27/09/2013
FASCINATION ÉTOILÉE
FASCINATION ÉTOILÉE
Elle est à la fois entité déstabilisante et nuageuse
Au goût prononcé pour l’énergie vitale revendiquée.
On peut être surpris par sa candeur désarmante,
Cependant, elle arbore une telle grâce impérieuse
Jusque dans son opposition affichée au factice des normes,
Qu'elle ne peut s'écrire qu'à l'encre simple, donc trompeuse.
Fulgurante d'un débridé sans ostentation,
Étourdissante et peu novatrice sans doute,
Sa prose est de cette fascination irradiée d'étoiles
Qui plonge le quotidien dans l'urgence du phrasé
Au plus près embrasé de cette palpitation synchrone,
Propre au mystère souverain d’où s’entrevoie le ciel.
P. MILIQUE
09:13 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, fascination, étoile, sélène, entité, stabilisateur, nuageux, goût prooncé, énergie, vital, revendiquer, surise, surprendre, candeur, désarmer, arborer, grâce, impérieux, opposition, afficher, factice, norme afnor, écrire, encre sympathique, simple, trompeur, fulgurance, débrider, ostentation, étourdissant, novateur, doute, prose, irradier, plonger, quotidien, urgence phrasénembraser, palpitation, synchrone, popriété, mystère, souverain, entrevoir, ciel
26/09/2013
CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER: 04/09/2013
CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER:
04/09/2013
17:11 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, champs-élysées, appâter, pénétrer, décor, chiche, nuage, cambodge, fripes, conditionner, salarial, substanciel, bénéfice, gigoter, rendre sourd, attirer, infirmité, magasiner, officiel, damoiseau, photographier, définition, emploi, recrutement, discriminatoire, défenseur, condamner, embaucher, défenseur des droits, ordinaire, atelier, curling, opprobre, faire respecter, avoir du pain sur la planche, sortir la tête de l'eau, chaudasse, banlieusard, éculé, mythologie, vêstimentaire, chic, choc, commerce, éphèbe, rytme, abuser
LA BOÎTE A LETTRES: PIERRE CURIE AU PRÉSIDENT POINCARÉ
LA BOÎTE A LETTRES
PIERRE CURIE AU PRÉSIDENT POINCARÉ
Pierre CURIE
Paris, 1859 - id., 1906
Lettre autographe signée, adressée à Henri Poincaré, membre de l’Académie des Sciences, datée du 25 janvier 1903, Paris.
Ses recherches sur la radioactivité offrent à Curie une reconnaissance du monde scientifique : « J’ai appris qu’il était question de me proposer Mr Becquerel et moi pour le prix Nobel pour l’ensemble des recherches sur la radioactivité ». Bien que ce soit pour lui « un grand honneur », Pierre ajoute : « je désirerais beaucoup partager cet honneur avec Mme Curie et que nous soyons considérés ici comme solidaires, de même que nous l’avons été dans nos travaux ». Il défend fermement les travaux de sa femme, qui « a eu le courage d’entreprendre la recherche chimique des éléments nouveaux [et] a contribué pour sa part à l’étude des rayons et à la découverte de la radioactivité induite ». Ils recevront avec Becquerel le prix Nobel de physique cette même année.
13:09 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, pierre curie, président poincaré, lettre, autographe, manuscrit, signet, signatire, membre de l'académie des sciences, recheches, radioactivité, reconnaissance, monde scientifiue, question, proposer, becquerel
DU TEMPS VOLE A L'ÉTERNITÉ
Le destin décidément est inflexible.
Il impose l'intégration dans cette épopée,
Exaltante tout de même, qu'est la vie.
Une vie splendide et redoutable tout à la fois.
Avec quelque chose de précieux et de rare
En même temps que précaire dans sa brillance variable,
Et qui, sur le chemin de l'inévitable affrontement avec soi-même,
Nous soumet à la recherche d'une vérité qui n'est peut-être après tout
Qu'une abstraction égarée dans l'épaisseur d'un flou minutieux.
La vie, il convient de la prendre par le bon bout
Et de bâtir avec elle une aventure sans limites,
Accomplissement perpétuel d'aspirations personnelles.
Nous devons écarter avec fermeté
Les petits ennuis négligeables et
Les contraintes infimes et dérisoires
Qui la défigurent sans ménagement.
Puis de l'agrémenter si possible de sages excès,
Générateurs de douceurs propres
La Vie est belle souvent, riche d'inégalable vibrations
Dans le plaisir inépuisable de son extraordinaire diversité.
Parce qu'elle est riche d'inachèvements programmés.
Parce qu'elle est fragment de temps volé à l'éternité !
09:05 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, temps, voler, éternité, destin, décider, redoutable, précieux, rare, précaire, brillance, variable, chemin, inévitable, affrontement, contraindre, recherche, vérité, abstraction, égarer, épaisseur, flou, minutieux, convenir, préhension, bouter, bâtir, aventure, limite, accomplissement, perpétuel, aspiration, personnel, devoir, écarter, fermeté, petitesse, négligeable, contrainte, infime, dérisoire, défiurer, sans ménagement, agrémenter, possibilité, sage, excès, générateur, douceur, propreté
25/09/2013
CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER: 03/09/2013
CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER
03/09/2013
18:01 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, célèbre, feuilleton, dater, fait divers;blesser, procureur de la république, assassinat, meurtre, les baumettes, assistance, qualifier, expédition punitiventuer, mourir, abattre, sauvegarder, interroger, effort, porte parole, délinquance, éclair au chocolat, douter, racisme, complexe hôtelier, utilisation, froideur, noël mamère, divergence, usager, terrain, stigmatiser, judiciaire, ardeur, flambée des prix, hâvre de paix, arbre, fleur, karim kacel, jimi oihid
LE JOURNAL DE PERSONNE: "FRANCE -- AMBULANCE"
LE JOURNAL DE PERSONNE
"FRANCE -- AMBULANCE"
Et j’ai assis la France sur mes genoux, et je l’ai trouvé névrosée et je l’ai psychanalysée…
Qu’est-ce que vous croyez, vous qui ne croyez pas, une âme collective peut aussi être sondée, interrogée, soignée.
La France souffre depuis longtemps de je ne sais quoi et de presque rien, mais depuis quelque temps, plus rien ne va… c’est la paralysie totale…
Elle a, comme on dit, besoin d’une bonne cure de désintoxication, d’une analyse en profondeur des raisons de son désarroi, pour que son déclin ne soit pas confirmé par un triple « C » attribué aux âmes chaotiques.
- France, je vous prie de vous asseoir sur ce divin divan, plutôt que de vous mettre à genoux… oui… je sais … que vous ne tenez plus debout, mais ce n’est pas une raison de me signifier que vous êtes plus bas que terre… l’amertume ne justifie pas l’enclume.
- France, je vous écoute… j’entends vos souffrances, je comprends vos doléances mais en psychologie, on ne peut pas attribuer la faute à pas de chance. On ne peut pas se décharger de ses responsabilités en invoquant « la conjoncture » ou le rapport des forces, on y est toujours pour quelque chose, rien qu’en s’y rapportant.
- France, France ne me dites surtout pas que ce sont vos deux derniers amants qui vous ont mis dans cet état ? Je ne vous suivrai pas non plus sur cette pente que toutes les mauvaises fois arpentent. Et puis vos amants, vous les avez choisi, élu, porté aux nues. Vous ne pouvez donc vous en prendre qu’à vous-mêmes. Ce qui est navrant et névrotique en même temps, ce n’est pas tant de se faire saigner à blanc de temps en temps mais de l’être tout le temps et par les mêmes larrons. Cette automutilation à répétition cache je l’avoue un déséquilibre réel. Je dirai même un étrange dérèglement!
- France, vous êtes bien malade et votre maladie est paradoxale : là où toute âme bien née et qui n’a jamais lu Michel Onfray, s’emploie à tuer le père, à se débarrasser de toute tutelle, vous vous efforcez de restituer le père, de le ressusciter même, il était mort sous de Gaulle et vous l’avez ramené sur terre… en vous accrochant aux lacets des chaussures américaines… vous les suivez au pas et vous aplanissez leur voie.
USA… USA: c’est ça votre surmoi?
Le concept en basket et un petit Lemon-incest sous la couette avec votre père outre Atlantique. Vos enfants seront simples et sans tête…
- France, inutile de me fredonner la chanson du mal aimé, vous n’êtes pas à plaindre… vous ne faîtes rien d’autre que feindre « le désamour ». Vous ne vous aimez pas. Et ça vous console de le projeter sur les vôtres et sur les autres. Comme quoi, il n’y a pas plus sadique qu’un masochiste qui peut aller jusqu’à faire faire aux autres un mal qu’ils n’auraient jamais fait par eux-mêmes : la Libye, le Mali, la Syrie ne sont que des coups déportés, des douleurs rapportées dont vous voulez devenir la seule héritière.
Jouir et se réjouir d’un mal provoqué : c’est le comble de la perversion.
On le sait depuis Baudelaire, les plus beaux orgasmes, ce sont les orgasmes artificiels… ciel! Mon Mali. Artificielle, ma Syrie!
Tout va… syrien ne va!
C’est la nouvelle psychose humanitaire : on vous fournit toute l’aide nécessaire, pour permettre à vos adversaires de mieux vous entuber vous, mais en pensant à nous.
Parce qu’au fond nous n’avons qu’un rêve, n’est-ce pas ?
We have a dream : nous faire entuber à notre tour.
Désolée, mais l’heure c’est l’heure… je vais devoir interrompre cette séance
Vive l’ambulance! Vive la France!
13:50 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, de gaulle - fabius - france - hollande - l'interventionisme - le, à genoux, névroser, psychanaliser, âme, collectif, sonder, interroger, soigner, souffrir, paralysie, cure de désintoxication, analyse, profondeur, raison, désarroi, déclin, confirmer, triplette de belleville, chotique, prier, assoir, divin, divan, signifier, amertume, justifier, enclume, souffrance, doléance, psychologie, attibuer la faute, se décharger, responsabilité, invoquer, conjoncture, rapport de forces, rapporter
24/09/2013
A VOTRE ÉCOUTE COÛTE QUE COÛTE: "LA FEMME QUI VOULAIT EN PLACER UNE"
A VOTRE ÉCOUTE COÛTE QUE COÛTE
"LA FEMME QUI VOULAIT EN PLACER UNE"
À votre écoute, coûte que coûte est une dramatique radio quotidienne écrite et jouée par Zabou Breitman et Laurent Lafitte et diffusée sur France Inter entre le 16 janvier 2012 et le 29 juin 2012. D'une durée de sept minutes, elle est diffusée à 12 h 23, entre Les Affranchis et Carnets de campagne.
L'émission est une parodie présentée comme une émission de libre antenne sur la santé. Deux acteurs jouent un couple de spécialistes composé de Margarete de Beaulieu, psychothérapeute et son mari Philippe de Beaulieu, médecin ; ils répondent aux questions de faux auditeurs, en débitant « les pires des clichés racistes, homophobes, sexistes et réactionnaires.
Source Wikipédia
http://fr.wikipedia.org/wiki/Wikip%C3%A9dia:Accueil_principal
17:02 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : : au magma present de l'ecriture, a votre écoute, coûte que coûte, femme, même pas vrai, dramatique, radio, quotidien, écrire, jouer, zabou breitman, laurent lafitte, diffuser, france inter, durée, affranchis, carnet de campagne, émission, parodi, présenter, libre antenne, santé, acteur, couple, spécialiste, composer, margarète de baulieu, psychotérapeute, philippe de beaulieu, médecin, répondre, question, faux, auditeur, débiter, empirique, clichés racistes, homophobe, sexiste, réactionnaire, wikipédia, aimer, gaufrette, caniche, aboutir, fantasme, majorité, caricatural, aimer les femmes;ambigue, méditerannée
LA CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER: 02/09/2013
LA CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER
02/09/2013
13:55 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, philippe meyer, retrouver, fringuant, auditeur, attendre, avenir, cadeau, frasque, albin michel, gravure, polychrome, attentat, crime, adultère, suicide, bonne volonté, régner, hebdomadaire, étiage, gaz moutarde, susciter, hyperréaliste, guerre, héros, charme, dévergonder, ruse, couple sulfureux, lubrique, tenir en haleine, bombe, puzzle, fourbe, oriental, japonais, respecter, furieux, hospice, se cacher, court-vêtu, seins, comtesse, invention, se transporter sur les lieux, crâne fracassé, veuve, cul par-dessus-tête, composer, hyppophage
A L'UNI DE L'IMPROBABLE
A L'UNI DE L'IMPROBABLE
Le souci amoureux d'une langue dilatée, distendue,
Remue l'ombre et les échos enfouis aux forces obscures
D'un texte de presque rien aux fissures majeures,
A la fois furtives et inexpugnables
Bercer cette parole lumineuse! La question est vive
De justifier l'apport de nouvelles sensations....
Le paradoxe dans l'écriture est qu'il existe parfois
Un réel manque de mots pour le dire.
Le temps de la poésie est lent tendis que le présent urge
A tisser la solitude d'une beauté ou celle d'une disgrâce
Noircies à l'écriture aigre du dessaisissement
De ces vies silencieuses jusqu'à être invisibles,
Unissant parfois l'improbable du stable et du mouvement.
Alors, tenter une prose émouvante comme une musique,
Quintessence d'un temps modulé au fil d'un réel réfuté,
Et user de la puissance de rassemblement du langage
Dans l'entrelacs indéfini des sensations, des odeurs et des sens,
Qui seuls autorisent les mots, impudiques, à faire l'amour à la page...
P. MILIQUE
09:22 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, unir, improbable, souci, amoureux, langue, dilatation, distendu, reluer, imbragé, écho, enfouir, forces obscures, texte, presque rien, fissure, majeur, foie, furtif, inexpugnable, bercer, parole, lumineux, question, vive, justifier, apport, nouvelle, sensation, paradoxe, écriture, exister, réel, maque, mot à mot, direct, temps;poésie, lent, présent, urger, tisser, solitude, beauté, disgrâce, noircir, aigre, déssaisir, vie, silencieux
22/09/2013
TOMBENT LES MASQUES 3
A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter) le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...
TOMBENT LES MASQUES
3
Il n’en peut plus de ce fiel accumulé, lourd de carences.
Il lui faut faire barrage aux mauvais sentiments en cours
Avant que tout ne s’effondre en douloureuse confusion
Dans le dédain certain propre aux effets de l’habitude.
L’habit de tolérance arboré ne le vêt que d’indifférence
Et il n’est plus que désenchantement sépia ourlé de morose.
Et ce morose-là contraint le cours amer de ses pensées.
Il doit, car il n’est nulle autre alternative proposée,
Cesse de contenir ses torturantes fêlures au secret
Et entamer l’ultime combat qui exaltera sa différence,
Emprunter des chemins jusque-là ignorés en bloc
Qui l’emmèneront au plus loin de cette vie desséchée,
De l’âcre autisme disloqué qui nécrosa son quotidien.
Il sait que demain ne peut plus être que ça :
Une dernière tentative pour échapper à la nuit
Jusqu’à ce que jaillisse l’étincelle libératrice
Apte à l’illuminer de l’espoir enfin ressuscité.
(FIN)
P. MILIQUE
09:15 Publié dans GOUTTES d'ÂME, NOUVELLES | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, pouvoir, fiel, accumuler, lourd, carence, faire barrage, mauvais, sentiment, en cours, s'effondrer, douloureux, confusion, dédain, dertain, propre, effet, habitude, habit;tolérance, arborer, vêtir, indifférence, désenchantement, sépia, ourler, morosité, contrainte, cours, amer, pensée, alternative, proposer, cesser, contenir, torturant, fêlure, secret, entamer, ultime, combat, exalter, différence, emprunter, chemin, igorer, en bloc, emmener, loin, vie, desséché
JIMI HENDRIX : " STONE FREE "
Sur scène,
Jimi HENDRIX,
accompagné de
Mitch MITCHELL
à la batterie et de
Noel REDDING
à la basse, interprète
"Stone Free".
Ce concert a été enregistré le 11 mai 1967 au théâtre d'Issy-les-Moulineaux.
- Production
- producteur ou co-producteur
Office national de radiodiffusion télévision française
- Générique
- réalisateur
Spiero, Jean Pierre - interprète
Hendrix, Jimi ; Mitchell, Mitch
21/09/2013
TOMBENT LES MASQUES 2
A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter) le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...
TOMBENT LES MASQUES
2
Au premier abord, cela se dérobe à toute compréhension.
Mais à fouiller un peu plus le ressac vertigineux des signes...
Il lui a bien fallu un jour tailler dans le vif des controverses,
Pointer du doigt les désaccords et les incohérences flagrantes,
Ne pas s’accrocher plus qu’il ne faut à des émotions passées
Pas plus que sanctifier davantage des bonheurs obsolètes,
Ne pas subir l’ennui majuscule d’un exceptionnel devenu banal.
Un jour tombent les masques de ce qu’il avait cru savoir nommer,
Ce qui installe d’emblée une désespérante sensation de frustration
Tant le malentendu éprouvé est réel et l’histoire mouvementée.
Il n’en peut plus de ces modifications successives,
De cette suite ininterrompue de décalages obscènes,
De ce silence qui au fur et à mesure s’épaissit davantage,
De ces inexorables dégradations qui encombrent le cœur
Et l’insupportable répétition de leurs symptômes avérés.
Marre de cette lamentable parodie d’harmonie illusoire
Et de toute cette médiocrité ordinaire aux effets négatifs
Fondues dans l’intermittence de paradoxes amplifiés.
(A SUIVRE)
P. MILIQUE
09:03 Publié dans GOUTTES d'ÂME, NOUVELLES | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, premier abord, dérober, compréhension, fouiller, ressac, vertigineux, signe, un jour, tailler dans le vif, controverses, pointer du doigt, désaccord, incohérence, flagrance, s'accrocher, émotion, passer, sanctifier, aventure, bonheur, obsolete, subir, ennui, majuscule, exceptionnel, devenir, ba, al, le jour tombe, croire, savoir, nommer, installer d'emblée, désespérant, sensation, frustration, malentendu, éprouver, réel, histoire, movementé, modification, succession, suite, ininterrompu, décaage, obscène, silence, au fur et à mesure