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12/08/2013

SEANCE DE SPIRITISME POUR DEVOILER L'IDENTITE DU PROCHAIN MAIRE DE PARIS

 

 

SEANCE DE SPIRITISME POUR DEVOILER L'IDENTITE DU PROCHAIN MAIRE DE PARIS

Vendredi 

01/04/1977 - 01min23s

 

Autour d'un traditionnnel guéridon, le journaliste André CAMPANA organise une séance de spiritisme afin de découvrir le nom du prochain maire de Paris pour les élections municipales de 1977. Les esprits désignent le socialiste Georges SARRE et écartent le nom de Jacques CHIRAC.

 

Production

France Régions 3

A VOTRE ECOUTE COÜTE QUE COÛTE: "LA FEMME QUI AVAIT QUELQUE CHOSE DE DEGOÛTANT"

 

A VOTRE ECOUTE COÜTE QUE COÛTE

"LA FEMME QUI AVAIT QUELQUE CHOSE DE DEGOÛTANT"

 

À votre écoute, coûte que coûte est une dramatique radio quotidienne écrite et jouée par Zabou Breitman et Laurent Lafitte et diffusée sur France Inter entre le 16 janvier 2012 et le 29 juin 2012. D'une durée de sept minutes, elle est diffusée à 12 h 23, entre Les Affranchis et Carnets de campagne.

L'émission est une parodie présentée comme une émission de libre antenne sur la santé. Deux acteurs jouent un couple de spécialistes composé de Margarete de Beaulieu, psychothérapeute et son mari Philippe de Beaulieu, médecin ; ils répondent aux questions de faux auditeurs, en débitant « les pires des clichés racistes, homophobes, sexistes  et réactionnaires.


Source Wikipédia

http://fr.wikipedia.org/wiki/Wikip%C3%A9dia:Accueil_principal

L'HUMAINE CRUAUTÉ

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L'HUMAINE  CRUAUTÉ

 

 

 

Il est régulier que se ravive la troublante question

 

D'un passé semblant condamné à se répéter

 

En une chronique blasée de l'humaine cruauté.

 

 

 

C'est l'arrière-monde que l'on découvre ébaubi,

 

Traversé par quelques-uns des secrets  inouïs

 

Les plus inavouables d'une expérience philanthrope.

 

 

 

Seule la solidité et la réciprocité avérée

 

Confèrent à l'individu cette confiance en soi

 

Qui, poésie irradiante d'une sphère d'amour,

 

Tissera serré  le solide de liens affectifs

 

Avec, pour seule finalité revendiquée,

 

L'acquisition longue à venir du respect de soi.

 

 

 

P.  MILIQUE

 

TELLEMENT PLUS

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TELLEMENT PLUS

 

Comment ne pas me dissoudre dans la pensée de toi

Quand pour survivre j'arpente le labyrinthe cérébral

Qui te dissimule à moi de son halo profus et vaporeux.

 

Exalté, je poursuis le chemin vers toujours plus de toi,

Là où le ciel désenclave le présent de sa fièvre immanente.

 

Je parle aux mailles de tes silences et retiens ta main,

Je te pense à vif dans l'espace inondé de ta présence

Et synchronise mon corps pour t'approcher de moi.

 

De toi me vient encore le sourire étoilé dont j'ai besoin

Alors que chacun d'eux m'irrigue d'un soleil d'allégresse,

Tandis que le temps désormais cristallisé se laisse vivre

Dans l'intensité folle de mon âme enchevêtrée à ton souffle.

 

Au plus symphonique de ma mémoire se pavane ta présence!

Si tu savais combien, même engluée dans l'imperceptible,

Tout mon être revendique l'écho de mon amour embrasé.

 

P. MILIQUE

A FAIRE SAIGNER LE BLEU DU CIEL

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A FAIRE SAIGNER LE BLEU DU CIEL

 

L'intention du suicide est la conséquence d'une histoire personnelle.

D'un état de grand délabrement psychique. Ou physique. Ou les deux.

 

Pour n'avoir jamais été doué pour le bonheur et,

Parce que les jours implacables se font noirs autour de moi,

Je m'enfonce dans l'évidence du tourment.

Dans le désordre spectaculaire.

Le chaos soudain devient la règle.

Je me retrouve projeté, protagoniste majeur, dans un étrange cauchemar

Troué d'images rouges et noires.

 

En vieillissant je le sait bien,

On aspire quelquefois à extraire l'essence de soi-même.

Et à s'approcher d'une flamme en une volonté libératrice.

Pour être certain de disparaître dans l'embrasement final

De ce qu'on n'a jamais su être.

Acte ultime et définitif d'une non-existence.

 

La question maladive et obsédante de certains est de savoir

S'il existe une vie après la mort.

Mais, sommes-nous simplement sûrs qu'il y en ait une avant ?

 

Moi-même, si je me sens à l'instant tragiquement dépourvu,

Sais que son univers n'est pas vide.

Je connais les sources les plus secrètement dissimulées

De ses vagabondages toujours recommencés.

Parce que je croit que j écrit !

 

C'est ma souffrance secrète, présente, inaudible, indéchiffrable.

Je suis un montreur de mots qui brouille les images.

Au quotidien, je fréquente ce lieu de forte lumière intérieure.

Un espace de création personnelle, terre sublime et misérable,

Où se racontent le désespoir et le désarroi d'un homme

Qui se heurte à l'ancestrale brûlure du mystère.

 

Tous mes écrits sont dans la noirceur absolue,

Sans chaleur aucune, sans aucun avenir.

Ils sont la douleur d'une écriture qui se dégrade dans la solitude.

Jusqu'à la brisure.

Je possède en moi l'art l'art morbide de faire saigner le bleu du ciel,

Un ciel saturé de cris et de fureurs

Que rien ne sauvera jamais de l'oubli ni de l'indifférence.

Une écriture tendue, abrupte, torrentielle,

Arrachée aux entrailles d'une lucidité impitoyable.

 

Comme j'aimerais, dans une effervescence de tous les instants,

Savoir dire le charme énigmatique de certains mots transparents, cristallins et fugaces !

Posséder, même un peu seulement, la magie impérieuse de quelques mots mystérieux.

Refuser de céder aux tentations pourtant bien séduisantes de la facilité,

Et rester définitivement exigeant, intransigeant sur le choix des mots.

Connaître enfin le scintillant tourbillon de pensées que je saurait mettre en forme.

Comme des traits vivants, traits de plume, traits d'esprit.

Composer un véritable opéra des soupirs et de la solitude,

Avec la mélancolie peut-être, d'un désaccord avec moi,

Et savoir dire toute la tristesse du monde. Tous les soleils aussi.

Tout cela sans hâte, sans dissonance.

Par simple plaisir de la lenteur. Et de la précipitation.

 

Mais je sais aussi que les drames les plus crépusculaires

S'accordent de fait aux fastes les plus incongrus.

Et que tout est tout à fait perdu

Lorsque les perspectives quelles qu'elles soient, n'existent plus.

 

Alors, il me faut bien finir par m'affranchir de mes fantômes.

Aussi je cherche, avec une ferveur désespérée, la flamme libératrice.

Celle qui, au cœur vif de la terrifiante spirale,

Acceptera de m'embraser sans me poser de questions.

Dorénavant, je ne la cherche plus.

Je sait depuis peu que je l'ai trouvée.

 

Dehors est le soleil d'hiver, rond et pâle.

Et je m'y vois déjà !

 

P. MILIQUE

 

Allain LEPREST

2 - «Bande» spéciale disparition d’Allain Leprest
(26:31)

 

11/08/2013

JEAN-LOUIS TRINTIGNANT LIT " LE DESERTEUR " DE BORIS VIAN

 

JEAN-LOUIS TRINTIGNANT

LIT

" LE DESERTEUR "

DE

BORIS VIAN


Le comédien lit des poèmes de Prévert, Vian, Desnos, accompagné de son ami l'accordéoniste Daniel Mille. Découvrez la lecture du Déserteur, Boris Vian.

A voir: Jean-Louis Trintignant lit " Adrienne " de Jacques Prévert

RAGE FROIDE

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RAGE  FROIDE


C’est juste le tressaillement complice

D’une vie qui n’est que très rarement

Brodée au fil d’or d’un artiste talentueux.

 

L’ignominie boueuse de certains humains

Initié l’abcès d’une rage douloureuse

Qui excite le sentiment déjà mis à vif

De n’avoir désormais plus rien à perdre.

 

P. MILIQUE

A VOTRE ECOUTE COÜTE QUE COÛTE: "LA FEMME QUI DISAIT QUE C'ETAIT MÊME PAS VRAI"

 

A VOTRE ECOUTE COÛTE QUE COÛTE

"LA FEMME QUI DISAIT QUE C'ETAIT MÊME PAS VRAI"

À votre écoute, coûte que coûte est une dramatique radio quotidienne écrite et jouée par Zabou Breitman et Laurent Lafitte et diffusée sur France Inter entre le 16 janvier 2012 et le 29 juin 2012. D'une durée de sept minutes, elle est diffusée à 12 h 23, entre Les Affranchis et Carnets de campagne.

L'émission est une parodie présentée comme une émission de libre antenne sur la santé. Deux acteurs jouent un couple de spécialistes composé de Margarete de Beaulieu, psychothérapeute et son mari Philippe de Beaulieu, médecin ; ils répondent aux questions de faux auditeurs, en débitant « les pires des clichés racistes, homophobes, sexistes  et réactionnaires.


Source Wikipédia

http://fr.wikipedia.org/wiki/Wikip%C3%A9dia:Accueil_principal

UNE LUEUR DE FIN DU MONDE

 

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UNE LUEUR DE FIN DU MONDE

 

C'est un univers parfaitement incohérent,

Une atmosphère lourde, difficilement descriptible.

Comme derrière tout masque authentique,

S'exprime la part de doute

Et les égarements dangereux de la pensée.

 

Il possède, caché en lui, des forces qu'il ne soupçonne même pas.

Des forces susceptibles de dynamiter les certitudes accumulées.

On peut parfois percevoir, gravées, des marques douloureuses

Sur son visage brûlant et décomposé,

Secoué d'irrépressibles tremblements.

 

On le comprend alors niché au cœur d'un désastre général.

En lui la violence surgit, impromptue,

Dans le déchaînement terrifiant d'éléments

Soudainement devenus incontrôlables.

De lourds nuages noirâtres pleurent une pluie de sang,

Des comètes effrayantes zèbrent sa conscience

Éclairant son tréfonds d'une lueur de fin du monde.

 

De cette lueur-là, il trouvera la force

De renaître à la vie certes, mais avec quel dégoût

Humide à la commissure des lèvres.

 

P. MILIQUE

Allain LEPREST

1 - «Bande» spéciale disparition d’Allain Leprest
(19:29)

 

10/08/2013

DUO BARBARA ET GEORGES MOUSTAKI : " LA DAME BRUNE "

 

 

DUO

BARBARA ET GEORGES MOUSTAKI 

  " LA DAME BRUNE "

Dim Dam Dom variétés

08/10/1967 - 03min54s

 

En plateau, Georges MOUSTAKI et BARBARA chantent en duo "La dame brune". Ils évoluent autour d'un piano, d'une guitare et de deux sculptures dorées. Ils s'enlacent à la fin de la chanson.

 

Production

 

Office national de radiodiffusion télévision française

Générique

 

Pires, Gérard

 

Moustaki, Georges

 

Moustaki, Georges ; Barbara-chanteuse