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20/09/2016

CELUI QUI SAVAIT 4

au magma présent de l'écriture,

A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter) le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...

 

CELUI QUI SAVAIT

4


Cependant, jules était persuadé qu'il n'y avait pas erreur.
Aujourd'hui, Jim l'écouterait jusqu'au bout, le comprendrait et l'approuverait, sans aucun doute.
A nouveau, il avait tout gâché par sa prétention démesurée.
Leur fraternelle intimité s'était rompue.
Ils étaient revenus, claquemurés dans mutisme respectif, figés par une honte réciproque.

C'était cette crainte, il en était sûr, qui l'avait arrêté aujourd'hui encore au moment de soutenir son avis.
En l’occurrence pourtant, il n'était nulle question cette fois de le raisonner.

Jules avait bien vu, de ses yeux vus, que cette partie du chemin était devenue particulièrement dangereuse depuis le dernier redoux.
De loin, la veille, il avait évalué, après l'avoir constaté, le décollement des schistes.

(A SUIVRE...)

 

P. MILIQUE

20/12/2015

BEAU BAIN

au magma présent de l'écriture,

 

BEAU BAIN

Peut-être connaissait-il Isabelle Bruges
Et d'autres encore aussi?
Peut-être même avait-il passé
Quelques jours avec elles
Dans Le feu des chambres?

Cependant, afin de cesser d'être à tout jamais
L'homme du désastre, il décida de s'éloigner.

Dans l'éloignement du monde, en une sorte de fuite
Pour ne plus avoir à subir La merveille et l'obscur.

Il partit donc avec pour unique viatique
Ce qui aurait pu n'être qu'Un livre inutile
Magnifique titré Autoportrait au radiateur.

Le huitième jour de la semaine, ce fut flagrant
Dans la souveraineté du vide manifestée
Comme l'enchantement d'Un cœur de neige.

Lui, Le très-bas, le Colporteur de l’Éloge du rien,
Se prit à aimer le calme suave de La vie passante.

Mais l'homme qui marche au rythme effréné
De La folle allure vers un horizon de lumière,
S'avise d'un adversaire imprévu: L’Épuisement.

Ce qui le contraignit à médité de toute urgence
Sur la meilleure conduite à tenir, et ne trouva
Son salut que dans la rédaction consciencieuse
D'Une lettre pourpre manuscrite en Lettres d'or.

Dans cette lettre, tu le sais désormais, il implore
L'Autre-visage, La Femme à venir, l'Inespérée
Sublimée encore d'Une petite robe de fête et dit:
Donne-moi quelque chose qui ne meure pas.

Alors toi qui l'aime, offre-lui de quoi combler l'absence.
Offre lui La part manquante et puis aussi La plus que vive!
Offre-toi à lui. Cela fait si longtemps qu'il n'attend que toi.

P. MILIQUE

03/10/2015

FASCINATION

au magma présent de l'écriture,

 

FASCINATION

Il est aisé de trouver les séductions
De l'existence, là où elles existent.

Pour cela, il suffit d'ouvrir les fenêtres
Sur le passé proche pour y entendre,
Impressionnante de justesse,
Une petite musique lancinante
Aux rythmes superbement abstraits.
Une belle mélodie portée par l'intrusion
De la folie dans le cours avisé des choses.

Aussi reste-t-il fasciné par leur rencontre,
Véritable et précieuse broderie active dans
La bouillonnante fresque d'une vie insaisissable.

Ce souffle exacerbé fait acte dans son présent
A un point rel qu'il relève de l'inexprimable.

P. MILIQUE

05/08/2014

NE PAS CÉDER 2

au magma présent de l'écriture,

 

A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter) le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...

 

NE PAS CÉDER

2

 

Il reste qu'il faut étouffer sans relâche l'attrait qu'il y a à ne penser qu'à soi. La peur est le pressentiment du réel. Et si on ne parvient pas à faire face, il faut savoir neutraliser toute velléité d'amour-propre. Lâche ? Certes, la lâcheté sait toujours se trouver de bonnes raisons d'être. C'est une sagesse irréfléchie. Et il ne sert à rien de tenter de la justifier puisque aussi bien le vrai courage se situe peut-être dans l'acceptation spontanée. Avoir le courage de ne pas l'être !

Le courage c'est d'avoir, à l'instant précis où le banal bascule dans l'insolite, des actes courageux que rien de rationnel ne peut expliquer.

(A SUIVRE...)

 

P. MILIQUE

14/04/2014

DANS UNE LARME DE MOTS

au magma présent de l'écriture,

 

DANS UNE LARME DE MOTS

 

Pour écrire dans l'instant,

Il convient d'interroger le présent,

Et d'utiliser son talent de scrutateur avisé

Pour observer le visage défait d'un être à la dérive.

 

C'est ainsi qu'il parviendra, d'une plume cœur à cœur,

A saisir le vif de cette détresse

Et la mettre à l'abri d'une larme de mots.

 

Tout au long de sa vie besogneuse,

Il a inauguré chacune de ses journées,

A retravailler la chair de ses poèmes.

 

Désormais, sur de modestes feuilles volantes,

S'appuyant sur une langue volubile,

Le texte prend corps en touches distillées

Et propose en retour de précieuses couleurs.

 

P. MILIQUE

02/11/2013

LE JOURNAL DE PERSONNE: "LA LUTTE DES CRASSES"

 

LE JOURNAL DE PERSONNE

"LA LUTTE DES CRASSES"

 

Je reprends la formule consacrée.
Toute l’histoire des hommes, jusqu’ici…
Pas jusque là… j’ai bien dit : jusqu’ici…
A été une lutte sans merci entre oppresseurs et opprimés…
C’est la fameuse lutte des classes : Je te bute ou tu me butes
Le but étant de ne pas se faire buter
Et autant que faire se peut : faire partie de ceux qui butent et non de ceux qui débutent
Et se font toujours buter
Il y a de quoi déprimer de voir toujours les mêmes oppresseurs opprimer les mêmes opprimés
Les mêmes qui priment et oppriment et répriment…
Les oppresseurs qui n’ont pas d’autre but que d’opprimer…
Et les opprimés qui sont opprimés parce que qu’ils n’ont pas d’autre but dans la vie
que de ne pas se faire buter.
On peut l’exprimer autrement … cette fatalité…
Avec un terme plus approprié à l’actualité : le ravissement… du verbe ravir…
Verbe ambigu… parce qu’en ce moment, nous ne sommes pas ravis…
C’est le moins qu’on puisse dire.
Non, nous ne sommes pas ravis d’apprendre qu’il y avait ( yahvé… retenez l’homophonie)
Qu’il y avait un français parmi les ravisseurs.
Un Français qui s’en prend aux intérêts français… Ça peut encore se discuter… mais un français qui n’a d’autre intérêt que de livrer la France aux influences des étrangers… Ça ne passe pas du tout.
À moins de considérer que la nation, la patrie, la famille sont des maux qui ne veulent plus rien dire…
C’est du Kafka, nous n’avons plus à faire qu’à des identités illusoires ou dérisoires.
Plus aucun signe fiable d’appartenance… À chacun selon ses convenances
Un passeport pour chaque mission et pour chaque commission.
C’est la forme d’un fond de commerce : échange et mélange de marchandises et de matières grises.
Tout s’achète et tout se vend : c’est la devise… C’est ravissant!
Cette opposition entre ravisseurs et déprimés…
Qui ne sont jamais ravis d’être entre les mains de leurs ravisseurs mais qui ne peuvent malheureusement pas faire autrement.
Que de subir lamentablement l’avis de leurs ravisseurs.
Et ça nous en apprend pas mal sur la lutte des classes…
Sur cette lutte qui n’en est pas une…
Puisque les opprimés ne font souvent que subir l’oppression… sans pouvoir réagir…
Sous peine de se faire mourir
Lutte des crasses : le capitalisme est à ce titre identifiable à une regrettable prise d’otages…
Où les ravisseurs mêmes morts restent les seuls vainqueurs.
Parce qu’ils ont bravé la mort…
Mais surtout, parce qu’ils nous ont rappelé une petite leçon de choses:
Que nous sommes lâches ou héros de naissance. Et que les sorts sont scellés d’avance.
Salut, la France !

26/06/2013

LA PARISIENNE LIBEREE : "L'EMPIRE DU FUTUR PROCHE"

 

LA PARISIENNE LIBEREE 

"L'EMPIRE DU FUTUR PROCHE"

Paroles et musique : la Parisienne Libérée


On raconte qu’autrefois
Au temps du libéralisme
On ne comptait que sur soi
C’était avant le cataclysme
Avant que la météo
Ne suspend’ au dessus de nos têtes
Un nuage de capitaux
Avant qu’il ne pleuve des dettes

La plus grave erreur que l’on fait à gauche, c’est de penser qu’il faut se battre contre le libéralisme. Le libéralisme est mort en 1979. […] On n’est plus dans une économie du profit, mais dans une économie du crédit.

« Si les marchés financiers
Venaient à nous contrôler… »
J’en vois déjà qui s’inquiètent
Qu’ils se rassurent, c’est chose faite !
Éviter de paniquer,
La vertu c’est l’optimisme
N’alarmons pas les croupiers
Du néolibéralisme

Aujourd’hui et depuis trente ans, l’économie de casino ce n’est pas une menace, c’est effectivement ce qui dirige la société.

« Citoyens libérons-nous !
Cela ne peut plus durer »
Criait un homme à genoux
En saisissant son épée
Calme-toi, dit son copain
T’as raison, c’est dégueulasse
Mais patiente, si tu veux bien
Je suis dans mauvaise passe

J’ai placé le peu d’argent
Que j’avais pu épargner
On luttera mais pas maintenant
Là, j’ai besoin des intérêts
Et puis pense à ta maison
Qui n’est pas finie de rembourser
Faut se révolter, t’as raison
- Mais faut savoir où loger.

« Allez ça va, j’ai compris »
Lui répondit le héros
« D’abord je paye mon crédit
Ensuite je rachète une auto… »

Qu’est-ce que ça veut dire « protéger les gens des marchés financiers ? » À droite, cela veut dire : faire ce que les marchés financiers demandent. C’est le principe de la mafia. Comment on se protège de la mafia ? On se protège de la mafia en payant ce que la mafia demande, et là on est protégés : elle ne nous attaque pas. D’ailleurs la mafia, elle dit : « je suis là pour vous protéger ». « De qui ? » « De nous, si vous n’acceptez pas de payer pour la protection. » Donc apaiser les marchés financiers c’est ça. […] Du côté des sociaux-démocrates, on ne peut pas tout à fait dire ça. Donc on dit : « certes il faut apaiser les marchés financiers, mais de façon juste, c’est-à-dire en répartissant l’effort pour tout le monde… »

Comme il y a moins de services publics
Les citoyens sont fâchés
Et les hommes politiques
Se trouvent bien embarrassés
« Les gens veulent qu’on les protège,
C’est peut-être pas une bonne idée
Mais voyons ce que les stratèges
Ont à proposer

« De quoi est-ce qu’on pourrait bien les protéger ? On pourrait les protéger d’une invasion étrangère, de millions et de millions d’Africains qui envahiraient l’Europe ? Ouais. Alors évidemment ce n’est pas vrai, mais on n’a rien d’autre en magasin alors qu’est-ce qu’on va dire ? Et puis c’est crédible, de temps en temps il y a quelques barques » […] Nicolas Sarkozy avait fait un grand truc là dessus, un grand discours sur l’étroitesse du détroit de Gibraltar… « Il est tout petit le détroit de Gibraltar. Il y a plein plein plein plein d’Africains de l’autre côté. La plupart des Africains sont de l’autre côté, hein, il faut savoir ça. »

Il y a comme une fidélité
Une sorte d’accoutumance
Qui pourrait presque s’appeler
« Néolibéralodépendance »
Chacun a besoin de sa dose
Beaucoup rêvent de décrocher
Mais l’avenir n’est pas rose
Et peine à rougeoyer

La grande force du néolibéralisme c’est de pouvoir répondre quand on lui dit « Ça ne va pas tenir longtemps votre système, ça va mener à la catastrophe. Dans un petit temps, ça sera fini » – « Sans doute mais ça c’est dans le futur plutôt éloigné. Et le grand avantage du futur proche sur le futur éloigné, c’est qu’il vient avant ! Donc peut-être qu’après-demain ce sera le désastre, mais demain il y a quand même un maximum de retours sur investissements à retirer… » […] Le néolibéralisme, c’est l’empire du futur proche.

L’avenir est compromis
Le présent saccagé
Mais jamais jusqu’ici
Le temps ne s’est arrêté
Surprenons les marchés
En estimant le monde
A nous de spéculer
Toutes les nanosecondes !

L’enjeu ce n’est pas de revenir en arrière au bon vieux temps du libéralisme. L’enjeu c’est, à mon avis, de changer les conditions d’accréditation. C’est-à-dire accepter qu’on vit dans un monde du crédit. Le véritable enjeu c’est : « qu’est-ce qui donne du crédit ? Qu’est-ce qui donne de la valeur ? »

24/06/2013

LA PARISIENNE LIBEREE : "NOIR OUTREMER"

 

LA PARISIENNE LIBEREE 

"NOIR OUTREMER"

Paroles et musique : la Parisienne Libérée


[citation Public Sénat]

Ils ont trouvé du pétrole
Et les appétits s’affolent
Ils ont trouvé de l’or noir
Sur un de nos territoires
Mais leurs barils sont profonds
Et pour forer, faut des fonds
Ainsi font les marionnettes,
Géants de la creusette

[citations P. Roméo – audition au Sénat]
« Je ne sais pas si vous connaissez la société Shell, mais lorsque vous vous intéresserez de près au sujet vous vous apercevrez que nous sommes une société exemplaire. Donc je n’ai aucun, absolument aucun doute sur le fait que nos engagements sociétaux historiques justifieront très largement la confiance que nous accorde le gouvernement. »

Les cétacés, les tortues
Adorent qu’on leur fore dessus
Il n’y a pas plus écologique
Qu’une petite campagne sismique
Au fond qu’à cela ne tienne
Si au large de Cayenne
Il y a des espèces menacées
On a tout planifié

« Le planning d’acquisition sismique est très largement calqué sur les tortues. Evidemment, pourquoi voulez-vous que je fasse des activités au moment où ça a le plus d’impact sur les tortues ? Je n’ai aucune raison de le faire. […] Ah mais nous serons ravis de protéger beaucoup de poissons. Comprenez bien qu’il n’y a pas d’antagonisme entre moi et les poissons, pas du tout. Notre rôle, c’est d’avoir un impact minimum et nous sommes d’ailleurs les meilleurs observateurs des espèces puisque nous sommes présents et travaillons là. Alors là je peux vous dire que les – je ne sais pas quel est le terme – les gens qui observent les poissons les plus passionnés sont chez nous, vous savez. »

Et pourquoi demanderait-on
L’avis des populations
On a déjà l’appréciation
D’un bureau de prestations
Des réunions informantes
Une étude indépendante
Le tout pris sur nos deniers
Doutez-vous de nos données ?

« D’abord, Monsieur le Sénateur, nous essayons de travailler avec des données. Pas des sentiments, des données. […] Ça c’est de la donnée, de la donnée scientifique elle est là, et je suis très heureux qu’elle soit plutôt dans ce sens que dans l’autre […] Et ce sont des faits, ce ne sont pas des choses que j’invente donc [soupir] on veut être rassuré mais faut aussi… Alors je sais qu’on n’a pas confiance dans l’expert ni dans les données, mais à ce moment là ça devient très difficile. En tout cas nous avons les données, nous avons les expertises indépendantes qui nous conduisent à proposer dans nos déclarations [mot manquant] les activités qui nous paraissent avoir l’impact minimum. » 


On rejettera, bien sûr
Des déblais un peu crados
Imbibés d’hydrocarbures
Mais c’est pas pire que de l’eau

« Et je suis très fier de vous dire qu’on va utiliser des fluides synthétiques de forage qui nous avaient été interdits il y a un an […] Il est biodégradable, il est pas bioaccumulable, etc., etc. On a vingt ans de recherches derrière qui démontrent que l’effet de ces fluides est de l’ordre de grandeur de l’effet de l’eau. »

Pour pouvoir nous arrêter
Faudrait nous indemniser
Mais c’est pas dans vos moyens
Vous comprenez ? C’est bien !

« Les services de l’Etat ont considéré qu’effectivement notre approche était la meilleure donc ils l’ont supportée. » 


Il n’y aura jamais de plage polluée
Pas de mangrove engluée
Les courants sont nos amis
Ils font tout ce qu’on leur dit
A l’horizon des eaux profondes
Juste une tache sur la mappemonde
Non, l’enfer n’est pas vert
Il est noir outremer (bis)

[citation : conférence de presse N. Vallaud-Belkacem ]
« Sur les forages pétroliers en Guyane, quel est l’arbitrage final ? Est-ce qu’ils vont reprendre lundi ou pas ?
– Euh écoutez à ma connaissance les forages reprennent, oui…
[…]
– Vous confirmez qu’ils reprendront bien lundi ?
– Je confirme qu’ils ont été autorisés, en effet. D’autres questions ? »

02/02/2013

JEAN COCTEAU ET PROUST A PARIS

 

JEAN COCTEAU

ET

PROUST

A PARIS

Portrait souvenir 

11/01/1962 - 04min38

 

Jean COCTEAU évoque la fréquention de PROUST à Paris, ses conditions de vie, ses lectures, son asthme, son hypersensibilité.

 

Production

 

Office national de radiodiffusion télévision française

Générique

 

Prat, Jean

 

Cocteau, Jean

 

Dumayet, Pierre ; Desgraupes, Pierre

 

 

13/11/2012

Alex BEAUPAIN en Concert: MONTAUBAN Théâtre Olympe de Gouges le 2 Juin 2011

 

Alex BEAUPAIN en Concert

MONTAUBAN  Théâtre Olympe de Gouges

le 2 Juin 2011

 

Vous le connaissez certainement, lui et ses nombreuses bandes originales pour films à honorable (parfois mieux encore) succès: "Cécile CASSARD" ou encore "La Bien Aimée"....

Sur scène, c'est un garçon au final très pop, mais d'une pop quelque peu intello-branchouille, parfois ennuyeuse quand elle n'est pas carrément exaspérante.

Plus Souchon ou Daho que Gainsbourg! Et tellement loin de Bashunget Murat auxquels la critique des beaux quartiers s'avancent à le comparer. Laissons-le d'abord s'affirmer en ce qu'il est: lui.

Je n'avais pas prévu d'aller à sa rencontre mais, il était associé dans une soirée où se produisait l'extra-ordinaire Artiste qu'est Bertrand BELIN.

Je n'aurais donc pas eu à être déçu de sa prestation! Je l'ai été tout de même.