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02/12/2013

A VOTRE ÉCOUTE COÛTE QUE COÛTE "L'HOMME QUI NE VOULAIT PAS ÊTRE DÉLOCALISÉ"

 

A VOTRE ÉCOUTE COÛTE QUE COÛTE

"L'HOMME QUI NE VOULAIT PAS ÊTRE DÉLOCALISÉ"

01/12/2013

A VOTRE ÉCOUTE COÛTE QUE COÛTE "LA FEMME QUI ÉTAIT HARCELÉE SUR SON LIEU DE TRAVAIL"

 

A VOTRE ÉCOUTE COÛTE QUE COÛTE

"LA FEMME QUI ÉTAIT HARCELÉE SUR SON LIEU DE TRAVAIL"

30/11/2013

A VOTRE ÉCOUTE COÛTE QUE COÛTE "LA FEMME QUI AVAIT UN NODULE"

 

A VOTRE ÉCOUTE COÛTE QUE COÛTE

"LA FEMME QUI AVAIT UN NODULE"

29/11/2013

A VOTRE ÉCOUTE COÛTE QUE COÛTE: "LE PAPA DE LA PETITE QUI AVAIT PERDU SON DOUDOU"

 

A VOTRE ÉCOUTE COÛTE QUE COÛTE

"LE PAPA DE LA PETITE QUI AVAIT PERDU SON DOUDOU"

28/11/2013

A VOTRE ÉCOUTE COÛTE QUE COÛTE: "L'HOMME QUI NE PESAIT PAS LOURD DANS L’ÉTERNITÉ "

 

A VOTRE ÉCOUTE COÛTE QUE COÛTE

"L'HOMME QUI NE PESAIT PAS LOURD DANS L’ÉTERNITÉ"

14/11/2013

UN FUTUR ÉTOILÉ 2

au magma présent de l'écriture,

A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter)  le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...

 

UN FUTUR ÉTOILÉ

2


Depuis, tu ne peux imaginer le dense trésor qui m’est offert.

Il n’est qu’à penser l’intensité de ce qui en mon âme bouillonne,

Éclate parfois au reflet d’un miroir juste parce que tu existes !

Grâce à l’amour que je te porte et à la certitude que j’ai de toi,

Tu es devenue l’unique réalité en laquelle au quotidien je puise.

 

Je reçois tellement de toi lorsque ta chaleur s’inscrit en moi !

Tu es le souffle de vie partagé au sensuel des baisers échangés,

Tu es l’inespéré cadeau qui me hisse haut vers un futur d’étoiles,

Lorsque tous les possibles sont accessibles, palpables presque.

 

Au cœur d’un temps élargi d’or, l’amour exulte de ta présence.

Ainsi, marcher, vivre, se taire, sourire, c’est t’habiter toujours.

Au tintamarre fou de mes caresses, entends-tu combien je t’aime ?

(FIN)

 

P. MILIQUE

29/10/2013

LE BONHEUR DE T'AIMER 4

au magma présent de l'écriturej

A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter)  le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...

 

LE BONHEUR DE T'AIMER

4


 

Ma douce aimée, si tu savais combien j’aimerais avoir davantage à t’offrir,

Comme je voudrais savoir faire un écho du partage  gestuel de chaque jour.

Par toi, grâce à toi et à ta beauté d’âme, j’ai enfin rencontré la vie en moi.

Laisse-moi accrocher mes bras en un collier amoureux autour de ton cou.

Laisse-moi t’offrir mes sourires, laisse mes lèvres exaltées fleurir les tiennes.

Laisse reposer ma joue sur ta poitrine, y percevoir les douceurs chuchotées.

Laisse-moi m’endormir au plus douillet de ta chaleur lorsque tangue la nuit,

Sous ton regard à la puissance évocatrice, collé-serré à ta sérénité joyeuse.

Et nos corps cernés de nuit lorsque le temps sautille vers l’incertain de l’aube,

Lorsque nos visages ensommeillés refuseront jusqu’à l’idée du jour naissant,

Nous reprendrons toi et moi possession progressive de l’ici et du maintenant

Avec une avidité d’enfants heureux d’arpenter encore l’essentiel aujourd’hui.

 

 

Amour, vois comme tu m’éclaires de ces rayons de toi pénétrés de radiances,

Vois comme malgré la distance mes bras savent se refermer sur notre fracas !


FIN

 

P. MILIQUE

15/10/2013

A FAIRE SAIGNER LE BLEU DU CIEL 3

au magma present de l'ecriture

A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter)  le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...

 

 

A FAIRE  SAIGNER  LE  BLEU  DU  CIEL

3


Tous mes écrits sont dans la noirceur absolue,

Sans chaleur aucune, sans aucun avenir.

Ils sont la douleur d'une écriture qui se dégrade dans la solitude.

Jusqu'à la brisure.

Je possède en moi l'art morbide de faire saigner le bleu du ciel,

Un ciel saturé de cris et de fureurs

Que rien ne sauvera jamais de l'oubli ni de l’indifférence.

Une écriture tendue, abrupte, torrentielle,

Arrachée aux entrailles d'une lucidité impitoyable.

 

Comme j'aimerais, dans une effervescence de tous les instants,

Savoir dire le charme ombré d'énigmatique

De certains mots transparents, cristallins et fugaces !

(A SUIVRE...)


P. MILIQUE

16/09/2013

SI NOUS VIVIONS EN 1913: LE CINÉMA

 

SI NOUS VIVIONS EN 1913

LE CINÉMA

 

La France il y a 100 ans, avec l’historien Antoine PROST, président de la mission du centenaire de la seconde guerre mondiale. Aujourd’hui, le cinéma, la fanfare et les activités sportives …


Si nous vivions en 1913, nous irions au cinéma avec nos enfants le samedi ou le dimanche. Vous me direz quelle différence avec aujourd’hui. La différence, c’est que c’était très nouveau. Le cinéma était à l’époque le grand spectacle populaire …


Colliséum théâtre © Flickr - 2013

 

07/09/2013

BAIGNADE URBAINE PLONGEZ DANS LA VILLE « Y'A TOUT LA-DEDANS »

 

BAIGNADE URBAINE
PLONGEZ DANS LA VILLE
« Y'A TOUT LA-DEDANS »

3'17"

 

 


 

Il fait chaud, la mer est loin : ils ont choisi de se baigner à Paris. Dans le canal de l'Ourcq, les fontaines ou la Seine. Là où c'est interdit et un peu dégoûtant. Plongeant dans l'eau brune avec ou sans maillot, ces jeunes militants du rafraîchissement se sont baptisés "Laboratoire des baignades urbaines expérimentales". La ville est leur terrain de jeux (d'eau).

 

Enregistrement : 23 & 28 août 13
Mise en ondes & mix : Samuel Hirsch
Réalisation : Amadou Diallo, Martin Morales, Julie Pacaud

04/09/2013

UN VIVANT ACCESSIBLE AU REGARD 2

l'homme de ta vie.jpg

 

A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter)  le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...



UN VIVANT ACCESSIBLE AU REGARD

2


Je veux que tu te laisses parcourir par la vie,

Que tu l’autorises à venir de ce pas habiter en toi

Qu’encore tu illumines de tendresse l'antagonisme,                                                                                                                                                                        

Que tu créés l’espace salutaire d’un soleil existant.

 

Je veux que tu t’inventes des éclats de vie en couleurs,

Que tu marches sereinement au-devant de tes certitudes,

Et que tu respires la beauté en quête d’inaudible.

 

Je veux qu’enfin tu rencontres celui que tu attends,

Celui qui saura te mériter, qui saura te recomposer,

Celui qui saura transformer ta colère en réponse

La trame principale de tes formulations imprécises.

 

Celui-là aura la faculté de t’aider au confus de tes nuits.

Il se rendra indispensable par la couleur de ses mots,

Par sa candeur ébouriffée et la chaleur de ses gestes.

 

Il t’accompagnera dans la lente respiration des jours,

Il se fera soleil généreux à te nourrir de ses rayons,

Son âme te tricotera un temps de repère et de repaire.

 

Il sera, oui, l’univers concret et le chatoyant charnel,

Le vivant espéré accessible au regard, au toucher aussi.

Il donnera vie au beau dans  l’éternité de l’instant,

Et fera de toi l’attendue, unique, totale, essentielle.

 

Il y aura de la magie dans son regard animé,

Tu pourras y découvrir un flamboyant univers.

Il t’aimera dans le durable du toujours

Et t’offrira son présent et votre futur.

 

Tu seras sa seule réalité enfin advenue,

Tu seras une pluie d’étoiles dans sa nuit

Tandis que des éclats de bonheur se déposeront

En paillettes dorées sous tes paupières closes.

 

Il t’offrira la becquée de ses graines de passion

Et tu jouiras de chaque infime de l’indicible offert.

Entend mon bonheur au fracassé du silence:

Il sera Toi, enfin !

(FIN)

 

P. MILIQUE

14/07/2013

DAMIEN SAEZ: "PUTAINS VOUS M'AUREZ PLUS"

 

DAMIEN SAEZ

"PUTAINS VOUS M'AUREZ PLUS"