03/09/2013
SI NOUS VIVIONS EN 1913: "LES TRAVAUX DOMESTIQUES NOUS PRENDRAIENT BEAUCOUP DE TEMPS
SI NOUS VIVIONS EN 1913
"LES TRAVAUX DOMESTIQUES NOUS PRENDRAIENT BEAUCOUP DE TEMPS"
Femmes au lavoir dans les Hautes Pyrénées © Fonds Trutat
La France il y a un siècle, avec Antoine PROST, historien. Aujourd’hui, les travaux domestiques.
Antoine PROST préside la mission du centenaire de la première guerre mondiale, dont France Inter est partenaire...
Les travaux domestiques nous prendraient beaucoup de temps et je ne parle pas seulement du ménage ou de la vaisselle. En 1913 le chauffage central était une nouveauté limitée au logement bourgeois et encore pas tous. On se chauffait avec des poêles en fonte ou en faïence dans l'Est et il y avait souvent qu'une pièce à feu. La cuisinière en fonte noire qui sert à cuire les aliments chauffe aussi les logements populaires...
17:05 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, antoine prost, travaux domestiques, prendre du temps, lavoir, hautes pyrénées, siècle, historien, présider, mission du centenaire, premère guerre mondiale, france inter, partenaire, parler, ménage, vaisselle, chauffage central, nouveauté, limiter, logement, bourgeois, chauffer, poêle en fonte, faïence, est, pièce, feu, cuisinière en fonte, noir, servir, cuire les aliments, logement populaire, orgue de barbarie
28/08/2013
DISSONANCES DÉLIBÉRÉES
DISSONANCES DÉLIBÉRÉES
Briser, libérer, émanciper, enlacer, interroger le mot,
Écrire sans structure définie ni retenue castratrice,
Sans autre objectif que celui de dénicher
Quelques rares pépites jaillissant, impromptues,
De l’humus parfois désespérément stérile des mots.
Une approche plus conventionnelle
Impose d’emblée l’astreinte cérébrale
Qui aboutira, la plupart du temps,
A des résultats à la trame aléatoire.
Faut-il alors suggérer, comme le disent certains,
Que ces poètes-là ne sont que de tristes fossoyeurs
Portant en noire sépulture les mots de demains,
Alors qu’ils en sont la mémoire vivante sauvegardée ?
S’acharner à versifier pour le bien décidé de l’humanité,
Je laisse à d’autres compétences le soin de s’y aventurer.
Il m’est tellement plus viscéral de brouiller les pistes
En créant çà et là de singulières arythmies volontaires,
Des césures inopportunes ou des dissonances délibérées
Dans le but avoué, et assumé, de parvenir certaines fois,
A perturber, d’un enjôleur clin de plume, l’insaisissable absolu.
Briser, libérer, émanciper, enlacer, interroger le mot,
Écrire sans structure définie ni retenue castratrice.
P. MILIQUE
09:47 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, dissonance, délibéré, briser, libérer, émanciper, enlacer, interroger, écrire, structure, définir, retenue, castratrice, objectif, dénicher, rare, pépite, jaillir, impromptu, humus, désespérance, stérile, approche, conventionnel, imposition, d'emblée, astreinte, cérébral, aboutir, résultat, trame, aléatoire, suggérer, poète, triste, fossoyeur, porter, noir, sépulture, mémoire vivante, sauvegarder, s'acharner, versifier, décider, humanité, laisser à d'autres, compétence, soin, s'aventurer, viscéral
12/08/2013
A FAIRE SAIGNER LE BLEU DU CIEL
A FAIRE SAIGNER LE BLEU DU CIEL
L'intention du suicide est la conséquence d'une histoire personnelle.
D'un état de grand délabrement psychique. Ou physique. Ou les deux.
Pour n'avoir jamais été doué pour le bonheur et,
Parce que les jours implacables se font noirs autour de moi,
Je m'enfonce dans l'évidence du tourment.
Dans le désordre spectaculaire.
Le chaos soudain devient la règle.
Je me retrouve projeté, protagoniste majeur, dans un étrange cauchemar
Troué d'images rouges et noires.
En vieillissant je le sait bien,
On aspire quelquefois à extraire l'essence de soi-même.
Et à s'approcher d'une flamme en une volonté libératrice.
Pour être certain de disparaître dans l'embrasement final
De ce qu'on n'a jamais su être.
Acte ultime et définitif d'une non-existence.
La question maladive et obsédante de certains est de savoir
S'il existe une vie après la mort.
Mais, sommes-nous simplement sûrs qu'il y en ait une avant ?
Moi-même, si je me sens à l'instant tragiquement dépourvu,
Sais que son univers n'est pas vide.
Je connais les sources les plus secrètement dissimulées
De ses vagabondages toujours recommencés.
Parce que je croit que j écrit !
C'est ma souffrance secrète, présente, inaudible, indéchiffrable.
Je suis un montreur de mots qui brouille les images.
Au quotidien, je fréquente ce lieu de forte lumière intérieure.
Un espace de création personnelle, terre sublime et misérable,
Où se racontent le désespoir et le désarroi d'un homme
Qui se heurte à l'ancestrale brûlure du mystère.
Tous mes écrits sont dans la noirceur absolue,
Sans chaleur aucune, sans aucun avenir.
Ils sont la douleur d'une écriture qui se dégrade dans la solitude.
Jusqu'à la brisure.
Je possède en moi l'art l'art morbide de faire saigner le bleu du ciel,
Un ciel saturé de cris et de fureurs
Que rien ne sauvera jamais de l'oubli ni de l'indifférence.
Une écriture tendue, abrupte, torrentielle,
Arrachée aux entrailles d'une lucidité impitoyable.
Comme j'aimerais, dans une effervescence de tous les instants,
Savoir dire le charme énigmatique de certains mots transparents, cristallins et fugaces !
Posséder, même un peu seulement, la magie impérieuse de quelques mots mystérieux.
Refuser de céder aux tentations pourtant bien séduisantes de la facilité,
Et rester définitivement exigeant, intransigeant sur le choix des mots.
Connaître enfin le scintillant tourbillon de pensées que je saurait mettre en forme.
Comme des traits vivants, traits de plume, traits d'esprit.
Composer un véritable opéra des soupirs et de la solitude,
Avec la mélancolie peut-être, d'un désaccord avec moi,
Et savoir dire toute la tristesse du monde. Tous les soleils aussi.
Tout cela sans hâte, sans dissonance.
Par simple plaisir de la lenteur. Et de la précipitation.
Mais je sais aussi que les drames les plus crépusculaires
S'accordent de fait aux fastes les plus incongrus.
Et que tout est tout à fait perdu
Lorsque les perspectives quelles qu'elles soient, n'existent plus.
Alors, il me faut bien finir par m'affranchir de mes fantômes.
Aussi je cherche, avec une ferveur désespérée, la flamme libératrice.
Celle qui, au cœur vif de la terrifiante spirale,
Acceptera de m'embraser sans me poser de questions.
Dorénavant, je ne la cherche plus.
Je sait depuis peu que je l'ai trouvée.
Dehors est le soleil d'hiver, rond et pâle.
Et je m'y vois déjà !
P. MILIQUE
05:00 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, saigner, bleuet, ciel, intention, suicidaire, conséquence, histoire, persdonnel, étatique, délabrement, psychique, physique, doué, bonheur, journée, implacable, noir, s'enfoncer, évider, tourment, désordre, spectaculaire, chaos, devenir, règle, retrouver, projeter, protagoniste, majeur, étrange, cauchemar, trouer, image, rouge, vieillir, savoir, aspirer, extraire, essence, s'approcher, flamme, volonté, libérateur, disparaître, embrasement, fial, acte, ultime
29/07/2013
JE M'ACCUSE 30
Je m'accuse
D'être responsable
D'avoir hissé avec obscénité
Le grand drapeau noir,
Distinct à des lieues à la ronde,
Qui signale entre autres
Et avec trop d'ostentation,
Le naufrage de ma propre vie.
09:16 Publié dans JE M'ACCUSE | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, s'accuser, émile zola, germinal, être et avoir, auxilliaire, hisser, obscénité, grand, drapeau, noir, distinguer, distinction, distinct, des lieues à la ronde, signaler, ostentatoire, ostentation, naufrage, propreté, propriété
12/07/2013
SA VIE
SA VIE
Sa vie :
C’est un ciel de noirs et menaçants malheurs
Habité de rêves fracassés et de confiance trahie,
Une succession continue de mouvements aussi désordonnés qu' incohérents,
Une douteuse abstraction que l’on ne peut qu’effleurer
Et encore n'est-ce que parfois, jusqu’au vertige, jusqu’au silence,
Un échantillon capiteux qui offre l’amère saveur d’un décalage constant,
Une outrance peu recommandable qui porte le grondement sauvage
De l’évidence inévitable du conflit inscrit à l'à-venir,
Qui niche en son sein l'âcre indifférence des rancœurs fatiguées.
Il refuse cela:
Alors il s’invente un itinéraire singulier aux traces invisibles,
Il se métamorphose esprit enragé, hanté, lunaire,
Débordant sans retenue la colère nécessaire et vitale,
Qui saura l'alléger des forces obscures de cette incohérence.
Il rejette violemment les normes contraignantes et sécurisantes
Tout en s’obligeant à débusquer en lui la part d’intolérance,
Faite d'appréciation parasitée et contradictoire du monde,
Pour se tenir, toujours, sur la pointe acérée du paradoxe,
Pour aussi ne pouvoir être suspecté de cette complaisance
Qui existe fréquemment dans la gravité et la mortification.
A cause de cela, il claudique bas en son refuge intérieur;
Juste à percevoir, dans l’éclat d’une évidence jusqu’alors obscur,
Cette vie qui s’organise lentement, pour, dans et contre le vide
Afin de n'être seulement troublée que par les coïncidences.
Il est des désespoirs qui restent à jamais secrets
Et, sauf à savoir forcer la banquise de la douleur,
Il y a cet accomplissement qui propose un chemin solitaire.
Il s’esquive alors là où s'enfièvre le murmure lumineux
Dans la brillance si belle de ce Soleil Absolu qui a su amarré
Son ancre tranquille et rassurante à cristalliser le désordre.
P. MILIQUE
09:30 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, vie, ciel, noir, menace, menacer, malheur, habiter, rêve, fracasser, confiance trahie, succession, continuité, désordonné, incohérent, douloureux, abstraire, effleurer, vertige, silencieux, échantillon, capiteux, offrir, saveur, amère, décalage, constance, outrance, peu recommandable, recommander, grondement, sauvage, évidence, incidence, inévitable, conflictuel, inscrire, inscription, avenir, nicher en son sein, sein nu, âcre, indifférance, rancoeur, fatiguer, refuser, inventer, itinéraire, singulier
07/07/2013
LE REFUS ENFIÉVRÉ
Dans la prise de connaissance de cette glauque humanité
Où les dés ne se jettent, hautains, qu'une seule et unique fois,
L'élan s'épuise en d'indélébiles outrances livrées à la tourmente.
Voilà la ligne de tolérance, enfiévrée de refus, désormais atteinte.
P. MILIQUE
09:22 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, refuser, descente aux enfers, enfiévrer, descendre, noir, tréfonds, priser, connaissance, glauque, humanoïde, les ds sont jetés, hautain, débile, unicité, foisonner, élan, épuiser, indélébile, outrance, livrer, tourment, se faire une ligne de coke, tolérance zéro, atteinte à la vie privée
26/06/2013
NOIR ABYSSE
Qu'elle a désormais le regard exténué et vide
De celle que le sommeil ne visite plus jamais.
Un manque terrible s'est désormais incrusté
Qui peu à peu à peu façonne le noir abysse.
P. MILIQUE
10:24 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, patrick milique, joe satriani, solo de batterie, noir, abysse, abyssal, existence, altérer, absence, désordonné, regard, exténué, vide, sommeil, visiter, terminator, manquer, terrile, incruster, enkyster, façonner, maçonnerie, ma connerie
05/06/2013
AS-TU SU COMBIEN JE SAVAIS MAL T'AIMER ? 5
A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter) le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...
AS-TU SU COMBIEN JE SAVAIS MAL T'AIMER
5
Il est des blessures infinies d’emblée indélébiles,
Alors lorsqu'il s'agit de survivre dans l'obscur! …
Tu navigues désormais sur une mer plus tranquille
A la lumière d'un soleil de paix depuis toujours mérité,
Enfin étranger au noir persistant de mon infirmité d'être,
Tandis que l'avalanche émotionnelle précise l'interrogation :
Que vont devenir toutes les larmes extraites de spasmes à vif,
Celles-là même que nous n'avons jamais su verser ensemble
Tenues si longtemps secrètes qu'elles ne hantent plus que l'invisible ?
As-tu compris au gré d'un jour, Papa, combien je savais mal t'aimer ?
(FIN)
P. MILIQUE
09:50 Publié dans GOUTTES d'ÂME, NOUVELLES | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, québec, montréal, ontario, toronto, aimer, blessure, infini, d'emblée, indélébiles, s'agir, survivre, obscur, naviguer, mer plate, tranquillité, cent ans de solitude, lumière, soleil, paix, toujours, mériter, finir, étranger, noir, existence, exister, persister, infirmité, tandiq, avalanche, émotionnel, préciser, interrogation, devenir, larmes, extraire, spasme, à vif, verser, ensemble, tenir, longtemps, secret, hanter, invisibilité
06/05/2013
CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER : 15.10.2012
CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER
15.10.2012
18:39 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, philippe meyer, patrick milique, fuir, rire, chercher, monde, arme, enfant, savoir, vie, néant, exister, songe, déployer, dormir, ange, trembler, méchanceté, cracher, ciel, coucher, infini, s'isoler, siècle, lenteur, noir, partir, entendre, admiration, pierre desproges, robert mitchum, couler dans les veines, chagrin, ébrécher, fureur, alcoolique, félin, taureau, élastique, métier, acteur, cinématographe, flamboyer, ressembler, amour, crever, odeur, lèvres, jambes
23/03/2013
L'HARMONIE DU MONDE
L'HARMONIE DU MONDE
L'excès du savoir érudit de maîtrise
Rend les choses quelquefois bien difficiles.
L'homme se transforme en un être compact
Face aux vives pulsions noires de l'horrible vie.
Mais l'acuité hors norme de son regard intérieur
L'ouvre au soleil nostalgique d'un certain humanisme.
Cela ne relève pas de l'explication, plutôt de l'énigme !
Au centre d'une existence, comme confusément désaccordée,
Une forme supérieure d'intuition et de perception
Lui permet, dans un éclat de dépouillement sublime
D'approcher, au plus radiant de la clarté nocturne,
De cet état plus heureux qui redonne harmonie au monde.
P. MILIQUE
09:12 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, harmonie, monde, cinéma el mondo, excès, excéder, excessif, savoir, érudit, maîtrise, rendre les choses difficiles, se transformer, compacter, impacter, compact, vivacité, pulsion, noir, horrible, horreur, vie, acuité, hors norme, regarder, intérioriser, intériorité, ouvrir, soleil, nostalgie, certitude, hanisme, explicatif, éngme, énigmatique, centraliser, confus, confusion, désaccorder, forme supérieure, intuition, perception, permettre, permission, éclater, éclat, dépouiller, dépouillement, subliminal, sublimer, approcher
13/03/2013
FUSIONNEL IMPROMPTU
FUSIONNEL IMPROMPTU
Tour à tour noir ou agréablement léger
S'établit un rapport de dépendance de plus en plus fort
A certaines saveurs anciennes dans leur noble simplicité.
On peut parvenir à une vraie joie de vivre
Au travers le mordant, l'absurde et le malheur,
A peine gêné par l'intérêt particulier
Porté aux hasards et aux coïncidences
D'une effervescence un peu baroque.
Reste à broder en gestes de patience de subtiles variations
Qui diront notre attachement vif et notre proximité
Sous-tendue au fusionnel impromptu
D'une lecture poétique du monde.
P. MILIQUE
09:57 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, fusionnel, impromptu, tour à tour, noir, agréable, légèreté, s'établir, rapport, rapporter, dépendance, fortissimo, saveur, ancienneté, noblesse, simplicité, pouvoir, parvenir, vraie joie de vivre, passer à travers, absurdité, malheur, peiner, gêner, intérêt particulier, porter aux nues, hasard, conincidence, effervescence, baroque, poste restante, broderie, broder, gestuel, patience, subtil, variation, attachement, vif, proximité, sous-tendre, lecture poétique, mandanité, mondial
05/02/2013
NÉVROSÉ PRÉTENDU
NÉVROSÉ PRÉTENDU
S'amplifie une jubilation intense
Sous-tendue de délicieux frissons
Qui occulte part là-même
Les possibles frustrations.
A se souvenir parfois du grand vide quotidien,
Elle se pare d'abord d'un cynisme à tout crin
Puis se drape fière dans l'absolu noir du silence
Pour retourner vers l'ultime, la morte espérance.
Inspiré, faut-il le croire ce prétendu plein de névroses
Affirmant que rien ne reste plus... quand on a oublié?
P. MILIQUE
09:30 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, prétendre, prétention, névrose, amplifier, jubilation, intensité, sous-tendre, délicieux, frissonner, occulter, possibilité, frustration, se souvenir, grandeur et décadence, videur, quotidien, se parer, cynisme, à tout crin, se draper, fier, absolution, noir, silencieux, retourner, ultime, mort, espérance, inspirer, falloir, croire, affirmation, il ne reste plus rien, tout oulier