20/01/2014
STADE TOULOUSAIN VS ASM CLERMONT AUVERGNE STADE ERNEST WALLON TOULOUSE
(Captation Personnelle)
STADE TOULOUSAIN
VS
ASM CLERMONT AUVERGNE
STADE ERNEST WALLON
TOULOUSE
LE 5 JANVIER 2014
05:33 Publié dans GOUTTES d'ÂME, MUSIQUE | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, garibaldi, chopin, barricades, bec de gaz, stade toulousain, asm clermont auvergne, stade ernest wallon, toulousain, contrer, contrarier, contradicteur, contradictoire, nathalie miravette, père lachaise, sectionner, nidifier, muraille, fédérer, maudit, modigliani, théo sarapo, tombeau, granit, échelle, général, auguste, pompeux, marbre, épitaphe, moineau, girafe, épauler, curieux, music-hall, abysses, chrétion, permission, applaudir, faisceau, lointain, projecteur, molière, objecteur de conscience, artistique, tristan, quai des brumes, million, anonymat, bouquet
17/11/2013
AUX MARGES ÉMERVEILLÉES
AUX MARGES ÉMERVEILLÉES
En regardant d’ailleurs, on voit le monde en plus grand…
Dans l’immatérialité lumineuse d’un incessant renouvellement
Sur les bases établies d’une lointaine résistance,
Rien ne sert de se priver davantage
De sa propre jouissance d’écrire.
Au fil de quelques belles accélérations de pensée,
Il s’agit de marquer la mise à nu
D’une écriture pleinement poétique
Dans l’évanescente subtilité, un peu maniérée peut-être,
Esquissée finement aux marges émerveillées
Et obscures d’une saisie intensive du presque rien.
P. MILIQUE
00:19 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : émerveillé, lumineux, résistance, jouissance, écriture, pensée, nue, poétique, évanescence, marge, obscur, intensif, reagrder ailleurs, voir le monde, grandir, immatérialité, grandiloquence, incessant, renouvelr, base établie, lointain, rien ne sert de, se priver, avantage, propre, au fil de, belle, accélération, marquer, mise à nu, pleinement, limitation de vitesse, subtilité, maniéré, esquisse, esquisser, finesse, saisie, psychologie, fiscalité
28/07/2013
APOLLINAIRE POÈME
APOLLINAIRE
POÈME
"Marie" Poème lue par l'auteur Guillaume Apollinaire. Il parut en octobre 1912 dans la revue littéraire et artistique "Soirées de Paris".
Vous y dansiez petite fille
Y danserez-vous mère-grand
C'est la maclotte qui sautille
Toute les cloches sonneront
Quand donc reviendrez-vous Marie
Les masques sont silencieux
Et la musique est si lointaine
Qu'elle semble venir des cieux
Oui je veux vous aimer mais vous aimer à peine
Et mon mal est délicieux
Les brebis s'en vont dans la neige
Flocons de laine et ceux d'argent
Des soldats passent et que n'ai-je
Un cœur à moi ce cœur changeant
Changeant et puis encor que sais-je
Sais-je où s'en iront tes cheveux
Crépus comme mer qui moutonne
Sais-je où s'en iront tes cheveux
Et tes mains feuilles de l'automne
Que jonchent aussi nos aveux
Je passais au bord de la Seine
Un livre ancien sous le bras
Le fleuve est pareil à ma peine
Il s'écoule et ne tarit pas
Quand donc finira la semaine
Guillaume Apollinaire (1880 - 1918)
23:26 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, guillaume appolinaire, marie, soirée de paris, danser, grand-mère, maclotte, sautiller, cloche, sonner, revenir, masque, silencieux, musique, lointain, sembler, venir, cieux, vouloir, mâle, délicieux, brebis, s'en aller, neige, flocon, laine, argent, soldat, passer, coeur, changer, cheveux, crêpus, mer, moutonner, main, feuille, automne, joncher, aveux, bord de seine, livre ancien, bras, fleuve, pareil, peine, s'écouler, tarir, fin de semaine
15/07/2013
GALIM "RIEN N'EST PERDU" AU THÉÂTRE DU GRAND ROND TOULOUSE
GALIM
"RIEN N'EST PERDU"
AU THÉÂTRE DU GRAND ROND
TOULOUSE
LE 12 JUILLET 2012
Voilà qu'insérés au souffle grondent de lointains ouragans échappés d'un ciel d'hypothèses
Tandis qu'un trait de voix tremblée épice la durée et fait coïncider la chair de l'instant à un désormais qui titube.
Ton écho s'éloigne et la vie qui reprend s'est chargée grâce à toi d'un vertige de possibles.
D'un pollen d'amour vibrant et propagé naissent déjà d'autres fleurs perlées d'émotion, lourdes de sourires à cueillir....
07:33 Publié dans MUSIQUE | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, galim, théâtre du grand rond, toulouse, sous les pavés, insérer, souffle, gronder, lointain, ouragan, échapper, ciel, hypothese, trait, voix, trempler, épicé, durée, faire conïncider, chair, instant, tituber, écho, s'éloigner, la vie reprend, charger, grâce, vertige, possible, pollen, amour, vibrant, se propager, naître, fleur, perler, émotion, lourd, sourire, cueillir, maxime le forestier, glaise, mauvais, tristesse au coeur, douceur, after shave, grève
14/07/2013
GALIM "ON A QU'UNE VIE" AU THÉÂTRE DU GRAND ROND TOULOUSE
GALIM
"ON A QU'UNE VIE"
AU THÉÂTRE DU GRAND ROND
TOULOUSE
LE 12 JUILLET 2012
Voilà qu'insérés au souffle grondent de lointains ouragans échappés d'un ciel d'hypothèses
Tandis qu'un trait de voix tremblée épice la durée et fait coïncider la chair de l'instant à un désormais qui titube.
Ton écho s'éloigne et la vie qui reprend s'est chargée grâce à toi d'un vertige de possibles.
D'un pollen d'amour vibrant et propagé naissent déjà d'autres fleurs perlées d'émotion, lourdes de sourires à cueillir....
07:22 Publié dans MUSIQUE | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, galim, théâtre du grand rond, toulouse, sous les pavés, insérer, souffle, gronder, lointain, ouragan, échapper, ciel, hypothese, trait, voix, trempler, épicé, durée, faire conïncider, chair, instant, tituber, écho, s'éloigner, la vie reprend, charger, grâce, vertige, possible, pollen, amour, vibrant, se propager, naître, fleur, perler, émotion, lourd, sourire, cueillir
26/11/2012
FINALEMENT MORTEL
FINALEMENT MORTEL
Un carillon fatigué dérange le silence en attente
Tandis qu'un chat noir glisse dans un rai de lumière
A cette heure incertaine où la nostalgie nomade
Porte de ses pas l'ailleurs d'une vie réduite à peu.
Elle arpente, les yeux tristes, son jardin au crépuscule
Dans l'insondable mélancolie de ceux qui n'ont plus rien,
Désormais aux portes de la solitude et du tranquille
A la saison grise du dénouement qui fait monter l'angoisse.
Engagée dans l'ultime versant de sa vie elle fixe le passé,
En attente encore de son fantôme d'amour,
Celui, lointain, qui illumine les photos sépia
D'un regard perdu vers le temps qui reste.
On la voit souvent s'égarer dans ses pensées,
Traversée de douce tristesse, de désespoirs feutrés,
Et se consumer avec une saisissante dignité, aux aguets
De cette absence têtue qui éloigne la vie des vivants.
De son affection pour l'humble perle une larme furtive
Qui projette au plus profond du cœur la tristesse infinie
De cette déjà longue vie passée, soudain si brève,
Faisant de la mort à venir la compagne de chaque aube.
Les années ont tassé sont corps et froissé son visage,
La peau s'est creusée de rides sur la main qui maintenant tremble.
Les yeux fixent le vide et en appelle au manque dans le vide
Où elle l'évoque, gênée, de cette pudique tendresse
Qui incite à porter une attention toute particulière
A cette vieillesse proposée comme ultime menace,
Comme un dernier combat à livrer a l'orgueil du temps
La nuit où n'en finissent pas de se crisper les rêves.
La vie soumet mais aussi grandit chaque infime de l'instant
Aux longs sanglots des heures qui s'écoulent, finalement mortelles.
P. MILIQUE
09:11 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, mortel, carillon, fatigué, déranger, silence, en attente, chat noir, glisser, rai de lumière, heure, incertitude, nostalgie, nomade, porter, réduit à peu, arpenter, yeux tristes, jardin, crépuscule, insondable, mélancolie, solitude, tranquillité, saison, griserie, dénouement, faire monter l'angoisse, engager, ultime, versant, fixer, passé, fantôme, amour, lointain, photo sépia, regard perdu, le temps qui reste, s'égarer, pensée, traverser, douceur, lélancolie, désespoir, feutré, se consumer, saisissant, dignité
01/08/2012
AUX MARGES ÉMERVEILLÉES
AUX MARGES ÉMERVEILLÉES
En regardant d'ailleurs, on voit le monde en plus grand...
Dans l'immatérialité lumineuse d'un incessant renouvellement
Sur les bases établies d'une lointaine résistance au formel,
Rien ne sert de se priver encore de sa propre jouissance d''écrire.
Au fil de quelques belles accélérations de la pensée,
Il s'agit désormais de pointer la mise à nu imminente
D'une écriture résolument parée de poésie
Dans l'évanescente subtilité convoquée,
Un peu trop maniérée sermonne l'évidence,
Mais néanmoins esquissées aux fines marges émerveillées
Et obscures d'une saisie ferme et intensive du presque rien.
P. MILIQUE
09:48 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, marginal, émerveillé, regarder ailleurs, voir le monde en grand, immatériel, lumineux, incessant, renouvellement, base établie, lointain, résistance au formel, rien ne sert de se priver, jouissance d'écrire, au fil de la plume, accélération de la pensée, pointer, mise à nu imminente, écriture, parer de poésie, évanescence, subtilité, convocation, maniéré, sermonner, évidence, esquisser, finesse, obscurité, saisie, ferme, intensif, le presque rien, nico wayne toussaint