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29/10/2013

A VOTRE ÉCOUTE COÛTE QUE COÛTE: "LA FEMME QUI NE VOULAIT PAS QUE SA FILLE AIT CERTAINES PRATIQUES"

 

A VOTRE ÉCOUTE COÛTE QUE COÛTE

"LA FEMME QUI NE VOULAIT PAS QUE SA FILLE AIT CERTAINES PRATIQUES"

28/10/2013

A VOTRE ÉCOUTE COÛTE QUE COÛTE: "L'HOMME QUI VOULAIT RACONTER LA VRAIE HISTOIRE DE BAMBI"

 

A VOTRE ÉCOUTE COÛTE QUE COÛTE

"L'HOMME QUI VOULAIT RACONTER LA VRAIE HISTOIRE DE BAMBI"

A VOTRE ÉCOUTE COÛTE QUE COÛTE: "L'HOMME QUI SE SENTAIT CAPABLE DE CONDUIRE AVEC 3 GRAMMES DANS LE SANG"

 

A VOTRE ÉCOUTE COÛTE QUE COÛTE

"L'HOMME QUI SE SENTAIT CAPABLE DE CONDUIRE AVEC 3 GRAMMES DANS LE SANG"

26/10/2013

A VOTRE ÉCOUTE COÛTE QUE COÛTE: "L''AVEUGLE QUI VOULAIT QU'ON PARLE D'AUTRE CHOSE"


Par

Margarete de BEAULIEU

 

A VOTRE ÉCOUTE COÛTE QUE COÛTE

"L''AVEUGLE QUI VOULAIT QU'ON PARLE D'AUTRE CHOSE"

10/10/2013

ACCEPTER L'EPHEMERE

 

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ACCEPTER L’ÉPHÉMÈRE

 

Un soir d'adolescence désespérée qui se dissout dans un inévitable chaos.

L'impact émotionnel le propulse aux limites extrêmes de la détresse. Le moment de la rupture, la rupture même, lui est douloureusement insupportable et il aspire à se venger de la terre entière. Cataclysme. Destruction totale. La leur. Ou la sienne. C'est pareil. Une façon comme une autre d'exprimer sa révolte.

La mort ! Une idée inexorable. Une sorte de logique fatale induite par des tensions négatives beaucoup trop intenses. Dans un état de confusion totale et comme asphyxié par l'angoisse qui sourd de partout en lui. A bout de souffrances psychologiques, il retourne contre lui le potentiel d'une violence qu'il ne se connaissait pas. L'ultime violence d'un désespoir animalement humain.


Par bonheur, cela n'a pas été suffisant !

Alors il doit reprendre sa route.

Et on le retrouve abattu par l'infinie tristesse et traumatisé par l'exploration éreintante et incessante des territoires jusque-là obscurs et inconnus de sa nuit intérieure.

Tout son jeune univers a subitement basculé. Ses certitudes ont vacillé. Désormais, il doit affronter le vide moral, le manque de perspectives, l'omniprésence de l'inacceptable, l'horreur répulsive des faits avérés. Il se sent tellement abandonné, tellement vulnérable face à cette réalité impossible à modifier. La blessure est profonde. Terriblement profonde. Trop peut-être !

Parce que l'absence de l'absente lui est insoutenable et que cela le dessèche encore et encore.

Parviendra-t-il un jour à sublimer son chagrin ?


Le voilà, lui que j'ai aidé à grandir, devenu lui aussi un écorché de la vie.

Il sait désormais que certaines circonstances peuvent anéantir la beauté des êtres et faire saigner le bleu de n'importe quel ciel.

 

Mais, existe-t-il une autre alternative sur cette terre que d'accepter l'éphémère ?


P. MILIQUE

17/09/2013

BLESSURES AFFECTIVES

au magma present de l'ecriture,

 

BLESSURES  AFFECTIVES

 

Au pays de la tristesse comme à celui de l'ennui,

Le temps semble suspendu au fragile du rien.

 

Lui qui vivait dans un monde forclos

Au centre le plus aride de son désert

S'est trouvé pris au douteux mirage de l'ailleurs.

 

L'avancée précautionneuse rythmée d'oscillations

N'a pu édulcorer tout à fait le puissant effet miroir

Des chocs émotionnels découverts avec stupeur.

 

Profitant de la confusion, les questions identitaires ont émergé

Quand, au souvenir cruel de graves blessures affectives,

Est apparu l'impératif latent de l'encore mieux se connaître.

 

Le regard minéral, mort sur le certain à construire,

Affronte d'une moue dédaigneuse les événements à venir

Dans la chair de cette vie ne proposant plus qu'un ordinaire

Qui le renvoie, sans ménagement, à son insoutenable banalité.

 

P.  MILIQUE

02/09/2013

LA BOÎTE A LETTRES: THEODORE GERICAULT A SA MAITRESSE, MADAME TROUILLARD

 

LA BOÎTE A LETTRES

 THÉODORE GÉRICAULT A SA MAITRESSE, MADAME TROUILLARD 

01/09/2013

LA BOÎTE A LETTRES: RENE MAGRITTE A SON AMI, LE POETE JOË BOUSQUET.

 

LA BOÎTE A LETTRES

  RENÉ MAGRITTE

A SON AMI,

LE POÈTE

JOË BOUSQUET

31/08/2013

LA BOÎTE A LETTRES: JEAN MOULIN A SA SOEUR

 

LA BOÎTE A LETTRES

JEAN MOULIN A SA SŒUR

14/07/2013

DAMIEN SAEZ: "PUTAINS VOUS M'AUREZ PLUS"

 

DAMIEN SAEZ

"PUTAINS VOUS M'AUREZ PLUS"

13/07/2013

MANICHÉISME SIMPLIFICATEUR

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MANICHÉISME  SIMPLIFICATEUR

 

C'est un parcours jalonné d'une multitude de désordres

Rappelant sans détours le destin qui accable chaque homme.

 

Ce serait toutefois commettre une grossière erreur

Que de considérer le tintamarre outrancier de certains bonimenteurs

Tournant cyniquement en dérision le désarroi des derniers utopistes.

 

Ce sont de ces voix qui laissent accroire qu'elles font autorité

Dans l'exposition rémanente de tristesses et de résurrections,

Tout comme dans la mise en évidence et l'ostentation visible

D'un monde édulcoré d'où peu à peu l'homme s'exclut.

 

La responsabilité du choix est importante qui met en relief

Le manichéisme simplificateur vite désigné coupable

De masquer une réalité que l'on sait de plus en plus terne

Afin de réveiller chez quelques-uns, le goût impérieux de la révolte.

 

P.  MILIQUE

18/06/2013

VERTIGE ENFLAMME

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VERTIGE ENFLAMME

 

Abysses spectrales, agonie fiévreuse

Dans le sentiment qui se meurt,

Défait par la violence du refus.

 

En ces abysses n'existerait-il vraiment

Qu'immonde pestilence au cœur muet?

 

Voilà que flottent soudain sens et valeurs

De tout ce qui s'est déjà vu, lu et entendu

Dans agrippé rageur des souvenirs fous.

 

         Voyez l’amertume dans les mots que j'abandonne,

         Mon âme l'a saignée m'imposant la vive douleur,

         La honte, la tristesse et la pluie froide dans le cœur,

         Et le pesant d'un lourd tribut au pardon que je donne.

 

Culpabilité contrainte qui attise le vertige,

Flot exaspéré dans l'infiniment dense qui aspire

L'âme et la chair criblées d'échardes répétées,

Neurones affaiblis, muselés par la morsure vive.

 

Comment se débarrasser de si monstrueuses serres

Que la nuit obstinée entortille de filaments rouges

Et de mensonges éhontés infiltrés dans l'entaille?

 

En ces noirs abysses n'existe assurément

Qu'immonde pestilence au cœur muet,

Tandis que souffrance, désespoir et humiliation

Alimentent un indicible qu'il devient urgent d'écrire.

 

P.  MILIQUE