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02/10/2013

A VOTRE ÉCOUTE COÛTE QUE COÛTE: "LA FEMME DONT LA FILLE AVAIT PEUR D'ALLER A L’ÉCOLE"

 

A VOTRE ÉCOUTE COÛTE QUE COÛTE

"LA FEMME DONT LA FILLE AVAIT PEUR D'ALLER A L’ÉCOLE"

 

À votre écoute, coûte que coûte est une dramatique radio quotidienne écrite et jouée par Zabou Breitman et Laurent Lafitte et diffusée sur France Inter entre le 16 janvier 2012 et le 29 juin 2012. D'une durée de sept minutes, elle est diffusée à 12 h 23, entre Les Affranchis et Carnets de campagne.

L'émission est une parodie présentée comme une émission de libre antenne sur la santé. Deux acteurs jouent un couple de spécialistes composé de Margarete de Beaulieu, psychothérapeute et son mari Philippe de Beaulieu, médecin ; ils répondent aux questions de faux auditeurs, en débitant « les pires des clichés racistes, homophobes, sexistes  et réactionnaires.


Source Wikipédia

http://fr.wikipedia.org/wiki/Wikip%C3%A9dia:Accueil_principal

29/08/2013

LE JOURNAL DE PERSONNE: "A LA GLOIRE DE MON PAPA!"

Femme magnifique à l'intensité hors-norme. 

 Superbe et talentueuse...   

  A l'écriture riche et précise.

  Il est important de ne pas passer à côté 

  Ne manquez pas de vous rendre sur son site: c'est une mine! 

  http://www.lejournaldepersonne.com/  Ou sur sa chaine Youtube:
http://www.youtube.com/watch?v=VuiAdm6sSFE&feature=mfu_in_order&list=U


LE JOURNAL DE PERSONNE

"A LA GLOIRE DE MON PAPA!"

 

Mon père était sourd.
C'est dans son cœur qu'il distillait l'amour.
Il disait très peu de choses.
De peur de nous remettre en cause...
Il était politiquement engagé.
Pour le dernier des derniers.
Il s'entendait pas et ne cherchait pas à être entendu.
Nous existions à travers ses yeux, qui nous ont toujours réfléchi les limites à ne pas franchir.
Il lisait beaucoup... il y avait toujours un livre à son chevet... un livre achevé...
C'est son testament qui reste inachevé...
J'écris chaque jour pour y remédier.
Mon papa était un homme dont l'humilité n'était jamais feinte
Il en savait des choses... il les a toutes emportées.
Il nous a juste légué son goût pour la résistance.
Résistance à l'oppression.
Il avait une idée très personnelle de la liberté : L'homme libre, dispose toujours d'un secret qu'il ne communiquera jamais...
C'est ce qu'il m'a dit juste avant de s'éclipser.
Il est mort et je ne l'ai toujours pas trouvé.
Dans ma solitude... peut-être ?
Je cherche encore...
Un raccord... qui me murmure à l'oreille...
Que même la reine des abeilles... cherche toujours son repère.

30/07/2013

L’INDIFFÉRENCE

au magma present de l'ecriture

 

L’INDIFFÉRENCE

 

C'est une erreur de la nature,

En équilibre instable et dérisoire

Sur le fil tendu de l'obscur désastre.

 

De là-haut, il observe

Avec un mépris dédaigneux et ostentatoire,

Le point fixe et douloureux

De plaisirs malfaisants et mortellement tristes,

Jusqu'à se complaire avec effronterie

Dans l'évocation confuse et probable

D'une rupture de communication

Qui lui procurera, délicieuse,

L'euphorie démesurée de l'indifférence.

 

L'indifférence, concentré orgasmique d'insolence!

 

P. MILIQUE

04/07/2013

CIORAN 32

 

CIORAN.jpg

"On ne gagne pas contre la mort, sinon à l'usure."

"Un étrange détachement à l'égard de la mort clôt l'histoire de chacun."

 

(E.M. CIORAN)

16/06/2013

CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER : 28/01/2013

 

CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER 

28/01/2013

22/04/2013

LA CHAIR ÉCORCHÉE

au magma present de l'ecriture,frédéric nevchehirlian,

 

LA CHAIR ÉCORCHÉE

 

 

Le compte à rebours a commencé, mortellement épuisant.

 

L'individu n'est pas injuste parce qu'il a décidé de l'être,

Simplement il le devient parce qu'il a besoin de l'être.

 

Alors, il retrouve le chemin acéré de sa mémoire:

Ce n'est pas un endroit de chimères et de fantasmes

Où l'intime serait dépouillé de toute singularité,

Plutôt un couloir de somnambules séparés par d'intolérables distances

Au cœur même d'un espace occupé par des éclats de banal.

 

Il lui faut agir de manière quasi organique

Avec de petits espace-temps saturés de quotidien

Tourner autour de l'émotion avec pudeur.

 

Il s'agit là d'un engagement qu'il perçoit vital

Et le place abruptement face à des responsabilités.

Elles lui sont signifiées d'un regard stupéfait par le genre humain

Qui ravive l'encore exacerbé d'un fléau d'inquiétude.

 

Désormais le temps n'est plus rempli que de remords

A ne plus voir la chair écorchée pour atténuer ses tourments

Comme autant d'abris pour les marges extérieures.

 

P. MILIQUE

23/02/2013

L’HUMANITÉ DÉSINTÉGRÉE

IMAGE TERRIFIANTE.jpeg

 

L’HUMANITÉ DÉSINTÉGRÉE

 

Il est comme dans une étrange bulle de noirceur,

Dans la mort intime d'une absence consentie au monde

Initiée par l'inaction qu'il faut barder d'artifices

Pour tenter de le rendre accessible et acceptable.

 

Personne ne peut sortir indemne d'aussi terrifiantes

Interrogations sur les cauchemardesques résonances possibles.

 

Les mots paraissent noyés sous un flot de sang et d'horreur

Face à la vivacité et la propagation foudroyante

De l'effroi déversé sur cette humanité désintégrée.

 

Comment protéger des peurs et des larmes à verser

Nos enfants durement exposés, seul porteurs d'avenir?

 

P. MILIQUE

14/01/2013

LE JOURNAL DE PERSONNE: " Requiem fo a dream "

Femme magnifique à l'intensité hors-norme.

 Superbe et talentueuse...

  A l'écriture riche et précise.

  Il est important de ne pas passer à côté

  Ne manquez pas de vous rendre sur son site: c'est une mine! 

  http://www.lejournaldepersonne.com/  Ou sur sa chaine Youtube:
http://www.youtube.com/watch?v=VuiAdm6sSFE&feature=mfu_in_order&list=U


REQUIEM FOR A DREAM

09/12/2012

LE VENDEE GLOBE: "Rétrospective du Vendée Globe Challenge 1993"

 

RETROSPECTIVE DU VENDEE GLOBE CHALLENGE 1993

Rennes Soir 

12/03/1993 - 03min11s


Rétrospective du Vendée Globe Challenge avec les accidents du départ, la mort de deux participants et tous les incidents de parcours de chaque navigateur.


Production

 

France 3 Nantes

Générique

 

Brucker, Marc

26/11/2012

FINALEMENT MORTEL

LA VIEILLESSE.jpeg

 

FINALEMENT MORTEL

 

Un carillon fatigué dérange le silence en attente

Tandis qu'un chat noir glisse dans un rai de lumière

A cette heure incertaine où la nostalgie nomade

Porte de ses pas l'ailleurs d'une vie réduite à peu.

 

Elle arpente, les yeux tristes, son jardin au crépuscule

Dans l'insondable mélancolie de ceux qui n'ont plus rien,

Désormais aux portes de la solitude et du tranquille

A la saison grise du dénouement qui fait monter l'angoisse.

 

Engagée dans l'ultime versant de sa vie elle fixe le passé,

En attente encore de son fantôme d'amour,

Celui, lointain, qui illumine les photos sépia

D'un regard perdu vers le temps qui reste.

 

On la voit souvent s'égarer dans ses pensées,

Traversée de douce tristesse, de désespoirs feutrés,

Et se consumer avec une saisissante dignité, aux aguets

De cette absence têtue qui éloigne la vie des vivants.

 

De son affection pour l'humble perle une larme furtive

Qui projette au plus profond du cœur la tristesse infinie

De cette déjà longue vie passée, soudain si brève,

Faisant de la mort à venir la compagne de chaque aube.

 

Les années ont tassé sont corps et froissé son visage,

La peau s'est creusée de rides sur la main qui maintenant tremble.

Les yeux fixent le vide et en appelle au manque dans le vide

Où elle l'évoque, gênée, de cette pudique tendresse

Qui incite à porter une attention toute particulière

A cette vieillesse proposée comme ultime menace,

Comme un dernier combat à livrer a l'orgueil du temps

La nuit où n'en finissent pas de se crisper les rêves.

 

La vie soumet mais aussi grandit chaque infime de l'instant

Aux longs sanglots des heures qui s'écoulent, finalement mortelles.

 

P. MILIQUE

16/11/2012

AMER CONSTAT

CREPUSCULE.jpeg

 

AMER CONSTAT

 

Entre deux obscurités l'éclair crisse solaire,

Éclat d'or dans une fenêtre couleur de nuit

Illuminant le crépuscule exaspéré

De sa lumière stridente de fin du monde.

 

Chante alors l'aurore chagrine de la chair mortelle

Son amère mélodie, assaillante et tristement vraie...

 

P. MILIQUE

21/10/2012

LA MINUTE NECESSAIRE DE MONSIEUR CYCLOPEDE: "EVITONS UNE MORT GROTESQUE AU COEUR DE L'AUTOMNE".

 

EVITONS UNE MORT GROTESQUE AU COEUR DE L'AUTOMNE

La minute nécessaire de Monsieur Cyclopède 

03/03/1983 - 01min31s

 

Afin d'éviter une mort grotesque nous ne devons "jamais aller nous promener dans les bois sans un con à champignons".


 

Production

 

Agence, Paris : France 3

Générique

 

Fournier, Jean Louis

 

Desproges, Pierre