01/02/2015
Jérémie BOSSONE
Jérémie BOSSONE n'a rien à dire?
Quel sémillant oxymore!
23:51 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, jérémie bossone, grandissime, théâtre du grand rond, toulouse, benjamin bossone, chanson française, frisson, émotion, sensation, qualité
30/11/2014
SUR LA PIERRE DE SON CŒUR 2
A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter) le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...
SUR LA PIERRE DE SON CŒUR
2
Le baiser est venu trop tardivement dans sa vie
Se déposer sur la pierre noire de son cœur durci,
L'onde s'est fourvoyée dans un vertige sans étoiles
Et il déambule à l'horizon d'une ombre spectrale,
Dans l'écho ténu d'une voix que la mort éteindra.
L'azur se prépare désormais linceul dans l'obscur
D'une camarde glacée par le feu atténué du soir,
Et le ciel conciliant l'apaise d'un frisson d'amour
Sous le drap protecteur qui l'enveloppe d'obscur.
(FIN)
P. MILIQUE
09:27 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, pierrade, nigeria, baiser, tardif, se déposer, pierre noire, coeur endurci, onde, fourvoyer, vertige, étoile, aventurier, indochine, déambulation, horizontal, ombre, spectre, écho ténu, voix, mort, vénus, éteignoir, azur, préparatoire, désolation, linceul, obscur, camarde, glaciation, feu, atténuer, soirée, ciel, conciliateur, apaiser, frisson, amour, draper, protectorat, enveloppe, ténèbres
15/06/2014
CHIMÈRES EFFONDRÉES
CHIMÈRES EFFONDRÉES
Être à l'affût d'un geste, aux aguets d'une attitude,
Qui restituera les lueurs crépusculaires
Dans la reddition des corps et l'amertume des cœurs
Parcourus d'un feu qui refuse de s'éteindre.
Mais la dalle des possibles doucement se lézarde,
Et l'obscure et folle terreur d'une fusion des extrêmes
Tisse serré une sorte d'intimité brève et singulière
A cet étourdi désœuvré au bord d'une folie
Déployant la nausée et les frissons.
Aux marges incertaines de la convulsion
C'est comme le testament d'un rêve déchu
Qui approche feutré sur la pointe de l'âme.
Dans l'incertitude requise au plus près d'une temporalité chaotique
Malgré les chimères effondrées en oripeaux
Exultant l'intenable l'arriéré d'espoir
L’être se nourri encore à la substance explosive de la vie
P.MILIQUE
11:51 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, chimère, effondrer, être, à l'affut, geste, aux aguets, attitude, restituer, lueur, crépusculaire, reddition, corporel, amertume, coeur, parcourir, feu, refuser, éteindre, dalle;possible, doucement, lézard, obscurité, folle, terroriser, fusion, extrémiste, tisserand, serrer, sortir, intimité, brièveté, singularité, étourdir, désoeuvrer, bordure, folie, déployer, nausée, frisson, marge, incertitude, convulsion, communauté, testament, rêve, déchoir, approche, feutre, pointe
08/06/2014
LE BONHEUR DE T'AIMER 3
A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter) le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...
LE BONHEUR DE T'AIMER
3
Ensemble, nous saurons faire d’agréables et bucoliques promenades
Sous le soleil tendre, éclatant comme touche dorée dans le bleu du ciel,
Attentifs aux moindres frissons du feuillage dans les branches ventées.
Extraordinairement généreuse et spontanée, riche de tout ce que tu es,
Tu m’éduqueras le regard, élargiras ma vision de l’amplitude de la tienne
Jusqu’à provoquer, enfin, l’émerveillement pour la nature enchanteresse,
Jusqu’à ce que mes yeux éblouis, écarquillés par tant de poétique beauté,
Brillent d’un vif enthousiasme et ensemencent l’âme de graines d’absolu.
Rien à ce moment-là ne pourra faire obstacle à nos tendresses unies.
Dans l’intimité de nos sensibilités se murmurent l’heureuse insouciance,
Des vibrations au contenu sublime, qui mettent la tête dans les étoiles,
Qui traduisent extraordinaire stimulant des mots d’amour échangés.
Alors s’incrustera en moi pour toujours ton offrande à ce moment-là.
Mon amour, nous saurons donner du charme à n’importe quel quotidien,
Nous saurons faire bon usage de cette autre vie qui se propose à nous.
Et cela me serre le cœur de devoir rester frustré de tout ce soleil offert.
(A SUIVRE...)
P. MILIQUE
10:47 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, ensemble, saurien, fraction, agréble, bucolique, promenade, soleil, tendre, éclater, touche, doré, bleu ciel, attentif, moindre, frisson, feuillage, branche, ventiler, extraordinaire, généreux, spontané, riche, éduquer, regard, élargir, vision, amplitude, tenir, provoquer, émerveillement, nature, enchanteur, yeux, éblouir, écarquiller, poétique, beauté, briller, vif-argent, enthousiasme, ensemencer, âme, graine, absoudre, fat, obstacle, tendresse, unisson, intimité
15/04/2014
CHIMÈRES EFFONDRÉES
CHIMÈRES EFFONDRÉES
Être à l'affût d'un geste, aux aguets d'une attitude,
Qui restituera les lueurs crépusculaires
Dans la reddition des corps et l'amertume des cœurs
Parcourus d'un feu qui refuse de s'éteindre.
Mais la dalle des possibles doucement se lézarde,
Et l'obscure et folle terreur d'une fusion des extrêmes
Tisse serré une sorte d'intimité brève et singulière
A cet étourdi désœuvré au bord d'une folie
Déployant l'ample nausée et les frissons.
Aux marges incertaines de la convulsion
C'est comme le testament d'un rêve déchu
Qui approche feutré sur la pointe de l'âme.
Dans l'incertitude requise au plus près d'une temporalité chaotique
Malgré les chimères effondrées en oripeaux
Exultant l'intenable arriéré de l'espoir,
L’être se nourri encore à la substance explosive de la vie
P. MILIQUE
09:44 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, chimère, effondrer, à l'affût, geste, aux aguets, attituderestituer, lueur, crépusculaire, reddition, corps, amertume, coeur, parcourir, feu, refuser, éteindre, dalle, douceur, lézard, obscur, folle, terreur, fusion, extrême, tissage, serrer, sortie, intimité, bref, singulier, étourdi, désoeuvrer, au bord, folie, déployer, ample, nausée, frisson, marginal, incertitude, convulsion, testament, rêve, déchoir, approcher, feutrer, pointe, âme, requérir
24/03/2014
BEAUTÉ DE L'INSTANT
BEAUTÉ DE L'INSTANT
Des lumières enjôleuses, câlines de leurs voiles,
Des énigmes, des méandres, des passages peut-être,
Froissements vaporeux, broderies de charmes.
Et de trop briller l'astre s'épanche,
Fondant la demeure où s'humectent les cieux
D'une chevelure-soleil pointant la caresse taquine.
Union suspendue allumant le réel frisson
D'une délicate fleur, d'un joli papillon.
P. MILIQUE
17:24 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : lumières enjôleuses, câliner, énigme, méandres, froissement vaporeux, broderie de charme, astre, fonder, humecter, les cieux, chevelure-soleil, caresse, taquiner, union, suspendre, allumer, frisson, fleur délicate, joli papillon
07/03/2014
IL PLEUT DES REGARDS SOURDS
IL PLEUT DES REGARDS SOURDS
Dans l'incessant travail de mon non-être,
Les éléments mouvants du cauchemar dérivent.
Visions tumultueuses et prémonitoires
Jusqu'à perdre toute trace de vraisemblance.
A l'intime de ce lourd martèlement de l'âme,
Perlent sur mon cœur des quartz de vie.
Sur le pavé en jachère une flamme s'envole
Et, aux vibrations immédiates de la sensibilité,
La lumière indécise ternit la fraîcheur.
Le silence est trop dense,
Il pleut des regards sourds.
Et chaque goutte de cette pluie d'automne
Chaque feuille qui tombe est l'une de mes larmes
Dans cet océan de plénitude dévastée
Maintenant que nous ne savons plus
Qui de nous deux est l'autre !
Alors, dans l'écho assourdissant de ce murmure,
J'entends nos corps frissonner de nos plaies...
Il pleut dès que je ne t'aime plus,
Redis-moi les mots qui brûlent,
Je suis si vieux de toi mon amour !
Obligeons, dans l'éperdue recherche des traits perdus,
L'incandescent soleil à redevenir jaloux de notre secret !
P. MILIQUE
05:45 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : travail, mouvance, cauchemar, dérive, vision, tumulte, prémonitoire, vraisemblance, intime, martèlement, âme, perle, coeur, quartz, pavé, jachère, flamme, envol, vibration, immédiat, sensibilité, lumière, indécis, ternir, fraîcheur, silence, densité, regard, sourd, pluie, goutte, automne, feuille, larme, océanplénitude, dévaster, écho, assourdissant, murmure, corps, frisson, plaie, aimer, mots, brûlure, viellesse, éperdu, perdu, incandescent, soleil
20/02/2014
GEORGES SCHAEHADE: "TROIS POEMES"
GEORGES SCHAEHADE
"TROIS POEMES"
Lecture par CÉLINE SAMIE
Références:
in Les Poésies
© Gallimard 2001
Georges Schehadé (1905 Alexandrie-Paris 1989) est un poète et auteur dramatique libanais de langue française.
Issu d’une famille libanaise aristocrate, Schehadé est l’auteur d’une importante œuvre théâtrale proche des conceptions du nouveau théâtre, dont il est l’un des chefs de file avec, entre autres, Beckett, Ionesco ou Arthur Adamov. La plupart de ses pièces ont été créées par Jean-Louis Barrault et la plus célèbre d’entre elles, Histoire de Vasco (1956), a été traduite en 25 langues, jouée un peu partout dans le monde pendant les années 1950 et 1960.
Schehadé est également l’auteur de plusieurs recueils poétiques (Rodogune Sinne, L’Écolier Sultan, Poésies I à VI, Poésies VII (posthume). Tôt reconnue, son œuvre a été saluée et défendue par les plus grands (Paul Éluard, André Breton, Saint-John Perse, René Char, Jean-Louis Barrault, Octavio Paz, Philippe Jaccottet, Salah Stétié...).
En 1986, il se voit décerner par l’Académie française le Grand Prix de la Francophonie, créé l’année même.
Fuyant la guerre civile (1975-1990) qui menace le Liban, Georges Schehadé quitte Beyrouth en 1978 et s'installe à Paris où il meurt en 1989.
Poèmes choisis par Lorette Nobécourt
Prise de son Djaisan Taouss
Montage Anne-Laure Chanel
18:08 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : : au magma présent de l'écriture, transformation, david, sophia, rose, rajeunir, claire hauter, recevoir, habitué, se métamorphoser, travestis, douche, épilation, maquillage, perruque, rituel, procéder, magie, illusion, arbre à fruit, exploration, liban, cheveux, amour, vin, souvenir, honte, éboulement, colline, orgue, frisson, méduse, ciel, tremblement, chambre nuptiale, danger, mélodie, étoile, goutte d'eau, patience, songe d'une nuit d'été, prairie, gazelle, endormissement, bien-aimé
15/11/2013
CHIMÈRES EFFONDRÉES
CHIMÈRES EFFONDRÉES
Être à l'affût d'un geste, aux aguets d'une attitude,
Qui restituera les lueurs crépusculaires
Dans la reddition des corps et l'amertume des cœurs
Parcourus d'un feu qui refuse de s'éteindre.
Mais la dalle des possibles doucement se lézarde,
Et l'obscure et folle terreur d'une fusion des extrêmes
Tisse serré une sorte d'intimité brève et singulière
A cet étourdi désœuvré au bord d'une folie
Déployant la nausée et les frissons.
Aux marges incertaines de la convulsion
C'est comme le testament d'un rêve déchu
Qui approche feutré sur la pointe de l'âme.
Dans l'incertitude requise au plus près d'une temporalité chaotique
Malgré les chimères effondrées en oripeaux
Exultant l'intenable l'arriéré d'espoir,
L'être se nourri encore à la substance explosive de la Vie.
P. MILIQUE
18:04 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : crépuscule, corps, coeurs, obscur, terreur, fusion, intimité, folie, nausée, frisson, être à l'affut, gesticulation, aux aguets, attitude, restituer, lueurs crépusculaires, reddition, coporel, châtiment, amertume, parcourir, incendière, refus, extinction, dalle, se lézarder, fou, terrifique, extrême, tiser, sevrer, sortie de route, intimider, bref, singulier, étourdir, désoeuvré, déployer, marginal, convulsion, convulsif, compulsif, testamentaire, rêve déchu, approcher, feutré
09/11/2013
CORBOLAND A LA RÉSIDENCE BALAMBRA GOLFE DE LOZARI (HAUTE-CORSE)
(Captation Personnelle)
CORBOLAND
A LA
RÉSIDENCE BALAMBRA
GOLFE DE LOZARI
(HAUTE-CORSE)
05:35 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, petit cochon, rachel, justifier, oreiller, corbeau, résidence balambra, encombrer, orage, pomme, chanter l'amour, trémolo, feeling, meche, mystère et boule de gomme, frisson, s'éloigner, arcane, accordéon, le piano du pauvre, visage, bouche, menton, front, pulpeux, oreille, cheveux, pantalon, petit cul tout rond, seins, bonheur, jouer, fire froid, cyclope, radiateur, décrire, comparaison, comparer, ventre, plaine, blé mur, agriculture, mécaniser, prairie, moisson, moissonner, souhaiter, engin, faire l'amour, golfe de lozari
06/10/2013
LA CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER: 19/09/2013
LA CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER
19/09/2013
13:39 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, philippe meyer, souvenir, chanson, direction, farandole, pitoyable, francis lalanne, collège, ouvrir la fenêtre, adresse, perruche, jeter au feu, apprendre, sentiment, raisonner, aimer, imaginer, ride, désir, fleur, cueillir, par hasard, exutoire, free style, mémorial, embaucher, labyrinthe, nénuphare, injuste, incruster, en effet, innocent, frisson, émotion, émotif, hémophile
03/10/2013
POT DE DÉPART COLLÈGUE A DURÉE DÉTERMINÉE « LEUR GENTILLESSE ET LEUR BONNE HUMEUR»
Chers collègues,
Chers amis,
Ca se passe à ARTE comme partout ailleurs, j'imagine. Partout où on a la chance de travailler avec de la moquette au sol et des écrans plats. On arpente ces couloirs familiers en chantant le Morrissey qui convient au baryton extraverti, tout est comme d'habitude, sauf qu'un beau jour on ne reconnaît plus personne. Qui sont ces jeunes gens qui se croient chez eux ? On se frotte les verres : serait-ce déjà Noël ? A Noël les enfants des salariés envahissent l'entreprise. Un autocar les prend pour les mener aux clowns, laissant les employés nullipares déprimer en silence à la cafétéria. J'en profite pour m'élever contre la politique outrageusement familiale du comité d'entreprise. Je réclame pour les salariés célibataires une fiesta du même ordre, avec distribution de prophylactiques et de mdma. Bref, ces coiffures en cascade, ces tatoués de frais, ces grandes tiges inconnus passent ici sans nous voir. Ils répondent en vouvoyant et louvoient en nous voyant. Une seule chose console de leur impudence, ils ne durent pas. On apprend leur prénom à leur pot de départ, devant un pâté en croûte et des bonbons. Cette semaine nous rendons hommage à cette jeunesse précaire, ces salariés jetables. Nous parlons du silence entre les images. Écoutons l'homme qui trompe la mort. Jetons dans un piano des objets contondants. Des sons, des blagues et un adieu.
POT DE DÉPART
COLLÈGUE A DURÉE DÉTERMINÉE
« LEUR GENTILLESSE ET LEUR BONNE HUMEUR»
(1'26")
Dans toutes les entreprises c'est pareil. Le temps de retenir un prénom, on lui dit déjà au revoir devant un pâté en croûte et des bonbons haribo. Et on reçoit une lettre touchante de salarié précaire.
Enregistrement : 20 septembre 13
Idée : Silvain Gire
Voix : Cécile Cozzolino
Réalisation : Samuel Hirsch
17:11 Publié dans SONARTE | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, pot de départ;collègue, contrat à durée déterminée, gentillesse, bonne humeur, silvain gire, entreprise, pareil, temps, retenir, prénom, au-revoir, pâté en croute, bonbon haribo, recevoir une lettre, touchant, salarié précaire, cécile cozzolino, samuel hirsch, payer, taxi, se pieuter, papiers, penser à toi, de la boe au fond du coeur, amour, coeur, bonheur, salaud, voleur, mourir, souffrir, faim, frois, malade, paumé, raté, camé, abandonné, miné, trempé, nuit, front, promettre, illusion, frisson, soulager, faire du bien, avoir l'air d'un con