13/02/2014
Emily LOIZEAU: "PAYS SAUVAGE" LE BIKINI TOULOUSE AVRIL 2009
(Captation Personnelle)
Emily LOIZEAU
"PAYS SAUVAGE"
LE BIKINI
TOULOUSE
AVRIL 2009
06:33 Publié dans MUSIQUE | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : : au magma présent de l'écriture, emily loiseau, battre, tambour, corsaire, bikini, balancoire, guerre, massacre, colin-maillard, désintégrer, laser, romantique, kioske à musique, suspendre, se balancer, grincer, allain leprest, richard galliano, michel fugain, pays sauvage, atmosphère, amoureux transi, transition, transitif
12/02/2014
Emily LOIZEAU: "FAIS BATTRE TON TAMBOUR" LE BIKINI TOULOUSE
(Captation Personnelle)
Emily LOIZEAU
"FAIS BATTRE TON TAMBOUR"
LE BIKINI
TOULOUSE
AVRIL 2009
05:25 Publié dans MUSIQUE | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, emily loiseau, battre, tambour, corsaire, bikini, balancoire, guerre, massacre, colin-maillard, désintégrer, laser, romantique, kioske à musique, suspendre, se balancer, grincer, allain leprest, richard galliano
09/02/2014
CHARLOTTE DELBOT: "AUCUN DE NOUS NE REVIENDRA"
CHARLOTTE DELBOT
"AUCUN DE NOUS NE REVIENDRA"
"Je lui disais mon jeune arbre..."
(NB: il s'agit non pas des titres mais des premiers mots des poèmes)
Poèmes lus par Clotilde DE BAYSER
Références:
IN
"UNE RECONNAISSANCE INUTILE"
© Minuit 1970
Charlotte Delbo naît en 1913 à Paris. Elle adhère à la Jeunesse communiste en 1932 et rencontre Georges Dudach en 1934, qu'elle épouse. Assistante de Louis Jouvet, de 1938 à 1941, jusqu'au départ du comédien, en mai 1941, pour une tournée en Amérique latine. Avec son mari, elle entre dans la Résistance en 1941 et fait partie du « groupe Politzer », responsable de la publication des Lettres françaises dont Jacques Decour était rédacteur en chef. Ils sont arrêtés le 2 mars 1942 et Georges Dudach sera fusillé au Mont Valérien, le 23 mai 1942, à l'âge de 28 ans. D'abord incarcérée à la Santé, à Paris, elle est transférée à Romainville, le 24 août 1942, avant d'être déportée à Auschwitz, par le convoi du 24 janvier 1943 - un convoi de 230 femmes dont elle racontera le destin, après la guerre. Elle est l'une des 49 femmes rescapées de ce convoi et portera, le reste de sa vie, le numéro 31661 tatoué sur le bras. Par la suite, elle est envoyée à Ravensbrück le 7 janvier 1944. Libérée par la Croix-Rouge le 23 avril 1945, elle est rapatriée en France en passant par la Suède. Après la guerre, Charlotte Delbo travaille pour l'O.N.U. puis, à partir de 1960, au C.N.R.S., devenant la collaboratrice du philosophe Henri Lefebvre. Elle mourut à Paris en 1985.
Poèmes choisis par Lorette Nobécourt
Prise de son Djaisan Taouss
Montage Anne-Laure Chanel
00:56 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, charlotte delbot, cadavre, clotilde de bayser, adhérer, jeunesse communiste, georges dudach, épouser, assistante, louis jouvet, départ, comédie, épouvante, souffrance, horreur, amérique latine, mariage, entrer dans la résistance, groupe politzer, responsable de publication, lettre française, jacques decour, rédacteur en chef, arrestation, fusiller, mont valérien, incarcération, transfert, romainville, auschwitz, convoi déportation, rescapé, tatouage, ravensbrück, libération, croix rouge, rapatrier, suède, guerre, arbrisseau, sex pistols, prétenders, exploration, connotation, peau douce, bouche, serres, frêne, bouleau, nudité
07/02/2014
CHARLOTTE DELBOT: "AUCUN DE NOUS NE REVIENDRA" (TROIS POEMES)
CHARLOTTE DELBOT
"AUCUN DE NOUS NE REVIENDRA"
"Ô vous qui savez..."
"Ma mère..."
"Un cadavre..."
(NB: il s'agit non pas des titres mais des premiers mots des poèmes)
Poèmes lus par Clotilde DE BAYSER
Références:
in Aucun de nous ne reviendra
© Minuit 1970
Charlotte Delbo naît en 1913 à Paris. Elle adhère à la Jeunesse communiste en 1932 et rencontre Georges Dudach en 1934, qu'elle épouse. Assistante de Louis Jouvet, de 1938 à 1941, jusqu'au départ du comédien, en mai 1941, pour une tournée en Amérique latine. Avec son mari, elle entre dans la Résistance en 1941 et fait partie du « groupe Politzer », responsable de la publication des Lettres françaises dont Jacques Decour était rédacteur en chef. Ils sont arrêtés le 2 mars 1942 et Georges Dudach sera fusillé au Mont Valérien, le 23 mai 1942, à l'âge de 28 ans. D'abord incarcérée à la Santé, à Paris, elle est transférée à Romainville, le 24 août 1942, avant d'être déportée à Auschwitz, par le convoi du 24 janvier 1943 - un convoi de 230 femmes dont elle racontera le destin, après la guerre. Elle est l'une des 49 femmes rescapées de ce convoi et portera, le reste de sa vie, le numéro 31661 tatoué sur le bras. Par la suite, elle est envoyée à Ravensbrück le 7 janvier 1944. Libérée par la Croix-Rouge le 23 avril 1945, elle est rapatriée en France en passant par la Suède. Après la guerre, Charlotte Delbo travaille pour l'O.N.U. puis, à partir de 1960, au C.N.R.S., devenant la collaboratrice du philosophe Henri Lefebvre. Elle mourut à Paris en 1985.
Poèmes choisis par Lorette Nobécourt
Prise de son Djaisan Taouss
Montage Anne-Laure Chanel
00:08 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, charlotte delbot, cadavre, clotilde de bayser, adhérer, jeunesse communiste, georges dudach, épouser, assistante, louis jouvet, départ, comédie, épouvante, souffrance, horreur, amérique latine, mariage, entrer dans la résistance, groupe politzer, responsable de publication, lettre française, jacques decour, rédacteur en chef, arrestation, fusiller, mont valérien, incarcération, transfert, romainville, auschwitz, convoi déportation, rescapé, tatouage, ravensbrück, libération, croix rouge, rapatrier, suède, guerre, onu, cnrs, collaboratrice, henri lefebvre, lorette nobécourt, djaisan taouss, anne-laure chanel
05/12/2013
GÉRER SA HONTE 1
GÉRER SA HONTE
1
Si tu m’aimes, comme tu n’as de cesse de le répéter au vent,
Accepte, le cœur large ouvert, ce modeste geste de contribution.
Accepte-le, cela me redonnera le courage de croiser ton regard,
Accepte-le afin que je revive auprès de toi l’inespéré de toujours,
Qui, au fil décanté des jours, m’aidera à oublier le rien devenu.
Certes, il est de notoriété publique que l’amour ne saurait se résumer
A de basses manœuvres de logistique ordinaire riches d’aucune valeur
Même si tout un chacun sait à combien d’obscènes guerres querelleuses,
D’actions perturbatrices et destructrices elles peuvent s’abaisser parfois.
Et voilà que tout d’un coup je m’éprouve reprendre place auprès de toi.
La maladie outrancière, l’épuisement, l’irréfragable combat morphinique,
Aura fait de moi, je m’en rends bien compte, un être confus et incohérent.
(A SUIVRE...)
P. MILIQUE
09:02 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, gérer, honte, aimer, n'avoir de cesse, répéter, répétition, accepter, coeur, largesse, ouvert, ouverture, modestie, gestuelle, contribution, contribuer, redonner, courage, croiser son regard, revivre, après de toi, inespérée, toujours, au fil, décanter, décantation, journalier, aider, oublier, rien, devenir, de notoriété publique, l'amour, savoir, se résumer, bassesse, manoeuvre, logistique, ordinaire, riche, rancune, valeur, voliser, valeureux, chacun, obscène, guerre, querelleur, action
23/11/2013
LE BLUES DE L'AMPUTE
LE BLUES DE L'AMPUTE
Elle a fait de lui son chez elle
Obscène et incontrôlable kyrielle.
Une douleur stridente s'installe
Souffrance absolue, noire et brutale.
Rien ne peut contenir l'active prolifération
Galopante et abjecte d'autant de collections.
L'infection fourbe et monstrueuse se propage
Saturée de prédateurs fous et anthropophages.
Quand la guerre engagée un certain jour se perd
Il comprend rapidement, ils n'en font pas mystère,
Les docteurs vaincus et accablés se taisent
Il n'y aura pas d'avenir autrement qu'en prothèse.
C'est ce supplice féroce qui depuis tout ce temps
Le brise au quotidien de lourds et vifs tourments.
Que tout cela se termine pour enfin anoblir
Cette volonté farouche qui ne voulait faiblir.
L'acte est effectué et le calvaire en est réduit
A le quitter contraint plutôt qu'en éconduit.
Un soulagement vrai, en effet magistral,
Le rend vainqueur d'un hier où ce fut animal.
Mais rien jamais n'est vraiment facile
Aussi pas de regrets, seulement l'indélébile.
Le manque apparaît, indescriptible fatras
De ce qui a été, qui plus jamais ne sera.
Image désolante au souvenir de ce qu'il fut
Mémoire irrémédiable de ce qui est perdu
Il tente de trouver un sens à l'issue inexorable
De ce déni de justice inouï autant qu'inacceptable.
Ce n'est pas seulement une bribe soustraite au hasard du monde
C'est la dilatation de l'unité de vie qui est moribonde
Enveloppe qui davantage encore s'échappe et se diffracte
En questions taraudeuses sur l'absence inexacte.
Il est partie prenante de ce drame impuni
De ce doute qui s'ouvre en fragments d'infini.
L'incomplet, c'est la conséquence du corps éreinté,
Fautive trahison qu'exige la nécessité.
Sensations d'éclatement, de rupture, de dérives,
Ne peuvent s'exprimer qu'en étant destructives.
Alternative désespérée unissant des scissions d'existence
Qui révèlent les échos rugissants de son propre silence.
Profondément perturbé, il perd de sa prestance
Dans ce conflit cruel dont il fait sa pitance.
Étrange confrontation à une violence totalitaire
D'un ultime champ de tension qui ne veut pas se taire.
Furie noire, fulgurance rare et plaintive,
Taillée dans le nerf à nu d'une toile rétive
Assemblage fou d'éclats d'urgence et d'effractions
En l'insatiable subir d'une grande malédiction.
Préoccupations taciturnes comme un genre d'égarement
Dont l'enjeu principal se délite précisément
Labyrinthique atmosphère tissée de décadence
D'une perfide détresse qui se fait évidence.
Les certitudes lacérées et le bonheur en sang
Ne plus rien entendre que pépiement au vent
D'un réel existentiel pesant et désinvolte
Circonstancié encore d'incandescente révolte.
Il croyait avoir gagné. Sauf que le soleil complice s'est voilé
Lorsque son œil rebelle a saisi le cauchemar coupé.
Liberté inconsciente en quête d'un devenir arc-en-ciel
Expression colorée d'un rêve terni d'irrationnel.
En son tréfonds maintenant qu'est passée la stupeur
Règnent en chaos la tristesse, l'atrabile et la peur
Et se conjugue en creux l'étonnement d'être avec celui d'avoir été
Au fil des notes dissonantes et tuméfiées du blues de l'amputé.
P. MILIQUE
|
||||
00:48 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : obscène, douleur, stridence, souffrance, brutal, abjection, infection, monstrueux, guerre, mystère, prothèse, supplice, féroce, tourment, volonté, calvaire, vainqueur, fatras, inxorable, justice, certifier, lacérer, bonheur, bonifier, ensanglanté, entendre, pépiement, vent, réel, existentiel, peser, désinvolture, circonstancié, incandescence, révolte, croire, gagner, soleil, complice, voiler, oeil, rebelle, saisir, cauchemar, couper, liberté, inconscient, quête, devenir, arc-en-ciel
31/10/2013
SARAJEVO MON AMOUR LES ADIEUX MANQUES DE MILOMIR KOVACEVICIR
SARAJEVO MON AMOUR
LES ADIEUX MANQUES DE MILOMIR KOVACEVICIR
(1’41’’)
« C’ÉTAIT UNE JOURNÉE UN PEU A LA FOLIE »
Milomir Kovacevic a photographié Sarajevo et la guerre, puis les bars et les nuits de Paris. Photographe engagé malgré lui, il ne parle pas beaucoup mais ses images le font pour lui. Sa mère a quitté Sarajevo en 1993, il ne la reverra plus. Ses livres : "Sarajevo dans le coeur de Paris" (Editions Qupé) ; "Sarajevo" (Photo Poche-Actes Sud). Rien à voir : douze photographes racontent la photo qu'ils n'ont pas prise.
Enregistrements : avril 13
Mise en ondes & mix : Samuel Hirsch
Réalisation : Aude Laporte
17:57 Publié dans SONARTE | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, patrick milique, srajévo, mon amour, adieux, manquer, miomir kovacevicir, journée, à la folie, aude laporte, photographier, guerre, bar, nuit de paris, engager, dégager, parler, mutisme, imagination, mère, quitter, revoir, sarajevo dans le coeur de paris, éditions oupé, photo poche-acte sud, circuler y a rien à voir, racontard, the raconteurs, samuel irsch, décision judiciaire, sage-femme, statutaire, doctorat, médecin légiste
25/10/2013
LA CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER : 01/10/2013
LA CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER
01/10/2013
17:05 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, patrick milique, philippe meyer, sentimental, afrique du sud, virus du sida, lesbienne, lesbianisme, constitution, violer, danseur, compagnie, surprise, chanteur, cri, s'abimer, demeurer, ténu, tuer, bruit, sublime, assouvir, assourdir, libertinage, sage, bertrand belin, hypernuit, arpège, frénésie, violoncelle, prolonger, éternel, banjo, mandoline, amitié, amour, cruel, filer à l'anglaise, naissance, maîtresse, liaison froide, galerie, mettre du coeur à l'ouvrage, guerre
18/10/2013
IMPOSSIBLE DE VIVRE
IMPOSSIBLE DE VIVRE
Il est impossible de vivre dans l'illusion d'un monde
Sans enjeux et sans ennemis.
Des conflits embrasent la planète
Comme autant d'offenses faites à la vie,
Obéissant aux pulsions bestiales de folies désaccordées,
Témoins de l'absurdité rare de ces guerre où tout n'est que viol.
Rescapée de la barbarie des hommes
Après s'être retrouvée entre la vie et la mort,
Fragment d'étoile au cerveau à demi-détruit,
Elle tente de survivre à sa douleur extrême
Mais reste profondément traumatisée
Par tant de souffrances imposées au nom de l'inutile.
La parole de cet femme est précieuse
Par ses accents vrais d'écorchée aux éclats de rage
Qui seuls la rendent audible
A notre époque de fatras tumultueux.
P. MILIQUE
00:15 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : conflits, planète, pulsions, folie, ilusioniste, enjeu, ennemi, conflictuel, embraser la planète, offense, obéissance, pulsion, bestialité, désaccorder, témoignage, absurdité, guerre, violeur en série, rescapé, barnarie humaine, entre la vie et la mort, bombe à fragmentation, étoile, cerveau, destruction, survire, traumatiser, souffreteux, précieux, écorcher, rage, audible, tumulte
05/10/2013
LE JOURNAL DE PERSONNE: "PARODIE DE LA VIE..."
LE JOURNAL DE PERSONNE
"PARODIE DE LA VIE..."
13:58 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, parodie, impuissant, vie, guerre, payer, ami, amour, portance, bouche, voler, pauvre, chienne, protéger, ciel, laid, ville, demander de l'aide, arrêter, coeur, le journal de personne, jean-marc le bihan, barbare, brésil, mineur, condamner, exiler, assassiner, seriner, égoôt;oiseau, engueuler, pleurer, tendresse, blessé, jeter au panier, peuple, réveiller, âme déchu, paradis, cause persue, cri, traîner, simple, fou, envie d'aimer, otage, ruiner, usine, enfant, orphelin
03/10/2013
FLOW AU "MAGIC MIRRORS" FESTIVAL ALORS CHANTE...! MONTAUBAN EN MAI 2009
(Captation Personnelle)
FLOW
AU
"MAGIC MIRRORS"
FESTIVAL ALORS CHANTE...!
MONTAUBAN
EN MAI 2009
Ce soir-là, elle était en première partie du gigantesque Allain LEPREST et je la découvrais....
Depuis, elle s'est intégrée au permanent de mon univers musical.
05:38 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, flow, allain leprest, festival alors chante, univers musical, intégrer, incruster, magic mirrors, montauban, première partie, découverte, permanent, président, détester, millionnaire, ménièrer, guerre, influencer, sympathique, oeillères, drôlatique, génération, entier, melissmell
01/10/2013
CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER: 11/09/2013
CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER
11/09/2013
13:02 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, philippe meyer, privatiser, tentative, amour, avenir, savoir, jacques brel, falsifier, avertir, duodénum, amoureux, défaite, entrée, feuille morte, au petit jour, prénom, prochain, capture, murmure, étang, fleuve, prison, baiser, chemin, carrefour, bonheur, guerre, affreux, prière, pleurer, vainqueur, martinet, férocité, règne, chaîne, velours, tendresse, faiblesse, navire, ennemi, partir ensemble, pêcher, mélodie, mélopée