19/01/2014
SAMUEL BECKETT: "ABOULEZ!
SAMUEL BECKETT
"ABOULEZ!
Lus par Laurent NATRELLA
Références:
In Peste soit de l’horoscope et autres poèmes
© Minuit 2012
Par malheur, Beckett naquit – le 13 avril 1906 : ainsi faudrait-il commencer toute biographie de Samuel Barclay Beckett, pour qui, toute sa vie, l'être sera une imperfection dans la pureté du non-être. L'horreur commence avec la vie. Tous les héros de Beckett, enfermés dans des asiles, des chambres, des trous, larves lovées en position fœtale, reculant le langage jusqu'au borborygme, là où s'efface la prétention au sens, raconteront le fantasme d'une régression prénatale. Tuer un enfant, dira-t-il plus tard, c'est « couper court à un fiasco en fleur » (Tous ceux qui tombent, 1956).
(extrait de l'Encyclopédie Larousse)
Poèmes choisis par Lorette Nobécourt
Prise de son Djaisan Taouss
Montage Anne-Laure Chanel
00:17 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : : au magma présent de l'écriture, samuel beckett, mort de a.d, lecture, larent natrella, référenciel, poème, minutrie, minuit, malheur, naître, falloir, commencer, biographie, barclay, imperfection, pureté, non-être, horreur, commencement, vie, héros, héroïque, enfermement, asile, chambr, trou, larves, lover, position foetale, reculer, langage, borborygme, s'effacer, prétention, sensitif, raconter, fantasme, régresser, régression, prénatal, tuer un enfant, couper court, fiasco, en fleur, tous ceux qui tombent, encyclopédie larousse, chox, orette nobécourt, djaisan taouss
17/01/2014
SAMUEL BECKETT: "CASCANDO" "LA-BAS"
SAMUEL BECKETT
"CASCANDO"
"LA-BAS"
"Trois poèmes "de Samuel BECKETT
Lus par Laurent NATRELLA
Références:
In Poèmes
© Minuit 1978
Par malheur, Beckett naquit – le 13 avril 1906 : ainsi faudrait-il commencer toute biographie de Samuel Barclay Beckett, pour qui, toute sa vie, l'être sera une imperfection dans la pureté du non-être. L'horreur commence avec la vie. Tous les héros de Beckett, enfermés dans des asiles, des chambres, des trous, larves lovées en position fœtale, reculant le langage jusqu'au borborygme, là où s'efface la prétention au sens, raconteront le fantasme d'une régression prénatale. Tuer un enfant, dira-t-il plus tard, c'est « couper court à un fiasco en fleur » (Tous ceux qui tombent, 1956).
(extrait de l'Encyclopédie Larousse)
Poèmes choisis par Lorette Nobécourt
Prise de son Djaisan Taouss
Montage Anne-Laure Chanel
17:32 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : : au magma présent de l'écriture, samuel beckett, mort de a.d, lecture, larent natrella, référenciel, poème, minutrie, minuit, malheur, naître, falloir, commencer, biographie, barclay, imperfection, pureté, non-être, horreur, commencement, vie, héros, héroïque, enfermement, asile, chambr, trou, larves, lover, position foetale, reculer, langage, borborygme, s'effacer, prétention, sensitif, raconter, fantasme, régresser, régression, prénatal, tuer un enfant, couper court, fiasco, en fleur, tous ceux qui tombent, encyclopédie larousse, chox, orette nobécourt, djaisan taouss
SAMUEL BECKETT: "ARÈNES DE LUTÈCE" SUIVI D'UN POÈME SANS TITRE
SAMUEL BECKETT
"ARÈNES DE LUTÈCE"
SUIVI D'UN POÈME SANS TITRE
Trois poèmes de Samuel BECKETT
Lus par Laurent NATRELLA
Références:
In Poèmes
© Minuit 1978
Par malheur, Beckett naquit – le 13 avril 1906 : ainsi faudrait-il commencer toute biographie de Samuel Barclay Beckett, pour qui, toute sa vie, l'être sera une imperfection dans la pureté du non-être. L'horreur commence avec la vie. Tous les héros de Beckett, enfermés dans des asiles, des chambres, des trous, larves lovées en position fœtale, reculant le langage jusqu'au borborygme, là où s'efface la prétention au sens, raconteront le fantasme d'une régression prénatale. Tuer un enfant, dira-t-il plus tard, c'est « couper court à un fiasco en fleur » (Tous ceux qui tombent, 1956).
(extrait de l'Encyclopédie Larousse)
Poèmes choisis par Lorette Nobécourt
Prise de son Djaisan Taouss
Montage Anne-Laure Chanel
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15/01/2014
SAMUEL BECKETT: "POÈMES" (1978)
SAMUEL BECKETT
"POÈMES"
(1978)
Trois poèmes de Samuel BECKETT
Lus par Laurent NATRELLA
Références:
In Poèmes
© Minuit 1978
Par malheur, Beckett naquit – le 13 avril 1906 : ainsi faudrait-il commencer toute biographie de Samuel Barclay Beckett, pour qui, toute sa vie, l'être sera une imperfection dans la pureté du non-être. L'horreur commence avec la vie. Tous les héros de Beckett, enfermés dans des asiles, des chambres, des trous, larves lovées en position fœtale, reculant le langage jusqu'au borborygme, là où s'efface la prétention au sens, raconteront le fantasme d'une régression prénatale. Tuer un enfant, dira-t-il plus tard, c'est « couper court à un fiasco en fleur » (Tous ceux qui tombent, 1956).
(extrait de l'Encyclopédie Larousse)
Poèmes choisis par Lorette Nobécourt
Prise de son Djaisan Taouss
Montage Anne-Laure Chanel
00:21 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : : au magma présent de l'écriture, samuel beckett, mort de a.d, lecture, larent natrella, référenciel, poème, minutrie, minuit, malheur, naître, falloir, commencer, biographie, barclay, imperfection, pureté, non-être, horreur, commencement, vie, héros, héroïque, enfermement, asile, chambr, trou, larves, lover, position foetale, reculer, langage, borborygme, s'effacer, prétention, sensitif, raconter, fantasme, régresser, régression, prénatal, tuer un enfant, couper court, fiasco, en fleur, tous ceux qui tombent, encyclopédie larousse, chox, orette nobécourt, djaisan taouss
14/01/2014
SAMUEL BECKETT: "MORT DE A. D"
SAMUEL BECKETT
"MORT DE A. D"
Lu par Laurent NATRELLA
Références:
In Poèmes
© Minuit 1978
Par malheur, Beckett naquit – le 13 avril 1906 : ainsi faudrait-il commencer toute biographie de Samuel Barclay Beckett, pour qui, toute sa vie, l'être sera une imperfection dans la pureté du non-être. L'horreur commence avec la vie. Tous les héros de Beckett, enfermés dans des asiles, des chambres, des trous, larves lovées en position fœtale, reculant le langage jusqu'au borborygme, là où s'efface la prétention au sens, raconteront le fantasme d'une régression prénatale. Tuer un enfant, dira-t-il plus tard, c'est « couper court à un fiasco en fleur » (Tous ceux qui tombent, 1956).
(extrait de l'Encyclopédie Larousse)
Poèmes choisis par Lorette Nobécourt
Prise de son Djaisan Taouss
Montage Anne-Laure Chanel
00:20 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, samuel beckett, mort de a.d, lecture, larent natrella, référenciel, poème, minutrie, minuit, malheur, naître, falloir, commencer, biographie, barclay, imperfection, pureté, non-être, horreur, commencement, vie, héros, héroïque, enfermement, asile, chambr, trou, larves, lover, position foetale, reculer, langage, borborygme, s'effacer, prétention, sensitif, raconter, fantasme, régresser, régression, prénatal, tuer un enfant, couper court, fiasco, en fleur, tous ceux qui tombent, encyclopédie larousse, chox, orette nobécourt, djaisan taouss
31/07/2013
YVES BOMMENEL: "MA DECHIRURE"
YVES BOMMENEL
"MA DECHIRURE"
Comme une angoisse de la petite enfance
Ou était-ce là déjà bien avant
Le souvenir d'un malaise adolescent
Une mélancolie cyclique qui revient me hanter
Oublier le silence, oublier les absences, oublier...
Un rêve agité qui vire à l'effroi
La fièvre qui couve
Une réelle souffrance sans trop savoir pourquoi
Finalement étais-ce toi ?
Ou moi ?
Ou les autres...
L'indicible
La face obscure de ma psyché
L 'inconscient torturé
Les crocs qui creusent les viscères
La peur tapie dans l'ombre
Jamais ne s'efface
La fracture identitaire
Le trouble lancinant
Les symptômes
Taire sa détresse
Faire corps avec sa douleur
Se définir à travers elle, à travers toi, à travers moi
Se savoir toujours vaincu
Fatalement
Guetter la claque, l'hiver qui vient
Mourir lentement dans le doute sans aucune certitude
Et rester debout malgré tout.
17:32 Publié dans GOUTTES d'ÂME, MUSIQUE, POESIES DITES EN IMAGES | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, yves bommenel, déchirure, angoisse, petite enfance, souvenir, malaise, adolescent, mélancolie, cyclique, revenir, hanter, oublier, silence, absence, rêve agité, virer, effroi, fièvre, couver, réelle, souffrance, indicible, face obscure, psyché, inconscient torturé, crocs, creuser, viscères, peur, tapi dans l'ombre, s'effacer, fracture identitaire, trouble, lancinant, symptôme, taire, détresse, faire corps, douleur, se définir, vaincre, guetter, claquer, mourir, doute, certitude, rester debour
24/05/2013
LA PARISIENNE LIBEREE : "LE SPECTRE DU REMANIEMENT"
LA PARISIENNE LIBEREE
"LE SPECTRE DU REMANIEMENT"
Paroles et musique : la Parisienne Libérée
Il règne dans le Palais une étrange atmosphère
Quand vient l’obscurité, il y a comme un courant d’air
Un souffle inexpliqué, un vent extraordinaire
Une présence singulière
On raconte au Château qu’à certaines saisons
On voit sur les photos une drôle d’apparition
Une forme insolite, une créature sans nom
Qui flotte au-dessus du perron
Il paraît qu’il est là, errant dans les couloirs
Fuyant dans l’escalier, revenant dans un miroir
Il paraît qu’il est là, fidèle et obsédant
Le spectre du remaniement (bis)
Les soirs de grande lune personne n’est à l’abri
Une bougie s’allume puis s’éteint dans la nuit
Les soirs de forte brume on en voit qui supplient
La clémence des tapisseries
Les ministres prudents sur la pointe des pieds
Près du monstre dormant, passent sans respirer
Mais on entend pourtant, à la nuit tombée
Grincer les lattes du parquet
Il paraît qu’il est là, errant dans les couloirs
Fuyant dans l’escalier, revenant dans un miroir
Il paraît qu’il est là, fidèle et obsédant
Le spectre du remaniement (bis)
Ce soir la lune est pleine, ce sera bientôt l’heure
Il y a comme un bruit de chaînes et tout le monde a peur…
Un mystérieux phénomène au salon des portraits :
Une peinture s’est animée
Les lustres sans raison se sont mis à trembler
Comme saisis d’un frisson, une porte a claqué
Tout là-haut sous les toits, sans doute à la lingerie
Quelqu’un a entendu des cris
Les tables bizarrement ont tendance à tourner
Dès que le président parle de remanier
Un ministre sortant devenu feu follet
Revient pour hanter l’Élysée (bis)
Il paraît qu’il est là, errant dans les couloirs
Fuyant dans l’escalier, revenant dans un miroir
Il paraît qu’il est là, fidèle et obsédant
Le spectre du remaniement
Il paraît qu’il est là…
Planqué dans le Baccarat !
Il paraît qu’il attend…
Caché sous un drap blanc !
14:15 Publié dans GOUTTES d'ÂME, MUSIQUE | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, la parisienne libérée, ami, amitié, amour, peur, audacieux, subtil, philosophie, chaleureux, dévaler, putain, con, s'effacer, perdre ses repères, marcher main dans la main, songe, soucieux, fragile, mélancolie, se noyer, imerger, pénétrer, pleurer, féérie, avertir, planquer, feu follet, élyséeremanier, ministre, insoumis, vomir, arrogance, mépris, frère, majestueux, fidèlité, obscénité, escalier, spectre, châteu, caresser, fougère, imprudence, chimère, aimer, chérir
05/11/2012
J'ACCUSE 25
J'accuse l'Homme
De s'effacer trop frileusement
Derrière de fallacieux prétextes
En fulminant contre l'hypocrisie générale.
Alors qu'il serait juste honnête
De fustiger avec la plus grande vigueur
L'aberration totalitaire en mouvement...
09:36 Publié dans J'ACCUSE | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, arno, accusation, s'effacer, frilosité, pallacieux, prétexte, fulminer, hypocrisie générale, honnêteté, fustiger, grande vigueur, aberration, totalitarisme, mouvementé
12/07/2012
UN BONHEUR FASCINANT
A MA JOSS QUI SAIT....
UN BONHEUR FASCINANT
La vie est remplie de choses redoutables...
Je sollicite donc tous les pouvoirs des mots
Poussé par l'obsédant souci de me connaître....
Me reconnaître,
En m'imposant la règle d'une authenticité absolue
Pour m'affranchir des mes démêlés intimes avec le réel.
Mais quel bonheur fascinant, quand un
Jour moyen éclot.
Avec toujours cette conscience en désordre
Qui cherche à en découdre d'abord avec elle-même.
Atermoiement dérisoires de la pensée
Me dépossédant avec obstination des fils obscurs de la vie.
Sentiment d'étrangeté. Malsaine nostalgie.
Mais quel bonheur fascinant, quand un
Jour moyen éclot.
Dans mon cœur ruissellent des angoisses plus que secrètes.
Mais je les sais travaillées, ciselées
Jusqu'à atteindre la précision ultime d'une hallucination.
Le cauchemar surgit à la marge de chaque instant,
Le temps vacille, devient diaphane, puis s'efface.
Mais quel bonheur fascinant, quand un
Jour moyen éclot.
Hanté par le souvenir d'êtres aimés désormais improbables,
Je tente de découvrir l'unique point de surie
Tapi en ces tanières où je souffre sans recours,
M'abîmant dans ce désespoir accueillant
Le seul qui s'offre à moi sans l'aide de personne.
Mais quel bonheur fascinant, quand un
Jour moyen éclot.
Dans cet espace envoûtant, l'impasse est totale
Qui me pousse aux horreurs pour braver l'épouvante.
Je dois expulser de moi les faux sentiments,
Les souvenirs initiés au vitriol
D'une impudique désinvolture teintée de mépris.
Paroles bizarre et furieuse d'un fou vomi de son enfer.
Mais quel bonheur fascinant, quand un
Jour moyen éclot.
Il y a pourtant la radieuse quête
De joie, d'amour et de sagesse.
Il y a la confusion des mots chuchotés de velours,
Craquants de malice et de tendresse assumée.
Il y a l'étonnant regard qui accentue le mystère
Des lueurs embrumées par la mélancolie des vies étouffées.
L'amour parfois s'autorise des éclipses.
On l'éprouve alors vide, froid... glacial.
Mais lorsque l'on sait à quelle majesté l'offrir
Il se fait chaleur, flamboyance... incandescence.
Alors,
Mais quel bonheur fascinant, quand un
Jour moyen éclot.
P. MILIQUE
05:39 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, joss, vie pleine, chose redoutable, solliciter le pouvoir, le pouvoir des mots, pousser, obsédant, souci de se connaître, se reconnaître, imposer la règle, authenticité, absolu, s'affranchir, démêlés intimes, réel, la conscience en désordre, chercher à en découdre, en découdre d'abord avec soi-même, atermoiement dérisoire, pensée, déposséder, obstination, les fils obscurs de la vie, sentiment d'étrangeté, malsaine nostalgie, le coeur ruisselant, angoisse secrète, travaillées, ciselées, atteindre la précision ultime, hallucination, cauchemar, surgir de l'instant, ultimatum, à la marge de chaque instant, le temps vacille, devenir diaphane, s'effacer