29/03/2017
BOULEVERSÉE
BOULEVERSÉE
Quelquefois, l'imaginaire nous entraîne
Dans d'alertes divagations libidineuses
Portées au gré de mots injectés du sang
Qu'il espère n'avoir jamais sur les mains.
C'est un flot continu de gestes et de paroles,
Grouillement continuel d'assertions salaces
Qui nous paraissent excessives et fantasques
Voire aberrantes d’enthousiasme démesuré.
En vérité, ce prosateur hésitant
N'est rien moins que visionnaire.
Seul le retard accumulé par les autres
Le fait paraître en avance sur son temps.
A y regarder de plus près, la raison est suffisante.
Tout est si exaltant et insaisissable que s'entonne,
C'est bien naturel, un harmonieux chant de vie
Débordant de joie, de plénitude et d'allégresse.
C'est ainsi que nous est proposé un fond imprégné
D'esprit, d'ironie, de cynisme et d'âpreté amoureuse
Quand l'attendrissant inattendu se fait viscéral
Tandis que la lectrice bouleversée vit ses râles.
P. MILIQUE
09:38 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, bouleverser, prélat, échapper à la justice, blanchissement, flot continu, divagation, libidineux, injecté de sang, quitter le plateau, épique, grouillement, assertion, salace, fantasque, aberrant, prosateur, confiscation, démocratie, contestataire, hiérarchie, donner raison, déontologique, sincérité, stique, ruer dans les brancarts
28/03/2017
A L'EMBRASE DU CIEL
A L'EMBRASE DU CIEL
Dans l'insignifiance bien visible de l'existence
Il plonge délibérément dans la matière vivante
Au plus éloigné de cette jeunesse qui frissonne,
Panoramique saillant aux tons nuancés de poésie.
Cela est contrarié par la petite rumeur de l'autre
Mais ça n'est pas la seule gageure qui fait front,
Et il prend conscience de tout ce que cela renvoie
A la douce impression issue d'un temps ancestral.
Avec une subjectivité d'esthète, il emprunte les brisées
Magistrales et se risque à la lumière pour en révéler le sens,
Pour bouleverser la réalité en une sorte de romantisme rare
Que la vie déchaînée n'a pas encore trouvé le temps d'éroder
Au déterminé d'une enthousiasmante fougue d'ivresse.
Il scrute l'embrasé du ciel et convoite l'inouï,
Suscitant du coup une manière d'ivresse
Au déterminé d'une remarquable vitalité
Qui le laisse maintenant pétrifié sur le seuil,
Paisible à épier le souffle sublime du solaire.
P. MILIQUE
09:29 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, évasion, insignifiance, visible, plonger, délibération, matière vivante, éloigné, goût, jeunesse, frisson, panoramique, saillie, ton, nuancer, gageure, faire front, prendre conscience, renvoyer, douce, issue, ancestral, sujectivité, esthète, brisées, magistral, risque, révélateur, se, sitif, bouleverser, romantisme, déchaîner, éroder, détermination, enthousiasme, fougue, ivresse, épier, convoiter, suxciter, remarquable, vitaliser, pétrifier, paisible, souffle, sublimer, solaire, scruter
27/03/2017
VIOLENTE DÉFERLANTE
VIOLENTE DÉFERLANTE
La force de certains mots transperce l'instant
D'une stridence sublime et menaçante à la fois.
C'est une écriture apte, en certaines occasions,
A vriller les neurones déjà saturés d'intensités.
Il faut dire qu'à la seule lueur d'une fin de monde,
Il est bien difficile de contrôler aussi peu soit-il
La violente déferlante qui roule au creux de moi.
Dans l'inévitable fusion qui bientôt se dessine,
La solitude absolue de l'homme inquiet empêtré
Dans son atrabile singularité s'avère terrifiante.
En cela, la colère est juste qui revendique la paix.
P. MILIQUE
09:18 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, déferlante, transperçer, stridence, sublime, visionnaire, futurologue, public, concerto, fin du monde, boomerang, contrôler, virulent, fusionner, creux, country, dessiner, inquiet, empêtré, atrabilaire, singularité, avèrer, colérique, jerer, revendiquer, paix
26/03/2017
UN BEAU JARDIN D'AVENIR
UN BEAU JARDIN D'AVENIR
J'entends tes puissantes paroles de vie
Et je bâtis grâce à toi celle qu'il me reste.
Toi et moi, rien de plus.
Toi mon exact bonheur.
Toi mon soleil accordé.
Toi encore, mon instant simple
Qui frémit de vifs enchantements
A imaginer ceux qui se profilent.
Je cours vers toi, désormais incomplet,
Comme un possible moi inaccessible.
Et je te suivrais partout où tu partiras.
Et dans d'autres ailleurs aussi. Toujours.
En tous ces lointains, je t'aimerai d'amour.
L'amour, cette mélodie inspirée qui chante
Du cœur à l'âme dans l'onde pulsée
De journées magiques et lumineuses.
Femme adorée, mon entière pour l'éternité,
Je ne suis pas inquiet, je suis même fort
De cette tranquillité qui nous conçoit
Un éclatant jardin d’avenir enjolivé
D'aucune autre caresse que ta présence
Authentique et ourlée de magnificence.
Il est certains êtres pour lesquels vivre ne fait pas mal.
Ce sont ceux qui lisent les étoiles radieuses de tes yeux.
Moi qui ose prétendre à cette exclusivité-là,
Je sais déjà que je la vivrai jusqu'à toujours.
Ainsi, dans un torrent d'eaux turbulentes,
Sous la frondaison harmonieuse des arbres,
Le vaste ciel verse des perles de lumière
Sur la beauté vivante de l'enchantement.
Toi et moi. Juste nous. Gémellité singulière.
Toi et moi, unis pour faire le bonheur au soleil.
Ces mots-là une fois encore déclarent ma flamme.
Il ne font qu'attiser un feu qui jamais ne s'éteindra.
P. MILIQUE
09:40 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, cellule, vacarme, appauvrissement, sensoriel, ambiance sonore, murmurer, bobard, mitard, écholalie, détention, cacophonie, délibération, voix, épuisement, orientation, moralité, richesse, raffiné, dériver, nuance, prescription
25/03/2017
TÉNÉBREUSE MÉLANCOLIE
TÉNÉBREUSE MÉLANCOLIE
A l'aube de la connaissance
Il n'y avait pas de blessures.
Cependant, l'univers humain est tel
Que sous les strates de la mémoire
S'affaire sans discontinuer l'envahissant passé.
Alors, là où se pose le regard il fait nuit
Et du tréfonds opacifié des ténèbres
La détresse, têtue, grave ses jours tristes.
P. MILIQUE
10:32 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, ténébreux, mélancolie, aube, connaissance, blessure, univers, stratifié, discontinuer, envahisseur, regard, tréfonds, opacifie, ténèbres, détresse, têtue, grave, jour triste, anéantissement, chu, pathologie, pathogène, témoignage, réparatrice, rationnel
24/03/2017
SÉCHERESSE
SÉCHERESSE
Tous ces mots pour dire que je manque de mots.
Il en est ainsi: je m'éprouve vide et sec de mots.
Je voudrais être capable d'écrire un long texte,
Fleurant l'amour et l'exquis avant même d'être lu.
Frappé de nombreux doutes et d'un strict blocage,
J'acquiers la confirmation de mon incapacité à dire.
Je me brise la tête contre l'insoumission des phrases,
Insatisfait déjà de ce que je ne saurai que mal dire.
Il est bien possible que j'attende trop de moi.
Cela instille un mal grandissant en mes veines,
Un mal à la hauteur de la déception engendrée.
Et cela m'est douloureux, forcément douloureux,
Parce que des mots exacts, j'en ai plein l'esprit,
(Même si, il faut le dire, ce sont souvent les mêmes)
Je n'ai plus qu'à arpenter une discrète modestie.
Afin que nul ne s'irrite de mon silence prolongé.
P. MILIQUE
10:24 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, sécheresse, construction, pressentir, maintenir, foucault, stratégie, paradoxal, dimension, corps, privation de la liberté, fétichisme, fil directeur, tactique, combattant, stratégique, détention, prisonnier, payer ses erreurs, fauve, insoon, engendrer, immatérialité
23/03/2017
LE RIRE CLAQUE COMME UNE GIFLE...
LE RIRE CLAQUE COMME UNE GIFLE...
Le rire claque comme une gifle...
Et relègue tous mes codes si rigidement définis
Au rang d'accessoires désuets.
Je suis homme de soleil et de nuit.
Je suis homme limité,
Repoussant aveuglément l'échéance
Au-delà des bornes du possible
Sans jamais atteindre les lieux extrêmes de l'excès.
Oscillation perpétuelle entre ombre et lumière.
Refus et embrasement.
Avec la capacité quand même
De percevoir à nouveau l'amitié du temps.
Le rire claque comme une gifle...
Dans l'impalpable hésitation de l'absence.
C'est toujours une souffrance sans nom
Que de vivre dans l'appréhension de ses faiblesses,
De chercher des étincelles entre les mots
Dans l'irrémédiable conscience de leurs mystères.
Et croire en leur pouvoir total
Au moment où ils favorisent l'irruption du merveilleux,
Et qu'ils deviennent simplement colporteurs de bonheur,
Diffuseurs d'embrasements
Dans l'évidence d'un feu qui couve sous la glace,
Le regard fixé sur la ligne céruléenne de ma rêverie.
Le rire claque comme une gifle...
Et c'est la décomposition progressive
D'un destin pourtant librement assumé.
Le poids de la déchéance me prive
Des délices jouissifs du repentir.
Ma difficulté d'être séjourne dans un vide central,
Parangon de mes ombres d'antan,
Et je sombre dans le drame prédateur de mes illusions
Au sein de mon désespoir,
Dans l'impossible reconquête
Des paradis de l'enfance et de l'innocence perdues.
Le rire claque comme une gifle...
Brûlure incroyablement douloureuse.
P. MILIQUE
09:39 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, rire, gifle, réléguer, codes, rigidité, défini, accessoire désuet, homme du soleil, homme de la nuit, homme limité, repoussant, aveugle, repousser l'échéance, au-delà des bornes; possibilité, sans jamais atteindre, lieu extrême, excès, balancement perpétuel, entre ombre et lumière, oscilliation, refus et embrasement, avoir la capacité, percevoir, l'amitié du temps, impalpable hésitation, absence, souffrance sans nom, vivre dans l'appréhension, faiblesse, chercher l'étincelle, entre les mots, conscience de l'irrémédiable, mystère, croire en son pouvoir, totalité, favoriser l'irruption, merveilleux, colporteur de bonheur, difuseur d'embrasement, le feu couve sous la glace, regard fixe, ligne céruléenne, ma rêverie
22/03/2017
A L’INFINITIF
A L’INFINITIF
Rester une fois encore à l’écoute de la nuit qui tombe
Flâner, en marche pour l’insaisissable
Tenter de se soustraire à la brutalité du monde
Se révolter avec la délicatesse d’un espoir insensé.
Irradier de tout son éclat les noires interrogations
Arpenter des territoires à la fois charnels et invisibles
Se dresser face à l’absurdité dominante
Changer le cours vertigineux de la passion.
Déchiffrer les ténèbres jusqu’à la démesure
Explorer avec obstination d’autres intérieurs,
Fragmenter les rêves, trop souvent réducteurs
Regretter amèrement les espoirs déchus.
Perturber avec sérénité la trop parfaite harmonie
Soigner au-dedans pour ne pas être vu
Se reconnaître malgré l’obscurité
S’abolir dans la conscience douloureuse d’une chape d’amertume.
Avoir le sentiment poignant d’une présence illusoire
Dériver prostré sur un lac d’impressions étranges
Obéir aux tourbillons sensoriels
Partager le malaise des forces obscures.
Neutraliser les contraires d’un monde disparate
Détester la beauté, surtout si elle est silencieuse,
Escamoter les lieux aux apparences fuyantes
Traverser la démesure ravageuse du sublime.
Aimer les tourments, les envolées émotionnelles,
Disperser les lignes de rupture au-delà des zones plus que lointaines
Mettre en évidence la présence potentielle des possibles
Se désespérer au quotidien dans une solitude tendue à l’extrême.
Être aux prises avec ses propres déchirements
Avoir, illuminé, des fulgurances surréalistes
Se faire voler la vie par inattention
Proférer tranquillement de misérables mensonges.
Respirer intimement, tout en pudeur,
Initier une troublante rencontre au seuil d’horizons magiques
Chercher d’instinct de la douceur dans le souvenir prégnant de la tendresse,
Se sentir aspiré par le tourbillon impétueux des eaux troubles.
Avoir des exigences démesurées
Faire passer la vie dans les mots
Relier, avec application, tous les fils ténus
Se préserver des effets pervers d’une mémoire seulement désireuse d’oubli
Maintenir l’ombre de l’absent dans l’ombre de l’absence
Observer que les morts aimés ne meurent jamais.
Comment échapper à la pesanteur des mots ,
A leur rugosité dérangeantes?
Avec beaucoup d’inconscience, j’ai entr’ouvert l’armoire des mots
Pour les utiliser avec beaucoup d’humilité.
Les voilà maintenant jetés en pâture
Ils s’abîment déjà et crissent sous les pieds agressifs
D’un temps qui passe au plus près d’une ombre défaillante.
Celle, obsédante, du miracle précaire de l’écriture.
P. MILIQUE
11:30 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, déchiffrer les ténèbres, jusqu'à la démesure, explorer, avec obstination, d'autres intérieurs, fragmenter les rêves, trop souvent réducteur, regretter amèrement, espoir déchu, perturber, sérénité, trop parfaite harmonie, soigner au-dedans, pour ne pas être vu, se reconnaître, malgré l'obscurité, s'abolir, conscience douloureuse, chape d'amertume, sentiment poignant, présence illusoire, dériver, prostré, impression étrange, obéir, tourbillon sensoriel, partager le malaise, forces obscures
DEMAIN
DEMAIN
Il veut n’avoir plus froid un jour.
Il veut se révolter contre cet enlisement
Qui le met sous la menace d’une immobilité définitive.
Il veut ne vivre que dans l’instant ce demain qui existe peut-être.
Il veut savoir vivre à nouveau de son plein gré.
P. MILIQUE
08:42 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, n'avoir plus froid un jour, se révolter, contre l'enlisement, sous la menace, immobilité définitive, ne vivre que l'instant, demain, exister peutêtre, vivre de son plein gré, mourir de froid, sdf, vivre dans la rue
21/03/2017
SUR LE TERREAU ASSÉCHÉ
SUR LE TERREAU ASSÉCHÉ
Aux turbulences d’une vie prodigieusement bouleversée,
Le voilà parti à la poursuite d’autres ombres,
A rechercher encore le sens possible de l’existence.
Avec peut-être à l’esprit de trouver une réponse
Au boursouflé de ses proches angoisses,
Il descend, marques d’une finitude qui se précise,
Dans les bas-fonds de la nature humaine.
Décor minéral aux aléas de son propre destin
Sur le terreau asséché de ses années enfuies,
Il décide de son orientation définitive
Assisté de l’énergie vitale spécifique aux désespérés.
Sous le trop-plein d’une violente lucidité,
L’expérience de la perte et de la déréliction
Déserte la cohorte, torture au crépuscule
De ces rugissements entre vide et vertige,
Qui entérinent l’instabilité et la métamorphose perpétuelle.
P.MILIQUE
10:04 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, terreau, assèché, turbulence, vie, prodigieux, bouleverser, à la poursuite, ombres, rechercher, chercher le sens possible de l'existence, avoir à l'esprit, trouver une réponse, boursouflé, proche, angoisse, descendre, marqueur, finitude, précision, les bas-fonds, nature humaine, décor minéral, aléas, son propre destin, les années enfuies, décider, orientation définitive, assister, énergie vitale, spécificité, désespérés, le trop-plein, violence, lucidité, expérience, la perte de l'aimé, déréliction, déseter la cohorte, torture, crépusculaire, rugissement, entre vide et vertige, entériner, instabilité, métamorphose perpétuelle
20/03/2017
HORS LA VIE
HORS LA VIE
La lumière chaude d'un après-midi
Teinte d'or les mornes collines alentour.
Son errance n'est qu'un long chemin
Jusqu'à l'univers inconnu des attentes sans fin
Où s'ouvrent les portes amères d'un monde nouveau
En complet décalage avec l'humanité indigeste.
Là, malgré l'exagéré détachement affiché,
L'ambiance est électrique à force d'être hors la vie
Et, à lire l'inquiétude qui assombrit les visages,
Il s'applique à proférer des paroles riches et rassurantes
Pour contrer cette implacable résignation qui exacerbe
Les perspectives aiguës de peurs et de dégoûts.
P. MILIQUE
10:00 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : hors la vie, lumière chaude, après-midi, teinter d'or, morne colline, errance, long chemin, univers inconnu, attente sans fin, ouvrir les portes, amertume, monde nouveau, complet décalage, humanité indigeste, exagération, détachement affiché, ambiance électrique, lire, inquiétude, assombrir les visages, s'appliquer, proférer, paroles riches et rassurantes, contrer, implacable, résignation, exacerbation, perspective, aigu, peur, dégoût
18/03/2017
PASSÉ A VENIR
PASSÉ A VENIR
Nous ne comprenons guère des autres,
A part que parfois, ils semblent ne vivre,
Que dans un passé aux parfums d'essentiel.
Il reste que si ce passé précis embaume peu,
Force est de constater qu'il est tout de même
Le seul temps rationnel a réellement exister!
Le présent qui nous occupe ne vit donc que de son substrat!
Quant à ce qui n'est pas encore, qui peut conjecturer quoi?
P. MILIQUE
09:47 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, passéiste, avenir, comprendre, guerre, altruiste, particule, parfois, sablier, vivre, passé, parfum, essence, respirer, précision, enboumer, ppeu, force, constater, rationnel, salaire, réel, existence, prédiction, ocuper, substrat, conjecture, prochain;région, intérimaire, robot, cohabitation