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20/02/2014

PASCALE PICARD BAND LE BIKINI TOULOUSE



(Captation Personnelle)

 

PASCALE PICARD BAND

LE BIKINI

TOULOUSE

AVRIL 2009

25/01/2014

EXTRAVAGANCES

PERSONNAGE INQUIETANT.jpg

 

EXTRAVAGANCES

 

Avec une étonnante capacité à se renouveler

De drôles de personnages incohérents passent et repassent

Dotés d’inquiétants pouvoirs paranormaux

Et porteurs de terrifiants et subliminaux messages

En provenance probable de l’infini.

 

Il serait de fait plus sage, et plus prudent,

D’ignorer jusqu'à leurs présences éthérées

Et de laisser à la postérité la tâche redoutable

D’exprimer différemment le désir exalté de penser le monde.

 

P. MILIQUE

22/01/2014

UN VRAI MOMENT DE FAUX 1

THEATRAL.jpg

 

UN VRAI MOMENT DE FAUX

1

 

Si je n’avais pas fait que travailler trop au cours de ma vie,

J’aurais vraiment adoré adopter une démarche théâtrale,

Toute modestie et incompétence mise à part, il va de soi.

 

J’aurais aimé, oui, m’inventer un univers à tiroirs riche de différences,

Être acteur à texte tumultueux et drôle, tout d’humour et de tendresse.

Quelque chose entre la libre farce grotesque et la conjuration angoissée.

 

Emporté par cet excès d’enthousiasme, je ne suis pas vraiment sincère

Puisque je me sais plutôt ébloui par les œuvres habitées et originales,

Là où le jeu de l’acteur s’impose pour cimenter le vide entre les phrases

Et restituer avec prestance la mélodie des sonorités fortement évocatrices.

(A SUIVRE...)


P. MILIQUE

 

09/12/2013

LA VIE COMME ALÉA

au magma présent de l'écriture,

 

LA VIE COMME ALÉA

 

C’est une vie passée à éprouver les limites de la résistance,

Enchevêtrement d’incertitudes sur fond de mots et de désastre,

Conséquence de l’espace sans lumière où il s’est enfermé.

Il est devenu impératif pour lui, il doit se résigner,

D’engager l’indispensable processus de conversion.

 

Fondamentalement écartelé entre

Des perspectives aux radicales différences,

Il perçoit combien il lui faut se détourner du passé

Et envisager l’infini d’autres possibilités.

 

Alors, dans son tout nouveau désir

De dépassement et de dépaysement,

Son esprit de nouveau prêt à prendre son envol

Approuve de ne jamais cesser de commencer

Cette existence fiévreuse, en perpétuelle ébullition.

 

Le bon usage de ce qui ne cesse de le hanter

Illumine les enjeux de l’achèvement et de l’inachèvement

Parés des vertus de l’inconnaissable et de l’imprévisible.

Magistrale ode à la vie comme aléa au désordre certain.

 

P. MILIQUE

13/10/2013

JE ME REPROCHE 2

REPROCHE.jpg    

 

Je me reproche de négliger l'Autre

Alors qu'il n'est que différent

Ou loin de mes yeux.

09/10/2013

EXTRAVAGANCES

 

paranormal-et-voix-dans-sa-tete.jpg

 

Crédit photo: Larafairie.

 

EXTRAVAGANCES

Avec une étonnante capacité à se renouveler
De drôles de personnages incohérents passent et repassent
Dotés d’inquiétants pouvoirs paranormaux
Et porteurs de terrifiants et subliminaux messages
En provenance probable de l’infini.

Il serait de fait plus sage, et plus prudent,
D’ignorer jusqu 'à leurs présences éthérées
Et de laisser à la postérité la tâche redoutable
D’exprimer différemment le désir exalté de penser le monde.

P.  MILIQUE

22/09/2013

TOMBENT LES MASQUES 3

au magma present de l'ecriture,

A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter)  le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...


 

TOMBENT LES MASQUES

3


Il n’en peut plus de ce fiel accumulé, lourd de carences.

 

Il lui faut faire barrage aux mauvais sentiments en cours

 

Avant que tout ne s’effondre en douloureuse confusion

 

Dans le dédain certain propre aux effets de l’habitude.

 

L’habit de tolérance arboré ne le vêt que d’indifférence

 

Et il n’est plus que désenchantement sépia ourlé de morose.
Et ce morose-là contraint le cours amer de ses pensées.

 

Il doit, car il n’est nulle autre alternative proposée,

 

Cesse de contenir ses torturantes fêlures au secret

 

Et entamer l’ultime combat qui exaltera sa différence,

 

Emprunter des chemins jusque-là ignorés en bloc

 

Qui l’emmèneront au plus loin de cette vie desséchée,

 

De l’âcre autisme disloqué qui nécrosa son quotidien.

 

 

 

Il sait que demain ne peut plus être que ça :

 

Une dernière tentative pour échapper à la nuit

 

Jusqu’à ce que jaillisse l’étincelle libératrice

 

Apte à l’illuminer de l’espoir enfin ressuscité.

(FIN)

 

 

 

P. MILIQUE

21/09/2013

Calvin RUSSEL

L' aigle Texan a définitivement quitté la scène samedi dernier 2 Avril 2011.

Mais sa musique, elle, n'est pas prête de quitter nos platines... Elle est là pour toujours.

Nul ne pourra jamais faire que l'intensité des moments en sa compagnie, à diverses reprises et entre autre, avec mon Amour-Soleil, mon Jour Moyen Eclot et l'Ami Blue-Boy, ne s'estompent. Jamais! Forcément.


Calvin Russell ► Behind The 8 Ball (HQ) par beepbeep44

16/09/2013

SI NOUS VIVIONS EN 1913: LE CINÉMA

 

SI NOUS VIVIONS EN 1913

LE CINÉMA

 

La France il y a 100 ans, avec l’historien Antoine PROST, président de la mission du centenaire de la seconde guerre mondiale. Aujourd’hui, le cinéma, la fanfare et les activités sportives …


Si nous vivions en 1913, nous irions au cinéma avec nos enfants le samedi ou le dimanche. Vous me direz quelle différence avec aujourd’hui. La différence, c’est que c’était très nouveau. Le cinéma était à l’époque le grand spectacle populaire …


Colliséum théâtre © Flickr - 2013

 

12/09/2013

LE JOURNAL DE PERSONNE: "ADIEU LES RICHES, AU DIABLE LES PAUVRES!."

 

LE JOURNAL DE PERSONNE

"ADIEU LES RICHES, AU DIABLE LES PAUVRES!."

 

Oui… je suis la vache qui rit

Ce que je cherche ici ? C’est ça ta question Zarathoustra ?

La même chose que ce que tu cherches toi, à savoir le bonheur sur terre.

Et je ne l’ai pas trouvé ailleurs qu’auprès des vaches…

En effet, c’est auprès d’elles que j’ai appris à ruminer… avec mon nez illuminé.

 

Oui je suis la vache qui n’eut plus envie de rire…

Qui eut honte de sa richesse et des riches et qui s’enfuit vers les plus pauvres pour leur faire don de son trop plein de bonheur et de saveur…

Mais les pauvres ne l’ont pas accepté… ils l’ont rejeté comme ils rejettent  tout ce qui leur rappelle leur pauvreté.

Je vais finir par croire que le royaume des cieux n’est pas parmi les hommes mais parmi les animaux.

 

Oui je suis la vache qui ne rit plus…

Qu’est-ce qui m’a poussé, moi la gosse de riche vers les  pauvres ?

Ce fût le dégoût des plus riches!

Le dégoût des forçats de la richesse qui ramassent leur avantage dans les moindres balayures, les yeux froids et les pensées pleines de lubricité, le dégoût de cette canaille dont la puanteur s’élève jusqu’au ciel.

Le dégoût de cette populace couverte de dorure, falsifiée dont les pères furent des voleurs aux doigts crochus, des charognards ou des chiffonniers, complaisants aux femmes, lubriques, oublieux, odieux…

 

Oui je suis la vache qui n’a plus de raison de rire…

Entre les riches et les putains, il n’y a pas loin.

Entre les pauvres et les pantins, il n’y a pas loin.

Populace en haut, populace en bas!

Qu’est-ce que c’est aujourd’hui « pauvre » et « riche » ?

Cette différence, je l’ai désapprise. C’est du pareil au même…

Alors j’ai fui, loin, toujours plus loin… jusqu’à toi Zarathoustra.

31/07/2013

RÊVERIE

au magma present de l'ecritur,

 

RÊVERIE

 

Il me plaît de rester volontairement solitaire

Dans l’embrasure vive du temps qui passe,

Et de m’abandonner sans plus de retenue

Aux délices d’une rêverie résolument irresponsable.

 

Je trace ma propre trajectoire

Grâce à l’inadéquation fondamentale

D’une profonde flânerie dans l’imaginaire,

Attentif au sifflement du vent,

Curieux du spectacle continu des nuages.

 

Toujours différent le spectacle !

 

P.  MILIQUE

14/07/2013

DAMIEN SAEZ: "PUTAINS VOUS M'AUREZ PLUS"

 

DAMIEN SAEZ

"PUTAINS VOUS M'AUREZ PLUS"