Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

11/07/2016

LABYRINTHE PRIMAIRE 4

au magma présent de l'écriture,

A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter) le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...

 

LABYRINTHE PRIMAIRE
4

 

On le voit bien, la simplicité est donc tout sauf un art simple!
C'est pour cela que si l'on aspire maintenir l'autorité et à en préserver l'unité, il convient de ne pas lui attribuer de cadre trop rigide.

Le dépouillement ne se pense pas, et il n'est guère besoin de bâtir des références pour conjurer la nouveauté!
Faire une synthèse de tout cela en allant du général au particulier s'avère, de fait, rapidement non advenu.

Les retentissements perceptibles au fil du quotidien semblent en exclure toute velléité de perspective.

Il y est ainsi développé, de manière claire et précise, qu'il ne sert vraiment pas à grand chose de trop intellectualiser l'évidence.
Tout un chacun a déjà compris que le sourire de la Joconde s'obstinera toujours à échapper à l'analyse, que les moutons prendront toujours un malin plaisir à compter davantage de brins d'herbes avant de s'endormir, et que la ligne d'horizon, un peu espiègle, s'attachera à ne se  déplacer qu'avec l’œil frisé du bon sens, tandis que les marchands de sable ne seront jamais concrètement des sorciers.
Non, il n'est rien de facile vraiment.

( A SUIVRE...)

 

P. MILIQUE

09/06/2016

BELLE NUIT

au magma présent de l'écriture,

 

BELLE NUIT



Sa douce lui paraît si proche de lui ce soir
Qu'il a l’impression de la sentir, de la toucher.
Il éprouve sa présence au berceau de ses bras,
Et perçoit son souffle vif affleurant ses lèvres.
Il sait que cette nuit sera exquise et soyeuse.

Elle sait combien il apprécie ses caresses de satin,
Elle sait comme il affectionne déposer les siennes
Sur ses courbes agréables, ses pleins et ses déliés,
En son centre embrasé qui parfois s'impatiente.

Cette nuit-là encore ils s'endormiront pelotonnés fort,
Impliqués dans l'ample encorbellement de leurs bras.
Ils s'éprouveront attirés, captés, puis ancrés jusqu'à l'aube
Par cet amour-fleur tellement plus grandiose qu'un jardin.

La nuit qui se dessine sera, oui, alourdie de ses rêves d'elle.

P. MILIQUE

26/11/2015

GRATITUDE 2

au magma présent de l'écriture,

 

A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter) le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...

 

GRATITUDE

2


Femme chérie, j'ai une immense confiance en toi.
Je sais mon bonheur intense de me réaliser en toi.
Je sais que le soir je m'endors tout contre toi,
Je sais tes mains douces, mouvantes, émouvantes,
Que tes lèvres mon amour, tes lèvres m'abreuvent.
Je sais que mon plaisir est grand à te savoir blottie,
Serrée fort contre mon corps, affectueuse et suave.


Je sais combien j'aime te prodiguer de tendres caresses,
Que j'aime à te bercer contre moi, mon tout petit à moi.
Enfin, je sais que j'aime vivre au moelleux de notre amour,
Que j'ai bien raison de t'aimer aussi fort et que, parfois,
Je me reproche allègrement de ne pas t'aimer davantage.
Ne t'étonnes pas alors qu'à ton départ mes yeux pleurent.
Ils ne sanglotent, sache-le, que des sanglots de gratitude.

Amour, offre-moi encore ta bouche afin que, éclats de soleil,
Nous échangions cet interminable et tendre baiser d'amour
Qui de nous deux, magique osmose, ne font plus qu'un: Nous!

(FIN)

P. MILIQUE

11/07/2014

COMME UN REFRAIN DE LIMONAIRE 1

au magma présent de l'écriture,

 

COMME UN REFRAIN DE LIMONAIRE

1

 

Texte atypique, magnifique d'images-séquences lourdes d'émotions.

Pages bouleversantes et pudiques, humbles et passionnelles.

Voyage fécond au cœur de l'immobile d'une petite ville grise

Au charme inquiétant et suranné ainsi pleinement réhabilitée.

Imaginaire qui distend l'étroitesse de l’ici dans la vacuité tranquille

D'une promenade au sein de la bourgade perçue comme endormie.

Exploration poétique au cœur d'une ville indifférente au temps des autres.

Qu'y aurait-il sans le poids du souvenir comme cadeau hébergeur d'espoirs?

 

Elle est d'une délicatesse rare cette adéquation d'une retenue souriante

Et émue au fil d'un texte presque énigmatique entre merveille et réalisme.

Écriture enchanteresse qui met à nu la violence nourricière de l'usine.

Élan mystique sur le mode rayonnant, réminiscences sonores et visuelles

Installées dans le flux fusionnel d'un univers enchâssé dans son doublon.

(A SUIVRE)

 

P. MILIQUE

09/06/2014

LE BONHEUR DE T'AIMER 4

au magma présent de l'écriture,

 

A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter) le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...

 

 

LE BONHEUR DE T'AIMER

4

 

Ma douce aimée, si tu savais combien j’aimerais avoir davantage à t’offrir,

Comme je voudrais savoir faire un écho du partage gestuel de chaque jour.

Par toi, grâce à toi et à ta beauté d’âme, j’ai enfin rencontré la vie en moi.

Laisse-moi accrocher mes bras en un collier amoureux autour de ton cou.

Laisse-moi t’offrir mes sourires, laisse mes lèvres exaltées fleurir les tiennes.

Laisse reposer ma joue sur ta poitrine, y percevoir les douceurs chuchotées.

Laisse-moi m’endormir au plus douillet de ta chaleur lorsque tangue la nuit,

Sous ton regard à la puissance évocatrice, collé-serré à ta sérénité joyeuse.

Et nos corps cernés de nuit lorsque le temps sautille vers l’incertain de l’aube,

Lorsque nos visages ensommeillés refuseront jusqu’à l’idée du jour naissant,

Nous reprendrons toi et moi possession progressive de l’ici et du maintenant

Avec une avidité d’enfants heureux d’arpenter encore l’essentiel aujourd’hui.

 

Amour, vois comme tu m’éclaires de ces rayons de toi pénétrés de radiances,

Vois comme malgré la distance mes bras savent se refermer sur notre fracas !

(FIN)

 

P. MILIQUE

10/11/2013

PASCALE PICARD BAND LE BIKINI TOULOUSE AVRIL 2009

 

(Captation Personnelle)

 

PASCALE PICARD BAND

LE BIKINI

TOULOUSE

AVRIL 2009

05/11/2013

PASCALE PICARD BAND LE BIKINI TOULOUSE AVRIL 2009

(Captation Personnelle)

 

 

 

PASCALE PICARD BAND

 

LE BIKINI

 

TOULOUSE

AVRIL 2009


03/11/2013

PASCALE PICARD BAND LE BIKINI TOULOUSE AVRIL 2009

(Captation Personnelle)

 

PASCALE PICARD BAND

LE BIKINI

TOULOUSE

AVRIL 2009

05/08/2013

YVES BOMMENEL: "SEPTENTRION"

 

YVES BOMMENEL

"SEPTENTRION"

 

L'hiver n'est pas la mort. Non, l'hiver est germinal. Il est le ventre laiteux des amours estivales.

L'hiver n'est pas la mort. Il est la chanson du feu qui crépite dans l'âtre, le cocon douillet de la chrysalide. La tanière de l'ours. Le givre enveloppant la lande. Le cristal des eaux endormies. La fractale du flocon de neige.

L'hiver n'est pas la mort. Il est la maraude silencieuse du renard argenté. Le lapin blanc qui se fond dans la toundra. Le noir corbeau qui survole la plaine sans un bruissement d'ailes. Il est le silence roi. Sa majesté nordique. Le continent de glace.

L'hiver n'est pas la mort. Il est le repos de l'arbre avant sa floraison. La mère nourricière du printemps qui viendra. La racine souterraine qui attend patiemment son heure. Le secret qui guette le retour du soleil pour se révéler. Il est la promesse du torrent se cachant dans la cascade figée.

L'hiver n'est pas la mort. Il est saint sacrement, immaculé conception du cycle des années. Il est l'alpha de l'oméga, l'envers de l'endroit, le pôle magnétique. Le solstice non moins fécond. Il est le diapason qui donne la juste de note de l'an passé, de l'an qui vient. Il est passage et courant d'air.

L'hiver n'est pas la mort puisque la mort n'est sûrement pas l'hiver.

09/07/2013

CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER : 05/07/2013

 

CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER 

05/07/2013

13/06/2013

JEAN GUIDONI (Captation Personnelle) "TON CUL EST ROND..."

 

JEAN GUIDONI

 (Captation Personnelle) 

"TON CUL EST ROND..."


JAMAIT/GUIDONI/DIDIER

CHANTENT LEPREST

AU THÉÂTRE OLYMPE DE GOUGES 

MONTAUBAN

LE 8 MAI 2013


08/06/2013

YVES JAMAIT (Captation Personnelle) "LE TEMPS DE FINIR LA BOUTEILLE"

 

YVES JAMAIT

 (Captation Personnelle) 

"LE TEMPS DE FINIR LA BOUTEILLE"


JAMAIT/GUIDONI/DIDIER

CHANTENT LEPREST

AU THÉÂTRE OLYMPE DE GOUGES 

MONTAUBAN

LE 8 MAI 2013