03/03/2014
FUSIONNEL IMPROMPTU
FUSIONNEL IMPROMPTU
Tour à tour noir ou agréablement léger
S'établit un rapport de dépendance de plus en plus fort
A certaines saveurs anciennes dans leur noble simplicité.
On peut parvenir à une vraie joie de vivre
Au travers le mordant, l'absurde et le malheur,
A peine gêné par l'intérêt particulier
Porté aux hasards et aux coïncidences
D'une effervescence un peu baroque.
Reste à broder en gestes de patience de subtiles variations
Qui diront notre attachement vif et notre proximité
Sous-tendue au fusionnel impromptu
D'une lecture poétique du monde.
P. MILIQUE
00:16 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : fusionnel, impromptu, noir, agréable, léger, établir, rapport, dépendance, fort, certitude, saveur, ancien, noble, simplicité, joie de vivre, mordant, absurde, malheur, fêne, intérêt, particulier, hasard, coïncidence, effervescence, baroque, broder, gestes, patience, subtil, variation, attachement, vif, proximité, sous-tendu
19/01/2014
SAMUEL BECKETT: "ABOULEZ!
SAMUEL BECKETT
"ABOULEZ!
Lus par Laurent NATRELLA
Références:
In Peste soit de l’horoscope et autres poèmes
© Minuit 2012
Par malheur, Beckett naquit – le 13 avril 1906 : ainsi faudrait-il commencer toute biographie de Samuel Barclay Beckett, pour qui, toute sa vie, l'être sera une imperfection dans la pureté du non-être. L'horreur commence avec la vie. Tous les héros de Beckett, enfermés dans des asiles, des chambres, des trous, larves lovées en position fœtale, reculant le langage jusqu'au borborygme, là où s'efface la prétention au sens, raconteront le fantasme d'une régression prénatale. Tuer un enfant, dira-t-il plus tard, c'est « couper court à un fiasco en fleur » (Tous ceux qui tombent, 1956).
(extrait de l'Encyclopédie Larousse)
Poèmes choisis par Lorette Nobécourt
Prise de son Djaisan Taouss
Montage Anne-Laure Chanel
00:17 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : : au magma présent de l'écriture, samuel beckett, mort de a.d, lecture, larent natrella, référenciel, poème, minutrie, minuit, malheur, naître, falloir, commencer, biographie, barclay, imperfection, pureté, non-être, horreur, commencement, vie, héros, héroïque, enfermement, asile, chambr, trou, larves, lover, position foetale, reculer, langage, borborygme, s'effacer, prétention, sensitif, raconter, fantasme, régresser, régression, prénatal, tuer un enfant, couper court, fiasco, en fleur, tous ceux qui tombent, encyclopédie larousse, chox, orette nobécourt, djaisan taouss
17/01/2014
SAMUEL BECKETT: "CASCANDO" "LA-BAS"
SAMUEL BECKETT
"CASCANDO"
"LA-BAS"
"Trois poèmes "de Samuel BECKETT
Lus par Laurent NATRELLA
Références:
In Poèmes
© Minuit 1978
Par malheur, Beckett naquit – le 13 avril 1906 : ainsi faudrait-il commencer toute biographie de Samuel Barclay Beckett, pour qui, toute sa vie, l'être sera une imperfection dans la pureté du non-être. L'horreur commence avec la vie. Tous les héros de Beckett, enfermés dans des asiles, des chambres, des trous, larves lovées en position fœtale, reculant le langage jusqu'au borborygme, là où s'efface la prétention au sens, raconteront le fantasme d'une régression prénatale. Tuer un enfant, dira-t-il plus tard, c'est « couper court à un fiasco en fleur » (Tous ceux qui tombent, 1956).
(extrait de l'Encyclopédie Larousse)
Poèmes choisis par Lorette Nobécourt
Prise de son Djaisan Taouss
Montage Anne-Laure Chanel
17:32 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : : au magma présent de l'écriture, samuel beckett, mort de a.d, lecture, larent natrella, référenciel, poème, minutrie, minuit, malheur, naître, falloir, commencer, biographie, barclay, imperfection, pureté, non-être, horreur, commencement, vie, héros, héroïque, enfermement, asile, chambr, trou, larves, lover, position foetale, reculer, langage, borborygme, s'effacer, prétention, sensitif, raconter, fantasme, régresser, régression, prénatal, tuer un enfant, couper court, fiasco, en fleur, tous ceux qui tombent, encyclopédie larousse, chox, orette nobécourt, djaisan taouss
SAMUEL BECKETT: "ARÈNES DE LUTÈCE" SUIVI D'UN POÈME SANS TITRE
SAMUEL BECKETT
"ARÈNES DE LUTÈCE"
SUIVI D'UN POÈME SANS TITRE
Trois poèmes de Samuel BECKETT
Lus par Laurent NATRELLA
Références:
In Poèmes
© Minuit 1978
Par malheur, Beckett naquit – le 13 avril 1906 : ainsi faudrait-il commencer toute biographie de Samuel Barclay Beckett, pour qui, toute sa vie, l'être sera une imperfection dans la pureté du non-être. L'horreur commence avec la vie. Tous les héros de Beckett, enfermés dans des asiles, des chambres, des trous, larves lovées en position fœtale, reculant le langage jusqu'au borborygme, là où s'efface la prétention au sens, raconteront le fantasme d'une régression prénatale. Tuer un enfant, dira-t-il plus tard, c'est « couper court à un fiasco en fleur » (Tous ceux qui tombent, 1956).
(extrait de l'Encyclopédie Larousse)
Poèmes choisis par Lorette Nobécourt
Prise de son Djaisan Taouss
Montage Anne-Laure Chanel
06:15 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : : au magma présent de l'écriture, samuel beckett, mort de a.d, lecture, larent natrella, référenciel, poème, minutrie, minuit, malheur, naître, falloir, commencer, biographie, barclay, imperfection, pureté, non-être, horreur, commencement, vie, héros, héroïque, enfermement, asile, chambr, trou, larves, lover, position foetale, reculer, langage, borborygme, s'effacer, prétention, sensitif, raconter, fantasme, régresser, régression, prénatal, tuer un enfant, couper court, fiasco, en fleur, tous ceux qui tombent, encyclopédie larousse, chox, orette nobécourt, djaisan taouss
15/01/2014
SAMUEL BECKETT: "POÈMES" (1978)
SAMUEL BECKETT
"POÈMES"
(1978)
Trois poèmes de Samuel BECKETT
Lus par Laurent NATRELLA
Références:
In Poèmes
© Minuit 1978
Par malheur, Beckett naquit – le 13 avril 1906 : ainsi faudrait-il commencer toute biographie de Samuel Barclay Beckett, pour qui, toute sa vie, l'être sera une imperfection dans la pureté du non-être. L'horreur commence avec la vie. Tous les héros de Beckett, enfermés dans des asiles, des chambres, des trous, larves lovées en position fœtale, reculant le langage jusqu'au borborygme, là où s'efface la prétention au sens, raconteront le fantasme d'une régression prénatale. Tuer un enfant, dira-t-il plus tard, c'est « couper court à un fiasco en fleur » (Tous ceux qui tombent, 1956).
(extrait de l'Encyclopédie Larousse)
Poèmes choisis par Lorette Nobécourt
Prise de son Djaisan Taouss
Montage Anne-Laure Chanel
00:21 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : : au magma présent de l'écriture, samuel beckett, mort de a.d, lecture, larent natrella, référenciel, poème, minutrie, minuit, malheur, naître, falloir, commencer, biographie, barclay, imperfection, pureté, non-être, horreur, commencement, vie, héros, héroïque, enfermement, asile, chambr, trou, larves, lover, position foetale, reculer, langage, borborygme, s'effacer, prétention, sensitif, raconter, fantasme, régresser, régression, prénatal, tuer un enfant, couper court, fiasco, en fleur, tous ceux qui tombent, encyclopédie larousse, chox, orette nobécourt, djaisan taouss
14/01/2014
SAMUEL BECKETT: "MORT DE A. D"
SAMUEL BECKETT
"MORT DE A. D"
Lu par Laurent NATRELLA
Références:
In Poèmes
© Minuit 1978
Par malheur, Beckett naquit – le 13 avril 1906 : ainsi faudrait-il commencer toute biographie de Samuel Barclay Beckett, pour qui, toute sa vie, l'être sera une imperfection dans la pureté du non-être. L'horreur commence avec la vie. Tous les héros de Beckett, enfermés dans des asiles, des chambres, des trous, larves lovées en position fœtale, reculant le langage jusqu'au borborygme, là où s'efface la prétention au sens, raconteront le fantasme d'une régression prénatale. Tuer un enfant, dira-t-il plus tard, c'est « couper court à un fiasco en fleur » (Tous ceux qui tombent, 1956).
(extrait de l'Encyclopédie Larousse)
Poèmes choisis par Lorette Nobécourt
Prise de son Djaisan Taouss
Montage Anne-Laure Chanel
00:20 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, samuel beckett, mort de a.d, lecture, larent natrella, référenciel, poème, minutrie, minuit, malheur, naître, falloir, commencer, biographie, barclay, imperfection, pureté, non-être, horreur, commencement, vie, héros, héroïque, enfermement, asile, chambr, trou, larves, lover, position foetale, reculer, langage, borborygme, s'effacer, prétention, sensitif, raconter, fantasme, régresser, régression, prénatal, tuer un enfant, couper court, fiasco, en fleur, tous ceux qui tombent, encyclopédie larousse, chox, orette nobécourt, djaisan taouss
25/12/2013
UTOPISTE RUDIMENTAIRE
UTOPISTE RUDIMENTAIRE
L'homme est cet être qui décide de ce qu'ils sera!
Il doit, pour prévenir toute forme de malheur,
Et pour se préserver une forme espérée de bonheur,
Faire du libre choix une valeur intransigeante.
Au crépuscule désabusé d'une vie
Lourde de bruits et de pas mal de fureur,
La blessure semble à jamais beauté
Sur la rage viscéralement inexpugnable
Qui incite à réinventer d'urgence
D'autres normes au quotidien en devenir.
Il faut toutefois être attentif à ne pas s'enflammer
Car la mise en doute brutale exacerbe les douleurs.
Cependant, la certitude existe vive,
Qu'au cœur de zones à fort tumulte,
Les mutilations infligées
Par ce qui n'est pas son monde
Met en contact avec quelque chose d'obscur.
Et lui, par goût immodéré pour la provocation,
Alors qu'il sait exactement, utopiste mal dégrossi,
Que lorsque le silence s'installe et qu'il n'ose plus,
Sa plume écrit pour ne plus avoir à parler!
C'est la fin de l'innocence et, en quête d'apaisement,
Il dénoue avec lenteur les fils de mémoire
Pour féconder le réel avec la semence
D'un imaginaire submergé de beauté.
P. MILIQUE
17:13 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : malheur, espoir, bonheur, libre, choix, valeur, crépuscule, vie, bruits, fureur, blessure, beauté, rage, viscère, urgence, enblaller, coeur, zone, tumulte, mutilation, monde, obscurité, provocation, utopiste, silence, écrire, innocence, quête, apaisement, lenteur, mémoire, féconder, semence, fin, dénouer, fils, mémoriser, submerger, iceberg, goûter, immodéré, mal dégrossi
25/11/2013
L'AVEU DANS SA FÊLURE
Photo à retrouver sur le site:
http://visuel.enferetdamnation.org/v/pointsdefuite/PointDeFuite_I.jpg.html
L'AVEU DANS SA FÊLURE
Il est dans le malheur de l'écriture.
Cela vient chez lui, toujours, d'un absolu mal à dire.
Mais au bout de la dérive,
Il est une victime consentante
De la difficulté de la mise en mots.
Il faudrait qu'il sache se contenter d'un langage silencieux,
Seulement verbalisé au contact imperceptible de l'ordinaire.
Au lieu de cela,
Il s'anéantit dans de désespérantes circonvolutions cérébrales.
Sous le fallacieux prétexte qu'il a beaucoup de néant à combler,
Tout semble épouser la trajectoire
D'une fuite éperdue, désespérée.
Une fuite qui l'aide à ne pas perdre pied dans la masse croupissante et fétide de ce qui est.
Donc, inlassable, il livre un duel à la tranquille indifférence des mots.
Il s'arrête un instant -- ou davantage --
Auprès de chacun d'eux,
Les soupesant comme pour une expertise.
Entre eux et lui, c'est comme un intense corps à cœur.
Il est un artisan qui œuvre avec une obstination et une impertinence brûlantes de tenter l'impossible.
Rêves ouverts sur un insondable de feu et de lumière.
Et que reste-t-il au final de la seule réalité qu'il ait vraiment vécu ?
Seulement l'aveu qui cache ses belles larmes de sang gracieux,
D'une fêlure hagarde qui se fige et se sèche.
Amen !
Âme--Haine...
P. MILIQUE
17:42 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : malheur, écriture, dérive, consentante, langage, verbaliser, ordinaire, désespérance, cérébral, trajectoire, fuite, croupir, fétide, expertise, corps, coeur, obstination, impertinence, brûlant, impossible, rêve, insondable, feu, lumière, aveu, larmes, sang, grâce, amen, âme, haine, fallacieux, prétexte, néant, combler, épouser la trajectoire, fuite éperdue, désespérer, perdre pied, masse, inlassable, liverer un duel, tranquille, indifférence, s'arrêter, soupeser
24/11/2013
IMPRÉVISIBLE CHAMBARDEMENT
IMPRÉVISIBLE CHAMBARDEMENT
Cela a débuté par un imprévisible chambardement personnel.
Peu de temps après,
L’indifférence a entamé son lent et sournois travail d’érosion,
Le laissant épuisé par le trop long, démoralisant et inutile combat
Contre une existence de plus en plus végétative. Négative.
Alors son esprit s’aliène dans une songerie sombre et douloureuse.
Il n’a plus en fait la moindre parcelle d’énergie pour résister à ce naufrage,
Pour tenter une fois encore de renverser cette inéluctable tendance.
Rien n’y fait plus désormais !
Le goût de vivre s’est brisé sans retour.
Il n’est plus qu’une plaie à vif.
Et dans sa tête maintenant flottent des idées parasites.
Il a la vision folle et fugitive d’une délicieuse errance
Embarquée malgré elle dans l’enfer de sa déraison.
Le voilà envoûté par la probabilité d’un cataclysme phénoménal,
D’un grand carambolage cosmique au centre desquels il pourrait,
Dans un grand apaisement
Se désintégrer en un flash de particules invisibles.
La vie n’est décidément qu’une immense zone de turbulences.
Un désordre suscité par l’omniprésence
De son cortège de souffrances et de malheurs cumulés.
Nous vivons dans un monde de folie,
Un monde de hantises et de pulsions secrètes,
De plaisanteries vaniteuses et de pitreries même pas savantes,
Aveuglés que nous sommes par un véritable panel
De nuances plutôt contradictoires et tourmentées.
Il y a tellement de motivations étranges
Dans les infimes événements du quotidien.
Alors, on erre le long des images intérieures,
Dans un jeu terrible et fascinant.
Assujetti au malentendu permanent, au déphasage chronique.
C’est que les hommes sont animés de bien misérables passions,
Taraudés qu’ils sont sans cesse par un insidieux doute existentiel
Et, parce qu’ils refusent violemment la tyrannie de la norme,
Ils ressassent jusqu’à la nausée
Le passage du temps et les occasions manquées.
Ils souhaitent invariablement réaliser des choses remarquables.
Jamais faites par personne.
Des choses qui bousculent l’existence.
Pour dissimuler leurs faiblesses peut-être ?
Leur médiocrité sûrement !
Et encore ne savent-ils rien du futur…
P. MILIQUE
17:31 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : indifférence, érosion, sournois, épuisement, démoralisant, combat, éxistence, végétatif, négatif, aliéné, songerie, énergie, naufrage, inéluctable, plaie, parasite, folie, fugitif, délicieux, errance, enfer, déraison, cataclysme, carambolage, cosmique, désintéger, particule, turbulence, mottivation, terrible, malentendu, déphasage, souffrance, malheur, hantise, pulsion, plaisanterie, vanité, pîtrerie, panel, contradictoire, tourmenté, passion, existentiel, tyrannie, nausée, faiblesse, médiocrité, futur, imprévisible
19/11/2013
FIÈVRES PERNICIEUSES
© Maxime Desmettre pour NVArt Nvidia / CGSociety
FIÈVRES PERNICIEUSES
Espace indéfiniment saturé de vibrations immobiles
Dans la stupeur grandissante d’images brouillées
Aussi fragiles que vulnérables.
Dans les ruines probables d’un désastre annoncé
Fermente le souffle éphémère de fièvres pernicieuses
Qui, dans l’inéluctable d’une dérive maussade
A jamais taillée pour le malheur avide,
Considère avec une moue inquiète
Le voile subtil et pervers exhibant
Dans l’indifférence cruelle d’une excoriation,
L’absolue souveraineté de la souffrance.
P. MILIQUE
17:32 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : fièvre, espace, vibration, stupeur, fragile, ruine, désastre, éphémère, pernicieux, dérive, malheur, pervers, exhibition, cruel, souffrance, spatial, indéfiniment, saturation, saturé, vibratoire, immobile, stupéfier, superfétatoire, grandissant, amplifier, image, oeus brouillés, broiller, brouillade, fragilité, vulnérable, ruines, probabilité, désastre annoncé, ferment, fomenter, fermenter, souffle, éphéméride, inéluctable, dérivation, déviation, déviant, maussade, taller, avide
16/11/2013
FUSIONNEL IMPROMPTU
FUSIONNEL IMPROMPTU
Tour à tour noir ou agréablement léger
S'établit un rapport de dépendance de plus en plus fort
A certaines saveurs anciennes dans leur noble simplicité.
On peut parvenir à une vraie joie de vivre
Au travers le mordant, l'absurde et le malheur,
A peine gêné par l'intérêt particulier
Porté aux hasards et aux coïncidences
D'une effervescence un peu baroque
Et broder en gestes de patience de subtiles variations
Qui diront notre attachement vif et notre proximité
Sous tendue au fusionnel impromptu
D'une lecture poétique du monde.
P. MILIQUE
00:18 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : noir, saveur, simplicité, joie, vivre, absurde, malheur, hasard, patience, subtil, fusionnel, poésie, agrément, légèreté, établissement, rapporteur, dépendance, saveurs anciennes, noblesse, parvenu, joyeux, bon vivant, traversier, soutenir mordicus, mâle, gêneur, intérêt particulier, portail, hasardeux, coïncidence, effervescence, baroque, broder, geste, avarié, variateur, attachement, vif, proximité, sous tendu, lecture poétique, mutualiser
30/10/2013
LE JOURNAL DE PERSONNE: "AU DESSUS... Y A PERSONNE"
LE JOURNAL DE PERSONNE
"AU DESSUS... Y A PERSONNE"
Ce fut, si je me souviens bien
En l’an de grâce UN
La sibylle divine qui devine
S’écria, ivre sans vin
Malheur ! Malheur ! Malheur !
Tout à présent va de travers
Le remède et le venin
Décadence, déchéance, déclin
Jamais le monde n’a si bien rimé à rien
Rome s’est faite bordel et putain
Son César devint irréel
Et son dieu fils d’Israël
Nietzsche traduit par Personne
12:10 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, patrick milique, décadence - déchéance - déclin - la mauvaise pente - lejournalde, se souvenir, an de grâce, sibylle, divin, devinette, deviner, s'écrier, ivre, vin, malheur, présenter, présentation, aller de travers, remède, venin, décadence, déchéance, déclin, déclinaison, rimer, rime riche, ça ne rime à rien, rome, bordel, putain, césar, irréel, dieu, fils d'israël, nietzsche, personnifier