26/08/2017
PETITE-SŒUR 1
PETITE-SŒUR
1
J'imagine que tu as longuement travaillé. Comme une forcenée peut-être.
Et puis tu as raturé, biffé, effacé, annulé, détruit...
Et encore tu as recommencé bien sûr. Encore et encore.
La création est ainsi faite. Obstinée. Attentive au déclic.
Mais maintenant, ça y est! (ou presque)
Les neurones en villégiature se sont réveillés.
Et l'encéphale est revenu soudain à son état d'ébullition naturelle.
La lumière de l'humour, d'abord hésitante, a éclaboussé la page de réparties, de traits d'absurdités, de réalité décalée, d'auto-dérision, bref tout ce qui passe à portée d'envies et de coïncidences.
A hauteur d'ironie aussi, de clownerie, de burlesque, de raillerie, tout cela qui fusionne en humoristique et en joyeuses dilatations.
Authentiques perles de non-sens parties à la rencontre du sens supposé.
Petite Sœur, je sais bien que l'on en termine jamais avec le doute.
Mais tu peux y croire.
Mieux encore, tu dois y croire et t'octroyer le cadeau justifié d'une inaltérable confiance en toi.
(A SUIVRE...)
P. MILIQUE
09:44 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, champion en titre, usain bolt, qualification, victoire, britannique, révélation, produit dopant, ambiguité, remporter, maîtriser, accélération, public, favoriser, lanceur d'alerte, informatique, dictature, meurtier, courage, franchir le rubicond
02/08/2017
EFFLEUREMENT INSISTANT
EFFLEUREMENT INSISTANT
Ange appliquons-nous, ensemble, a jouir
Pleinement ce temps qui nous est mesuré!
Le soleil de notre amour, orne les belles choses.
Partageons-les toutes en les pratiquant à deux.
Il y a l'évidence extatique bonheur d'être nous.
Il y a tout cet amour, toute cette folle générosité.
Il y a tout ce qui se développe à fleur de nous.
Il y a tous ces jours délestés où il fait agréable
Et au cœur desquels nos rires nous rapprochent.
Il y a ce chemin emprunté qui conduit au soleil
De l'amour rutilant. A celui de notre amour donc.
Il y a se poser, en vis à vis, sur le banc d'un square.
Il y a nos mains nouées pour flâner entre les arbres.
Il y a ces longues contemplations avides d'abondances
Et cet horizon en attente qui parfois au loin s'embrase,
Et les lueurs incendiaires du couchant qui s'épanchent
En crête d'une Ardèche en réponse au Vercors opposé.
Il y a ces matins de fraîcheur, doux au corps et à l'esprit.
Il y a ce triomphal chatoiement, cette splendide nature,
Si belle, si séduisante, et amplifiée par ta seule présence.
Il y a l'ingénuité douce et moelleuse du vent complice,
La caresse bleue du ciel et l'ardente morsure du soleil.
Il y a le temps qui vit l'étreinte insistante de nos doigts.
Amour, ce sont des souvenirs qui se régénèrent actuels.
Comment ne pas se les approprier et se les partager
Alors même que nos deux cœurs en fusion débattent
A tout rythme la cadence effrénée d'un amour infini.
P. MILIQUE
09:08 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, autoroute, endroit, bas-côté, rentrer dans le rang, bienvenue, saluer, lgbt, coproduction, avertissement, projet, militantisme, saus homosexuelle, public, dimension, climat, universel, arrière-plan, associatif
08/05/2017
TÉNÉBREUSE MÉLANCOLIE
TÉNÉBREUSE MÉLANCOLIE
A l'aube de la connaissance,
La meurtrissure n'existait pas.
Pourtant, telle est la nature humaine
Que, sous les strates de la mémoire
Paraît s'affairer l'envahissant passé.
Où se pose le regard, il fait nuit.
Dans l'obscur tréfonds de celle-ci,
La détresse grave les jours tristes.
P. MILIQUE
09:52 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, congrès, perle en bois, rétractation, mardi, internenant, narratif, descendre, éducation, infirmerie, annonceur, original, public, meurtrissure, clé en main, gascogne, prochain, camaraderie, interception
27/03/2017
VIOLENTE DÉFERLANTE
VIOLENTE DÉFERLANTE
La force de certains mots transperce l'instant
D'une stridence sublime et menaçante à la fois.
C'est une écriture apte, en certaines occasions,
A vriller les neurones déjà saturés d'intensités.
Il faut dire qu'à la seule lueur d'une fin de monde,
Il est bien difficile de contrôler aussi peu soit-il
La violente déferlante qui roule au creux de moi.
Dans l'inévitable fusion qui bientôt se dessine,
La solitude absolue de l'homme inquiet empêtré
Dans son atrabile singularité s'avère terrifiante.
En cela, la colère est juste qui revendique la paix.
P. MILIQUE
09:18 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, déferlante, transperçer, stridence, sublime, visionnaire, futurologue, public, concerto, fin du monde, boomerang, contrôler, virulent, fusionner, creux, country, dessiner, inquiet, empêtré, atrabilaire, singularité, avèrer, colérique, jerer, revendiquer, paix
28/08/2015
INCARNATION DE L’IMPRÉVISIBLE 1
INCARNATION DE L’IMPRÉVISIBLE
1
Malaise prégnant d'une vérité affective et cryptée
Des amours passionnés aux sinistres désirs éteints.
Au jeu affreusement pénible de la mémoire striée,
S'altère l'équilibre précaire de son petit univers
Autrement de toute autre finalité programmée.
Dans cet improbable assemblage fragmenté
De puissances aux ambitions concurrentes,
Surgissent, intrinsèques, touchantes d'étrangetés.
(A SUIVRE...)
P. MILIQUE
15:00 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, incarnation, imprévisible, malaise, prégnance, vérifier, affectif, crypter, amour, passion, sinistre, désirer, extinction, jeu, affreusement, pénibilité, mémoire, striure, altération, affreux, pénible, scarification, équilibre précaire, portail, univers, ennemi, collecte, finaliser, programmer, improbable, assemblage, fragmentation, puissance, ambition, concurrence, surgissement, intrinsèque, toucher, étrangeté, public
18/03/2014
SCÈNE DE BREIZH COMMENT DIT-ON FUCK EN BRETON ? « PARLER DE PHILOSOPHIE OU BIEN DE TIRER UN COUP »
SCÈNE DE BREIZH
COMMENT DIT-ON FUCK EN BRETON ?
(5’48’’)
« PARLER DE PHILOSOPHIE OU BIEN DE TIRER UN COUP »
"9 Songs" de Michael Winterbottom est le premier film interdit aux moins de 18 ans à être doublé en breton. Désacraliser la langue bretonne, toucher un nouveau public (le film alterne scènes de sexe et concerts rock), voilà ce qui pousse de jeunes comédiens à travailler dans le studio de doublage de l'association Dizale. Making of d'une première : comment dit-on "fuck" en breton ?
Enregistrements : 3 avril 13
Mise en ondes & mix : Charlie Marcelet
Réalisation : Pauline Burguin & Damien Tillard
17:18 Publié dans SONARTE | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, scène, breizh, fuck, breton, parleur, philosophie, tirer un coup, pauline burgin, damien tillard, michaël winterbottom, premier, film interdit, amoindrir, doubler en breton, sésacraliser, langue bretonne, toucher, nouveau, public, film, alterner, scène de sexes, concert rock, poussoir, jeune comédien, travailler, studio, doublage, association, dizale, making of, charlie marcelet, bertrand belin
03/12/2013
JOACHIM MONTESSUIS, MUR DU SON SONORITÉS(18) : MES DÉCIBELS EN TRANSE
JOACHIM MONTESSUIS, MUR DU SON
SONORITÉS(18) : MES DÉCIBELS EN TRANSE
(6’22’’)
« JE NE SUIS PAS UN ATTILA BRUITISTE »
A quel volume sonore entre-t-on en transe ? Combien de décibels pour pousser la conscience au bord du gouffre ? Joachim Montessuis répond : à fond les potards. Plus la dose est forte et plus le son, ce sérum de vérité, te révèle à toi-même. A la fois moine sonique et médium transgenre, Joachim Montessuis conduit son public à l'exode, loin du divertissement et du confort, vers des zones de tensions pure. Ses performances sont des défis à l'entendement. Mais derrière le mur du son, l'espace est vierge et la pensée plus douce.
En partenariat avec le festival Sonorités (Montpellier).
Enregistrement : octobre, décembre 12
Mise en ondes & mix : Samuel Hirsch
Réalisation : Pascal Mouneyres
00:54 Publié dans SONARTE | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : joachim montessuis, mur du son, sonorités, décibel, en transe, attila, bruiteur, pascal mouneyres, volume, sonore, décibels, poussette, conscience, au bord du gouffre, répondre, à fond, potentiomètre, dose, force, sérum de vérité, révélation, zlatan ibrahimovic, moine, sonique, médium, transgenre, conduire, public, exode, divertissement, divertir, confort, zone, tension, pur, performance, défi, entendement, derrière, espace, vièrge, pensée, doux, partenariat, festival sonorité, montpellier, samuel hirsch
24/08/2013
LA BOÎTE A LETTRES: ROBESPIERRE A DANTON
LA BOÎTE A LETTRES
ROBESPIERRE A DANTON
(© Musée des Lettres et Manuscrits)
Mon cher Danton
Si, dans les seuls malheurs qui puissent ébranler une âme telle que la tienne, la certitude d'avoir un ami tendre et dévoué peut t’offrir quelque consolation, je te la présente. Je t'aime plus que jamais et jusqu'à la mort. Dans ce moment je suis toi-même. Ne ferme point ton cœur aux accents de l'amitié qui ressent toute ta peine. Pleurons ensemble nos amis. Et faisons bientôt ressentir les effets de notre douleur profonde aux tyrans qui sont les auteurs de nos malheurs publics et de nos malheurs privés. Mon ami, je t'avais adressé ce langage de mon cœur dans la Belgique. J’aurais déjà été te voir je n’avais respecté les premiers moments de ta juste affliction .
Embrasse ton ami
Robespierre
01:40 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, robespierre, dnton, guillotine, musée, boîte aux lettres, malheur, pouvoir, ébranler, âme, certitude, ami, tendresse, dévoué, offrir, consolation, présenter, aimmer, mort, moment, fermer, coeur, accent, amitié, ressentir, peiner, peine de mort, pleurer, ensemble, faire, faiseuse d'ange, douleur, profondeur, tyran, auteur, public, privé, adresser, langage, belgique, voir, respecte, premier, justice, affliction, embrasser
04/08/2013
ROBIN RENUCCI LIT "VIKAR-VITEZ", les 2 V" DE JACK RALITE (1/15)
ROBIN RENUCCI
LIT
"VIKAR-VITEZ, LES 2 V"
DE JACK RALITE (1/15)
Un échange esthétique et philosophique, composé à partir des écrits de Jean Vilar et Antoine Vitez. Le théâtre populaire d’après-guerre, mai 68 et les années 70-80.
Par son témoignage, Jack Ralite, homme politique, militant, spectateur de théâtre passionné et passionnant, nous permet de côtoyer Vilar et Vitez.
Tous deux comédiens et metteurs en scène, hommes de théâtre nommés à la tête de grandes institutions, semblables et différents, préoccupés également par l’élargissement du public, l’élargissement du répertoire, portés par un grand amour des comédiens et un sens civique sans faille.
Texte de Jack Ralite, d’après son livre « Complicités avec Jean Vilar et Antoine Vitez » publié aux éditions Tiresias.
Adaptation : Evelyne Loew
Réalisation : Blandine Masson
Conseillère littéraire : Emmanuelle Chevrière
Assistant à la réalisation : Vivien Demeyère
17:17 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, robin renucci, jack ralite, evelyne loew, blandine masson, emmanuelle chevrière, vivien demeyère, vikar-vitez, échangisme, esthétisme, philosophique, composition, jean vilar, antoine vitez, théâtre populaire, après-guerre, mai 68, témoignage, homme politique, militant, spectateur, passionné, permettre, côtoyer, homme de théâtre, nommer à la tête, institution, semblable, différent, préoccupé, égaliser, élargissement, public, répertoire, grand amour, sens civique, sans faille, complicité, édition tiresias
29/06/2013
FEDERICO GARCIA LORCA, «GACELA DE L'AMOUR IMPREVU» suivi de "GACELA DE L'AMOUR DESESPEREE"
FEDERICO GARCIA LORCA
«GACELA DE L'AMOUR IMPREVU»
LU PAR LAURENT STOCKER
suivi de
"GACELA DE L'AMOUR DESESPEREE"
LU PAR ADELINE D'HERMY
Poèmes extraits du recueil « DIVAN DE TAMARIT » Gallimard.
Traduction de Claude COUFFON et Bernard SESE
Federico Garcia Lorca naît en 1899 au sein d'une famille andalouse aisée et libérale. Il s'intéresse très tôt aux différents domaines des arts et emprunte la voie de la poésie dès 1921 avec Canciones puis Romancero gitano (1928). En alliant modernité et folklore populaire, Garcia Lorca emporte rapidement la reconnaissance du public. Ses nombreux voyages, notamment sur le continent américain, ont approfondi et enrichi ses oeuvres (Poète à New York, 1934). Dès 1935, Garcia Lorca bifurque légèrement vers le chemin dramatique. Il fonde la Barraca, sa propre compagnie théâtrale et met en scène de grands classiques. Il peut alors y représenter ses pièces Noces de sang (1933), Yerma (1935) et la Maison de Bernarda (1936). Cette trilogie tragique reste l'une de ses oeuvres majeures. Federico Garcia Lorca est fusillé par les franquistes en 1936.
Choix de Baptiste Guiton
Réalisation : Marguerite Gateau
Prise de son et mixage : Bernard Lagnel
Montage : Manon Houssin
Assistante à la réalisation : Pauline Ziadé
05:10 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : : : au magma present de l'ecriture, fédérico garcia lorca, madrigal d'été, félicien juttner, extraction, traduction, andré belamich, famille, andalousie, aisé, libéral, s'intéresser, différent, domaine, art, emprunter, voie, canciones, romancero gitano, allier, modernité, populaire, emporter, rapidité, flklore, reconnaissance, public, voyage, continent américain, approfondir, enrichir, poète à new-york, bifurquer, dramatique, fonder, compagnie, théâtral, classique, noce de sang, yerma, la maison de bernarda, trilogie, majeur, fusiller, franquiste, baptiste, guiton, marguerite gateau, bernard lagnel, manon houssin
27/06/2013
FEDERICO GARCIA LORCA, «NU» suivi de "A MALAGA" (1925)
FEDERICO GARCIA LORCA
«NU»
Suivi de
"A MALAGA"
Lus par Nazim Boudjenah
Extraits du recueil « Eros avec Bâton » (1925), Chansons, Gallimard.
Traduction d’André BELAMICH
Federico Garcia Lorca naît en 1899 au sein d'une famille andalouse aisée et libérale. Il s'intéresse très tôt aux différents domaines des arts et emprunte la voie de la poésie dès 1921 avec Canciones puis Romancero gitano (1928). En alliant modernité et folklore populaire, Garcia Lorca emporte rapidement la reconnaissance du public. Ses nombreux voyages, notamment sur le continent américain, ont approfondi et enrichi ses oeuvres (Poète à New York, 1934). Dès 1935, Garcia Lorca bifurque légèrement vers le chemin dramatique. Il fonde la Barraca, sa propre compagnie théâtrale et met en scène de grands classiques. Il peut alors y représenter ses pièces Noces de sang (1933), Yerma (1935) et la Maison de Bernarda (1936). Cette trilogie tragique reste l'une de ses oeuvres majeures. Federico Garcia Lorca est fusillé par les franquistes en 1936.
Choix de Baptiste Guiton
Réalisation : Marguerite Gateau
Prise de son et mixage : Bernard Lagnel
Montage : Manon Houssin
Assistante à la réalisation : Pauline Ziadé
17:24 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : : au magma present de l'ecriture, fédérico garcia lorca, madrigal d'été, félicien juttner, extraction, traduction, andré belamich, famille, andalousie, aisé, libéral, s'intéresser, différent, domaine, art, emprunter, voie, canciones, romancero gitano, allier, modernité, populaire, emporter, rapidité, flklore, reconnaissance, public, voyage, continent américain, approfondir, enrichir, poète à new-york, bifurquer, dramatique, fonder, compagnie, théâtral, classique, noce de sang, yerma, la maison de bernarda, trilogie, majeur, fusiller, franquiste, baptiste, guiton, marguerite gateau, bernard lagnel, manon houssin
FEDERICO GARCIA LORCA, EXTRAIT DE«PLUIE» (1919)
FEDERICO GARCIA LORCA
EXTRAIT DE
«PLUIE»
(1919)
Lu par Adeline d'HERMY
Extrait du recueil Livre de poèmes (1921), Gallimard.
Traduction d’André BELAMICH
Federico Garcia Lorca naît en 1899 au sein d'une famille andalouse aisée et libérale. Il s'intéresse très tôt aux différents domaines des arts et emprunte la voie de la poésie dès 1921 avec Canciones puis Romancero gitano (1928). En alliant modernité et folklore populaire, Garcia Lorca emporte rapidement la reconnaissance du public. Ses nombreux voyages, notamment sur le continent américain, ont approfondi et enrichi ses oeuvres (Poète à New York, 1934). Dès 1935, Garcia Lorca bifurque légèrement vers le chemin dramatique. Il fonde la Barraca, sa propre compagnie théâtrale et met en scène de grands classiques. Il peut alors y représenter ses pièces Noces de sang (1933), Yerma (1935) et la Maison de Bernarda (1936). Cette trilogie tragique reste l'une de ses oeuvres majeures. Federico Garcia Lorca est fusillé par les franquistes en 1936.
Choix de Baptiste Guiton
Réalisation : Marguerite Gateau
Prise de son et mixage : Bernard Lagnel
Montage : Manon Houssin
Assistante à la réalisation : Pauline Ziadé
01:04 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : : au magma present de l'ecriture, fédérico garcia lorca, madrigal d'été, félicien juttner, extraction, traduction, andré belamich, famille, andalousie, aisé, libéral, s'intéresser, différent, domaine, art, emprunter, voie, canciones, romancero gitano, allier, modernité, populaire, emporter, rapidité, flklore, reconnaissance, public, voyage, continent américain, approfondir, enrichir, poète à new-york, bifurquer, dramatique, fonder, compagnie, théâtral, classique, noce de sang, yerma, la maison de bernarda, trilogie, majeur, fusiller, franquiste, baptiste, guiton, marguerite gateau, bernard lagnel, manon houssin