22/10/2013
DIDIER ASCHOUR, GUITARES SONORITÉS MES CORDES ET MON E-BOW «TROUVER QUELQUE CHOSE QU'ON NE CHERCHE PAS»
DIDIER ASCHOUR, GUITARES
SONORITÉS
(15)
MES CORDES ET MON E-BOW
(5’30’’)
«TROUVER QUELQUE CHOSE QU'ON NE CHERCHE PAS»
Ne comptez pas sur le Montpelliérain pour pousser son auditoire dans les cordes. Ce guitariste subtil, fondateur de l'ensemble expérimental Dédalus, préfère l'accord sensible à l'accord raide. Didier Aschour prouve que le minimalisme n'a rien à voir avec le (presque) rien. D'une vibration, d'un changement de ton, d'un glissando magnétique, c'est un monde qu'il fait disparaître et un autre qu'il fait renaître. Un chaos microscopique qu'il rend audible à l'oreille nue.
En partenariat avec le festival Sonorités (Montpellier).
Enregistrement : octobre 12
Mise en ondes & mix : Samuel Hirsch
Réalisation : Pascal Mouneyres
01:01 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, didier aschour, guitare, sonorité, cordial, e-bow, trouvailles, cjercjeur, pascal mouneyres, compter, montpellier, pousser, auditoire, guitariste, subtil, fondateur, ensemble expérimental, édalus, préférence, accord, sensible, raide, preuve, prouver, minimalisme, rien à voir, presque rien, vibration, changement de ton, glissando, magnétique, monde, faire disparaître, renaître, chaos, microscopique, rendre, audible, oreille, nue, nudité, en partenariat, festival sonorité, samuel hirsch
21/10/2013
LA CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER: 25/09/2013
LA CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER
25/09/2013
17:55 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : : au magma présent de l'écriture, noirceur, philippe meyer, crépusculaire, flamenco, triangulaire, éléctif, mandater, areski belkacem, nicolas escudé, soliste, pianiste, horizon révolutionnaire, visionnaire, balancer, espérance, espérance de vie, histoire à dormir debout, larme de sang, nuit solitaire, étoile du berger, amertume, mélodie de nulle part, indifférence médiatique, voile de mariée, amour défunt, prononciation, femme aimée, tenir debout, larmes, guerre ce cessession, nuit américaine, sulfate, calcium, laboratoire, silicium, plastique, glutamate monosodique, obésité, étudier, investigation, fibromyalgie, symptome, insomnie
LE JOURNAL DE PERSONNE: "HALLUCINO-GÊNE"
LE JOURNAL DE PERSONNE
"HALLUCINO-GÊNE"
Percevoir ce que nul ne perçoit.
Tendre vers ce qui n’existe pas.
Entendre ce que personne n’entend.
Il y a un mot, je crois, pour distinguer l’irréalité de ces phénomènes : c’est … c’est l’hallucination.
L’hallucination pure, sans substance chimique ou toxique.
C’est tout le travail de l’affectivité… ce sont nos émotions, nos sentiments, nos passions qui donnent à l’irréel toute sa dimension :
Quand j’aime, j’adore ou j’adhère…
Je fais souvent exister… ce qui n’existe pas… comme si j’avais un gène hallucinogène qui me fait entrevoir le salut ou prétendre à l’absolu…
Drôle de gène, qui a des liens généalogiques avec l’idéologie, la démagogie, le songe et le mensonge politiques.
Certaines questions … deviennent du coup, hallucinogènes… ça aliène…
Ça endort … ça rapproche de la mort…
Un exemple très simple : La crise de la dette m’a toujours semblé irréelle. Songez-y!
Un exemple plus complexe : Le soulèvement du peuple syrien est un soulèvement réel… Mais soulèvement d’un peuple irréel… il faudrait y songer, peut-être ?
Méfions-nous de nous-mêmes… parce que ce sont toujours nos affections qui élaborent des syllogismes irréels, de faux raisonnements, de pseudos solutions qui agissent comme des matières hallucinogènes.
Hélas, les lendemains ne chantent pas…
Et moi-même qui vous parle ? Est-ce que j’existe vraiment ? Ou ne suis-je qu’une substance hallucinogène… qui vous prend la tête… parce que vous n’avez pas su la garder sur vos épaules!
12:49 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, bachar al-assad - crise de la dette - dette - et si tout n'était, michel drucker, face cachée, piercing, tatouage, pubis, démodé, traversier
L’AMITIÉ
L’AMITIÉ
C’est une chance insigne que d’avoir pu capter un jour
L’insaisissable et vital mystère qu’est toute rencontre essentielle,
Surtout lorsqu’elle prend la forme et la beauté tenace affichées
Par des femmes et des hommes secrets à la parole rare et fleurie.
Il peut nous arriver parfois d’apercevoir le semblable dans l’autre,
Quelqu’un avec qui se partage d’emblée une fraternité de pensée.
Cette reconnaissance sans équivoque induit l’amitié comme une évidence.
Mais cette évidence-là, débordante d’émotion pure, ne se parle pas !
Elle ne saurait s’expliquer non plus. Elle se vit. Et se prouve peut-être.
Dès lors, comment s’étonner lorsque, à l’embrasé d’un enfer de doutes
Et d’incertitudes fébriles et apeurés, j’en appelle à cette Amitié-là !
P. MILIQUE
09:26 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, amitié, chance, insigne, indigne, avoir, pouvoir, capter, jour, insaisissable, vital, mystère, rencontrer, essentiel, surcouf, prendre la forme, beauté, ténacité, afficher, femme, homme, secret, parole, rare, fleurir, arriver, apercevoir, semblable, partager, emblée, fraternité, pensée, reconnaissance, sans équivoque, induire, évidence, déborder, émotion, pureté, parler, savoir, s'expliquer, vivre, prouver, s'étonner, embraser, enfer, doute, incertitude, fébrile
20/10/2013
LA CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER: 24/09/2013
LA CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER
24/09/2013
17:11 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, noirceur, philippe meyer, crépusculaire, flamenco, triangulaire, éléctif, mandater, areski belkacem, nicolas escudé, soliste, pianiste, horizon révolutionnaire, visionnaire, balancer, espérance, espérance de vie, histoire à dormir debout, larme de sang, nuit solitaire, étoile du berger, amertume, mélodie de nulle part, indifférence médiatique, voile de mariée, amour défunt, prononciation, femme aimée, tenir debout, larmes, guerre ce cessession, nuit américaine
LE JOURNAL DE PERSONNE "DES MILLIONS DE DÉLAISSÉS: ÉMOI, AIME-MOI ET MOI! "
LE JOURNAL DE PERSONNE
"DES MILLIONS DE DÉLAISSÉS: ÉMOI, AIME-MOI ET MOI! "
Il faisait froid… c’était peu avant minuit
Je remontais la rue Mouffetard quand je l’aperçu..
Au pied du mur il était assis
Il leva les yeux et me sourit…
Il a toujours été là, ce sans abri
Mais cette nuit… tous les deux nous fûmes surpris
Par un étrange sentiment de déjà vu
Peut-être l’incongru de nos deux vécus
Je ne l’ai pas connu…il ne m’a pas connu
Mais nous nous sommes reconnus
Comme deux inconnus mis à nu
Parce qu’ils vivent dans la même rue
Entre quatre murs pour l’une
Aux quatre vents pour l’autre
Un instant de toute intensité entre deux existants qui ignorent pourquoi Il en est ainsi et ne peut en être autrement.
La fragilité, la précarité, la pauvreté de notre condition… peut-être ?
J’ai beau être nourrie, logée et chérie
Je ne pus m’empêcher de ressentir
Une certaine proximité avec cet homme sans intimité
s.d.f. comme il dit, et qui incarne à lui tout seul,
Tous mes griefs contre la banalisation de ce mal social
Je me sentie tout aussi abandonnée
Ni pitié, ni empathie
Ce fut comme un éclair de lucidité
J’y voyais soudain plus clair dans cette épaisse obscurité
Et le réel me devint insupportable… inacceptable
Je l’ai invité aussitôt chez moi
Pour y passer la nuit… toutes les nuits.
Il refusa avec un soupçon de majesté
Il eut peur… mais de quoi?
Il préférait son sort à mon confort…
Et ne voulait l’échanger pour rien au monde…
Parce que cela faisait partie de son odyssée,
De son échappée… belle
De son bras d’honneur au mutisme de son prochain.
Je ne pus m’empêcher de lui poser cyniquement la question :
S’il ne trouvait pas bizarre de me voir insister à ce point
Pour l’embarquer dans mon pied à terre…
Il me répondit sans malice qu’il n’est pas du tout étonné…
Parce qu’il est persuadé d’être… l’homme de ma vie
Je ne sais pourquoi, je fus bouleversée
Comme s’il m’avait révélé… la seule vérité vraie :
« Reconnais-toi toi-même »
Sur le champ, je n’eus, ni cette reconnaissance, ni cette intelligence…
Après, je l’ai regretté comme jamais
Parce qu’il était bel et bien, l’homme de ma vie
Le lendemain, le SAMU a retrouvé un corps gisant par terre
Mort de faim et de froid… c’était lui…
Non… je ne vous raconte pas d’histoire
C’est à moi que je la raconte!
13:02 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, clochards - deux millions de pauvres - entre la vie et la mort -, patauger, mutadis mutandis, esprit sain, groin, jambon, rein, curiosité, appendice, imposer, rosier, coccyx, juliette nourredine, jeter, poudre, potion, ulysse, pénélope, sacrilège, un homme dans chaque port, déglinguer, goret, transformiste, enivrer, fric, charognard, vermine, vautour, denteler, couler dans les veines, fureur, vice, avarice, prédateur, sinistose, police, veugle, sourd, sacrifice, pitié, amour, amour défunt
UN SON DANS LE SILENCE 2
A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter) le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...
UN SON DANS LE SILENCE
2
Il n’est pas improbable que je ne te parle là que d’un réel inexistant !
D’un monde d’indifférents peut-être. Mais, faire comme si le soleil…
Tu sais, mes mots ne font que poser une équation aux termes inconnus.
En mon tréfonds, je joue avec tes mains, avec tes regards, avec tes lèvres.
Je joue à chavirer en une apnée bienfaitrice. Je joue à être bien ensemble.
Je joue avec le prolixe du pas encore donné, avec l’émouvant du déjà reçu.
Je garde partout sur moi les marques de ta présence éloquente de volupté,
Et j’accompagne partout ton urgence démesurée, attentif à ne pas te perdre.
De cet éclat d’insaisissable il ne restera rien : au soleil noir de ton absence
Ton amour balise s’est peu à peu atomisé en un lourd silence réprobateur
Me condamnant à rejoindre l’ombre impétueuse des frontières inassouvies.
(FIN)
P. MILIQUE
09:27 Publié dans GOUTTES d'ÂME, NOUVELLES | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, improbable, parler, réel, inexistant, monde, indifférent, soleil, savoir, mot, poser, équation, terme, inconnu, tréfonds, jouer, main, regard, lèvre, chavirer, apnée, bienfaitrice, être bien ensemble, prolixe, donner, émouvant, recevoir, garder, emporter, papaoutay, marque, présence, éloquente, olupté, accompagnenr, urgence, démesuré, attentif, perdition, éclat, insaisissable, rester, noir, absence, amour, balise, atomiser, lourd, silencieux
19/10/2013
LA CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER: 23/09/2013
LA CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER
23/09/2013
17:48 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, philippe meyer, allain leprest, goya, éphémère, panse, lèvrier, insouciance, crever, innocence, embuscade, parure, gasconnade, thibaud couturier, briller, eclater, dessiner, forme, déviance, sournois, perversité, danse du ventre, hispanisant, généreux, corps, bizarre, décibel, chant paillard, dévisager, dentelles, éclat d'obus, cavalcade, semaine, décoration, inventer, souvenir, empirer, majordome, apprendre, lumière, compréhension, hasard, choisir, devinette, plongeoir, dernier soupir, parentèle, rassurer, brancher, porosité
LE JOURNAL DE PERSONNE: "LES MAUVIETTES"
LE JOURNAL DE PERSONNE
"LES MAUVIETTES"
Vous vous levez un matin…
Et vous tombez de haut, en apprenant que vous n’étiez rien qu’une couverture pour l’homme de votre vie, qu’il ne vous a épousé que pour dissimuler sa véritable identité, sa véritable activité, sa double vie puisqu’il est agent trouble… un espion ou quelque chose dans le genre qui s’est servi de vous, sans que vous ayez l’ombre d’un soupçon!
Moralité : Vous avez été victime d’un coup monté…
Victime expiatoire condamnée à broyer du noir.
Ne croyez surtout pas que vous êtes en dehors du coup…
Parce que vous y êtes pour beaucoup.
On ne vous l’a peut être jamais dit , mais si, mais si…
L’histoire n’est pas autre chose qu’un scénario… montée par un salaud et racontée à un idiot.
Ainsi font, font, font… les marionnettistes à leurs petites marionnettes.
Il n’y a pas plus tragique que la politique :
Derrière chaque peine, il y a une mise en scène…
Parce que le monde se divise en deux : Les méchants d’un côté… et les mauvais de l’autre.
Je vous rassure, les plus à plaindre sont en même temps les plus à craindre :
Les mauvais… les sots… et tous ceux qui vous ressemblent et qui veulent nous faire croire qu’il y a autre chose que des méchants et des mauvais…
Je les appelle : les mauviettes…
Le plus simple c’est de vous creuser la tête au lieu de vous laisser absorber par des histoires sans queue ni tête !
Réécrivez votre scénario si vous ne voulez pas jouer dans celui d’un autre. Et comme je suis un peu allumée, je ne peux pas m’empêcher de vous éteindre.
12:36 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, balancer, ronger, front, transpercer, crâne, leprest, couteau, sculpter, allumer le bois, étoile naine, maître, collier, se promener, cotentin, train, inscription, embruns, brume, ventre, obésité, baleine, poumon, haleine, plancton, ramper, respect, horaire, ferraille, entretenir, passer, ensabler, marin, allumer, nuageux, chenal, aiguillage, pacifique, lêcher, coquillage, flotter, guernesey, lèvres humides, gosse, tag, vague, pêcher, escargot, beauté
UN SON DANS LE SILENCE
UN SON DANS LE SILENCE
1
La vérité est qu’il ne résonne guère de sons dans mon silence !
J’arpente d’une rage fiévreuse la nuit froide et douloureuse
En attendant, avec une impatience qui n’exclut pas la sérénité,
L’aurore à poindre qui m’apportera quelques espérés mots de toi
Des mots qui me parleront, qui te diront, te raconteront à moi.
Ils seront les prémisses de la fin d’une nuit cependant inachevée.
En chacune de mes heures entêtées, mon insatiable pense à toi.
C’est loin d’être une torture que de te penser en guise de soleil.
Lorsque je pense à toi, je te pense dans l’éclat d’une joie majuscule,
Dans la joaillerie caressante de ton doux regard éclairé de sourires,
Dans ta présence déterminante à me rendre heureux clandestin.
Ce bonheur au galop déferle en vagues rugissantes de plaisir puis,
J’inspire l’ineffable à grandes lampées : c’est si bon que tu vives tant !
( SUIVRE...)
P. MILIQUE
09:14 Publié dans GOUTTES d'ÂME, NOUVELLES | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, son, silence, vérité, réonner, guerre et paix, arpenter, rage, gièvre, nuit froide, douloureux, attendre, impatience, exclure, sérénité, aurore, poindre, apporter, espérer, mot, parlotte, dire, raconter, être, prémisses, fin, nuit, inachevé, chacun, heure, entêté, insatiable, penser, loin, torture, en guise, soleil, éclat, joie, majuscule, joaillerie, caresser, ton doux, regard, éclairer, sourire, présence, déterminant, déterminer
18/10/2013
SONGE CARESSANT
SONGE CARESSANT
Sur l'étroit sentier du jamais encore foulé
Surgit parfois l'inattendu et le déroutant.
Les forces de l'ordre et du désordre
Qui trament l'imaginaire amoureux
Installent un rapport inédit au monde.
S'il est un chemin sur lequel il est aisé de se perdre,
C'est bien celui, quêteur, qui se cache
Sous l'envoûtante flambée d'amour.
Victime de ses propres égarements,
Il perçoit le retour d'une lumière dans le désert
Qui devient rayonnement d’extrême douceur.
Petit miracle de sensibilité et de délicatesse
Débordant d'une toute puissance sublime et dérisoire
Qui ouvre grand l'horizon d'un probable
Et transforme la vie en songe caressant
Ne serait-ce que pour brûler un peu de désespérance.
P. MILIQUE
17:49 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : caresse, amoureux, amour, envoûté, sensibilité, douceur, sublime, délicatesse, égarements
BELLE OBSTINATION
BELLE OBSTINATION
Il y a comme une belle obstination
Du corps à être heureux.
Moment de feu où l'on s'éprouve enfin
Au cœur choisi d'une harmonie toute mystérieuse
Qui assume avec candeur l'avidité de ses désirs.
Rien de plus urgent alors que d'éviter la norme
Et, au terme d'un long et douloureux travail sur soi,
Devenir assez lucide pour être pessimiste.
Issue parvenue d'emblée évidente, à l'approximation grossière
Qui consumera toutes les heures d'or du matin.
P. MILIQUE
12:45 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : corps, heureux, obstination, harmonie, désir, mystère, pessimiste, or