21/09/2013
COURT-METRAGE
COURT-METRAGE
C'est un peu comme s'enfoncer dans une forêt,
Véritable cathédrale sonore patiente
Qui module sans fin la mélodie du temps.
Par la fenêtre nue laissant filtrer
La pâleur exténuée d'un jour éteint.
La porte est ouverte sur un couloir sombre
Dans l'attente d'un événement qui viendra dire
Que la survie reste l'enjeu essentiel.
Dès lors, pourquoi s'étonner encore
Des points d'interrogations médusés
Que l'on a tous dans nos yeux désabusés,
En nous infligeant le spectacle référent
Du seul court-métrage qui soit intéressant:
Celui d'une vie ciselée dans le marbre des sourires.
P. MILIQUE
05:00 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : court-métrage, s'enfoncer dans la forêt, cathédrale, sonorité, patience, moduler, la mélodie du temps, fenêtre nue, laisser filtrer, pâleur exténée, jour éteint, porte ouverte, couloir sombre, dans l'attente d'un événement, survie, enjeu essentiel, s'étonner, point d'interrogation, médusé, yeux désabusés, infliger, spectacle référant, intéressant, vie ciselée, dans le marbre des sourires
20/09/2013
A L’INFINITIF
A L’INFINITIF
Rester une fois encore à l’écoute de la nuit qui tombe
Flâner, en marche pour l’insaisissable
Tenter de se soustraire à la brutalité du monde
Se révolter avec la délicatesse d’un espoir insensé.
Irradier de tout son éclat les noires interrogations
Arpenter des territoires à la fois charnels et invisibles
Se dresser face à l’absurdité dominante
Changer le cours vertigineux de la passion.
Déchiffrer les ténèbres jusqu’à la démesure
Explorer avec obstination d’autres intérieurs
Fragmenter les rêves, trop souvent réducteurs
Regretter amèrement les espoirs déchus.
Perturber avec sérénité la trop parfaite harmonie
Soigner à l’intérieur pour ne pas être vu
Se reconnaître malgré l’obscurité
S’abolir dans la conscience douloureuse d’une chape d’amertume.
Avoir le sentiment poignant d’une présence illusoire
Dériver prostré sur un lac d’impressions étranges
Obéir aux tourbillons sensoriels
Partager le malaise des forces obscures.
Neutraliser les contraires d’un monde disparate
Détester la beauté, surtout si elle est silencieuse,
Escamoter les lieux aux apparences fuyantes
Traverser la démesure ravageuse du sublime.
Aimer les tourments, les envolées émotionnelles,
Disperser les lignes de rupture au-delà des zones plus que lointaines
Mettre en évidence la présence potentielle des possibles
Se désespérer au quotidien dans une solitude tendue à l’extrême.
Être aux prises avec ses propres déchirements
Avoir, illuminé, des fulgurances surréalistes
Se faire voler la vie par inattention
Proférer tranquillement de misérables mensonges.
Respirer intimement, tout en pudeur,
Initier une troublante rencontre au seuil d’horizons magiques
Chercher d’instinct de la douceur dans le souvenir prégnant de la tendresse
Se sentir aspiré par le tourbillon impétueux des eaux troubles.
Avoir des exigences démesurées
Faire passer la vie dans les mots
Relier, avec application, tous les fils ténus
Se préserver des effets pervers d’une mémoire seulement désireuse d’oubli
Maintenir l’ombre de l’absent dans l’ombre de l’absence
Observer que les morts aimés ne meurent jamais.
Comment échapper à la pesanteur des mots ,
A leur rugosité dérangeantes?
Avec beaucoup d’inconscience, j’ai entr’ouvert l’armoire des mots
Pour les utiliser avec beaucoup d’humilité.
Les voilà maintenant jetés en pâture
Ils s’abîment déjà et crissent sous les pieds agressifs
D’un temps qui passe au plus près d’une ombre défaillante.
Celle, obsédante, du miracle précaire de l’écriture.
P. MILIQUE
17:31 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, à l'ecoute, la nuit tombe, flâner, en marche vers l'insaisissable, tenter de soustraire, la brutalité du monde, se révolter, délicatesse, espoir insensé, irradier de tout son éclat, noires interrogations, arpenter les territoire, charnel, invisible, se dresser, absurdité dominante, changer le cours de l'histoire, vertige de la passion, beaucoup d'inconscience, l'armoire des mots, beaucoup d'humilité, jeter en pâture, s'abîmer, crisser, pieds agressifs, le temps qui passe, ombre défaillante, obséder, miracle précaire, écriture, écrivain
TOMBENT LES MASQUES 1
TOMBENT LES MASQUES
1
Cela claque tel un coup de tonnerre dans un ciel bleu.
Soudain s’affiche, aveuglant, la prise de conscience
D’un désamour cinglant rejeté aux berges acérées,
Assujettie à la stridence d’un cri trop longtemps refoulé.
L’amour n’est plus, il le sait, seulement son reflet trouble.
Maintenant que l’inespéré bonheur s’affiche désintégré,
Quelle relation entretenir encore dans l’ourlet noir du cœur ?
Avoir mis tout ce temps pour parvenir à pareille conclusion
Relève sans nul doute d’une incommensurable naïveté,
D’une cécité cérébrale au plus proche de l’exacerbé,
D’un parti pris trop tôt résigné face aux choses de la vie,
D’une inconséquence grave doublée d’atterrante candeur.
(A SUIVRE)
P. MILIQUE
09:55 Publié dans GOUTTES d'ÂME, NOUVELLES | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : u magma present de l'ecriture, tomber, masque, tomber le masque, claquer, couperet, tonnerre, ciel bleu, afficher, aveugler, prise de conscience, désamour, cinlant, cingler, berge, acéré, assujettir, stridence, cri, longtemps, refoulé, amour, savoir, reflet, trouble, inespéré, bonheur, désintégré, relation, entretenir, ourlet, noir, coeur, mettre du temps, parvenir, pareil, conclusion, relever, nul doute, incommensurable, na£iveté, cécité, cérébral, proche, exacerbé, parti pris, tôt ou tard, résigné, chose de la vie
SI NOUS VIVIONS EN 1913: LA LOI DE 3 ANS
SI NOUS VIVIONS EN 1913
LA LOI DE 3 ANS
Aujourd’hui, une loi qui a enflammé l’année 1913 : la loi de trois ans.
Antoine PROST préside la mission du centenaire de la première guerre mondiale, dont France Inter est partenaire
Si nous discutions politique en 1913, nous parlerions probablement de la loi de 3 ans. C’était le grand sujet de débat, c’était de cela que l’on discutait. La question était assez simple. L’Allemagne était plus peuplée que la France, 67 millions d’habitants contre 39……
00:05 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, survivre, décret, loi, annuité, missionné, partenariat, discuter, politique, antoine prost, parler, probabilité, grand, sujet, débat, question, simplicité, jean jaurès, conception, périmé, dogme, dogmatique, adoption, allemagne, peupler, france, million, habitant, enjeu, quartier, impulser, impulsion
19/09/2013
A VOTRE ÉCOUTE COÛTE QUE COÛTE: "LE COUPLE QUI VOULAIT UNE MACHINE A LAVER LE LINGE"
A VOTRE ÉCOUTE COÛTE QUE COÛTE
"LE COUPLE QUI VOULAIT UNE MACHINE A LAVER LE LINGE"
À votre écoute, coûte que coûte est une dramatique radio quotidienne écrite et jouée par Zabou Breitman et Laurent Lafitte et diffusée sur France Inter entre le 16 janvier 2012 et le 29 juin 2012. D'une durée de sept minutes, elle est diffusée à 12 h 23, entre Les Affranchis et Carnets de campagne.
L'émission est une parodie présentée comme une émission de libre antenne sur la santé. Deux acteurs jouent un couple de spécialistes composé de Margarete de Beaulieu, psychothérapeute et son mari Philippe de Beaulieu, médecin ; ils répondent aux questions de faux auditeurs, en débitant « les pires des clichés racistes, homophobes, sexistes et réactionnaires.
Source Wikipédia
http://fr.wikipedia.org/wiki/Wikip%C3%A9dia:Accueil_principal
13:48 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : : au magma present de l'ecriture, : au magma present de l'ecriture, a votre écoute, coûte que coûte, femme, même pas vrai, dramatique, radio, quotidien, écrire, jouer, zabou breitman, laurent lafitte, diffuser, france inter, durée, affranchis, carnet de campagne, émission, parodi, présenter, libre antenne, santé, acteur, couple, spécialiste, composer, margarète de baulieu, psychotérapeute, philippe de beaulieu, médecin, répondre, question, faux, auditeur, débiter, empirique, clichés racistes, homophobe, sexiste, réactionnaire, wikipédia, aimer, gaufrette, caniche, aboutir, fantasme, majorité, caricatural, aimer les femmes
AU PRÉSENT DÉSACCORDÉ
POUR TOI CHRISTELLE
Bertrand BELIN
interprète
"J'aime regarder les filles"
de
Patrick COUTIN
AU PRÉSENT DÉSACCORDÉ
Dans la chronologie de ton instant, le présent est désaccordé.
Assujettie à la terrible soumission d'un étau tragique,
Ton corps révolté fracasse les labyrinthiques obstacles.
Là où les interférences se chevauchent, tu renverses la perspective
Tandis que, d'actes prodigieux en élans vitaux, tu gravis les peut-être.
L'espoir affamé a occulté l'immédiat, l'intruse parenthèse se referme,
Le temps régénéré est contraint de renouer avec les commencements
Et l'inéluctable reconstruction en cours terrasse l'assourdissant silence.
Ton soleil secret a restitué la joie des goûteux bonheurs minuscules,
Espace chargé de toi où l'horizon s'éclaire au prélude des demains,
Avenir en héritage riche de quartz de tendresse à la beauté farouche.
Au détour de l'initial, nous t'attendons. Prends ton temps, tu es là!
P. MILIQUE
11:53 Publié dans GOUTTES d'ÂME, MUSIQUE | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, désaccordé, christelle, bertrand belin, aimmer, regarder les filles, patrick coutin, chronologie, assujettir, terrible, soulission, tau, tragique, corps, révolté, fracasser, labyrintuique, obstacles, interférence, chevaucher, renverser, perspective, acte, prodige, prodigieux, élan, vital, gravir, espoir, affamer, occulter, immédiat, parenthèse, refermer, tempête, régénérer, contrainte, renouer, commencement, inéluctable, reconstruction, en cours, terrasser, assourdissant, silence, soleil, secret, restituer, joie, goûteux
COMPRESSION D'HORREURS
COMPRESSION D'HORREURS
Il y a ce qui lui procure cette étrange sensation:
Quelque chose qui tient de l'ordre du trouble,
Alors qu'il n'est que cet état étrange jamais fixé
Dans l'acceptation plausible de ce qu'il est.
Comment rendre compte au plus précis, la déflagration
Qui se produit parfois à l'intime flou des êtres?
L'apprentissage permanent qu'exige le métier de vivre
Bouscule la borne-frontière de sa pensée en mouvement
Qui lui impose de n'exister qu'à la marge de son temps.
Dans un monde emporté par une transe inhumaine,
Errements d'ombres furtives au cauchemar d'une nuit,
S'érige en sculpture-tourments une compression d'horreurs
Dans le silence assourdissant qui succède au vacarme.
P. MILIQUE
09:14 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, compression, horreur, procurer, étrange, sensation, chose, tenir, ordre, trouble, étatique, étranger, fixer, acceptation, plausible, rendre compte, compte-rendu, précis, précision, féflagration, se produire, intime, filouter, flou, être, apprentissage, permanence, exiger, métier, vivacebousculer, borne, frontière, pensée, en mouvement, impser, exister, à la marge, tempête, mondial, emporté par la foule, transeninhumain, errement, ombre, furtif, cauchemar, nocturne, s'ériger, sculpture, tourment, silence assourdissant
H-BURNS EN CONCERT LE BIKINI TOULOUSE
05:07 Publié dans GOUTTES d'ÂME, MUSIQUE | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, h-burns, le bikini, toulouse, téléphoner, salope, lier connaissance, cinéma, singe, déconner, travailer, épreuve, difficile à dire, authentifier, pédophile, arbre généalogique, se reproduire, épouvantable, faire l'amour, à l'envers, se présenter, perfection, aigri, rencontrer, décharge, ciel, nuage, dormir, autoroute, sud, casser la croûte, manger, orteil, chatouiller, soleil, bretelle, paris, montmorency, banlieue, caresser, permettre, avaler, expresso, fracasser, mourir, pimprenelle, café, donner des ailes, mère
SI NOUS VIVIONS EN 1913: L’ARMÉE
SI NOUS VIVIONS EN 1913
L’ARMÉE
Aujourd'hui, l'Armée…
Antoine PROST préside la mission du centenaire de la première guerre mondiale, dont France Inter est partenaire.
Si nous vivions en 1913, nous serions très surpris de la présence des militaires. On les voyait beaucoup. On voyait d’abord les casernes construites pour la plupart depuis 1871 elles étaient alors dans leur neuf et elles occupaient de la place, beaucoup de place...
00:55 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, antoine prost, armée, prospectus, vivre, surprise, présence, militaire, voir, caserne, construire, construction, neuf, neuvaine, occuper la place, auditeur, place d'armes, associer, financement, bâtir, lucratif, ressourcer, denrées, jouer, enrôler, localité, exercice, individuel, permission de sortie, couple, jardin public, maison bourgeoise, lieu commun, bonne société, officier, formation, notable, saint-cyr, polytechnique, classe préparatoire, lieutenant, colonel, instituteur, ministère, dot, prophète, placement, refuge, servir la france, république
18/09/2013
A VOTRE ÉCOUTE COÛTE QUE COÛTE: "LA FEMME QUI VOULAIT UN QUART TEMPS"
A VOTRE ÉCOUTE COÛTE QUE COÛTE:
"LA FEMME QUI VOULAIT UN QUART TEMPS"
À votre écoute, coûte que coûte est une dramatique radio quotidienne écrite et jouée par Zabou Breitman et Laurent Lafitte et diffusée sur France Inter entre le 16 janvier 2012 et le 29 juin 2012. D'une durée de sept minutes, elle est diffusée à 12 h 23, entre Les Affranchis et Carnets de campagne.
L'émission est une parodie présentée comme une émission de libre antenne sur la santé. Deux acteurs jouent un couple de spécialistes composé de Margarete de Beaulieu, psychothérapeute et son mari Philippe de Beaulieu, médecin ; ils répondent aux questions de faux auditeurs, en débitant « les pires des clichés racistes, homophobes, sexistes et réactionnaires.
Source Wikipédia
http://fr.wikipedia.org/wiki/Wikip%C3%A9dia:Accueil_principal
17:50 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, : au magma present de l'ecriture, a votre écoute, coûte que coûte, femme, même pas vrai, dramatique, radio, quotidien, écrire, jouer, zabou breitman, laurent lafitte, diffuser, france inter, durée, affranchis, carnet de campagne, émission, parodi, présenter, libre antenne, santé, acteur, couple, spécialiste, composer, margarète de baulieu, psychotérapeute, philippe de beaulieu, médecin, répondre, question, faux, auditeur, débiter, empirique, clichés racistes, homophobe, sexiste, réactionnaire, wikipédia, aimer, gaufrette, caniche, aboutir, fantasme, majorité, caricatural, aimer les femmes
LE JOURNAL DE PERSONNE: "COMMENT LUTTER CONTRE LE LE JOURNAL DE PERSONNE: "COMMENT LUTTER CONTRE LE HARCÈLEMENT SUR LE NET ?" SUR LE NET ?"
LE JOURNAL DE PERSONNE
"COMMENT LUTTER CONTRE LE HARCÈLEMENT SUR LE NET ?"
- Vous êtes harcelé sur internet et vous en avez par dessus la tête?
- Vous êtes trainé dans la boue et vous vous sentez à bout ?
- On a fait de votre nom, de votre vie, de votre histoire, un enfer et vous ne savez plus quoi faire ?
- On a souillé votre existence et remis en cause vos compétences sans vous laisser la moindre chance ?
- On a propagé et entretenu des rumeurs à votre encontre pour que vous cessiez d’être le centre ?
- On a multiplié les coups, réuni des témoins conçu un complot pour vous faire la peau ?
- On vous a défiguré dénaturé diabolisé pour vous isoler?
- On a étalé au grand jour vos photos, vos vidéos et rendu public votre jardin secret?
13:37 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriturele journal de personne, lutter, harcèlement, sexuel, par dessus, traîner dans la boue, se sentir à bout, nomminer, vie, histoire, enfer, souiller, existnce, remise en cause, compétence, pas la moindre chance, propager, entretenir, rumeur, encontre, cesser, centrer, multiplier, coupure, réunion, témoin, concevoir, complot, faire la peau, défiguré, dénaturé, diabolisé, isoler, étaler au grand jour, photo, vidéo, rendre public, jardin secret
SI NOUS VIVIONS EN 1913: LE SERVICE MILITAIRE
SI NOUS VIVIONS EN 1913
LE SERVICE MILITAIRE
Suite des questions politiques au début du XXe siècle. Aujourd’hui, la conscription.
Antoine PROST préside la mission du centenaire de la première guerre mondiale, dont France Inter est partenaire.
Le service militaire a aujourd’hui disparu. En 1913, c’était une institution majeure de notre société. Cette année là sa durée fût portée de deux à trois ans…. Aujourd’hui les adolescents deviennent des hommes au terme d’une longue évolution qui les fait passer progressivement de leur famille et des études à l’autonomie et au travail….
00:14 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, écouter, antoine prost, serice militaire, vivacité, politique, dispataître, institution, majeur, société, durée, portée, adolescent, devenir un homme, terme, langueur, évolution, passer, progressif, famille, étidier, autonomie, travail, certificat, constat, satisfaire, loi, recrutement, tableau, recensement, communal, concourir, formation, délivrer, département