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12/12/2013

ESSAIM DE COCCINELLES A TAXCO (MEXIQUE) LE 13 NOVEMBRE 2013

(Captation Personnelle)

 

ESSAIM DE COCCINELLES

A TAXCO 

(MEXIQUE) 

LE 13 NOVEMBRE 2013

27/11/2013

MILIEU INHOSPITALIER

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Cette photo a été empruntée sur Internet:

http://www.agora-photo.com/hopital-abandonne-12880.html

Elle est la propriété exclusive de  Kangbleu

 

 

MILIEU INHOSPITALIER


Esseulé dans un milieu inhospitalier,
Toile de fond menaçante et triste à l'immensité aride
Qui marque de noir les choses et les êtres.

Comment supprimer la solitude de ces espaces glacés
Et noyer sa douleur dans l'infinitude de ce microcosme ?

Comment faire pour que les eaux rugissantes de la colère
Ne se laissent volontairement submerger par le désir de révolte ?

Économie de mots, de gestes, de paroles et de sentiments
Dans une poussée intime inscrite
Au tréfonds expérimental qui endurcit.

Au dehors, c'est la nuit sombre,
Monde de brumes et de pluies arrogantes
Qui cache mal son secret brûlant.

 

P. MILIQUE

05/06/2013

CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER : 05/06/2013

 

CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER 

05/06/2013

01/04/2013

PRINTEMPS DES POETES 2013 : Anthony PHELPS "Le siècle se défait d'un long calendrier"

 

PRINTEMPS DES POETES 2013 

Anthony PHELPS

"Le siècle se défait d'un long calendrier"

 

Orchidée nègre, 1987

 

Lu par Réda KATEB

 

Tiré du recueil Orchidée nègre (1987), ce poème est publié dans l'anthologie proposée par par les éditions Bruno Doucey pour cette 15ème édition du Printemps des Poètes.

 

 

 

 

20/03/2013

INITIALEMENT FATAL

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INITIALEMENT FATAL

 

Chaque mot que j'écris là perle d'une profonde blessure.

 

Lorsque la souffrance devient aussi palpable,

La rage dilatée ne peut plus se contenir

Et noie tout dans une gangue de nuit et d'horreur.

 

L'enfer sur terre, c'est la mort lente !

 

Quel effroyable malentendu dans ce long murmure

Qui impose de faire face, armé d'inutile dignité,

A une situation aussi obscène que douloureuse.

 

Corps-à-corps convulsés jusqu'à l'ultime,

Jusqu'au terme d'une vie initialement fatale.

 

P. MILIQUE

23/02/2013

L’HUMANITÉ DÉSINTÉGRÉE

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L’HUMANITÉ DÉSINTÉGRÉE

 

Il est comme dans une étrange bulle de noirceur,

Dans la mort intime d'une absence consentie au monde

Initiée par l'inaction qu'il faut barder d'artifices

Pour tenter de le rendre accessible et acceptable.

 

Personne ne peut sortir indemne d'aussi terrifiantes

Interrogations sur les cauchemardesques résonances possibles.

 

Les mots paraissent noyés sous un flot de sang et d'horreur

Face à la vivacité et la propagation foudroyante

De l'effroi déversé sur cette humanité désintégrée.

 

Comment protéger des peurs et des larmes à verser

Nos enfants durement exposés, seul porteurs d'avenir?

 

P. MILIQUE

22/02/2013

LE CHANT DU DESTIN

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LE CHANT DU DESTIN

 

Parce qu'il s’indigne sans cesse des aveuglements qui perdurent

Dans un monde qu'il pressent inhabitable pour une durée indéterminée,

Il entonne avec force le chant d'un destin désintégré

Qui l'éprouve faillible, fragile, et débordé par les événements.

 

Il perçoit tous les symptômes avérés d'une grande faiblesse

Et d'une rage acérée qui n'est que cri de frustration.

 

Maintenant il ressent une grande fatigue, pesante,

Qui sourd dans le flux empêché de ses membres.

Il ne jette que des regards désemparés et indécis,

Et bredouille des mots noyés aux larmes de ses pleurs

En se souvenant du cri de révolte et d'insoumission

Aussi inaltérable et infaillible qu'un atome saturé

Que cependant, confus, il ne parvient plus qu'à hurler.

 

P. MILIQUE

21/12/2012

NE PLUS RIEN ATTENDRE

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NE PLUS RIEN ATTENDRE

 

Tout est toujours tellement précaire et incertain!

 

Il habite, dans l’impossible de l’amour, un horrible hiver inutile

De bras impuissants à serrer sa détresse vive,

Au cœur fusionnel de sa vie qui au temps s’épuise.

 

Il sait bien qu’elle ne le voit pas,

Et il s’enferme dans une longue nuit,

Une nuit d’instants sans fin d'où les heures sont absentes

Car, ce qui ne peut devenir flamme, il faut le taire.

 

Misérable et comme noyé dans d’amères eaux invisibles,

Il comprend cette évidence de l’absolu dénuement

De ne plus rien attendre de cet amour qui n’a jamais été,

Tout en vivant l’horreur de le perdre quand même

Tel un fantôme sur la fumée d’une cigarette absente

Avec, ardentes, ces pensées d’elle qui le laissent trop seul.

 

P. MILIQUE

11/12/2012

LE CHANT DU DESTIN

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LE CHANT DU DESTIN

 

Parce qu'il s’indigne sans cesse des aveuglements qui perdurent

Dans un monde qu'il pressent inhabitable pour une durée indéterminée,

Il entonne avec force le chant d'un destin désintégré

Qui l'éprouve faillible, fragile, et débordé par les événements.

 

Il perçoit tous les symptômes avérés d'une grande faiblesse

Et d'une rage acérée qui n'est que cri de frustration.

 

Maintenant il ressent une grande fatigue, pesante,

Qui sourd dans le flux empêché de ses membres.

Il ne jette que des regards désemparés et indécis,

Et bredouille des mots noyés aux larmes de ses pleurs

En se souvenant du cri de révolte et d'insoumission

Aussi inaltérable et infaillible qu'un atome saturé

Que cependant, confus, il ne parvient plus qu'à hurler.

 

P. MILIQUE