01/04/2014
MALTED MILK SALLE GEORGES BRASSENS AUCAMVILLE LE 25 MARS 2011
(Captation Personnelle)
MALTED MILK
SALLE GEORGES BRASSENS
AUCAMVILLE
LE 25 MARS 2011
05:51 Publié dans MUSIQUE | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, bill deraime, aucamville, georges brassens, anachronique, révolution, corridor, chanter en choeur, chroniqueur, presser le citron, jeter à l'eau, sénégal, mauritanie, cameroun, solennel, bénédiction, s'épanouir, saigner aux quatre veines, raï, colombe, élite, rigolade, hasard, sergent, empereur, agricole, coton, arachide, cacao, peaufiner, en avoir marre, déserteur, schizophrène, jorane, montréal, céleste, aérien, éthéré, arachnéen, caillou, oulier, tristesse, talonnette, gaminerie, carabine, ventre à terre, ubiquité, route, courte, bout du monde
31/03/2014
BILL DERAIME SALLE GEORGES BRASSENS AUCAMVILLE LE 25 MARS 2011
05:13 Publié dans MUSIQUE | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : : : au magma présent de l'écriture, bill deraime, aucamville, georges brassens, anachronique, révolution, corridor, chanter en choeur, chroniqueur, presser le citron, jeter à l'eau, sénégal, mauritanie, cameroun, solennel, bénédiction, s'épanouir, saigner aux quatre veines, raï, colombe, élite, rigolade, hasard, sergent, empereur, agricole, coton, arachide, cacao, peaufiner, en avoir marre, déserteur, schizophrène, jorane, montréal, céleste, aérien, éthéré, arachnéen, caillou, oulier, tristesse, talonnette, gaminerie, carabine, ventre à terre, ubiquité, route, courte, bout du monde
30/03/2014
BILL DERAIME SALLE GEORGES BRASSENS AUCAMVILLE
06:10 Publié dans MUSIQUE | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : : au magma présent de l'écriture, bill deraime, aucamville, georges brassens, anachronique, révolution, corridor, chanter en choeur, chroniqueur, presser le citron, jeter à l'eau, sénégal, mauritanie, cameroun, solennel, bénédiction, s'épanouir, saigner aux quatre veines, raï, colombe, élite, rigolade, hasard, sergent, empereur, agricole, coton, arachide, cacao, peaufiner, en avoir marre, déserteur, schizophrène, jorane, montréal, céleste, aérien, éthéré, arachnéen, caillou, oulier, tristesse, talonnette, gaminerie, carabine, ventre à terre, ubiquité, route, courte, bout du monde
29/03/2014
BILL DERAIME SALLE GEORGES BRASSENS AUCAMVILLE LE 25 MARS 2011
05:44 Publié dans MUSIQUE | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : : au magma présent de l'écriture, bill deraime, aucamville, georges brassens, anachronique, révolution, corridor, chanter en choeur, chroniqueur, presser le citron, jeter à l'eau, sénégal, mauritanie, cameroun, solennel, bénédiction, s'épanouir, saigner aux quatre veines, raï, colombe, élite, rigolade, hasard, sergent, empereur, agricole, coton, arachide, cacao, peaufiner, en avoir marre, déserteur, schizophrène, jorane, montréal, céleste, aérien, éthéré, arachnéen, caillou, oulier, tristesse, talonnette, gaminerie, carabine, ventre à terre, ubiquité, route, courte, bout du monde
27/03/2014
CIORAN 40
"Le philosophe
Ne dispose d'aucune vérité
Alors que le dernier des poètes
Semble souvent
En savoir plus long
Que le plus grand philosophe"
(E.M. CIORAN)
09:55 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : vie, baptême, baiser, obscurité, tristesse, douleur d'aimer, sida, damner, damnation, chant d'amour, assassiner, furet, jarret, rechercher, gabrielle russier, maladie d'amour, sidaïque, abandonner, philosophe, l'inconvénient d'être né, mourir d'amour, accordéon, astor piazzola, bandonéon, disposer, aucun, vérité, dernier, poète, savoir, long, briser, aider, grand, tomber, se lever, marche ou crève, douleur, malheur, demande en mariage, miracle, apothéose, apôtre, déclamation, joutes oratoires, se remettre sur ses pieds, cesser de pleurer, lamentation, lamenter
23/03/2014
ONDE DE CHOCS
ONDE DE CHOCS
Dans le silence tumultueux des nuits sans étoiles, je reste inconsolable. Ce noir d’encre flamboie dans le vide de ton absence. Je ne supporte plus cette douleur qui n’est autre que l’extraordinaire souffrance d’être encore au monde, incroyablement seul avec moi-même. Comment, dans ces espaces désormais couleur de sang, me battre contre ce vide? Il m’est résolument impossible de lutter contre cela.
Mes yeux se mouillent de larmes abondantes. Effroi, horreur, dégoût et haine de moi pour t’avoir laissé prendre la direction trop connue et disparaître dans le gouffre de la nuit sans faire de bruit, sans laisser de trace, en t’excusant presque de n’avoir plus l’énergie de te cabrer, de te raccrocher aux aspérités lisses de ce qui n’était déjà plus depuis si longtemps qu’un brouillon de vie aux échos mille fois répercutés, résonnant dans cette seule issue que tu savais parfaitement n’être qu’une impasse.
Comme transparent à moi-même je t’ai vu t’enfoncer lentement dans la nuit des choses, te précipiter vers l’obscurité non pas tourmenté et ténébreux, mais avec la beauté divine d’un oiseau prenant son envol. Et l’impossible a mis ses habits de vrai.
L’onde choc se propage. Je me retrouve seul, désemparé face au tumulte, avec cet douleur considérable qui ne me quitte plus, enfermé dans un paroxysme de souffrance.
Parce que je sais ce qu’a été ta vie, les éléments déchaînés s’entrechoquent de toutes parts et vomissent leurs viscères en autant d’éprouvantes questions.
Pourquoi une vie si petite, encombrée de choses intolérables et d’humiliations constantes?
Pourquoi tous ces vides et ces peurs?
Pourquoi le fatras pauvre du quotidien?
Pourquoi toutes ces eaux amères, ces vagues en furie?
Comment aurais-tu pu ne pas être abîmé par la vie alors qu’elle ne se présentait à toi que sous ses aspects les plus sombres, les plus abjects, les plus injustes?
Je le dis: la vie s’est couverte de honte à faire de toi un être fragilisé, une proie bien facile pour la camarde aux aguets qui a jouit de sa réussite à te faire trébucher lourdement dans le silence et la poussière ultime.
Comment définir cet innommable immanquablement lié à ton absence qui résonne d’un vide sidéral?
Comment de soumettre l’impuissance des mots à dire le réel?
Il y a cette tempête qui tourmente mon tréfonds.
J’ai dans la tête comme un noyau calciné, dur, noir, définitivement impénétrable.
Cette douleur-là, qui est la douleur de vivre, m’enveloppe d’un essaim de tristesse indicible. Il s’instille en moi le goût amer du fiel. Rien ne saura jamais apaiser les éléments déchaînés. Je vis la traversée de cet enfer où brûle en permanence le feu inaltérable de ton absence. Lugubre et morbide incendie.
Alors, face aux ténèbres enflammées, j’entre en révolte contre cette vie masquée qui se fait l’antichambre de la mort en rendant anonyme le destin essentiel de chacun. La vie, comme un décor de théâtre qui peut s’écrouler à tout moment!
Mon existence bouleversée a basculé, attirée par le vide dans ce lac de désespoir qu’est l’inéluctable de l’absence, la perte définitive de l’être cher.
Si tu savais l’intensité des remords qui m’accablent.
Je n’ai pas pu t’arracher à l’impasse. Je n’ai pas su te dire tout mon amour et – je le sais maintenant -- je suis passé à côté de l’essentiel.
Parfois je cherchais ton regard et lorsque, cela arrivait parfois, je le trouvais, je détournais le visage par pudeur, par respect. S’installait alors un froid brutal qui, à l’infime de chaque instant, me glace encore le sang.
Aujourd’hui, aux limites de ce bout de vie qui me reste, il est trop tard et je le sais. Je sais aussi combien, au cœur de cet infiniment désert qu’est le monde sans toi, j’appréhende de chacune de mes fibres le temps à venir.
Saura-t-on un jour dire, dans les mots tus, dans le silence de certains autres, l’immensité de la douleur d’un fils qui, pour l’éternité, n’a jamais su qu’effleurer le cœur de son Père.
P. MILIQUE
05:40 Publié dans NOUVELLES | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : deuil, inconsolable, encre, vide, absencedouleur, souffrancecouleur de sang, larme, horreur, dégoût, effroi, haine de soi, disparition, gouffre, aspérité, brouillon de vie, impasse, beauté, divinité, onde de choc, paroxysme, vomir, viscères, éprouvant, humiliation, pauvre, abîmer, abject, injuste, fragilité, proie, camarde, jouissance, ultime, absence, impuisance, tempête, tourment, impénétrable, tristesse, amertume, fiel, éléments déchainés, enfer, lugubre, morbide, ténèbres, révolte, l'antichambre de la mort, destin, décor de théâtre
22/03/2014
RHAPSODE DU SENSIBLE
RHAPSODE DU SENSIBLE
La nuit a commencé depuis trop longtemps
Tandis qu'il s'épuise a se battre autant qu'il le peut
Dans la touffeur d'atmosphères lourde de souffrances.
Les médecins sont rarement des rhapsodes du sensible,
Mais celui-ci a lu la tristesse qu'il a, imprimée aux yeux.
Et il s'applique à lui panser l'intime
Avec les mots qui sont les siens.
Des mots sobres, apaisants et lumineux,
Qui excèdent une pureté éclatante et sereine
Dont la charge de vérité simple le terrasse soudain
Et l'émeut au tréfonds jusqu'à lui arracher les larmes reconnaissantes
De celui qui, après le départ du père, n'y croyait plus.
P. MILIQUE
17:32 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : rhapsodie, sensible, nuit, épuiser, combat, touffeur, atmosphère, souffrance, médecin, tristesse, imprimer, s'appliquer, penser, intime, sobre, lumineux, excéder, pureté, éclatant, sérénité, charge de vérité, terrasser, émouvoir, tréfonds, arracher, larmes, reconnaissance, départ, père, croyance
04/03/2014
PRISME AMPLIFICATEUR
PRISME AMPLIFICATEUR
La confusion règne qui épuise sa petitesse
Satinée de blessures nombreuses et secrètes.
L'angoisse prégnante qui le contraint tant
Dans sa marche fébrile et instable vers l'inconnu
Sème un trouble charivari dans son esprit
Qui décuple soudain sa peur de l'environnant.
La solitude pesante et avérée de la vie
Initie l'inévitable assujetti à la logique destructrice
Largement nourrie d'hésitations et de malentendus.
Dans cette sorte d'évanouissement existentiel et progressif,
Un prisme amplificateur présente l'ultime recours:
Écrire le quotidien d'une plume rageuse et sans fioriture!
C'est alors que, riche de sa seule résistance à la souffrance,
Il s'avance à tâtons dans la plus singulière intimité
En s'attachant à évoquer la manifestation
Du plus beau à venir et du plus grand advenu.
P. MILIQUE
17:46 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : confusion, règne, épuiser, tristesse, satin blessure, secret, angoisse, contrainte, fébrilité, inconnu, trouble, charivari, esprit, peur, évanouissement, existentiel, progressif, prisme, amplificateur, ultime, recours, écrire, plume, rage, fioriture, riche, résistance, souffrance, singularité, intimité, évocation, manifestation, beauté, évanouirpriape, simplificateur, reculade, tâtonner, pacifiste
20/02/2014
GEORGES SCHAEHADE: "SUR UNE MONTAGNE..." SUIVI DE "A CEUX QUI PARTENT..."
GEORGES SCHAEHADE
"SUR UNE MONTAGNE..."
SUIVI DE
"A CEUX QUI PARTENT..."
(il s'agit des premiers mots de ce poème sans titre)
Lecture par CÉLINE SAMIE
Références:
in Les Poésies
© Gallimard 2001
Georges Schehadé (1905 Alexandrie-Paris 1989) est un poète et auteur dramatique libanais de langue française.
Issu d’une famille libanaise aristocrate, Schehadé est l’auteur d’une importante œuvre théâtrale proche des conceptions du nouveau théâtre, dont il est l’un des chefs de file avec, entre autres, Beckett, Ionesco ou Arthur Adamov. La plupart de ses pièces ont été créées par Jean-Louis Barrault et la plus célèbre d’entre elles, Histoire de Vasco (1956), a été traduite en 25 langues, jouée un peu partout dans le monde pendant les années 1950 et 1960.
Schehadé est également l’auteur de plusieurs recueils poétiques (Rodogune Sinne, L’Écolier Sultan, Poésies I à VI, Poésies VII (posthume). Tôt reconnue, son œuvre a été saluée et défendue par les plus grands (Paul Éluard, André Breton, Saint-John Perse, René Char, Jean-Louis Barrault, Octavio Paz, Philippe Jaccottet, Salah Stétié...).
En 1986, il se voit décerner par l’Académie française le Grand Prix de la Francophonie, créé l’année même.
Fuyant la guerre civile (1975-1990) qui menace le Liban, Georges Schehadé quitte Beyrouth en 1978 et s'installe à Paris où il meurt en 1989.
Poèmes choisis par Lorette Nobécourt
Prise de son Djaisan Taouss
Montage Anne-Laure Chanel
00:27 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : : au magma présent de l'écriture, transformation, david, sophia, rose, rajeunir, claire hauter, recevoir, habitué, se métamorphoser, travestis, douche, épilation, maquillage, perruque, rituel, procéder, magie, illusion, pascale picard, montagne, troupeau, froid, origine, paix, douceur, angoisse, sommeil, puits, violette, écarter, genou, oublier, familier, bible, fer, jasmin, heureux, reposer, poreux, chant, rosée, tristesse, sourcier
13/01/2014
ACCEPTER L’ÉPHÉMÈRE 2
A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter) le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...
ACCEPTER L’ÉPHÉMÈRE
2
Et on le retrouve abattu par l'infinie tristesse et traumatisé par l'exploration éreintante et incessante des territoires jusque-là obscurs et inconnus de sa nuit intérieure.
Tout son jeune univers a subitement basculé. Ses certitudes ont vacillé. Désormais, il doit affronter le vide moral, le manque de perspectives, l'omniprésence de l'inacceptable, l'horreur répulsive des faits avérés. Il se sent tellement abandonné, tellement vulnérable face à cette réalité impossible à modifier. La blessure est profonde. Terriblement profonde. Trop peut-être !
Parce que l'absence de l'absente lui est insoutenable et que cela le dessèche encore et encore.
Parviendra-t-il un jour à sublimer son chagrin ?
Le voilà, lui que j'ai aidé à grandir, devenu lui aussi un écorché de la vie.
Il sait désormais que certaines circonstances peuvent anéantir la beauté des êtres et faire saigner le bleu de n'importe quel ciel.
Mais, existe-t-il une autre alternative sur cette terre que d'accepter l'éphémère ?
(FIN)
P. MILIQUE
09:10 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, retrouver, abattre, infini, tristesse, traumatisme, traumatiser, exploration, éreinter, incessant, territoire, obscurcir, inconnu, nuit intérieure, jeunesse, universel, subir, basculer, certifier, certificat, vaciller, déordonné, affronter, vide, vider, morale, manque de perspectives, omniprésence, inacceptable, horreur, répulsif, réalité, impossible, modification, notification, blessure, profondeur, terrible, absentéisme, insoutenable, dessècher, parvenir, sublimer, chagrin, aider, grandir, écorché de la vie, circonstance, pouvoir, passation
15/11/2013
CIORAN 4
"Toute ma vie
Est un baptême d'ombres.
Leurs baisers m'ont rendu mûr
Pour l'obscurité et la tristesse."
(E.M. CIORAN)
00:43 Publié dans CIORANESQUERIES | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : vie, baptême, baiser, obscurité, tristesse, douleur d'aimer, sida, damner, damnation, chant d'amour, assassiner, furet, jarret, rechercher, gabrielle russier, maladie d'amour, sidaïque, abandonner, philosophe, l'inconvénient d'être né, mourir d'amour, accordéon, astor piazzola, bandonéon
12/11/2013
AMOUR PERDU
Crédit photo: EVINRUDE
AMOUR PERDU
Dans l'éther de la rencontre, il l'aime
Entre émerveillement et mystère,
Mais elle est danger magnifique,
Explosion spontanée de l'extension des sentiments
Qui infléchissent sa route d'attente en naufrage.
Confrontation exacerbée entre le passé et l'éternité
Qui génèrent cet espace improbable
Où s'entretissent à l'infini tristesse et beauté
En ces heures immobiles du déjà plus
Qui refusent l'éclaté du demain.
Qu'il est donc douloureux parfois d'habiter le sincère !
Il est fréquent aux longs chemins
D'emprunter d'incompréhensibles détours
Avant de partir vers un horizon sans histoire.
L'air noir de la nuit résonne de voix fantômes
Parce qu'elle lui a dit sans parler, un adieu délivré,
Et qu'il est viscéralement malheureux
De cet amour perdu, ruiné, un jour détesté peut-être.
Maintenant il va, parce qu'il le faut bien,
Amener au murmure certains saignements du cœur,
Oser regarder la réalité dans les yeux, et retrouver
Le chemin-crépuscule qui mène, à la simple réalité de la Vie.
P. MILIQUE
12:49 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : amour, rencontre, émerveillement, mystère, danger, explosion, sentiment, naufrage, éternité, tristesse, beauté, douleur, adieu, viscéral, sang, coeur, vie, amsterdam, marrocco, éther, spntané, extension, infléxion, routière, attentisme, confrontation, exacerbé, passé, génération perdue, espace public, improbable, s'entretisser, infini, heure, immobile, refus, refuser, éclaté, demain, douloureux, habiter, sincèrité