07/11/2013
CIORAN 36
"Les idées
Ne font
Ni ne ferons
Jamais rien naître.
Une pierre,
Une fleur,
Un ver,
Sont bien plus
Que toute la pensée humaine
(E.M. CIORAN)
09:41 Publié dans CIORANESQUERIES | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, idée, bienfaisance, faire, nullité, naître, naissance, pierre, fleur, ver, vers, verre, vert, pensée, humanité, calibrer, narcissique, inconvénient
11/10/2013
ECLATS D'OBSIDIENNE
ÉCLATS D'OBSIDIENNE
Qu'est-ce qu'un Virtuose Ecri-Poète ?
C'est un homme qui nous soumet aux riches
Et exubérantes fleurs de son imagination.
Qui utilise sa fluidité d'écriture
A donner une émouvante dimension esthétique
A la pesante grisaille du quotidien.
Sa plume nous propose dans la mélodie,
-- peut-être la mélopée --
Des phrases qui s'enroulent,
D'abolir l'espace et le temps.
Avec un style tourbillonnant,
Créateur d'infinis poétiques.
Fabuleuse richesse que cette écriture-là !
D'une incontestable virtuosité.
Elle est bruissement éthéré
De trouvailles délicieuses
Et de subtiles associations de mots.
Marquée aussi de touches de raffinement délicat
Aux éclats luminescents de pierre précieuse.
Aux éclats d'obsidienne ?
Cette écriture-là est pour moi
Intarissable source d'émerveillement,
Parce qu'elle intensifie
Le magnifique essentiel du Temps et de la Vie.
P. MILIQUE
17:30 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, écrivain, poète, virtuose, éclat, obsidienne, homme, soumettre, riche, exubérance, fleur, imagination, utiliser, fluidité, écriture, donner, émouvant, dimension, esthétique, pesant, grisaille, quotidien, plume, proposer, mélodie, mélopée, phrase, s'enrouler, abolir, espace, temps, style, tourbillonnant, créateur, infini, poétique, fabuleux, richesse, incontestable, bruissement, éthéré, trouvaille, délicieux, subtil, association, mot;marquage, touche, raffinement, délicat, luminescent
06/10/2013
LA CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER: 19/09/2013
LA CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER
19/09/2013
13:39 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, philippe meyer, souvenir, chanson, direction, farandole, pitoyable, francis lalanne, collège, ouvrir la fenêtre, adresse, perruche, jeter au feu, apprendre, sentiment, raisonner, aimer, imaginer, ride, désir, fleur, cueillir, par hasard, exutoire, free style, mémorial, embaucher, labyrinthe, nénuphare, injuste, incruster, en effet, innocent, frisson, émotion, émotif, hémophile
25/09/2013
CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER: 03/09/2013
CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER
03/09/2013
18:01 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, célèbre, feuilleton, dater, fait divers;blesser, procureur de la république, assassinat, meurtre, les baumettes, assistance, qualifier, expédition punitiventuer, mourir, abattre, sauvegarder, interroger, effort, porte parole, délinquance, éclair au chocolat, douter, racisme, complexe hôtelier, utilisation, froideur, noël mamère, divergence, usager, terrain, stigmatiser, judiciaire, ardeur, flambée des prix, hâvre de paix, arbre, fleur, karim kacel, jimi oihid
30/08/2013
LA BOÎTE A LETTRES: GUY DE MAUPASSANT A ROBERT PINCHON
LA BOÎTE A LETTRES
GUY DE MAUPASSANT A ROBERT PINCHON
BIBLIOTHÉCAIRE, JOURNALISTE, CRITIQUE DRAMATIQUE,
ET
AMI INTIME DE MAUPASSANT.
01:15 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, stendhal, sophie d'uvaucel, lettre, plaisir, revenir, saint-pierr, fête, paraesse, acte manqué, trouver, pavé, marbre, église, joncher, fleur, feuille, laurier, meurtrir, répandre, odeur, suave, fort, convenir, nerfs, jolie, femme, ^m, doux, dstinée, frapper, délicatesse, patriotisme, ardent, indigné, mépris, sincère, haine, estimer, se mêler, affaire, publique, expérienc, expérimenter, préfet, haile, rappeler, net, clair, budget
29/08/2013
LA BOÎTE A LETTRES: JEAN-MARIE SOTIN DE LA CONDIERE AUX CITOYENS DE LA LOIRE INTERIEURE
LA BOÎTE A LETTRES
JEAN-MARIE SOTIN DE LA CONDIERE
AUX
CITOYENS DE LA LOIRE INTÉRIEURE
01:17 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, stendhal, sophie d'uvaucel, lettre, plaisir, revenir, saint-pierr, fête, paraesse, acte manqué, trouver, pavé, marbre, église, joncher, fleur, feuille, laurier, meurtrir, répandre, odeur, suave, fort, convenir, nerfs, jolie, femme, ^m, doux, dstinée, frapper, délicatesse, patriotisme, ardent, indigné, mépris, sincère, haine, estimer, se mêler, affaire, publique, expérienc, expérimenter, préfet, haile, rappeler, net, clair, budget
28/08/2013
LA BOÎTE A LETTRES: STENDHAL A MADEMOISELLE SOPHIE D'UVAUCEL
LA BOÎTE A LETTRES
STENDHAL A MADEMOISELLE SOPHIE D'UVAUCEL
(© Musée des Lettres et Manuscrits)
Mademoiselle Sophie d'Uvaucel, chez
M. le Baron Cuvier, an Jardin du Roy, à Paris.
Rome, 28 Avril [1831].
Mademoiselle,
Votre lettre me fait le plus grand plaisir. Je reviens de Saint-Pierre où il y avait une fête. Ma paresse me l'a fait manquer. J'ai trouvé le pavé de marbre de l'église jonché de fleurs et de feuilles de laurier. Ces feuilles un peu meurtries répandaient l'odeur la plus suave, point trop forte, ce qui convient à mes nerfs de jolie femme. Mon âme était bien disposée. Votre lettre a paru comme un jour doux destiné à frapper des yeux délicats. Dans mes jours de patriotisme ardent, elle m'eût indigné. Je méprise sincèrement, et sans haine, la plupart des gens que vous estimez. Pour se mêler d'affaires publiques, il faut de l'expérience. Peut-être M. Dejean, ou tout autre jeune homme nommé préfet par M. Guizot, sera-t-il un homme habile en 1840. Mais rappelez-vous que l'œil du public voit nettement et clairement au bout de six mois ce qui se passe dans le cœur de tout homme qui reçoit plus de 20.000 francs du budget et le rôle de Pénélope est dangereux. Mais parlons de fadaises. Vous avez vu quelques très jeunes gens faire de grandes fortunes. Soyez convaincue que quelles que soient les phrases et les apparences, pendant deux ou trois mois de leur vie, ils ont été comme Julien. De 1806 à 1813, j'ai été à peu près aide de camp de M. le comte Daru. Il était très puissant à Berlin en 1806, 7, 8, à Vienne en 1809. J'étais dans une sorte de faveur à Saint-Cloud en 1811. Je vous assure que personne n'a fait une grande fortune sans être Julien. La forme de notre civilisation exclut les grands mouvements, tout ce qui ressemble à la passion.
De là, le rôle pitoyable des femmes. La société actuelle ne les emploie que comme intrigantes. Voyez MMmes Récamier, Pastoret, Rumfort. Il faut pour avancer être doux, humble, faire vingt visites en bas de soie par semaine. Un jour que le protecteur s'ennuiera, un jour de pluie à Saint-Cloud, au mois d'octobre, un trait de bassesse bien placé vous vaudra une préfecture. Je méprise les charges. Julien n'est pas si futé qu'il vous le paraît.
Le jeune homme de dix-huit ans est niais à Paris. Il songe toujours au modèle à imiter. Et quelques-fois il y a quatre règles contradictoires sur la façon dont il faut tirer son mouchoir de sa poche chez une duchesse. Cette perplexité au moment où il s'agit de choisir entre des règles contradictoires, aidée par les trois changements de tenue par 24 heures, qui ont lieu à Paris est cause de la niaiserie. Nos jeunes paysans du Dauphiné savent très bien suivre leur intérêt. J'aime à discuter sur le cœur humain, chose difficile avec les Françaises, qui presque toujours mentent pour se conformer à la règle 1451 qui régit leur conduite ou à la règle 8.600. Votre lettre est infiniment plus sincère qu'aucune que vous m'ayez écrite. Elle ne blâme pas assez le roman en question. Vous avez adouci. Il fallait m'écrire le premier jour. II y avait à Venise un homme qui, pour aimer sa femme, avait besoin qu'elle lui donnât des soumets. Je suis cet homme. Rien ne m'ennuie comme le compliment. Si j'en avais 10.000 comme cela, pense-je, on me ferait baron et académicien. Mais que faire d'un fagot ou deux? Cela ne suffit pas pour chauffer le four. Soyez donc, je vous en supplie, Mademoiselle, ultra-sincère avec moi plus le soufflet sera fort, plus je sentirai la vie.
Mme Az[ur] me croit l'original de Julien parce que pour être nommé Inspecteur du Mobilier, le général Duroc qui m'aimait (par parenthèse à cause de ma sincérité) voyant fils de noble chevalier Beyle dans mon extrait de baptême, me donna le De Beyle dans le projet de décret qui fut signé le 11 août 1810. Alors commença pour moi l'époque du plus grand bonheur. Pour en revenir, la lettre de Mme Az[ur] qui m'accable des plus grands mépris, a fait toute ma joie pendant un voyage que j'ai fait à Capo d'Istria et j'y songe encore après un mois. Si j'avais voulu faire le Julien dans le salon de M. Aubernon, chez M. Pastoret que je ne suis jamais allé voir au Luxembourg,' chez M. de Lafayette, etc., etc., je serais tout au moins préfet de Guéret. Mais je serais destitué, car certainement j'aurais administré comme M. Pons de l'Hérault, préfet du Jura. Gardez cette ligne pour vous. Elle me porterait dommage dans ma retraite. De 15.000 je suis tombé à 10.000.
Si je tombais plus bas, il n'y aurait pas moyen de vivre avec la dignité nécessaire. Ici, je veux dire au midi des Apennins, le public n'est dupe d'aucune affectation. Vous avez beau vous étaler avec une noble négligence sur quatre chaises à la promenade, la canaille ne vous estime qu'au prorata de la dépense que vous faites. Nous avons pour ennemis les libéraux depuis Bologne1, les ultras depuis 1789. Le rôle d'un agent français est difficile, très difficile. Il faudrait en avoir moins et les mieux payer. Autrement je me renfermerai dans une nullité complète comme mon prédécesseur, qui s'est mis cependant à danser dans l'unique café de ma ville en apprenant la nouvelle des ordonnances du 25 juillet 2. J'ai passé cinq jours à Florence sans trouver le temps de monter à la Galerie ou d'aller au Palais Pitti. J'ai cherché la vérité, j'ai écrit quatre dépêches à mon ministre. Celle qui décrit ce qui a failli se passer à Florence vous amuserait.
Comme vous êtres Française, il faut ici placer une petite batterie contre le ridicule, donc. vous amuserait, non certes à cause du talent du narrateur, mais par le caractère plaisant des acteurs. Ma dépêche étant sincère aura déplu. Je me le disais en l'écrivant.
Mais par le plus grand des hasards, il peut se trouver un homme de mérite, un Mérimée, dans les bureaux, et je serais bien aise qu'il se dise « Celui-là n'est pas si niais que les autres. » A seize ans, mon père m'a donné 150 fr. par mois pour venir me faire recevoir à l'École Polytechnique. Or cela se passait en 1799. Les nigauds à demi-hypocrites que vous estimez vous mènent tout droit à la Grande Colère du Père Duchêne. Le tigre se réveillera pour repousser l'étranger qui nous méprise et nous donnera tant de soufflets qu'il faudra finir par où il fallait commencer. L'opération n'eût pas duré plus de six mois. Dans l'état actuel du malade, elle durera trois ans. Je vous offre refuge dans une forêt à trois lieues de mon endroit. Ceci est sérieux. Faute de bonne foi, vous êtes flambés. Comprenez-vous l'admirable finesse de mon langage ? Rien de mieux établi que notre correspondance. Rien ne se perd. Daignez donc m'écrire plus souvent. Mes respects à M. et à Mme C[uvier] et à Mme Martial. Dites à tous les niais que je suis devenu très grave, très profond, très digne du docto corpore où je suis. Au fond quelques phrases plus ou moins piquantes me coûtent 5.000 fr. C'était tout le superflu, chose si nécessaire. Ce malheur doit m'ôter la colère et l'envie des sots. Au reste j'ai pitié d'eux ils vont avoir une belle venette d'ici à quelques mois. Voulez-vous le remède ?
Recipe: Sincérité et bonne foi.
01:43 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, stendhal, sophie d'uvaucel, lettre, plaisir, revenir, saint-pierr, fête, paraesse, acte manqué, trouver, pavé, marbre, église, joncher, fleur, feuille, laurier, meurtrir, répandre, odeur, suave, fort, convenir, nerfs, jolie, femme, ^m, doux, dstinée, frapper, délicatesse, patriotisme, ardent, indigné, mépris, sincère, haine, estimer, se mêler, affaire, publique, expérienc, expérimenter, préfet, haile, rappeler, net, clair, budget
16/07/2013
YVES BOMMENEL: RVB
Donnez-moi des couleurs,
Des sanguins bien saignants pour contrer la grisaille ;
Donnez-moi des couleurs,
Des pastels bien passés pour enchanter la merde ;
Donnez-moi des couleurs,
Pour construire du rêve et oublier le reste ;
Donnez-moi des couleurs,
Pour dépeindre le monde, enflammer l'arc-en-ciel et maquiller ma fuite ;
Donnez-moi des couleurs,
Des bombes aérosols pour se griser de fleurs et s'enivrer d'éther ;
Donnez-moi des couleurs,
Pour dessiner la foudre et d'un seul coup, d'un seul, tracer son anagramme ;
Donnez-moi des couleurs,
Des pixels numériques dégoulinants de diodes ;
Donnez-moi des couleurs,
Des humeurs d'aquarelles, de grasses huiles de cobalt ;
Donnez-moi des couleurs,
Pour enluminer ma nuit, éclairer mes détresses ;
Donnez-moi des couleurs,
Et fichez-moi la paix...
17:25 Publié dans GOUTTES d'ÂME, MUSIQUE | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, yves bommenel, couleur, sanguin, saignant, contrer, grisaille, pastel, enchanter, merde, contruitr, rêve, ounlier, rester, dépeindre le monde, enflammer, arc-en-ciel, maquiller, fuite, bombe aérosol, se griser, fleur, s'enivrer, éther, dessiner, foudre, tracer, anagramme, pixel numérique, dégouliner, diodes, humeur, aquarelle, gras, huile, cobalt, enluminer ma nuit, éclairer, détresse
15/07/2013
GALIM "RIEN N'EST PERDU" AU THÉÂTRE DU GRAND ROND TOULOUSE
GALIM
"RIEN N'EST PERDU"
AU THÉÂTRE DU GRAND ROND
TOULOUSE
LE 12 JUILLET 2012
Voilà qu'insérés au souffle grondent de lointains ouragans échappés d'un ciel d'hypothèses
Tandis qu'un trait de voix tremblée épice la durée et fait coïncider la chair de l'instant à un désormais qui titube.
Ton écho s'éloigne et la vie qui reprend s'est chargée grâce à toi d'un vertige de possibles.
D'un pollen d'amour vibrant et propagé naissent déjà d'autres fleurs perlées d'émotion, lourdes de sourires à cueillir....
07:33 Publié dans MUSIQUE | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, galim, théâtre du grand rond, toulouse, sous les pavés, insérer, souffle, gronder, lointain, ouragan, échapper, ciel, hypothese, trait, voix, trempler, épicé, durée, faire conïncider, chair, instant, tituber, écho, s'éloigner, la vie reprend, charger, grâce, vertige, possible, pollen, amour, vibrant, se propager, naître, fleur, perler, émotion, lourd, sourire, cueillir, maxime le forestier, glaise, mauvais, tristesse au coeur, douceur, after shave, grève
14/07/2013
MARCELINE DESBORDES VALMORE: "LA COURONNE EFFEUILLEE"
MARCELINE DESBORDES VALMORE
"LA COURONNE EFFEUILLEE"
LU PAR
AUGUSTE VERTU
J'irai, j'irai porter ma couronne effeuillée
Au jardin de mon père où revit toute fleur ;
J'y répandrai longtemps mon âme agenouillée :
Mon père a des secrets pour vaincre la douleur.
J'irai, j'irai lui dire au moins avec mes larmes :
" Regardez, j'ai souffert... " Il me regardera,
Et sous mes jours changés, sous mes pâleurs sans charmes,
Parce qu'il est mon père, il me reconnaîtra.
Il dira: " C'est donc vous, chère âme désolée ;
La terre manque-t-elle à vos pas égarés ?
Chère âme, je suis Dieu : ne soyez plus troublée ;
Voici votre maison, voici mon coeur, entrez ! "
Ô clémence! Ô douceur! Ô saint refuge ! Ô Père !
Votre enfant qui pleurait, vous l'avez entendu !
Je vous obtiens déjà, puisque je vous espère
Et que vous possédez tout ce que j'ai perdu.
Vous ne rejetez pas la fleur qui n'est plus belle ;
Ce crime de la terre au ciel est pardonné.
Vous ne maudirez pas votre enfant infidèle,
Non d'avoir rien vendu, mais d'avoir tout donné.
13:57 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, marceline desbordes valmore, la couronne effeuillée, auguste vertu, porter, jardin, père, revivre, fleur, répandre, âme, agenouiller, secret, vaincre la douleur, larme, regarder, jour, changer, pâleur, charme, reconnaître, désolation, terre, pas égarés, cher, dieu, troubler, maison, coeur, entrée, clémence, douceur, saint, sein, refuge, enfant, pleurer, entendre, obtenir, espérance, posséder, perdre, rejeter, beauté, crime, ciel, pardonner, maudire, infidèle
GALIM "ON A QU'UNE VIE" AU THÉÂTRE DU GRAND ROND TOULOUSE
GALIM
"ON A QU'UNE VIE"
AU THÉÂTRE DU GRAND ROND
TOULOUSE
LE 12 JUILLET 2012
Voilà qu'insérés au souffle grondent de lointains ouragans échappés d'un ciel d'hypothèses
Tandis qu'un trait de voix tremblée épice la durée et fait coïncider la chair de l'instant à un désormais qui titube.
Ton écho s'éloigne et la vie qui reprend s'est chargée grâce à toi d'un vertige de possibles.
D'un pollen d'amour vibrant et propagé naissent déjà d'autres fleurs perlées d'émotion, lourdes de sourires à cueillir....
07:22 Publié dans MUSIQUE | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, galim, théâtre du grand rond, toulouse, sous les pavés, insérer, souffle, gronder, lointain, ouragan, échapper, ciel, hypothese, trait, voix, trempler, épicé, durée, faire conïncider, chair, instant, tituber, écho, s'éloigner, la vie reprend, charger, grâce, vertige, possible, pollen, amour, vibrant, se propager, naître, fleur, perler, émotion, lourd, sourire, cueillir
02/07/2013
CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER : 01/07/2013
CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER
01/07/2013
13:15 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, toucher, femme, épouse, condom, se sentir vide, tomber amoureux, mal de tête, soigner, pauvre, moche, paupériser, arno, passerelle, amour, amitié, juliette nourredine, joli, conte de fée, peur, odeur, fleur, agressivité, problème, petit zizi, clitoris