En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
A.H. Paris bonjour : oui on peut dire que c’est le jour, même si j’aime aussi Paris la nuit. Oui vous l’avez deviné H comme Hidalgo. Non, A ce n’est pas âne, l’animal, mais Anne l’animatrice qui prend soin de votre mal avec ses mots… oui, c’est l’hôpital qui se moque de la charité…
NKM. Paris bonsoir. Oui c’est la nuit tous les chats sont gris pour les bruns, pour les brunes c’est fini, leur gestion médicalement assistée, on n’en veut plus de ces roses mal arrosées… avec elle, même l’air pur finit par devenir irrespirable. C’est leur idéologie qui est polluée, polluante, puante. Ils n’ont aucune vision d’avenir, mais seulement deux ou trois présupposés selon lesquels, au lieu de chercher à produire du miel, il vaut mieux songer à partager la merde… ce que je ne partage pas… cela va de soi!
A.H. Paris, oui je l’entends avec sa voix et sa pensée hachée parce qu’elle n’a jamais vu plus loin que le bout de son nez. Moi, je vous le dis, en vérité, si la fausse blonde se retrouve aux affaires, les parisiens n’auront plus rien à faire, juste à compter les points marqués par d’autres qu’eux-mêmes et voir filer leur destin vers un paradis fiscal ou artificiel. Je suis la seule à garantir un lien sacré entre nature et société.
NKM. Paris, de quoi est-ce qu’elle parle la négresse verte de peur, de ne pouvoir succéder à son père, qui a été un maire pour nous mais une mère pour elle… elle ne va tout de même pas faire passer sa cécité pour une cité idéale. Pédale dure, pédale douce qui veut tout recycler, et transformer notre vie parisienne en pistes cyclables, recyclables à l’infini. Paris ne croit plus aux lotions magiques. Paris a enfin de l’ambition.
A.H. Paris, Salut, ne croyez surtout pas un traitre mot à son discours de petite bourgeoise qui se drape comme une bohémienne… c’est la droite bo-bo qui veut distribuer des croissants à un peuple qui réclame du pain, qui veut déshabiller François pour rhabiller Nicolas, qui a une larme à l’œil parce qu’il a raté son dernier métro et non parce qu’il a raté sa vie. C’est la plus belle pour aller danser, elle est résolue à fermer des restos du cœur et à ouvrir des boites de nuit.
NKM.
À paris : la laideur passe encore. Mais pas la médiocrité. Oui son altesse n’aime pas la bassesse, les petites pensées, les petites pesées. La plus belle ville du monde ne peut plus supporter d’avoir à sa tête des gens étriqués : sans vocation, sans passion et sans horizon. On ne peut pas enfouir sous terre une ville de lumières ni boucher ses artères avec des considérations terre à terre. Rendre Paris aux parisiens, aux parisiennes, je n’ai rien trouvé d’autre à faire pour m’acquitter de la plus noble tache que doit se fixer le maire de Paris.
COENGUEN est un artiste au tréfonds dévoré par la flamme.
Démarcheur d'absolu, il n'a de cesse de jeter des passerelles sur le vide pour atteindre à la musique de l'âme.
Enregistré en septembre 2013 aux studios Davout
avec
LAURENT JAIS
le bien-nommé.
0'00 - Une denrée. 2'49 - C'est assez passé. 6'26 - L'homme de Ma vie. 10'06 - N'arrêtez pas la fête. 12'25 - 8m2. 15'53 - Laisse les monstres. 19'40 - Quand on voyage. 24'46 - Sarah. 27'19 - Aussitôt. 29'45 - Clémentine. 34'05 - Je n'ai pas mérité. 37'37 - Seriez-vous. 41'20 - Fuckin' in the morning. 42'15 - J'crois qu'je bois. 44'57 - Éponge à problèmes.
et brrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr... Un morceau fantôme !
Le journaliste relit "A la recherche du temps perdu" de Marcel Proust. Son seul "véritable" livre de chevet
Patrick Poivre d'Arvor lit. Beaucoup. Tard dans la nuit. Le matin en se levant. Il aime "picorer", choisir parmi les 20.000 livres qui tapissent les murs de son domicile : "Certains ont des toiles de Jouy, moi j'ai des murs de bibliothèques qui me donnent du bonheur".
L'ancien présentateur du journal de 20h de TF1 et Antenne2 avoue une tendresse particulière pour Marcel Proust. "A la recherche du temps perdu" est son seul véritable livre de chevet, celui qu'il laisse en permanence sur sa table de nuit.
Après des années passées aux commandes d'émissions littéraires (Ex Libris, Vol de nuit) il aime toujours lire les ouvrages avant leur sortie, en espérant "dénicher les pépites". Car les livres rendent PPDA heureux : "ils m'ont aidé à grandir, à sortir de ma timidité. Quand j’étais jeune, je n'avait pas d'ami. Mes amis c'était les héros de ces livres."Patrick Poivre d'Arvor lit. Beaucoup. Tard dans la nuit. Le matin en se levant. Il aime "picorer", choisir parmi les 20.000 livres qui tapissent les murs de son domicile : "Certains ont des toiles de Jouy, moi j'ai des murs de bibliothèques qui me donnent du bonheur".
Aller à la découverte des hautes herbes, au détour de paysages repeints aux couleurs de la reverdie annuelle, est un bonheur comparable à celui de se lever tôt pour constater que le soleil règne en maître absolu sur la campagne, avant que ses rayons, frappant de plein fouet les yeux du promeneur matinal, à peine éveillé, ne le jettent, l’esprit à moitié sonné, sur le carreau éblouissant des routes…
Hubert Voignier est né en 1964 à Lyon. Il a publié cinq livres à Cheyne et deux autres chez Deyrolle.
Lecture charnelle du paysage qui se réveille au printemps, Les Hautes Herbes est un récit d’émotions, de sensations et d’angoisses du plein champ, c’est aussi un appel au soleil, au printemps, à la sève qui monte et à ce besoin d’ouvrir les yeux, de humer la nouvelle saison, de boire le paysage, de goûter le vert tendre pour voir s’il n’a pas changé depuis l’an dernier.
***
Extraits choisis par Laurence Courtois
Prise de son, montage : Julien Doumenc et Pierre Henry
Réalisation : Michel Sidoroff
Assistante à la réalisation : Laure-Hélène Planchet
A l'attention des multiples lecteursqui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire. Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter) le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...
INSPIRATION MAJEURE
3
La Femme sait lutter contre la dispersion qui menace l'équilibre de son quotidien dans la continuité. Elle laisse deviner d'elle un assemblage profond et complexe qui se révèle le plus souvent d'une force et d'une exactitude redoutables. Son esprit agile et ordonné l'autorise à déployer une multitude de talents dans des disciplines aussi diverses que parfois contradictoires.
Il suffit pour s'en convaincre d'apprécier l'éclairage passionné qu'elle délivre alentour. Étonnant et subtil équilibre d'orgueil et d'humilité dans l'évocation de ses facilités à résoudre les ressorts secrets de nos sentiments avec encore, au cœur d'idées vives de constructions formelles, l'éclat de ses innovations fulgurantes qui lui font explorer d'un pas léger nos plus ténus territoires. Regard sans tain qui reflète l'intérieur et l'extérieur, et l'utilise pour disséquer sans complaisance la veulerie et l'inconséquence de nos trop humains comportements.
HK est accompagné des musiciens Medhi Ziouche et Medhi Dalil.
HK et ses Déserteurs c'est une petite aventure: prendre un répertoire de chanson francophone et l’assaisonner à la sauce Chaâbi.
Le Chaâbi c'est la chanson populaire algérienne, née dans la Casbah d'Alger, qui modernise la musique arabo-andalouse du littoral, avec notamment l’ajout d'un instrument comme le banjo. Le répertoire tourne autour de chansons combatives comme "L'Affiche rouge" ou "Le Deserteur" mais pioche aussi dans les chansons plus tranquilles "les petits papiers" ou "Sous le ciel de Paris". Les arrangements passent à la fin, reste simplement l'émotion ...* H.H.
Morceaux en LIVE interprétés parHK et les Déserteurs:
29/03/2014 La Condition Publique Roubaix (59) 02/04/2014 CABARET SAUVAGE Paris (75) 05/04/2014 Salle Jacques Brel Mantes La Ville (78) 17/04/2014 Théâtre Jean Vilar Montpellier (34) 18/04/2014 Le Chapeau Rouge Carcassonne (11) 19/04/2014 Le Métronome Toulouse (31) 01/05/2014 Fête FGTB Charleroi (be) 10/05/2014 Panoramas du Cinéma du Maghreb et du MO Saint-Denis (93) 11/05/2014 Festival De la rue à la scène Bergues (59) 16/05/2014 Espace Municipale Jean Vilar Arcueil (94) 18/05/2014 Fête de l'Huma Nord Mericourt (62) 23/05/2014 Le Hangar Chalette-sur-loing (45) 07/06/2014 Fête de LO Presles (95) 08/06/2014 Fête de l'Huma 44 Saint Nazaire (44) 26/06/2014 Centre Culturel Français d'Alger Alger (al)
Le comédien Pierre Arditi aime relire Stendhal, "un auteur qu'il chérit". Il se passionne aussi pour les ouvrages de Yasmina Réza. Mais en ce moment, il redécouvre Camus sous la plume de Jean Daniel.
Pierre Arditi n'a pas toujours le temps ou l'énergie de lire le soir. Sur les conseils d'un ami, il s'est donc mis à lire chaque matin, de 6h à 7h "quoi qu'il arrive".
Il lit en ce moment l'ouvrage de Jean Daniel "Avec Camus, comment résister à l'air du temps?" que le journaliste lui a dédicacé.
Le comédien, actuellement en tournage, choisit ses lectures de manière "chaotique" car "le livre c'est comme le vin, il faut tout essayer".
Il estime "ne pas lire assez", se dit incapable de lire plusieurs livres en même temps, mais prend le temps de "relire assez souvent" les auteurs qui ont marqué sa vie, avec une préférence pour Stendhal.
Les bouquins de plage? Très peu pour lui : "les bruits des enfants suffisent à contenter mon esprit. Je ferme les yeux et je redeviens cet enfant qui jouait au bord de la plage il y a soixante ans. (..) Ce que j'écoute vaut tous les livres du monde".