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17/07/2012

ENTRETIEN AVEC GENE KELLY EN FRANCAIS

ENTRETIEN AVEC GENE KELLY EN FRANCAIS

Plein feu sur les spectacles du monde - - 02min44s

Entretien avec Gene KELLY "C'est ma première fois à Paris". - Les thèmes des nouvelles danses. Il prépare "Un Américain à Paris". - Ses derniers tournages. - (coupure et reprise de l'entretien) - "Les trois mousquetaires", "Words and music", "Le pirate", "Take me out to the ball game" avec Esther WILLIAMS et Frank SINATRA. Il retourne aux USA pour commencer le tournage de "On the town" (Un jour à New-york).


Générique

Wilmet, René
Kelly, Gene
 

ELLIPSES INCONGRUES

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ELLIPSES INCONGRUES

 

L'exercice qui consiste à se souvenir

A haute voix, expose au périlleux.

On sombre vite dans le mielleux pathétique,

Dans l'insupportable narcissisme de la quête de soi.

 

Énumération obsessionnelle qui sédimente l'émotion,

Authentique désordre obsédant d'évidences

A l'étouffante saillie de flammes infernales,

D'ellipses incongrues en descriptions superfétatoires.

 

Dans la distorsion attestée de l'inévitable

Pénètre le réel vécu et ce qui en découle;

Dès lors, mieux vaut passer les souvenirs

Au travers du fin tamis de l'écriture.

 

La métaphore acérée ne s’embarrasse pas de détours

Et va s'attacher à redessiner de l'intérieur

Ce que l'on entend comme une révélation

Et qui se tait soudain aux mots de l'éperdu

Parce qu'il s'égrène parfois en gouttes mortelles.

 

Dans un inventaire désespéré, au final morbide,

Quelque chose de l'être se sauve en forces rythmées

Dans l'intonation sincère et sublimée d'une voix

Qui compose dans l'espoir un paysage de phrases vivantes.

 

P. MILIQUE

 

16/07/2012

TRANSFORMONS UNE GRENOUILLE EN PLOMBIER CHARMANT

TRANSFORMONS UNE GRENOUILLE EN PLOMBIER CHARMANT

La minute nécessaire de Monsieur Cyclopède

-15/03/1984 - 02min00s


 

La princesse echangerait bien son vieux prince contre un plombier charmant, même s'il est plus salissant. Grâce à une clef de douze magique, la grenouille se transforme en plombier charmant.


 

Production

Agence, Paris : France 3


Générique

Fournier, Jean Louis
Desproges, Pierre ; Valadie, Dominique

John WAYNE à PARIS: Rendez vous à cinq heures

John WAYNE à PARIS

Rendez vous à cinq heures 

24/01/1956 - 11min39s


 

Interview de John WAYNE par Simone DUBREUIL lors de son passage à Paris. John WAYNE, traduit par Simone DUBREUIL, répond en anglais aux questions posées : il est déjà venu à Paris pour de brefs passages ; il apprécie la cordialité des Parisiens ; l'importance de John FORD dans sa carrière et leur rencontre ; le film "Le conquérant" de John FORD, sur Gengis KHAN ; le lieu et les conditions de tournage ; il va continuer à présenter son film dans plusieurs capitales européennes.


 

Générique

Dubreuilh, Simone
Wayne, John

COMPRESSION D'HORREURS

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César, « Compression »
« Compression » (1973), par César. (Musée national d'Art moderne, Centre Georges-Pompidou, Paris.)

 

 

COMPRESSION D'HORREURS

 

Il y a ce qui lui procure cette insolite sensation:

Quelque chose de l'ordre du trouble hésitant,

Alors qu'il n'est que cet état étrange qui ne se fixe jamais

Dans l'acceptation plausible et fière de ce qu'il est.

 

Comment rendre compte au plus précis de la déflagration

Qui se produit parfois à l'intime bouleversé des êtres?

 

L'apprentissage permanent qu'exige la vie régulée

Bouscule la borne-frontière de sa pensée en mouvement

Qui lui impose de n'exister qu'à la marge de son temps.

 

Dans un monde emporté par une transe inhumaine,

Errements d'ombres furtives au cauchemar d'une nuit,

S'érige en sculpture-tourments une compression d'horreurs

Dans le silence assourdissant qui succède au vacarme.

 

P. MILIQUE

15/07/2012

Marylène KERT: "L' HORLOGE" (Charles BAUDELAIRE)

Marylène KERT:

"L' HORLOGE"

(Charles BAUDELAIRE)

musique et mix VOLUMATIK


J'ADORE!

LE JOURNAL DE PERSONNE: "DECONNECTEZ-VOUS!"

Femme magnifique à l'intensité hors-norme.

Superbe et talentueuse...

A l'écriture riche et précise.

Il est important de ne pas passer à côté!

Ne manquez pas de vous rendre sur son site: c'est une mine!

http://www.lejournaldepersonne.com/

Ou sur sa chaine Youtube:

http://www.youtube.com/watch?v=VuiAdm6sSFE&feature=mfu_in_order&list=U


Le tribunal de l’opinion
Le Sanhédrin des temps anciens
Le Sanhédrin des temps nouveaux
S’apprête à me juger, à me condamner, à me crucifier
Et pourtant je n’ai rien fait d’autre qu’exister
Non… je ne dirai pas que je suis dans le vrai
Tout ce que j’éprouve, je ne pourrais le prouver
Ce qui est juste, n’a pas besoin d’être justifié
L’armée de l’ombre n’a pas besoin de mes lumières
Je crois… je crois que je vais me laisser faire
Pour rendre le fils ou la fille à son père
La liberté est partout dans les fers
Quand elle ne croit pas en elle, elle finit toujours en enfer
Non… je ne crois pas à la traversée du désert
Et je n’ai rien fait d’autre que d’aller de part en part de mon désir…
En attestant que l’Absolu est plus grand que le plus grand empire…
Et l’absolu qu’est-ce que c’est ?
C’est un secret… qu’aucune opinion ne m’arrachera jamais
Non je ne répondrai à aucune pression
Pourquoi?
Parce que je suis à l’image de celui qui m’a fait :
Une question sans réponse.

Yves JAMAIT et Daniel FERNANDEZ LIVE

Yves JAMAIT et Daniel FERNANDEZ   Salle Nougaro de Toulouse le 2 Octobre 2010

 

Yves Jamait invite Daniel Fernandez.

 

Enfin, c'est ce que signale l'affichage qui présente l'événement. Formation intimiste aussi, est-il suggéré. Peut-être, mais tellement porteuse de chaleur communicative...

 

En tout cas sur scène, c’était bien le cas ce soir là!

 

Superbement entouré de Didier Grebot aux percussions, de Samuel Garcia à l’accordéon et bien évidemment, comme il est indiqué, de Daniel Fernandez à la guitare, l'instant Jamait était prometteur.  

 

La complicité évidente avec Fernandez est bien la colonne vertébrale de la prestation fournie sous la forme d'un judicieux assemblage de chansons, parmis les plus connues de Jamait, de celles de Daniel Fernandez, agrémenté de quelques notes d’humour bienvenus.

 

Yves et ses camarades nous a présenté ce soir-là un spectacle de grande et intense qualité.

TON SOURIRE

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TON SOURIRE

 

 

D’abord, c’est un éblouissement

Et l’enchantement est immuable.

 

Il y a ce sourire qui éclaire ton visage

D’un mystérieux éclat saturé de tendresse.

 

Présence irréelle et pure.

Image douce et réconfortante

Qui offre des armes pour affronter l’avenir.

Elle fait don de sa beauté

Envoûtante de sensualité.

 

Un sourire étoilé, toujours à fleur de peau,

D’une sincérité fraîche et absolue,

Désarmant de naïveté et d’extrême générosité

Qui protège contre l’inattendu qui point

Et fabrique de l’amour sage et fou comme des synonymes.

 

Un sourire d’ambre et de velours

D’une justesse frémissante,

Caressante comme une main.

Il dégage autant qu’un parfum

Et affiche ta féminité essentielle :

Ta beauté de femme.

 

C’est un sourire à l’élégance intuitive,

Annonciateur d’aubes nouvelles.

 

Ce sourire-là exprime un amour puissant et lumineux.

Ce sourire-là, incomparable et complice, c’est le tien.

 

Parfois, cependant, il se retire.

Il devient d’une immense fragilité

Et peu à peu se désintègre dans l’instant.

 

Le beau sourire maintenant se voile de crépuscules subits.

Il laisse désormais transparaître

L’insondable mélancolie qui l’habite.

Il n’est plus qu’une lumière indécise

Qui dit la face sombre de la désespérance à vivre.

 

Il n’est plus qu’un sourire qui cache mal la cruauté des blessures reçues,

Parce qu’on ne dissimule pas mieux un secret qu’une cicatrice.

 

C’est un sourire qui dit l’espoir effrité,

Le regret de l’astre disparu

Et la nostalgie de l’astre aimé

Transformé en étoile.

Il s’accroche aux merveilles passées de rêves obsolètes

Et se consume au soleil noir de la mélancolie.

 

Le voilà qui entre en survivance aux racines même

De la souffrance et de la folie.

Désormais, il ne peut plus l’ignorer :

C’est un sourire plein de nuit,

Un sourire qui n’en n’est plus un.

 

Une fois devenu une absence,

Quoi de plus terrible à la fin qu’un tel sourire ?

 

La douleur est que ce sourire-là, c’est le tien !

Et il lui faut attendre auprès de lui

Que le jour se lève sur la beauté crapuleuse de nouvelles illusions.

 

 

P. MILIQUE

14/07/2012

MARIA BODIN CHANTE MICHEL FUGAIN

MARIA BODIN CHANTE MICHEL FUGAIN

 

. Maria Bodin s'est encore emplâtrée en solex dans un platane, mais elle est toujours là pour essayer de remonter le moral aux malades.

 

Découvrez l'univers déjanté des Bodin's sur http://wizdeo.com/s/les_bodins

LE JOURNAL DE PERSONNE: "SI LE ROI SE MEURT..."

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Sur son lit de mort et avant de rendre l’âme, le Roi Lion confia à son enfant le secret de la longévité dans le merdier du Proche Orient.
Bachar l’écouta souverainement sans se douter qu’en politique toute prévision équivaut à une provision.

Primo : ne pas faire la guerre à Israël. Ni la paix. Surtout pas la paix. Jamais

Secundo : ne jamais se fier aux américains parce qu’ils n’ont pas d’ami mais seulement des profits sous forme de défis.

Tertio : si par malheur, on réussit à retourner le peuple contre toi, ne cède pas un pouce de terrain, quitte à faire couler tout le sang de ton pays. Parc qu’il n’y a pas pire ennemi qu’un frère qui a trahi.

Le petit a apparemment bien retenu la leçon du grand :
Quand on ne sait plus où on en est… C’est qu’on ne sait plus qui est qui ? … et quand on ne sait plus qui est qui?… On ne doit pas chercher le pourquoi? On fonce dans le tas en assumant tous les dommages… cela s’appelle un engrenage.
L’engrenage du pouvoir :
Ne le redoute pas dit enfin le Roi et tu seras redouté et redoutable à la fois.
Moralité : il n’y a pas de morale.

OMBRES INJUSTES

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OMBRES INJUSTES

 

L'ordre naturel se trouble au noirs d'ombres injustes,

Et, dans l'entouré d'un cercle d'étonnements acérés

Il s'éprouve désormais en marche vers une obligation

Dont l'importance expérimentale échappe aux autres.

 

En vérité, il part pour la sagesse, ou pour autre chose,

Car c'est pour lui le possible d'un destin différent,

Et l'absolue magie serait de pouvoir en définir le temps.

 

Comme tout est délicieux et simple à présent!

 

P. MILIQUE