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02/10/2013

A VOTRE ÉCOUTE COÛTE QUE COÛTE: "LA FEMME DONT LA FILLE AVAIT PEUR D'ALLER A L’ÉCOLE"

 

A VOTRE ÉCOUTE COÛTE QUE COÛTE

"LA FEMME DONT LA FILLE AVAIT PEUR D'ALLER A L’ÉCOLE"

 

À votre écoute, coûte que coûte est une dramatique radio quotidienne écrite et jouée par Zabou Breitman et Laurent Lafitte et diffusée sur France Inter entre le 16 janvier 2012 et le 29 juin 2012. D'une durée de sept minutes, elle est diffusée à 12 h 23, entre Les Affranchis et Carnets de campagne.

L'émission est une parodie présentée comme une émission de libre antenne sur la santé. Deux acteurs jouent un couple de spécialistes composé de Margarete de Beaulieu, psychothérapeute et son mari Philippe de Beaulieu, médecin ; ils répondent aux questions de faux auditeurs, en débitant « les pires des clichés racistes, homophobes, sexistes  et réactionnaires.


Source Wikipédia

http://fr.wikipedia.org/wiki/Wikip%C3%A9dia:Accueil_principal

26/09/2013

CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER: 04/09/2013

 

CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER:

04/09/2013

17/09/2013

SI NOUS VIVIONS EN 1913: LA FRANCE SERAIT UN EMPIRE

 

SI NOUS VIVIONS EN 1913

LA FRANCE SERAIT UN EMPIRE

 

Cette semaine Antoine PROST s’intéresse à la politique de 1913… Aujourd’hui l'Empire colonial.


Antoine PROST préside la mission du centenaire de la première guerre mondiale, dont France Inter est partenaire.


Nous condamnons aujourd’hui la colonisation et le colonialisme mais ce n’est pas une raison pour l’oublier. Ce fût un fait et un fait mondial. Au 19ème siècle la plupart des nations d’Europe occidentale possédaient des colonies…

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13/08/2013

DOULEUR D'AIMER

 

DOULEUR D'AIMER.jpg  

 

DOULEUR D'AIMER

 

C'est un concentré de féminité au regard étincelant.

 

Lui, se rend compte soudain qu'il a vécu jusque-là dans son attente,

Et qu'elle lui offre avec tellement de générosité,

Cette histoire qui sera la leur.

Parce que c'est un être tout d'amour et de tendresse,

Générateur de complicités bouleversantes

Qui ajoutent tellement de sens au mot-partage.

 

Il a grandi dans sa solitude,

Et c'est dans un état de grande fragilité

Qu'il se retrouve à se nourrir

De tous ces émois bruissants et foisonnants.

Il obéit, mécaniquement, à des impulsions intérieures inexplicables

Qui l'ouvrent à la découverte de sa capacité d'amour.

 

Les voilà ensembles, cœurs de porcelaine aux regards séduits,

A traquer les instants fragiles, les moments inoubliables.

De ces moments de prodigieuse harmonie où le temps soudain aboli

Provoque la rareté d'un état d'exaltation sublimée

Qui rend possible l'éblouissement immédiat.

Et, c'est l'inconcevable d'une réalité qui donne la main à l'imaginaire,

Pour atteindre à l'impossible pureté.

Pour fixer les enchantements d'un absolu d'émotions d'où s'extrait,

Souverain, leur diamant intérieur.

 

Il sait maintenant concevoir pour elle l'ivresse d'un amour perdu.

Un amour aux yeux serrés, sur fond de passion incestueuse

Qui adoucit les blessures du passé mais qui exprime

Encore, sa vulnérabilité.

Le bonheur a de tout temps eu partie liée avec le chagrin.

En devenant diaphane, il devient éphémère.

Même quand il est, croit-on, bien construit et solidement étayé,

Un jour il se meurt de trop d'évidences et,

Toutes les pauvres certitudes patiemment élaborées volent en éclats.

Tombe alors le froid glacial du crépuscule.

 

Il connaît alors le jour le plus désenchanté de sa vie.

Un jour fracassé de la plus aride sécheresse.

Il se sait condamné encore au lent naufrage

D'une vie ordinairement amenuisée.

Il entre dans un long tunnel extraordinairement sombre et froid,

Avec en lui la sourde désespérance

D'un temps définitivement immobile.

 

Il a pleuré comme jamais. Il s'est senti dépossédé.

L'échec lui est tellement insupportable,

Avec son lot de souffrances qui le mènent,

Au silence d'une douleur minérale.

Il est devenu un homme tourmenté.

Il est devenu un homme qui pleure.

 

Cependant, ils ont tellement mal,

Qu'il ne savent plus que se consoler mutuellement.

 

Et il ne l'abandonne, condamné, qu'avec la certitude

De l'ultime à la retrouver à jour.

Alors, avec cette envie furieuse et lancinante

De ne plus être ce qu'il ne sera jamais

Il s'enfonce, au comble de l'égarement,

Dans les avenues noires et encombrées

De la douleur d'aimer.

 

P. MILIQUE

 

24/06/2013

J'ACCUSE 32

J'ACCUSE.jpeg

 

J'accuse l'Homme

De s'interdire de sourire

A travers ses larmes,

Pire mème,

De ne jamais s'accorder

Le droit de rire

Aux moments tragiques.

Aux moments

Les plus veritablement tragiques.

13/05/2013

NILDA FERNANDEZ : "PAUVRE RUTEBOEUF" EN "ENFANT DE LEO"

 

NILDA FERNANDEZ

  "PAUVRE RUTEBOEUF"

EN "ENFANT DE LEO" 

SALLE EURYTHMIE

MONTAUBAN  

7 MAI 2013

10/02/2013

UNE HISTOIRE D'AMOUR GÂCHÉE

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UNE HISTOIRE D'AMOUR GÂCHÉE


C'est une histoire d'amour gâchée par les circonstances.
Par l'intervention du hasard.

Cette femme aux yeux de glace a désormais le regard vide.
Pour lui, elle était un chemin illuminé dans sa nuit.
Elle savait colorer de lumière la plus noire de ses journées,
Sûre d'elle dans sa fragilité.

Ce qui les a rapprochés est aussi ce qui les a séparés,
A force de partager un univers peuplé de semblables tellement différents.
Parce que l'harmonie des contraires, peut-être, n'existe pas.
Ou alors quand, gravés dans le bref,
Les coeurs battent une mauvaise chamade.

C'est l'insupportable désamour.
Tout se noie dans l'usure d'un temps que personne se sait dompter.
Les voilà condamnés à se déchirer aux pointes acérées
D'une douloureuse ronde d'amour et de haine.

Maintenant, sa mémoire est encombrée
Par les souvenirs pénibles des divergences et des brouilles.
Et puis les non-dits aussi,
Qui aggravent tout jusqu'à rendre plus sombres encore
Les couleurs de ces instants pétrifiés.

Alors désormais, il lui faut accepter l'inéluctable.
Il est confronté à l'intense douleur d'une insoutenable séparation.
Comment ne pas être submergé
Par le chaos dévastateur
De toute cette détresse ?
Et toute cette honte qu'il lui faut surmonter pour exister encore.

Il ne promène plus qu'une ombre déchue.
Celle de sa passion meurtrie.
Et il s'applique à ne plus vivre qu'au travers de l'absente.
Mais le chagrin lui, est si présent,
Qu'il ne sait plus que pleurer de ne plus pouvoir l'embrasser,
Ne serait-ce que du regard.

P. MILIQUE

30/01/2013

SE RENCONTRER ENCORE 17

RETROUVAILLES.jpeg

 

A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter)  le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...


SE RENCONTRER ENCORE

17


-- «Doriane, mon amour !... J'ai eu si peur. Tellement peur. Tout, autour de moi, s’effondrait dans le gouffre du définitif. Ton petit libellé me condamnait à vivre sans toi. A ne plus arpenter, le temps de l'éternité, qu'en une confrontation aussi impitoyable que forcenée, la violente promiscuité avec le peu que je suis...

 

Elle relève la tête qu'elle tenait baissée, rejette en arrière d'un mouvement machinal la longue mèche de cheveux qui barrait son front en un geste délicatement juvénile et, d'une voix chavirée par l'intense émotion de l'instant, dit: «Viens Clément, viens ? Il ne s'est rien passé mon chéri. Rien, tu entends ? Rien ! Nous venons seulement de nous rencontrer. Devant nous, rien que pour nous, il reste tout ce jusqu'à toujours pour nous rassasier de nos différences. Fini les heures douloureusement convalescentes. Aujourd'hui n'est que le premier jour.

(FIN)

 

P. MILIQUE

 

21/08/2012

JEUX OLYMPIQUES ET POLITIQUE: "JO 2008: Liesse populaire à Pékin et manif opposition tibétaine"

 

JO 2008

Liesse populaire à Pékin et manifestation de l'opposition tibétaine...

12 14. Edition nationale - 14/07/2001 - 01min59s


Reportage : La ville de Pékin a été choisie hier par le Comité international olympique (CIO) pour accueillir les Jeux de 2008. La capitale chinoise, qui partait largement favorite, a été élue dès le 2e tour de scrutin en obtenant avec 56 voix la majorité absolue des 105 votants. Des millions de Chinois sont descendus dans les rues de la capitale pour fêter l'évènement. Parallèlement, des groupes pro-tibétains et des opposants chinois exilés à l'étranger après l'écrasement du Printemps de Pékin en 1989 dénoncent les Droits de l'Homme bafoués dans cette dictature. Aujourd'hui, la justice chinoise vient de condamner un universitaire américain pour espionnage. Commentaire sur images factuelles et interview de Cai Chong GUO (opposant au régime en exil).


Générique

Nusbaum, Régis ; Luiset, Nicolas

15/07/2012

LE JOURNAL DE PERSONNE: "DECONNECTEZ-VOUS!"

Femme magnifique à l'intensité hors-norme.

Superbe et talentueuse...

A l'écriture riche et précise.

Il est important de ne pas passer à côté!

Ne manquez pas de vous rendre sur son site: c'est une mine!

http://www.lejournaldepersonne.com/

Ou sur sa chaine Youtube:

http://www.youtube.com/watch?v=VuiAdm6sSFE&feature=mfu_in_order&list=U


Le tribunal de l’opinion
Le Sanhédrin des temps anciens
Le Sanhédrin des temps nouveaux
S’apprête à me juger, à me condamner, à me crucifier
Et pourtant je n’ai rien fait d’autre qu’exister
Non… je ne dirai pas que je suis dans le vrai
Tout ce que j’éprouve, je ne pourrais le prouver
Ce qui est juste, n’a pas besoin d’être justifié
L’armée de l’ombre n’a pas besoin de mes lumières
Je crois… je crois que je vais me laisser faire
Pour rendre le fils ou la fille à son père
La liberté est partout dans les fers
Quand elle ne croit pas en elle, elle finit toujours en enfer
Non… je ne crois pas à la traversée du désert
Et je n’ai rien fait d’autre que d’aller de part en part de mon désir…
En attestant que l’Absolu est plus grand que le plus grand empire…
Et l’absolu qu’est-ce que c’est ?
C’est un secret… qu’aucune opinion ne m’arrachera jamais
Non je ne répondrai à aucune pression
Pourquoi?
Parce que je suis à l’image de celui qui m’a fait :
Une question sans réponse.

02/06/2012

L'HUMAINE CRUAUTE

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L'HUMAINE CRUAUTE


 

A intervalle régulier se ravive la troublante question

D'un passé semblant condamné à se répéter continument

En une chronique banale de l'humaine cruauté.

 

C'est l'arrière-monde que l'on découvre ébaubi

Traversé par quelques-un des secrets inouïs

Les plus inavouables d'une expérience philanthrope.

 

Seule la solidité et la réciprocité avérée

Confèrent à l'individu cette confiance en soi

Qui, poésie irradiante d'une sphère d'amour,

Tissera serré le solide de liens affectifs

Avec, pour seule finalité revendiquée,

L'acquisition longue à venir du respect de soi.

 

P. MILIQUE

12/05/2012

INDICIBLE NERVOSITE

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INDICIBLE NERVOSITE

 

Le problème n'aurait pu être qu'à peine perceptible,

Mais sa tête devient à nouveau lourde

Et il s'éprouve en proie à un état étrange,

Une profonde gêne, une nervosité indicible, accablante.

 

Il est sec d'une d'une contraignante et inextinguible soif

De ce rare lieu du cœur où se pavane l'esprit

Et, condamné à jeter beaucoup de temps au rien,

Il crie par la fenêtre à des voisins invisibles.

 

P. MILIQUE