17/01/2014
SAMUEL BECKETT: "CASCANDO" "LA-BAS"
SAMUEL BECKETT
"CASCANDO"
"LA-BAS"
"Trois poèmes "de Samuel BECKETT
Lus par Laurent NATRELLA
Références:
In Poèmes
© Minuit 1978
Par malheur, Beckett naquit – le 13 avril 1906 : ainsi faudrait-il commencer toute biographie de Samuel Barclay Beckett, pour qui, toute sa vie, l'être sera une imperfection dans la pureté du non-être. L'horreur commence avec la vie. Tous les héros de Beckett, enfermés dans des asiles, des chambres, des trous, larves lovées en position fœtale, reculant le langage jusqu'au borborygme, là où s'efface la prétention au sens, raconteront le fantasme d'une régression prénatale. Tuer un enfant, dira-t-il plus tard, c'est « couper court à un fiasco en fleur » (Tous ceux qui tombent, 1956).
(extrait de l'Encyclopédie Larousse)
Poèmes choisis par Lorette Nobécourt
Prise de son Djaisan Taouss
Montage Anne-Laure Chanel
17:32 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : : au magma présent de l'écriture, samuel beckett, mort de a.d, lecture, larent natrella, référenciel, poème, minutrie, minuit, malheur, naître, falloir, commencer, biographie, barclay, imperfection, pureté, non-être, horreur, commencement, vie, héros, héroïque, enfermement, asile, chambr, trou, larves, lover, position foetale, reculer, langage, borborygme, s'effacer, prétention, sensitif, raconter, fantasme, régresser, régression, prénatal, tuer un enfant, couper court, fiasco, en fleur, tous ceux qui tombent, encyclopédie larousse, chox, orette nobécourt, djaisan taouss
SAMUEL BECKETT: "ARÈNES DE LUTÈCE" SUIVI D'UN POÈME SANS TITRE
SAMUEL BECKETT
"ARÈNES DE LUTÈCE"
SUIVI D'UN POÈME SANS TITRE
Trois poèmes de Samuel BECKETT
Lus par Laurent NATRELLA
Références:
In Poèmes
© Minuit 1978
Par malheur, Beckett naquit – le 13 avril 1906 : ainsi faudrait-il commencer toute biographie de Samuel Barclay Beckett, pour qui, toute sa vie, l'être sera une imperfection dans la pureté du non-être. L'horreur commence avec la vie. Tous les héros de Beckett, enfermés dans des asiles, des chambres, des trous, larves lovées en position fœtale, reculant le langage jusqu'au borborygme, là où s'efface la prétention au sens, raconteront le fantasme d'une régression prénatale. Tuer un enfant, dira-t-il plus tard, c'est « couper court à un fiasco en fleur » (Tous ceux qui tombent, 1956).
(extrait de l'Encyclopédie Larousse)
Poèmes choisis par Lorette Nobécourt
Prise de son Djaisan Taouss
Montage Anne-Laure Chanel
06:15 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : : au magma présent de l'écriture, samuel beckett, mort de a.d, lecture, larent natrella, référenciel, poème, minutrie, minuit, malheur, naître, falloir, commencer, biographie, barclay, imperfection, pureté, non-être, horreur, commencement, vie, héros, héroïque, enfermement, asile, chambr, trou, larves, lover, position foetale, reculer, langage, borborygme, s'effacer, prétention, sensitif, raconter, fantasme, régresser, régression, prénatal, tuer un enfant, couper court, fiasco, en fleur, tous ceux qui tombent, encyclopédie larousse, chox, orette nobécourt, djaisan taouss
15/01/2014
SAMUEL BECKETT: "POÈMES" (1978)
SAMUEL BECKETT
"POÈMES"
(1978)
Trois poèmes de Samuel BECKETT
Lus par Laurent NATRELLA
Références:
In Poèmes
© Minuit 1978
Par malheur, Beckett naquit – le 13 avril 1906 : ainsi faudrait-il commencer toute biographie de Samuel Barclay Beckett, pour qui, toute sa vie, l'être sera une imperfection dans la pureté du non-être. L'horreur commence avec la vie. Tous les héros de Beckett, enfermés dans des asiles, des chambres, des trous, larves lovées en position fœtale, reculant le langage jusqu'au borborygme, là où s'efface la prétention au sens, raconteront le fantasme d'une régression prénatale. Tuer un enfant, dira-t-il plus tard, c'est « couper court à un fiasco en fleur » (Tous ceux qui tombent, 1956).
(extrait de l'Encyclopédie Larousse)
Poèmes choisis par Lorette Nobécourt
Prise de son Djaisan Taouss
Montage Anne-Laure Chanel
00:21 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : : au magma présent de l'écriture, samuel beckett, mort de a.d, lecture, larent natrella, référenciel, poème, minutrie, minuit, malheur, naître, falloir, commencer, biographie, barclay, imperfection, pureté, non-être, horreur, commencement, vie, héros, héroïque, enfermement, asile, chambr, trou, larves, lover, position foetale, reculer, langage, borborygme, s'effacer, prétention, sensitif, raconter, fantasme, régresser, régression, prénatal, tuer un enfant, couper court, fiasco, en fleur, tous ceux qui tombent, encyclopédie larousse, chox, orette nobécourt, djaisan taouss
14/01/2014
SAMUEL BECKETT: "MORT DE A. D"
SAMUEL BECKETT
"MORT DE A. D"
Lu par Laurent NATRELLA
Références:
In Poèmes
© Minuit 1978
Par malheur, Beckett naquit – le 13 avril 1906 : ainsi faudrait-il commencer toute biographie de Samuel Barclay Beckett, pour qui, toute sa vie, l'être sera une imperfection dans la pureté du non-être. L'horreur commence avec la vie. Tous les héros de Beckett, enfermés dans des asiles, des chambres, des trous, larves lovées en position fœtale, reculant le langage jusqu'au borborygme, là où s'efface la prétention au sens, raconteront le fantasme d'une régression prénatale. Tuer un enfant, dira-t-il plus tard, c'est « couper court à un fiasco en fleur » (Tous ceux qui tombent, 1956).
(extrait de l'Encyclopédie Larousse)
Poèmes choisis par Lorette Nobécourt
Prise de son Djaisan Taouss
Montage Anne-Laure Chanel
00:20 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, samuel beckett, mort de a.d, lecture, larent natrella, référenciel, poème, minutrie, minuit, malheur, naître, falloir, commencer, biographie, barclay, imperfection, pureté, non-être, horreur, commencement, vie, héros, héroïque, enfermement, asile, chambr, trou, larves, lover, position foetale, reculer, langage, borborygme, s'effacer, prétention, sensitif, raconter, fantasme, régresser, régression, prénatal, tuer un enfant, couper court, fiasco, en fleur, tous ceux qui tombent, encyclopédie larousse, chox, orette nobécourt, djaisan taouss
13/01/2014
ACCEPTER L’ÉPHÉMÈRE 2
A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter) le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...
ACCEPTER L’ÉPHÉMÈRE
2
Et on le retrouve abattu par l'infinie tristesse et traumatisé par l'exploration éreintante et incessante des territoires jusque-là obscurs et inconnus de sa nuit intérieure.
Tout son jeune univers a subitement basculé. Ses certitudes ont vacillé. Désormais, il doit affronter le vide moral, le manque de perspectives, l'omniprésence de l'inacceptable, l'horreur répulsive des faits avérés. Il se sent tellement abandonné, tellement vulnérable face à cette réalité impossible à modifier. La blessure est profonde. Terriblement profonde. Trop peut-être !
Parce que l'absence de l'absente lui est insoutenable et que cela le dessèche encore et encore.
Parviendra-t-il un jour à sublimer son chagrin ?
Le voilà, lui que j'ai aidé à grandir, devenu lui aussi un écorché de la vie.
Il sait désormais que certaines circonstances peuvent anéantir la beauté des êtres et faire saigner le bleu de n'importe quel ciel.
Mais, existe-t-il une autre alternative sur cette terre que d'accepter l'éphémère ?
(FIN)
P. MILIQUE
09:10 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, retrouver, abattre, infini, tristesse, traumatisme, traumatiser, exploration, éreinter, incessant, territoire, obscurcir, inconnu, nuit intérieure, jeunesse, universel, subir, basculer, certifier, certificat, vaciller, déordonné, affronter, vide, vider, morale, manque de perspectives, omniprésence, inacceptable, horreur, répulsif, réalité, impossible, modification, notification, blessure, profondeur, terrible, absentéisme, insoutenable, dessècher, parvenir, sublimer, chagrin, aider, grandir, écorché de la vie, circonstance, pouvoir, passation
26/12/2013
TRAUMATISME ULTIME
TRAUMATISME ULTIME
C'est à la fois le refus et la peur
Qui réfute en elle l'improbable confident
A qui confine le malaise exacerbé de colère
Au cœur d'une horreur absolue aux arômes délétères.
Tâche intime, noire et terrible,
Hurlant la détresse de vivre qui fouaille sans cesse,
Et la traumatise, suffocante, d'une folle abomination.
Les murmures lointains d'une vie après cet outrage,
Définitivement gravé au marbre du tragique et de l'irréparable,
Lui impose la froideur écorchée et méthodique
Du destin au baume de futur qui organisera sa survie.
P. MILIQUE
05:58 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : traumatisme, refus, peur, viol, réfuter, confident, malaise, exacerbation, colère, coeur, horreur, absolu, arôme, délétère, intime, noir, terrible, hurler, détresse, vivre, fouailler, suffoquer, folie, abomination, murmure, vie, outrage, graver, tragique, irréparable, froideur, écorché, méthodique, destin, baume, futur, survie, tâche, refuser, apeuré, réfutation, improbable, confidence, confiner, confit, confiture, colérique, horrible, arômatique
25/11/2013
RÉALITÉ SOUFFRANTE
RÉALITÉ SOUFFRANTE
Au mur, les portraits de ces femmes enfermées avec,
Aux abords de la composante apparente de leurs visages,
La sinistre cache imposée qui semble les avoir dépouillées de toute personnalité.
Frontière surréaliste avec une humanité
Que l’on croirait définitivement promise à l’aridité.
Nous nous retenons trop souvent de hurler nos doutes.
Ceux, si indiciblement troublants et dérangeants qu’ils devraient,
Véhémence en fusion,
Allumer des incendies d’inquiétude et exacerber l’exacte sensation
De la lourde menace qui pèse sur nous tous.
Au mur, les portraits de ces femmes enfermées.
En comprenons-nous vraiment toute la signification ?
Il y a là, nous le savons, de quoi nourrir de nombreuses et intarissables réflexions.
Et nous rendons fréquemment compte d’injustifiables comportements.
Mais peut-on se satisfaire en de telles extrémités de nos faibles objections
Obscures, et parfois même cachées ?
Non! Alors nous devons, pour le moins, garder cet œil intransigeant
Qui cristallise toute la réalité souffrante.
Chacun se lasse inévitablement à naviguer dans le foisonnement
Souvent confus et agaçant d’une mauvaise conscience
Placée d’abord sous le signe du non accomplissement.
Dans la quête rassembleuse et pourtant solitaire,
Chaque individu avance à tâtons
Le long des franges accidentées de ses abîmes intérieurs.
Dans l’horreur intime de s’éprouver, souffrance ultime,
Étranger parmi les hommes.
Nous savons cependant avoir hérité d’irréfragables devoirs.
Alors, pourquoi ne nous éveiller que lorsque l’absurde exacerbé
Dans lequel nous vivons devient trop révoltant ?
Où quand s’exposent trop de manques, trop de fêlures,
Pour respirer encore avec légitimité dans une telle société,
Et que dans ces fissures trop connues de tous se glisse l’inéluctable du silence,
De l’errance et du traumatisme qui installe la mort.
Au mur, les portraits de ces femmes enfermées avec,
Aux abords de la composante apparente de leurs visages,
La sinistre cache imposée qui semble vouloir les dépouiller de toute personnalité.
Et, fixés dans les vôtres, leurs yeux suffocants de désespérance
Qui implorent d’attentes à devenir libres.
Comme ces mots là...
P. MILIQUE
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12:50 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : femme, prisonnière, visage, sinistre, personnalité, humanité, frontière, surréaliste, aridité, hurlement, trouble, fusion, incendie, inquiétude, menace, injustifiable, extrême, objection, intransigeant, foisonnement, confusion, conscience, accomplissement, solitaire, accident, abîme, horreur, étranger, devoir, absurde, révolte, fêlure, légitime, société, traumatisme, mort, désespoir, liberté, lasser, inévitable, naviguer, foisonner, confus, agaçant, agacerie, mauvaise conscience, placer, aborder
20/11/2013
LE MARBRE DU TRAGIQUE
LE MARBRE DU TRAGIQUE
C’est à la fois le refus et la peur
Qui réfutent en elle l’improbable confident
A qui confier le malaise exacerbé de colère
Au cœur d’une horreur absolue aux arômes délétères.
Tache intime, noire et terrible,
Hurlant la détresse vive qui fouille sans cesse
Le traumatisme suffocant d’une telle abomination.
Les murmures lointains d’une vie après cet outrage
Sont gravé dans le marbre du tragique et de l’irréparable
Qui impose, lancinant, la froideur écorchée et méthodique
Du destin à venir qui organise sa survie en tremblant.
P. MILIQUE
12:10 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : marbre, tragique, refus, peur, confidence, malaise, colère, horreur, intime, terrible, détresse, trauatisme, abomination, murmure, outrage, écorché, destin, survie, tremblement, refuser, personnifier, peureux, réfuter, improbable, confier, exacerbation, colèrique, au coeur, horrifier, absolutisme, aromatique, délétère, tache, intimer, noir, hurler, vivacité, fouiller, sans cesse, traumatisme, suffocant, abominable, murmurer, éloigner, outrager, gravure
16/11/2013
DÉCADENCE
DÉCADENCE
L’injustice est rustre et sans discernement
Qui me pétrifie l'âme d’horreur vive .
Je perçois des choses hideuses
Au magma du quotidien et,
Le long de ces nuits égarées,
Je descend avec délectation
L’escalier imaginaire du vide absolu.
P. MILIQUE
09:39 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, décadence, essayer, suffir, injustice, rustre, discernement, pétrifier, âme, visible, horreur, vif, percevoir, chose, hideux, quotidien, long, s'étaler, nuit, égaré, descendre, libre, délectation, chanson française, escalier, imaginaire, vide, absolu, patrick milique, yann tiersen, pleine lune, édredon, fakir, turba, ;serpent, retenir par la queue, songe, visqueux, cigare, cadavre, entonner, cantique, chandelle, cierge, forêt vierge, vitrine, maroquinier, se dandiner, lunette d'écailles, python
04/11/2013
AU RYTHME DE LA COLÈRE
émouvant,tenir,d
AU RYTHME DE LA COLÈRE
Le plus émouvant tient dans la teneur du discours
Qui égrène, au fil d'une mémoire effervescente,
Les ébauches des rencontres briseuses de son existence.
Les racines de l'arbre poussent au rythme de la colère,
Tandis que l'hémorragie exaspère son pessimisme
Qui sonne comme un avertissement inutile
Parce que suintant d'une cicatrice trop ancienne.
Cloué dans ce lit où jusqu'alors il saigne,
Il se cramponne à la vie, à sa jubilation intense.
Le temps presse, la médecine le vide de son être
Et, au fur et à mesure que la mort le gagne,
Il utilise ses dernières forces, condamné à écrire
A l'encre noire puisée tout au fond de l'affront.
Ce sont les derniers mots alors qui se tracent
Et, dans l'inachèvement de cet ultime,
L'horreur se dessine bientôt, scintillante
De cet impossible lâcher-prise
D'avant le prévisible dénouement
Qui, séducteur, n'offre plus aucune issue.
P. MILIQUE
09:17 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, rythme, colère, mouvant, tenir, discours, égrener, au fil, mémoire, effervescent, ébauche, rencontre, briseur, existence, racine de l'arbre, pousser, hémorragie, exaspération, pessimisme, sonner, avertissement, inutiliser, suinter, cicatrice, ancien, clouer, literie, saigner, se cramponner à la vie, jubilation, intense, le temps presse, médecine, vide, être, au fur et à mesure, mort, gain, utiliser, dernière force, condmaner, écrire, encre noire, puiser, fond, affront, tracer, inachèvement, ultime, horreur
28/10/2013
J'ACCUSE 36
J'accuse l'Homme
De ne pas marteler
Sans discontinuer
L'horreur des enfermements,
Caricature de diable
Qui ne parvient pas
A se libérer des carcans,
Des tabous
Et des idées reçues.
09:21 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, accusation, marteler, négation, discontinuer, horreur, enfermement, caricature, diable, diabolique, parvenir, se libérer, carcans, tabou, idée reçue
21/10/2013
L'HORREUR PHOTOGRAPHIQUE ÉRIC BOUVET N'A RIEN VU EN SOMALIE "J'AI ÉTÉ INCAPABLE DE FAIRE DES IMAGES"
L'HORREUR PHOTOGRAPHIQUE
ÉRIC BOUVET N'A RIEN VU EN SOMALIE
"J'AI ÉTÉ INCAPABLE DE FAIRE DES IMAGES"
(2'15")
Éric Bouvet est photographe indépendant, publié dans les plus grands journaux comme Newsweek, VSD, Paris Match, Time, Stern, New York Times... A ses débuts il est en Somalie lors de la guerre civile et de la famine. Rien à voir : douze photographes racontent la photo qu'ils n'ont pas prise.
Enregistrements : avril 13
Mise en ondes & mix : Samuel Hirsch
Réalisation : Aude Laporte
12:21 Publié dans SONARTE | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, horreur, phographique, éric bouvet, ne rien voir, somalie, incapacité, incapable, faire des images, aude laporte, michel fugain, maurane, photographe indépendant, publier, grand, journal, newsweek, vsd, paris match, time, stern, new york times, début, débuter, guerre civile, famine, rien à voir, raconteurs, pas vu pas pris, samuel hirsch, à quatre pattes, animal, lâcher prise, monceau, cadavre, vision, choc, scène d'horreur, encaisser, digérer, bouteille, blinder, accepter, mal au ventre, panique, amour, désirer