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08/08/2014

DES ÊTRES INDISPENSABLES 1

au magma présent de l'écriture,

 

DES ÊTRES INDISPENSABLES

1

 

Il est des êtres indispensables

Avec qui l'on s'enchaîne au plaisir

Incomparable du respect réciproque.

Sans eux, il est certain de vivre dans l'inachevé,

Lorsque la lourde fatigue de l'existence s'accumule

Telle une poussière de résignation sous les gravats de l'ennui.

 

Alors, ils apparaissent à nos côtés,

Crapules, dans l'immédiat sympathiques,

Pour nous proposer d'autres interprétations

D'une même réalité.

Et nous exultons soudain

Dans la violence du changement.

 

Parce qu'ils possèdent cette façon magique de dire le banal,

Nous tombons sous le charme d'un étrange enchantement.

Quelques illusions consolantes,

Quelques trouvailles essentielles

Nous offrent les instants précieux et insaisissables

De l'éphémère sérénité du fragile quotidien.

(A SUIVRE...)

 

P. MILIQUE

31/07/2014

REMERCIEMENTS 2

au magma présent de l'écriture,

 

A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter) le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...

 

REMERCIEMENTS

2

 

Je vous remercie de m’avoir irrigué de vos talentueux conseils de vie,

De vos mots qui pleurent leurs larmes complices, sans fausse pudeur.

J’entends encore votre voix aller et venir dans mon inconscient

Jusqu’à exploser mes antiques peurs de leur possible supposé.

Certains disent qu'ils ne peuvent rien inverser du cours des choses!

Je prétends moi qu’ils le peuvent s’ils sont utilisés à meilleur escient.

 

J’ai passé de glauques et douloureux moments, vous le savez.

Merci d’avoir été là comme s’il était juste ordinaire de l’être!

Merci de l’avoir été en ces instants âcres que vous saviez vitaux.

Merci d’avoir assumé à vous seule certains de mes mois incertains.

(FIN)

 

P. MILIQUE

13/07/2014

COMME UN REFRAIN DE LIMONAIRE 3

au magma présent de l'écriture,

 

A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter) le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...

 

 

COMME UN REFRAIN DE LIMONAIRE

3

 

Pour dire qui vous êtes, il faut convoquer les mots d'exigence et de générosité

De soleil et de lumière, de brise légère et d'ondée, de fragrance capiteuse aussi.

Votre nature méditative semble puiser son incroyable fertilité dans l'abandon,

Plein et authentique, d'une exploration poussée au tréfonds de ces endroits-là.

Vie intérieure riche et enthousiaste qui fixe les souvenirs limpides du manque.

 

Aussi garderai-je gravées en mémoire certaines de vos phrases essentielles.

Des phrases extraordinaires d'exactitude qui nourrissent mes attentes vraies.

Je me les approprie au fil du ressenti et les laissent me nourrir d'éternel,

Troublé mais capable désormais de percevoir quelques pierres chagrines

Couvertes de la poussière du temps dans le chaos de mes errances nocturnes.

(FIN)

 

P. MILIQUE

25/02/2014

REFLEURIR ENSEMBLE

au magma présent de l'écriture,

 

REFLEURIR ENSEMBLE

 

Il me faudrait savoir écrire tout l’amour que tu as levé en moi.

Savoir dire aussi l’éblouissement né de sa révélation soudaine

Qui s’enrichit, s’approfondit plus encore en chaque infime éprouvé.

 

Il s’agit d’un amour au souffle unique, d’un comme une fleur sauvage

Demeurée jusque-là inconnue, d’une beauté mystérieuse et sans égale.

 

Sous les rayons dardés de ton soleil, j’accoste aux joies les plus secrètes.

Dans l’éclatante fraîcheur de l’originel, j’aborde l’âme des jours dilatés

Et je me retrouve au cœur de toi, dans l’insondable de ce tendre sourire

Qui illumine si joliment ton visage et offre une parure de bonheur à la vie.

 

Douce, notre amour vit dans la certitude que nous fleurirons ensemble.

Depuis, dans la métamorphose de l’apprivoisé, clignent les baisers étoilés.

 

P. MILIQUE

02/02/2014

VOIX EXPRESS CHANTE NINO FERRER AU THÉÂTRE SERANO TOULOUSE LE 28 JANVIER 2014


(Captation Personnelle)

 

VOIX EXPRESS

  CHANTE 

NINO FERRER 

AU THÉÂTRE SERANO 

TOULOUSE

LE 28 JANVIER 2014

DIRECTION ET ARRANGEMENTS
LUCAS LEMAUFF ET HERVE SUHUBIETTE

PARTICIPATION INSTRUMENTALE
DIDIER DULIEUX
LAURENT GUITTON
ERWAN MAUREAU

www. voixexpress.com

01/02/2014

VOIX EXPRESS CHANTE NINO FERRER AU THÉÂTRE SERANO TOULOUSE


(Captation Personnelle)

 

VOIX EXPRESS

  CHANTE 

NINO FERRER 

AU THÉÂTRE SERANO 

TOULOUSE

LE 28 JANVIER 2014

DIRECTION ET ARRANGEMENTS
LUCAS LEMAUFF ET HERVE SUHUBIETTE

PARTICIPATION INSTRUMENTALE
DIDIER DULIEUX
LAURENT GUITTON
ERWAN MAUREAU

www. voixexpress.com

28/01/2014

GRAINS D’OR

au magma présent de l'écriture,

 

GRAINS D’OR

 

C’est le jeu du matin qui se pare d’ordinaire.

 

Il faut, c’est irrépressible, que je m'octroie un bonheur.

Se prend alors la lumineuse habitude d’un jour

A nouveau rompu, dans lequel je me réfugie.

 

Il est sage et bon d’écrire pour se distraire

Et faire comme s’il faisait clair.

Ne pouvoir se priver de dire,

Remarquer un fait, noter une coïncidence et consentir à penser.

Petites bêtes inutiles sur le papier, traces éternelles d’expériences

Qui n’expérimentent déjà plus rien.

 

L’individu n’est qu’une somme d’individus condamnés à vivre l’invisible présence.

Sensation rassurante à se retrouver avec facilité de l’autre côté du miroir.

 

C’est un acte commis avec toute mon âme.

Sentiment bien connu dans la résonance prolongée du langage

Quand ce n’est plus l’écriture mais la chose vivante elle-même qui palpite et gémit,

Peut-être la seule chose qui ne soit jamais venu de moi,

Pleuré, en saignant des larmes de mots.

 

Faut-il vraiment léguer aux autres cet intime fatras,

Tout détruire ou tout garder,

Préserver, enfin gravés, les grains d’or du passé ?


P. MILIQUE

18/01/2014

LAMBEAUX DE MÉMOIRE 2

au magma présent de l'écriture,

 

A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter)  le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...

 

LAMBEAUX  DE  MÉMOIRE

2


Le monde semble s'être durablement absenté

Direction le trouble et l'inconnu,

Vide de toute séduction d'un amour en devenir.

Et tout un chacun apparaît

Comme un infirme définitif de la vie.

 

A un moment, il devient important

De ne plus savoir compter que sur son imaginaire,

Et laisser peu à peu des lambeaux de mémoire se préciser

Habités d'impétueux désirs aux belles apparences

Installant au tréfonds la viscérale certitude

Que jamais l'avenir patiemment élaboré n'adviendra!

 

C'était par un distrayant après-midi

Fouetté par le sang juvénile du printemps...

Un sourire énigmatique striait le brillant de ses yeux.

(FIN)

 

P.  MILIQUE 

06/10/2013

LA CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER: 19/09/2013

 

LA CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER

19/09/2013

12/01/2013

SE RENCONTRER ENCORE: 3

RETROUVAILLES.jpeg

 

A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter)  le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...


SE RENCONTRER ENCORE

3

 

Ça et là, des petits groupes immobiles et silencieux arborent une mine déconfite, contrite. Celle-là même qui accompagne d'ordinaire les événements tragiques. Ils encerclent, avec une attention teintée de curiosité, une ambulance qui, sirène branchée et gyrophare clignotant de sa lumière bleutée, entreprend son précautionneux trajet en direction, du moins le suppose-t-il, de l'hôpital le plus proche. Machinalement, mécaniquement presque, il s'approche jusqu'à l'assemblée réunie. C'est que, une boule au ventre, il éprouve le vif besoin de savoir de quoi il en retourne, mais plus encore, de tenter ainsi de contenir une anxiété déjà grandissante.

 

 

 

La voix d'un type de forte stature prend le pas sur celles d'autres, et il entend distinctement ce qu'il est en train de dire:

 

«C'est terrible, terrible. C'est qu'il faut être sacrément désespéré pour en arriver à de telles extrémités, croyez-moi! Quelle insupportable tragédie personnelle a bien pu la pousser à commettre un tel geste? Commettre un acte aussi définitif, croyez-moi...»

(A SUIVRE...)

 

19/12/2012

POEME "Elle ne vit que par sa forme" Dit par Max-Pol FOUCHET

 

 

POEME

"Elle ne vit que par sa forme"

Dit par Max-Pol FOUCHET

Lectures pour tous

18/06/1958 - 05min07s

 

Max Pol Fouchet dit un poème de paul Eluard, tiré de "Corps mémorable", sur une photographie de Lucien Clergue. Il parle ensuite de la poésie de Paul Eluard.

 

Production

 

Office national de radiodiffusion télévision française

Générique

 

Prat, Jean

 

Fouchet, Max Pol

17/11/2012

LES PRIX LITTERAIRES: "Procès VAUTRIN"

 

Procès VAUTRIN

Soir 3 

12/03/1990 - 02min10s

 

Jean VAUTRIN, lauréat du Prix GONCOURT 1989 pour son roman "Un grand pas vers le bon dieu", a été assigné en justice par un universitaire, Patrick GRIOLET, qui l'accuse d'avoir abondamment puisé dans ses études sur la langue cajun pour la rédaction de son roman. - Interview en studio de Patrick GRIOLET : "C'est une première dans l'histoire du plagiat. Un professeur de Nice, Etienne BRUNET, a mis les deux livres sur ordinateur pour comparaison. Il est clair que la moitié du livre de VAUTRIN est pompée directement dans mes deux ouvrages. Le livre de VAUTRIN est le plus riche en vocabulaire depuis RABELAIS. Il y a le vocabulaire de VAUTRIN et le vocabulaire cajun des français de Louisiane, qui lui aurait sans doute échappé sans mes travaux. Je réclame 50% des droits d'auteur". - Interview, dans son bureau, de Georges KIEJMAN, avocat de Jean VAUTRIN : "Je ne prends pas cette accusation au tragique (..) Faire d'un universitaire dont on a utilisé les travaux un coauteur me paraît peu sérieux. J'espère que je pourrai faire partager ce point de vue au tribunal..".

 

Production

 

France Régions 3 Nice

Générique

 

Bonnet, Véronique