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07/12/2013

LA CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER: 24/10/2013

 

LA CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER

24/10/2013

JE M'ACCUSE 35

JE M'ACCUSE.jpg

 

Je m'accuse d'autoriser

En certaines occasions

A la peur de supplanter la révolte,

Me chargeant ainsi

De l'insupportable fardeau

Constitué d'improbables éloges

Sournoisement empoisonnés

Et d'affreux actes vils.

 

MUSÉE NATIONAL D'ANTHROPOLOGIE DE MEXICO (MEXIQUE) LE 12 NOVEMBRE 2013

(Captation Personnelle)

MUSÉE NATIONAL D'ANTHROPOLOGIE DE MEXICO (MEXIQUE)

LE 12 NOVEMBRE 2013

LA GLOIRE: L’ÉCRIVAIN ROCK AU BAL DES LETTRES «UN SALON DU LIVRE, C'EST COMME UN VIDE-GRENIER QUI SE LA PÈTERAIT»

 

LA GLOIRE
  L’ÉCRIVAIN ROCK AU BAL DES LETTRES

(4’51’’)
«UN SALON DU LIVRE, C'EST COMME UN VIDE-GRENIER QUI SE LA PÈTERAIT»


Invité surprise au grand bal des Lettres, l'écrivain rock danse le pogo. Thierry Pelletier a un cœur gros comme ça et la plume qui va avec pour raconter la zone, la France et les bons moments de la vie. Nouvelles et chroniques inédites à savourer ici.


Enregistrement : octobre 13
Réalisation : Charlie Marcelet
Texte & voix : Thierry Pelletier

06/12/2013

A VOTRE ÉCOUTE COÛTE QUE COÛTE: "LA FEMME QUI VOULAIT PARDONNER AU VIOLEUR DE SA FILLE"

 

A VOTRE ÉCOUTE COÛTE QUE COÛTE

"LA FEMME QUI VOULAIT PARDONNER AU VIOLEUR DE SA FILLE"

LA CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER: 23/10/2013

 

LA CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER

23/10/2013

GÉRER SA HONTE 2

 

au magma présent de l'écriture,

 

A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter)  le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...

 

 

GÉRER SA HONTE

2


Il reste qu’une seule chose demeure impossible à dissoudre dans l’à peu près :

L’amour que de manière originelle je te porte, et l'indicible et multiple bonheur

Éprouvé à me délecter de celui dont tu me gratifies avec tant de sincérité.


Est-il possible de vraiment se rendre compte de l’évolution de la situation ?

Je suis maintenant devenu un père qui n’a plus à gérer sa honte au quotidien,

Mais, bien au contraire, à retrouver la possibilité de vivre sans procuration,

Et à exprimer, en orpailleur du tréfonds, la fierté générée par sa fille chérie.

FIN

 

P. MILIQUE

MUSÉE NATIONAL D'ANTHROPOLOGIE DE MEXICO (MEXIQUE) LE 12 NOVEMBRE 2013

(Captation Personnelle)

MUSÉE NATIONAL D'ANTHROPOLOGIE DE MEXICO (MEXIQUE)

LE 12 NOVEMBRE 2013

MARIE D’ARMÉNIE AU LIBAN « IL N'Y AVAIT PLUS SON FILS »

 

MARIE D’ARMÉNIE
AU LIBAN

(3’56’’)
« IL N'Y AVAIT PLUS SON FILS »


Je retrouve Randa dans son salon bourgeois, près du champ de course, côté ouest de Beyrouth. Randa fait partie de ce milieu libanais aisé, francophone, et comme elle s'appelle Randa elle roule les "r" calmement, doucement, et ce jour-là elle me parle de cette femme qu'elle n'a jamais pu connaître...
Des "Histoires vraies" fortes comme des fictions. Recueillies en Méditerranée par François Beaune pour Marseille-Provence 2013, rassemblées dans son livre "La lune dans le puits (éditions Verticales), elles sont à écouter ici comme autant de récits magiques.


Enregistrement : janvier 12
Mise en ondes & mix : Samuel Hirsch
Réalisation : François Beaune

05/12/2013

A VOTRE ÉCOUTE COÛTE QUE COÛTE: "LA FEMME QUI AVAIT VU UNE VOYANTE"

 

A VOTRE ÉCOUTE COÛTE QUE COÛTE

"LA FEMME QUI AVAIT VU UNE VOYANTE"

LA CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER: 22/10/2013

 

LA CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER

22/10/2013

GÉRER SA HONTE 1

ORPAILLEUR.jpg

 

GÉRER SA HONTE

1

 

Si tu m’aimes, comme tu n’as de cesse de le répéter au vent,

Accepte, le cœur large ouvert, ce modeste geste de contribution.


Accepte-le, cela me redonnera le courage de croiser ton regard,

Accepte-le afin que je revive auprès de toi l’inespéré de toujours,

Qui, au fil décanté des jours, m’aidera à oublier le rien devenu.

 

Certes, il est de notoriété publique que l’amour ne saurait se résumer

A de basses manœuvres de logistique ordinaire riches d’aucune valeur

Même si tout un chacun sait à combien d’obscènes guerres querelleuses,

D’actions perturbatrices et destructrices elles peuvent s’abaisser parfois.

 

Et voilà que tout d’un coup je m’éprouve reprendre place auprès de toi.

La maladie outrancière, l’épuisement, l’irréfragable combat morphinique,

Aura fait de moi, je m’en rends bien compte, un être confus et incohérent.

(A SUIVRE...)


P. MILIQUE