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03/09/2013

A VOTRE ECOUTE COÛTE QUE COÛTE: "L'HOMME QUI ETAIT POUR LE MARIAGE GAY"

 

A VOTRE ÉCOUTE COÛTE QUE COÛTE

"L'HOMME QUI ÉTAIT POUR LE MARIAGE GAY"

 

À votre écoute, coûte que coûte est une dramatique radio quotidienne écrite et jouée par Zabou Breitman et Laurent Lafitte et diffusée sur France Inter entre le 16 janvier 2012 et le 29 juin 2012. D'une durée de sept minutes, elle est diffusée à 12 h 23, entre Les Affranchis et Carnets de campagne.

L'émission est une parodie présentée comme une émission de libre antenne sur la santé. Deux acteurs jouent un couple de spécialistes composé de Margarete de Beaulieu, psychothérapeute et son mari Philippe de Beaulieu, médecin ; ils répondent aux questions de faux auditeurs, en débitant « les pires des clichés racistes, homophobes, sexistes  et réactionnaires.


Source Wikipédia

http://fr.wikipedia.org/wiki/Wikip%C3%A9dia:Accueil_principal

JE M'ACCUSE 32

JE M'ACCUSE.jpg

 

Je m'accuse

De n'avoir jamais su

Parler de la mort

Avec dans la voix, La nécessaire

Exagération de vie.

TERRY "HARMONICA" BEAN ET NICO (WAYNE TOUSSAINT) MIGHTY QUARTET A LA DYNAMO TOULOUSE LE 30 AOUT 2013


(Captation Personnelle)

 

TERRY "HARMONICA" BEAN

ET

NICO (WAYNE TOUSSAINT) MIGHTY QUARTET

A LA DYNAMO

TOULOUSE

LE 30 AOUT 2013 


   "BLUES SUMMER NIGHTS"

ORGANISE PAR LE

TOULOUSE BLUES SOCIETY

LA BOÎTE A LETTRES: DELPHINE INGRES AU FIGARO

 

LA BOÎTE A LETTRES

DELPHINE INGRES AU FIGARO

 

Lettre autographe signée, probablement adressée à Philippe GILLE, datée du 27 juillet 1885, Paris.

Dix-huit ans après la mort de son époux, le peintre académique Ingres, sa seconde femme, Delphine RAMEL, veille au respect de sa mémoire. S’adressant au Figaro, elle désire « rectifier une assertion qui se propage dans les journaux et dans les mémoires artistiques à propos de la prétention que Mr Ingres montrait pour le violon, beaucoup plus, dit-on, que pour le pinceau ». Elle prie le journaliste de rétablir la vérité. Car jamais le violoniste amateur « n’a eu la prétention de se poser en virtuose ». Cette passion musicale, en dehors de son activité professionnelle, a donné lieu à l’expression consacrée « avoir un violon d’Ingres », utilisée aujourd’hui pour désigner un passe-temps que l’on pratique avec ardeur.

02/09/2013

SI NOUS VIVIONS EN 1913: NOUS SENTIRIONS MAUVAIS

 

SI NOUS VIVIONS EN 1913

NOUS SENTIRIONS MAUVAIS

 

Retour un siècle en arrière avec Antoine PROST, historien et président de la mission du centenaire de la première guerre mondiale, dont France Inter est partenaire...

Si nous vivions en 1913, nous sentirions très probablement mauvais car les usages de propreté étaient très différents des nôtres. Pour une raison, c'est que l'eau était rare. L'eau courante était inconnue à la campagne. On allait chercher l'eau à la fontaine pour la boisson, pour la vaisselle, pour les nettoyages, pour la toilette...

Salle de bains au début du XXème siècle dans un immeuble bourgeois. © - Roger Price - Flickr

A VOTRE ECOUTE COÛTE QUE COÛTE: "L'HOMME DONT LE FILS AVAIT UN PHIMOSIS"

 

A VOTRE ÉCOUTE COÛTE QUE COÛTE

"L'HOMME DONT LE FILS AVAIT UN PHIMOSIS"

UN VIVANT ACCESSIBLE AU REGARD

l'homme de ta vie.jpg

 

UN VIVANT ACCESSIBLE AU REGARD

 

Je veux que le temps ralentisse,

Qu'il s'étire jusqu'à l'extrême.

Je te sais si fatiguée parfois.

 

Je ne veux plus de ce grand froid

Qui t'envahit, de cet étau de pierre

D'une brutalité sourde et fulgurante

Qui sans délicatesse te broie le corps.

 

Je veux que tu provoques l'éclat de rire

De cet hiver irrémédiable preneur d'aise,

Prétentieux obscène qui s'installe en toi.

 

Je ne veux plus de ces nuits trop longues

Où les pleurs ravinent ton visage de larmes,

Réceptacle d’un trop-plein de douleurs liquides.

 

J’aimerais tant te retrouver à naviguer encore

Sur les routes prédéterminées de l’impatience.

 

Je veux que tu cesses de bercer ta détresse

Aux murmures de désespoirs circonspects.

Que tu cesses d’être absente à  toi-même,

De porter ce fardeau de souffrances cachées,

Blessures secrètes à l’énigmatique confus de toi.

Que tu ne saccages pas ton présent de regrets.

Que tu disperses tes étouffants cauchemars

Dans les noires vapeurs de l’immédiat.

 

Je veux que chaque obstacle se fasse tremplin

Pour traverser, dans la voluptueuse légèreté,

La passerelle joyeuse pour l’inconcevable.

Je veux que tu t’éprouves moins fragile,

Que ta vie soit balisée de traces ordinaires,

Que tu saches être, et que tu saches devenir.


(A SUIVRE....)


P. MILIQUE

NICO (WAYNE TOUSSAINT) MIGHTY QUARTET A LA DYNAMO TOULOUSE

(Captation Personnelle)

 

NICO (WAYNE TOUSSAINT)

MIGHTY QUARTET

A LA DYNAMO

TOULOUSE

LE 30 AOUT 2013     


BLUES SUMMER NIGHTS

ORGANISE PAR

LE TOULOUSE BLUES SOCIETY

LA BOÎTE A LETTRES: THEODORE GERICAULT A SA MAITRESSE, MADAME TROUILLARD

 

LA BOÎTE A LETTRES

 THÉODORE GÉRICAULT A SA MAITRESSE, MADAME TROUILLARD 

01/09/2013

SI J'ETAIS BACHAR OU LE ROI DU QATAR


Chérie,
Chéri,

Merci j'ai bien ouï
J'ai ouï les cigales et leur boucan d'arrosage automatique
L'agonie au bûcher des merguez hérétiques
Nos disputes au soleil et nos bruits dans les draps
J'ai vu à la radio les stagiaires rajeunir
Les amitiés qui durent et le rosé qui tape
Je suis rentré
Toujours dans la même classe, avec les plus classe
Toujours décidés à ne jamais ennuyer
Nous allons nous surprendre et vous amuser  
Plus fous, plus doux, légers et parfois graves
Écouter sans temps mort et

OUÏR SANS ENTRAVES


 

SI J'ETAIS
BACHAR OU LE ROI DU QATAR
« LA PREMIÈRE FUMÉE EST AUSSI LA PLUS BONNE »

(1'22)

Un slam miniature et sarcastique de Félix J. enregistré chez nous en avant-goût de l'album "La Tentation". Membre du collectif Spoke Orkestra, Félix J. se partage entre la musique avec le groupe Dum Dum, les performances a cappella, le théâtre et la poésie crue. Dernier ouvrage paru : "Basketville", éditions Le Diable Vauvert.


Enregistrement : 26 juin 13
Réalisation : Arnaud Forest
Paroles & musique : Félix J.

SI NOUS VIVIONS EN 1913: NOUS NOUS RETROUVERIONS AU CAFE

 

SI NOUS VIVIONS EN 1913

NOUS NOUS RETROUVERIONS AU CAFÉ

 

En 1913, nous nous serions certainement retrouvés au café : le lieu de sociabilité par excellence. On comptait 482 000 débits de boisson pour 42 millions d'habitants, soit un bar pour 83 habitants, contre 25 000 cafés aujourd'hui...

 

Café Perruchot à Brutelles © wikimedia commons - 2013

ÉMANCIPATION

l'aube.jpg

 

ÉMANCIPATION

 

Dans les fragments émotionnels de l'anonymat,

L'empreinte s'affirme comme signature

Inattaquable et définitive de l'identité.

 

Celle qui émane, légère, de l'être aimé,

Se révèle plus prégnante qu'aucune autre.

 

Chacune de ses représentations se love

Dans l'arc chantant du premier soleil

Qui, telle une fleur éclose de la nuit,

Illumine son cœur charnel embrasé.

 

P.  MILIQUE