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10/10/2014

LA VIE QUI S’ÉLOIGNE

au magma présent de l'écriture,

 

 

LA VIE QUI S’ÉLOIGNE

 

Le combat fait rage jour et nuit.

Obscénité d'une toux sèche qui déchire

Une respiration qui peu à peu s'épuise.

 

Admirable de volonté malgré l'épuisement,

La jeune femme épouvantée, ivre de son mal,

S'éloigne de la vie dans un mensonge inutile.

 

Dans le cri du silence recouvert par le bruit,

L'énergie se perd et lui laisse si peu de forces

Qu'elle paraît s'apaiser en un repos d'enfant.

 

P. MILIQUE

06/09/2014

LA VIE QUI S’ÉLOIGNE

au magma présent de l'écriture,

 

 

LA VIE QUI S’ÉLOIGNE

 

Le combat fait rage jour et nuit.

Obscénité d'une toux sèche qui déchire

Une respiration qui peu à peu s'épuise.

 

Admirable de volonté malgré l'épuisement,

La jeune femme épouvantée, ivre de son mal,

S'éloigne de la vie dans un mensonge inutile.

 

Dans le cri du silence recouvert par le bruit,

L'énergie se perd et lui laisse si peu de forces

Qu'elle paraît s'apaiser en un repos d'enfant.

 

P. MILIQUE

30/08/2014

LA VIE QUI S’ÉLOIGNE

au magma présent de l'écriture,

 

 

LA VIE QUI S’ÉLOIGNE

 

Le combat fait rage jour et nuit.

Obscénité d'une toux sèche qui déchire

Une respiration qui peu à peu s'épuise.

 

Admirable de volonté malgré l'épuisement,

La jeune femme épouvantée, ivre de son mal

S'éloigne de la vie dans un mensonge inutile.

 

Dans le cri du silence recouvert par le bruit,

L'énergie se perd et laisse si peu de forces

Qu'elle paraît s'apaiser en un repos d'enfant.

 

P. MILIQUE

22/03/2014

RHAPSODE DU SENSIBLE

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RHAPSODE DU SENSIBLE

 

La nuit a commencé depuis trop longtemps

Tandis qu'il s'épuise a se battre autant qu'il le peut

Dans la touffeur d'atmosphères lourde de souffrances.

 

Les médecins sont rarement des rhapsodes du sensible,

Mais celui-ci a lu la tristesse qu'il a, imprimée aux yeux.

 

Et il s'applique à lui panser l'intime

Avec les mots qui sont les siens.

Des mots sobres, apaisants et lumineux,

Qui excèdent une pureté éclatante et sereine

Dont la charge de vérité simple le terrasse soudain

Et l'émeut au tréfonds jusqu'à lui arracher les larmes reconnaissantes

De celui qui, après le départ du père, n'y croyait plus.

 

P. MILIQUE

08/03/2014

LES ACTUALITES FRANCAISES :EDITION DU 4 MARS 1954

 

CELA S'EST PASSE IL Y A SOIXANTE ANS!

LES ACTUALITÉS FRANÇAISES

ÉDITION DU 4 MARS 1954

03/03/2014

JE ME REPROCHE 8

REPROCHE.jpg

Je me reproche de ne me montrer

Que très rarement à la hauteur

Et de ne pas savoir trouver en moi

La force de livrer l'ultime combat

Considéré comme perdu d'avance.

17/02/2014

MARIA GABRIELA LANSOL: LE JEU DE LA LIBERTE DE L'ÂME -- POÈME XXIII

 

MARIA GABRIELA LANSOL

 

POÈME XXIII

 

"NOUS REGARDONS..."

(Poème sans titre, il s'agit des premiers mots)

 

Lecture par VÉRONIQUE VELLA

Références:

in"Le jeu de la liberté de l’âme" deMaria Gabriela Llansol

Traduit du portugais par CRISTINA ISABEL DE MELO

© Pagine d’arte 2009

 

Poèmes choisis par Lorette Nobécourt

Prise de son : Djaisan Taouss

Montage: Anne-Laure Chanel

 

12/02/2014

DESTRUCTION: FAIRE LE TRI DANS SA VIE

 

DESTRUCTION
FAIRE LE TRI DANS SA VIE

(8’02’’)
« DISPARAÎTRE EN QUELQUES SECONDES »

 

En octobre 2012, Robert, 72 ans, apprend qu'il est atteint d'un cancer du poumon de stade IV. Depuis il porte un regard neuf sur chaque évènement de son existence. Des souvenirs, des espoirs, des combats : d'un épisode à l'autre et parfois sans s'en apercevoir Robert nous apprend ce qu'être vivant veut dire.
En vie, chronique du cancer : deuxième épisode. Robert fait le tri dans les images de sa vie et commence à se confier.

 

Enregistrements : novembre 13
Mise en ondes & mix : Arnaud Forest
Réalisation : Élise Andrieu

11/02/2014

LA CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER: 29/01/2014

 

LA CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER

 

29/01/2014

21/01/2014

GILLES LANGOUREAU: "A PART TED, TOUT LE MONDE EST LA!"

 

GILLES LANGOUREAU

"A PART TED, TOUT LE MONDE EST LA!"

Cette chanson contre l'apartheid en Afrique du sud date de 1987, à l'époque ou Nelson Mandela était encore en prison. Et cette chanson fut l'hymne repris en chœurs par des centaines de manifestations de la jeunesse qui défilait et réclamait sa libération. J'ai chanté cette chanson devant l'ambassade d'Afrique du sud à Paris devant des milliers de manifestants et dans toute la France. C'est ma pierre à l'édifice de la libération d'un homme que j'admire et respecte profondément, qui pour moi représente la dignité de l'Homme. Il a passé des dizaines d' années en prison, refusant d'être gracié en échange du reniement de ses idées et de son silence. Une vie en prison pour l'émancipation de son peuple. Je suis fier d avoir été
de ce combat, et je me flatte d'avoir reçu les remerciements du représentant de l' ANC à ¨Paris (le mouvement de Nelson Mandela) pour avoir contribué à populariser son combat .

Gilles LANGOUREAU

Tous les droits d'auteur et les bénéfices de la vente du disque de ma chanson sont allés aux mouvements militant pour la libération de Nelson Mandela.

02/12/2013

LA VIE EST UN COMBAT PETITE PAUSE A L’HÔPITAL PSY « L'ARRÊTER D'UN FRONT-KICK DANS SON GROS BIDE »

 

LA VIE EST UN COMBAT
PETITE PAUSE A L’HÔPITAL PSY

(3’21’’)
« L'ARRÊTER D'UN FRONT-KICK DANS SON GROS BIDE »


Interné en hôpital psychiatrique, notre héros retrouve un vieux copain de galère. Rocker et bolchevique, Thierry Pelletier a un cœur gros comme ça et la plume qui va avec pour raconter la zone, la France et les bons moments de la vie. Nouvelles et chroniques inédites à retrouver tous les quinze jours.


Enregistrement : 16 mai 13
Mise en ondes & mix : Samuel Hirsch
Texte & voix : Thierry Pelletier

24/11/2013

IMPRÉVISIBLE CHAMBARDEMENT

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IMPRÉVISIBLE CHAMBARDEMENT


Cela a débuté par un imprévisible chambardement personnel.

Peu de temps après,
L’indifférence a entamé son lent et sournois travail d’érosion,
Le laissant épuisé par le trop long, démoralisant et inutile combat
Contre une existence de plus en plus végétative. Négative.

Alors son esprit s’aliène dans une songerie sombre et douloureuse.
Il n’a plus en fait la moindre parcelle d’énergie pour résister à ce naufrage,
Pour tenter une fois encore de renverser cette inéluctable tendance.

Rien n’y fait plus désormais !
Le goût de vivre s’est brisé sans retour.
Il n’est plus qu’une plaie à vif.
Et dans sa tête maintenant flottent des idées parasites.

Il a la vision folle et fugitive d’une délicieuse errance
Embarquée malgré elle dans l’enfer de sa déraison.
Le voilà envoûté par la probabilité d’un cataclysme phénoménal,
D’un grand carambolage cosmique au centre desquels il pourrait,
Dans un grand apaisement
Se désintégrer en un flash de particules invisibles.

La vie n’est décidément qu’une immense zone de turbulences.
Un désordre suscité par l’omniprésence
De son cortège de souffrances et de malheurs cumulés.
Nous vivons dans un monde de folie,
Un monde de hantises et de pulsions secrètes,
De plaisanteries vaniteuses et de pitreries même pas savantes,
Aveuglés que nous sommes par un véritable panel
De nuances plutôt contradictoires et tourmentées.

Il y a tellement de motivations étranges
Dans les infimes événements du quotidien.
Alors, on erre le long des images intérieures,
Dans un jeu terrible et fascinant.
Assujetti au malentendu permanent, au déphasage chronique.

C’est que les hommes sont animés de bien misérables passions,
Taraudés qu’ils sont sans cesse par un insidieux doute existentiel
Et, parce qu’ils refusent violemment la tyrannie de la norme,
Ils ressassent jusqu’à la nausée
Le passage du temps et les occasions manquées.
Ils souhaitent invariablement réaliser des choses remarquables.
Jamais faites par personne.
Des choses qui bousculent l’existence.

Pour dissimuler leurs faiblesses peut-être ?
Leur médiocrité sûrement !

Et encore ne savent-ils rien du futur…

P. MILIQUE