parisienne Libérée
[citation E. Balladur]
Flexion-extension
Pas de négociation
Les bras le long du corps
Signe-nous cet accord
Flexion-extension
Pas de négociation
Travaille ton grand écart
Avant qu’il ne soit trop tard
Fais-nous quelques étirements
Fléchis bien les genoux
Soit tu gagnes moins d’argent
Soit tu n’en gagnes plus du tout
Oublie les syndicats
Les principes juridiques
Tu deviendras comme ça
Travailleur élastique
D’abord les RTT
Sur la pointe des pieds
Ensuite le treizième mois
Pirouettes et entrechats
Plus de prime ni d’avancement
Malgré tes flips avant
Si tu refuses le stretching
On ferme les usines
Fais-nous quelques étirements
Fléchis bien les genoux
Soit tu gagnes moins d’argent
Soit tu n’en gagnes plus du tout
Oublie les syndicats
Les principes juridiques
Tu deviendras comme ça
Travailleur élastique
Un effort musculaire
Quelques séries d’abdos
Une petite baisse de salaire
Quelle chance d’avoir ce boulot
Devant les Officiels
En passant, tu souris
Merci chômeur partiel
C’est tout pour aujourd’hui
Fais-nous quelques étirements
Fléchis bien les genoux
Soit tu gagnes moins d’argent
Soit tu n’en gagnes plus du tout
Oublie les syndicats
Les principes juridiques
Tu deviendras comme ça
Travailleur élastique
[citations N. Sarkozy / F. Fillon]
Flexion-extension
Pas de négociation
Les bras le long du corps
Signe-nous cet accord
Flexion-extension
Pas de négociation
Les bras le long du corps
On savait bien que tu serais d’accord !
17:08 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, la parisienne libérée, prendre la route, nicolas sarkozy, édouard balladur, françois fillon, mise à mort, vendre son âme, désolation, supplier, tuer, passer l'arme à gauche, contremaître, révolution, se défendre, imposture, déceler, avoir à l'usure, faire sa prière, impertinence, décadence, jouer à la poupée, mélissmell, flexion, extension, négociation, travailleur éastique
BORIS PASTERNAK RECUEIL "MA SOEUR LA VIE - L'ETE 1917" "À PROPOS DE CES VERS "
BORIS PASTERNAK
RECUEIL "MA SOEUR LA VIE - L'ETE 1917"
"À PROPOS DE CES VERS "
Lu par Benjamin LAVERNHE
Tiré du recueil Ma sœur la vie, L'été 1917
(Traduction par Michel Aucouturier et Hélène Henry, Bibliothèque de la Pléiade, 1990)
On se rappelle de Boris Pasternak, et son livre « Le docteur Jivago ».
On s’en souvient surtout grâce au film américain de David Lean, en 1965, avec Omar Sharif et Julie Christie. Ce que l’on sait moins c’est que ce roman fut interdit de publication en U.R.S.S., mais qu’il parut en France en 1958, grâce à l’éditeur italien Giangiacomo Feltrinelli, à qui Pasternak avait confié son manuscrit.
Ce fut la naissance de la dissidence littéraire.
Boris Pasternak reçoit le prix Nobel, et cela devient une « affaire » dans la Russie soviétique.
On l’oblige à refuser le prix, on le couvre de calomnies, on le persécute, lui et sa famille. Il est déchu de ses droits de citoyen.
Il meurt le 30 mai 1960 chez lui, à Peredelkino, le village des écrivains, à l’âge de soixante-dix ans. (Lire « Le dossier de l’affaire Pasternak » préfacé par Jacqueline de Proyart, collection Témoins/Galllimard).
Le docteur Jivago ne sera publié en U.R.S.S, qu’en 1988.
On connaît moins la poésie de Boris Pasternak : il fut un grand poète lyrique.
Certains de ses poèmes trouveront leurs échos dans « le docteur Jivago » dont l’action se situe dans le moment de la guerre civile.
Le recueil « Ma sœur la vie », fut écrit pendant l’été 1917.
Été de la révolution, et révélation poétique pour Pasternak.
Dans une lettre posthume à Rainer Maria Rilke, mort en 1926, il écrit :
« Je n’ai sans doute pas su vous parler comme il fallait de ces jours éternellement premiers de toutes les révolutions où les Desmoulins bondissent sur la table et enflamment les passants par un toast à l’air qui les entoure. J’en ai été le témoin. (…) J’ai vu l’été sur la terre, paraissant ne pas se reconnaître lui-même, naturel et antéhistorique, comme dans une révélation. J’ai laissé un livre sur lui. J’y ai exprimé tout ce que l’on pouvait apprendre sur la révolution de plus inouï et de plus insaisissable. »
Déjà en 1922, dans une lettre au poète symboliste Valeri Brioussov parlant d’une entrevue avec Trotski, où celui-ci jugeait sa poésie comme « individualiste » et appartenant au « passé bourgeois » Pasternak écrit :
« J’aurai dû lui dire que Ma sœur était révolutionnaire dans le meilleur sens du terme.
Que le stade de la révolution le plus cher au cœur et à la poésie, que le matin de la révolution et son explosion, lorsqu’elle ramène l’homme à la nature de l’homme et qu’elle regarde l’Etat avec les yeux du droit naturel (les Déclarations des droits américaine et française), s’expriment dans ce livre par son esprit même. »
Poèmes choisis par Hélène Bleskine
Prise de son, montage : Julien Doumenc et Pierre Henry
Réalisation : Michel Sidoroff
Assistante à la réalisation : Laure-Hélène Planchet
14:18 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, boris pasternak, ma soeur a vie, benjamin avergnhe, michel aucouturier, héène henry, le docteur jivago, david ean, omar sharif, juie christie, roman, interdit de pubication, urss, france, éditeur, giangiacomo fetrinelli, manuscrit, dissidence, prix nobel, russie soviétique, refuser e prix, couvrir de caomnies, persécuter, déchoir, droit citoyen, peredekino, jacqueine de proyart, témoigner, poète lyrique, guerre civile, révélation poétique, ettre posthume, rainer maria rilke, desmouins, valérie, brioussov, entrevue, trotski
POUR DES RAISONS PERSONNELLES
POUR DES RAISONS PERSONNELLES
Pour des raisons personnelles,
Je n'aime pas cet homme,
Son avarice de sentiment, ses petitesses,
Sa rancœur, ses rancunes, son autorité possessive,
Sa manière de traiter ceux qu'il appelle ses amis.
Pour des raisons personnelles,
Je n'aime pas cet homme,
Jamais sincère et le plus souvent ingrat,
Aspirations inconciliables parce que malsaines
Qui me font, par bonheur, étranger à son monde nauséabond.
Pour des raisons personnelles,
Je n'aime pas cet homme,
Et je crois bien qu'il est de finalité affichée
Que chacun déteste l'autre pour ce qu'il est,
Probablement parce que mépriser un peu est agréable.
Pour des raisons personnelles,
Je n'aime pas cet homme,
Et je n'aurais pas goûté être ami avec lui,
Trop insupportable de morgue suffisante.
Il serait salutaire que l'existence même
De cet individu s'évapore promptement,
Afin qu'il ne reste rien de lui... ou si peu!
Ne soyez pas inquiet de cette brutale radicalité,
Car reprendront vite le dessus son exhibitionnisme,
Sa bouffonnerie galopante et sa mythomanie éventée.
Pour des raisons personnelles,
Je déteste abhorrer cet homme.
P. MILIQUE
10:00 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, raison personnelle, aimer, avarice, sentimental, petitesse, rancoeur, rancune, autorité, possessif, maniérer, traiter, appeler ses amis, sincérité, ingrat, ingratitude, aspiration, inconciliable, malsain, malaise, bonheur, étranger, monde, nauséabond, finalité, afficher, détester, probabilité, agréable, goûter, amitié, insupportable, morgue, suffisance, salutaire, existenciel, individu, s'évaporer, prompt, promptitude, inquiet, brutalité, radicalité, prendre le dessus, exhibitionnisme, bouffonnerie, galoper, mythomanie, évneté
YVES JAMAIT (CAPTATION PERSONNELLE) "MEC" JAMAIT/GUIDONI/DIDIER
YVES JAMAIT
(CAPTATION PERSONNELLE)
"MEC"
JAMAIT/GUIDONI/DIDIER
CHANTENT LEPREST
THEÂTRE OLYMPE DE GOUGES
MONTAUBAN
LE 8 MAI 2013
06:58 Publié dans MUSIQUE | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : : au magma present de l'ecriture, patrick milique, yves jamait, léo ferré, c'est extransalle eurytmie, montauban, festival alors chante, dans tes bras, feu, aimer, chutes, dévaster, soldat, maladroit, tambour, homme des bois, monaco, monégasque, anarchie, anachiste, endormir, vacarme, nombril, lumière, corse, excuser, marc de chaumont, absolution, absoudre, jean guidoni, romain didier, névrosé, effacer, mémoriel, hubert-félix thiéfaine, violoncelle, brume, adoucir, contour, valse, murmure, les mots bleus, molécule, laboratoire, orgasme, jouissance, jouir
27/05/2013
PAUL CELAN : "FIGURE DOUBLE" "LOINTAINS" "GREFFE SUR L'OEIL"
PAUL CELAN
"FIGURE DOUBLE"
Lu par Alain LENGLET
"LOINTAINS"
Lu par Julie SICARD
"GREFFE SUR L'OEIL"
Lu par Stéphane VARUPENNE
Poèmes extraits du recueil De Seuil en seuil (éditions Poésie Gallimard, traduction : Jean-Pierre Lefebvre)
Paul Celan est né le 23 novembre 1920. Ce poète et traducteur roumain de langue allemande, juif de Galicie, est un des plus grands poètes allemands du XXe siècle. Il a composé une oeuvre riche et complexe, orchestrée autour de la sonorité d'une langue qu'il maltraite, et ciselée dans la conscience d'écrire après l'extermination des juifs d'Europe. Il est mort en 1970 à Paris.
Un choix composé dans son recueil De Seuil en Seuil, paru en 1955 en Allemagne, et dans la traduction française de Jean-Pierre Lefebvre en 1998 parue chez Poésie Gallimard.
Prise de son : Pierre Minne
Montage : Sylvain Dangoise
Assistante à la réalisation : Delphine Lemer
Réalisation : Myron Meerson
22:42 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, paul celan, julie sicard, stéphane varupenne, juif, galicie, roumain, maltraiter, ciseler, jean-pierre lefèbvre, pierre minne, ambiance, énigmatique, cabaret, paraître con, aimer, paix, bruit, argent, froisser, regard, étincelle, gens d'esprit, maudire, impassible, sylvain dangoise, s'emmerder, le blanc des yeux, bâiller, bouffer, se réveiller, delphine lemer, myron meerson, fanôme, se mettre la corde au cou, mouiller, asseoir, s'enivrer, repartir, baiser, sexe, sodomiser, firmament, aller de travers, enfanter, se saoûler, plein la gueule
CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER : 27/05/2013
CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER
27/05/2013
17:38 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, philippe meyer, patrick milique, enfer, solitaire, plaisir, vacciner, mourir en héros, plaisir de la table, tirer un coup, honte, malheureux, amoureux, pour le plaisir, lutter, invention, inquisition, empêcheur de tourner en ron, dégradant, fleuron, rider, mitonner, au coin du feu, porno, tabac, quéquette, casser les burnes, pendule, pendulaire, jean-marie vivier