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17/08/2017

VOIX RÊVÉE

au magma présent de l'écriture,

 

 

VOIX RÊVÉE

 

Un pasteur noir, rebelle à l'injustice

Mais visionnaire, l'a clamé un jour:

«J'ai fait un rêve!»

 

Nul doute que ton rêve à toi est plus modeste:

Au chaud de ton cœur, il est d'une autre nature.

 

Ce rêve participe d'un beau à venir
Dans un engouement de lumières.

Sollicité par les ailes de l'âcre souffle,

Il te transporte en instants d'odyssée.

Destination? Destination Elle pour sûr.

 

Était-ce la chanson du zéphyr,

Était-ce la mélodie de ta voix?

Ta voix qui toujours me charme,

Qui me charme dans l'immense

Sans jamais chercher à me nuire.

 

Peut-être est-ce une voix qui communique mon attente

Et mon envie de donner ce que je croyais ne plus avoir?

Une voix qui, ce faisant, m'annonce l'arrivée prochaine

Et la force inconnue d'un amour encore en découverte.

Une voix satinée qui ensorcelle à provenir d'ailleurs,

A souffler l'à-venir jusque dans leurs sourires mêlés.

 

Le soleil à brillé au cœur de ma nuit et j'ai rêvé d'Elle...

L'exquis de sa fleur était déjà semée au vent du désert.

 

P. MILIQUE

08/03/2014

GIEDRE EN CONCERT LE BIKINI TOULOUSE 2 FÉVRIER 2011


(Captation Personnelle)

 

GIEDRE

EN CONCERT

LE BIKINI

TOULOUSE

2 FÉVRIER 2011

15/02/2014

LA CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER: 04/02/2014

 

LA CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER

04/02/2014

14/02/2014

LA CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER: 03/02/2014

 

LA CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER

03/02/2014

12/01/2014

HOMOPARENTALITÉ ET PERVERSION DES INSTITUTIONS FRANÇAISES

 

HOMOPARENTALITÉ

ET PERVERSION

DES INSTITUTIONS

FRANÇAISES

14/09/2013

SI NOUS VIVIONS EN 1913: LA QUESTION RELIGIEUSE

 

SI NOUS VIVIONS EN 1913

LA QUESTION RELIGIEUSE

 

Retour dans la France de 1913. Aujourd'hui, la question religieuse …

Antoine PROST préside la mission du centenaire de la première guerre mondiale, dont France Inter est partenaire.


J’ai tenté de vous raconté hier, la guerre que les radicaux avaient mené une dizaine d’années avant 1913 contre les congrégations catholiques. En 1913 elle couvait encore et les catholiques s’estimaient persécutés….

11/09/2013

SI NOUS VIVIONS EN 1913: LES CATHOLIQUES

 

SI NOUS VIVIONS EN 1913

LES CATHOLIQUES

 

Aujourd’hui, l’influence de l’Église catholique…

Antoine PROST préside la mission du centenaire de la première guerre mondiale, dont France Inter est partenaire.


Si nous vivions en 1913, il nous faudrait changer de repères politiques car la question religieuse tenait une place qu’elle a perdue. L’affaire Dreyfus avait coupé la France en deux. D’un côté une conception de la société fondée sur l’obéissance, la discipline, le respect des  traditions et de l’ordre établi, de l’autre, la liberté individuelle et le progrès par la science et la libre pensée…


03/05/2013

GABRIELA MISTRAL : "ABSENCE"

 

GABRIELA MISTRAL 

"ABSENCE"

Lu par Sylvia BERGE

 

Poème extrait du receuil D'amour et de désolation, traduit de l’espagnol par Claude COUFFON (© ELA/La Différence 1988

 

Gabriela MISTRAL est née en 1889 au nord du Chili dans un monde rural et catholique. Très jeune, elle enseigne, traverse le continent et publie ses premiers recueils dès les années 1910. Elle est l’un des premiers auteurs latino-américains à puiser dans l’héritage indien. Sa vision de la douleur humaine reste liée au christianisme, mais elle déploie un sens du cosmos qui n’a rien d’européen. Ses poèmes se font l’écho de ses amours brisées, de ses enfantements impossibles et vibrent de la force tellurique du continent sud-américain. Dans les années 20 et 30, poétesse reconnue et traduite, elle séjourne aux Etats-Unis et en Europe. En 1945, elle est le premier auteur latino-américain à recevoir le prix Nobel de littérature.

 

Poèmes choisis par Philippe GARNIER

Prise de son, montage : Claude NIORT, Pierre HENRY

Réalisation : Anne-Pascale DESVIGNES

02/05/2013

GABRIELA MISTRAL : "BOIRE"

GABRIELA MISTRAL 

"BOIRE"

Lu par DANIELE LEBRUN

 

Poème extrait du receuil D'amour et de désolation, traduit de l’espagnol par Claude COUFFON (© ELA/La Différence 1988

 

Gabriela MISTRAL est née en 1889 au nord du Chili dans un monde rural et catholique. Très jeune, elle enseigne, traverse le continent et publie ses premiers recueils dès les années 1910. Elle est l’un des premiers auteurs latino-américains à puiser dans l’héritage indien. Sa vision de la douleur humaine reste liée au christianisme, mais elle déploie un sens du cosmos qui n’a rien d’européen. Ses poèmes se font l’écho de ses amours brisées, de ses enfantements impossibles et vibrent de la force tellurique du continent sud-américain. Dans les années 20 et 30, poétesse reconnue et traduite, elle séjourne aux Etats-Unis et en Europe. En 1945, elle est le premier auteur latino-américain à recevoir le prix Nobel de littérature.

 

Poèmes choisis par Philippe GARNIER

Prise de son, montage : Claude NIORT, Pierre HENRY

Réalisation : Anne-Pascale DESVIGNES

GABRIELA MISTRAL : "ENFANT MEXICAIN"

 

GABRIELA MISTRAL 

"ENFANT MEXICAIN"

LU PAR CECILE BRUNE

 

Poème extrait du receuil D'amour et de désolation, traduit de l’espagnol par Claude COUFFON (© ELA/La Différence 1988

 

Gabriela MISTRAL est née en 1889 au nord du Chili dans un monde rural et catholique. Très jeune, elle enseigne, traverse le continent et publie ses premiers recueils dès les années 1910. Elle est l’un des premiers auteurs latino-américains à puiser dans l’héritage indien. Sa vision de la douleur humaine reste liée au christianisme, mais elle déploie un sens du cosmos qui n’a rien d’européen. Ses poèmes se font l’écho de ses amours brisées, de ses enfantements impossibles et vibrent de la force tellurique du continent sud-américain. Dans les années 20 et 30, poétesse reconnue et traduite, elle séjourne aux Etats-Unis et en Europe. En 1945, elle est le premier auteur latino-américain à recevoir le prix Nobel de littérature.

 

Poèmes choisis par Philippe GARNIER

Prise de son, montage : Claude NIORT, Pierre HENRY

Réalisation : Anne-Pascale DESVIGNES

 

 

 

30/04/2013

GABRIELA MISTRAL : "PAYSAGE DE PATAGONIE" -- "TROIS ARBRES"

 

GABRIELA MISTRAL 

"PAYSAGE DE PATAGONIE" 

"TROIS ARBRES"

Lu par : Laurent NATRELLA

 

Poème extrait du receuil D'amour et de désolation, traduit de l’espagnol par Claude COUFFON (© ELA/La Différence 1988

 

Gabriela MISTRAL est née en 1889 au nord du Chili dans un monde rural et catholique. Très jeune, elle enseigne, traverse le continent et publie ses premiers recueils dès les années 1910. Elle est l’un des premiers auteurs latino-américains à puiser dans l’héritage indien. Sa vision de la douleur humaine reste liée au christianisme, mais elle déploie un sens du cosmos qui n’a rien d’européen. Ses poèmes se font l’écho de ses amours brisées, de ses enfantements impossibles et vibrent de la force tellurique du continent sud-américain. Dans les années 20 et 30, poétesse reconnue et traduite, elle séjourne aux Etats-Unis et en Europe. En 1945, elle est le premier auteur latino-américain à recevoir le prix Nobel de littérature.

 

Poèmes choisis par Philippe GARNIER

Prise de son, montage : Claude NIORT, Pierre HENRY

Réalisation : Anne-Pascale DESVIGNES

29/04/2013

GABRIEL MISTRAL : POEME DE L'ENFANT (II)

GABRIEL MISTRAL 

POEME DE L'ENFANT (II)

Lu par Sylvia BERGE

 

Poème extrait du receuil D'amour et de désolation, traduit de l’espagnol par Claude COUFFON (© ELA/La Différence 1988

 

Gabriela MISTRAL est née en 1889 au nord du Chili dans un monde rural et catholique. Très jeune, elle enseigne, traverse le continent et publie ses premiers recueils dès les années 1910. Elle est l’un des premiers auteurs latino-américains à puiser dans l’héritage indien. Sa vision de la douleur humaine reste liée au christianisme, mais elle déploie un sens du cosmos qui n’a rien d’européen. Ses poèmes se font l’écho de ses amours brisées, de ses enfantements impossibles et vibrent de la force tellurique du continent sud-américain. Dans les années 20 et 30, poétesse reconnue et traduite, elle séjourne aux Etats-Unis et en Europe. En 1945, elle est le premier auteur latino-américain à recevoir le prix Nobel de littérature.

 

Poèmes choisis par Philippe GARNIER

Prise de son, montage : Claude NIORT, Pierre HENRY

Réalisation : Anne-Pascale DESVIGNES