30/11/2013
BARBARIE DANS LE MÉTRO CHRISTOPHE AGOU A NEW YORK «J’APERÇOIS LES JAMBES D'UN HOMME SOUS LE DEUXIÈME WAGON»
BARBARIE DANS LE MÉTRO
CHRISTOPHE AGOU A NEW YORK
(1’52’’)
«J’APERÇOIS LES JAMBES D'UN HOMME SOUS LE DEUXIÈME WAGON»
Christophe Agou est photographe indépendant. Il réalise à la campagne comme à la ville des images parfois très dures. Voici comment il a pu terminer son travail et son livre sur le métro de New York. Rien à voir : douze photographes racontent la photo qu'ils n'ont pas prise.
Enregistrements : avril 2013
Mise en ondes & mix : Samuel Hirsch
Réalisation : Aude Laporte
00:12 Publié dans SONARTE | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, barbarie, métro, christophe agou, new york, apercevoir, jambe, homme, deuxième, wagon, aude laporte, photographe, indépendance, réaliser, campagne, ville, imaginaire, perfection, dur, terminer, travailleur, livresque, rien à voir, racontard, perdrix, samuel hirsch, cyclique, cycliste, dopage, armstrong, yves jamait, vacarme, raffut, pleur, larme, hurler
28/11/2013
TELLEMENT SOURIANTE
TELLEMENT SOURIANTE
Elle danse, bonheur suspendu dans le sang noir de la nuit.
Son visage est extraordinairement lumineux.
Et son sourire…
Son sourire !
Elle est là,
Dans son cadre de tolérance et d’harmonie
Comme une perfection immobile.
Quelle rencontre inespérée que celle de cette beauté sublime
Qui poursuit, indolente, sa promenade vagabonde.
Au rythme qui est le sien.
Un rythme qui annule la durée
Et qui définit sa croisière impassible
La pénombre environnante exacerbe sa présence.
Et sa frimousse souriante !
Tellement souriante…
L’homme, au clair d’insomniaques nuits
Et dans un certain besoin de flânerie intérieure,
A seulement à lever le regard pour y puiser
Un véritable sentiment de plénitude existentielle,
Et s’offrir sans limite
Le luxe inouï d’une incroyable exultation.
Il sait d’expérience que la formidable puissance d’attraction
De cette belle gracieuse repousse toujours,
Dans les zones les plus reculées de ses ténèbres enveloppantes,
La perturbante tentation du vide.
Et l’homme, ébloui,
Se dissout dans l’obsédante présence de ce concentré d’éternité,
A la sensualité profonde et frémissante.
Il s’autorise ainsi à brasser du fantasme.
Lorsqu’il s’éprouve tourmenté par la plus intense des nostalgies,
Il sait pouvoir trouver auprès d’elle,
Fascinante complice aux affinités secrètes,
Une sorte de simplicité apaisante.
Et aussi un sourire tout de force et d’abandon.
Son sourire…
Dans toute sa candeur apparente,
Il y a cette continuelle douceur,
Cette enthousiaste intimité et aussi,
Une vraie chaleur humaine à l’émouvante fragilité
Où scintillent des petites merveilles de sensibilité.
Improbables pépites fleurant bon la tendresse et la générosité
Qui l’affranchissent, provisoirement,
De toutes pensées aux reflets crépusculaires.
Loin de toute agitation bruyante,
Elle offre, avec beaucoup de noblesse,
Le plus précieux des silences.
Celui d’un moment innocent,
Rare et poétique d’absolue pureté,
Passé en sa délicate compagnie.
En compagnie de son infranchissable sourire,
Irréel de transparence.
Lunaire !…
P. MILIQUE
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00:39 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : danse, bonheur, sang, nuit, visage, lumière, sourire, tolérance, harmonie, perfection, immobilité, rencontre, inespéré, beauté, sublime, indolence, promenade, vagabond, rythme, croisière, exacerber, frimousse, insomnie, flânerie, plénitude, existentiel, limite, exultation, expérience, puissance, attraction, gracieux, ténèbres, perturbation, tentation, vide, obsession, sensualité, fantasme, tourment, nostalgie, fascination, complicité, affinités, secrets, simplicité, paix, candeur, douceur, enthousiasme
20/11/2013
L'AMOUR, C'EST COMME...
Trouvée sur Internet chez:
http://utopia.midiblogs.com/
Cette photo reste sa pleine et entière propriété
L'AMOUR, C'EST COMME...
L’Amour, c'est comme les champignons.
Tout le monde en a entendu parler,
Se doute qu'il y en a partout,
Mais lorsqu'ils en cherchent,
Jamais ils n'en trouvent.
Ou alors si peu.
Ou de si mauvaise qualité.
Parfois même carrément vénéneux
Et donc potentiellement mortels.
Ah, mourir d'aimer...
La meilleure façon de trouver des champignons
Reste encore de ne pas en chercher.
Alors l'Amour, tu parles !...
Jusqu'où pousser cette stupide métaphore forestière ?...
P. MILIQUE
05:18 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : amour, champignons, qualité, vénéneux, mortel, métaphore, stupidité, patrick milique, champignonière, altermondialite, se douter, suspicieux, partout, chercher, trouver, mauvaise qualité, parfait, perfection, perfectible, carré, cthéter, carrément, vieux, sénior, potentiel, mortalité infantile, mourir d'aimer, meilleu façon de marcher, se trouver au près, s'approcher, périmètre, alentour, prestance, parloir, babillage, pousser, filer la métaphore, stupide, forestier, garde forestier
18/11/2013
CHIMÈRE DISCORDANTE 1
CHIMÈRE DISCORDANTE
1
Il arrive que l’être humain parfois s’enraye
(comme on le dirait d’une arme)
Pourquoi ?
Est-ce à cause de cette aptitude manifeste
A remettre régulièrement en question
Ce qui paraît pourtant comme acquis ?
Quelquefois s’impose le sentiment d’une vie flouée,
Fuite sans fin d’illusions révélant soudain la tragique réalité.
Le fil des jours s’amincit aux soupirs d’un mal-être latent,
Ainsi que tout ce qui se vit dans la douleur et le rejet,
Provoquant l’ultime d’inguérissables déchirures.
(A SUIVRE...)
P. MILIQUE
09:32 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, chimère, chimérique, discursif, discordant, arriver, être humain, perfection, s'enrayer, armature, arme blanche, cause, causalité, aptitude, manifestation, remettre, régularité, question, paraître, acquis, acquérir, s'imposer, sentiment, vie, floué, flouté, fuite, sans fin, illusion, révéler, tragédie, réalité, au fil des jours, amincir, soupirs, soupirail, mal-être, latent, vivre, douleur, rejet;rejeter, provoquer, ultime, inguérissable, déchirure
27/09/2013
H-BURNS EN CONCERT LE BIKINI TOULOUSE
05:38 Publié dans MUSIQUE | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : : au magma présent de l'écriture, h-burns, le bikini, toulouse, téléphoner, salope, lier connaissance, cinéma, singe, déconner, travailer, épreuve, difficile à dire, authentifier, pédophile, arbre généalogique, se reproduire, épouvantable, faire l'amour, à l'envers, se présenter, perfection, aigri, rencontrer, décharge, ciel, nuage, dormir, autoroute, sud, casser la croûte, manger, orteil, chatouiller, soleil, bretelle, paris, montmorency, banlieue, caresser, permettre, avaler, expresso, fracasser, mourir, pimprenelle, café, donner des ailes, mère, armande altaï
25/09/2013
H-BURNS EN CONCERT LE BIKINI TOULOUSE
05:18 Publié dans MUSIQUE | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : : au magma présent de l'écriture, h-burns, le bikini, toulouse, téléphoner, salope, lier connaissance, cinéma, singe, déconner, travailer, épreuve, difficile à dire, authentifier, pédophile, arbre généalogique, se reproduire, épouvantable, faire l'amour, à l'envers, se présenter, perfection, aigri, rencontrer, décharge, ciel, nuage, dormir, autoroute, sud, casser la croûte, manger, orteil, chatouiller, soleil, bretelle, paris, montmorency, banlieue, caresser, permettre, avaler, expresso, fracasser, mourir, pimprenelle, café, donner des ailes, mère, armande altaï
19/09/2013
H-BURNS EN CONCERT LE BIKINI TOULOUSE
05:07 Publié dans GOUTTES d'ÂME, MUSIQUE | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, h-burns, le bikini, toulouse, téléphoner, salope, lier connaissance, cinéma, singe, déconner, travailer, épreuve, difficile à dire, authentifier, pédophile, arbre généalogique, se reproduire, épouvantable, faire l'amour, à l'envers, se présenter, perfection, aigri, rencontrer, décharge, ciel, nuage, dormir, autoroute, sud, casser la croûte, manger, orteil, chatouiller, soleil, bretelle, paris, montmorency, banlieue, caresser, permettre, avaler, expresso, fracasser, mourir, pimprenelle, café, donner des ailes, mère
11/08/2013
UNE LUEUR DE FIN DU MONDE
UNE LUEUR DE FIN DU MONDE
C'est un univers parfaitement incohérent,
Une atmosphère lourde, difficilement descriptible.
Comme derrière tout masque authentique,
S'exprime la part de doute
Et les égarements dangereux de la pensée.
Il possède, caché en lui, des forces qu'il ne soupçonne même pas.
Des forces susceptibles de dynamiter les certitudes accumulées.
On peut parfois percevoir, gravées, des marques douloureuses
Sur son visage brûlant et décomposé,
Secoué d'irrépressibles tremblements.
On le comprend alors niché au cœur d'un désastre général.
En lui la violence surgit, impromptue,
Dans le déchaînement terrifiant d'éléments
Soudainement devenus incontrôlables.
De lourds nuages noirâtres pleurent une pluie de sang,
Des comètes effrayantes zèbrent sa conscience
Éclairant son tréfonds d'une lueur de fin du monde.
De cette lueur-là, il trouvera la force
De renaître à la vie certes, mais avec quel dégoût
Humide à la commissure des lèvres.
P. MILIQUE
05:32 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, lueur, fin du monde, univers, perfection, incohérence, atmosphère, lourdeur, difficile, descriptible, masque, authentique, exprimer, la part de doute, égarement, dangereux, pensée, posséder, cacher, force, soupçonner, susceptible, dynamiter, certitude, accumuler, percevoir, graver, marquer, douloureu, visage, brûlant, décomposé, secouer, irrépressible, tremblement, comprendre, nicher, coeur, désastre, général, violence, surgir, impromptu, déchaînement, terrifier, élémentaire, incontrôlable, nuage, noirâtre
01/08/2013
LA BOÎTE A LETTRES: FERNAND LEGER A ADOLPHE BASLER
LA BOÎTE A LETTRES
FERNAND LEGER A ADOLPHE BASLER
Mon cher Basler
Merci pour votre aimable lettre, malheureusement je ne suis nullement en place pour répondre ni pour penser "art". Je suis sous le canon et ne vous étonnez pas d’une lettre correcte et avec plumes et encre dans cette position. On est arrivé à installer un confortable très relatif même à 50 mètres des Boches. Je suis sous une jolie tonnelle en pleine forêt d'Argonne et je vous écris ces mots pendant que les obus me passent au-dessus de la tête. Je suis tranquille les artilleurs m'ont appris que j'étais dans une "position d'angle" c'est-à-dire inviolable pour les obus boches. J'ai confiance en ces gens-là ils connaissent bien leur métier. Vous devez bien comprendre qu’après dix mois de ce truc, on en est arrivé à une habitude. Le flottement c’est fini. C’est une guerre sans « déchet », une guerre moderne. Tout vaut. Tout s’organise pour un maximum de rendement.
Cette guerre-là, c'est l'orchestration parfaite de tous les moyens de tuer, anciens et modernes. C'est intelligent jusqu'au bout des ongles. C'en est même emmerdant, il n'y a plus d'imprévu. Nous sommes dirigés d'un côté comme de l'autre par des gens de beaucoup de talent. C'est linéaire et sec comme un problème de géométrie. Tant d'obus en tant de temps sur une telle surface, tant d'hommes par mètre et à l'heure fixe en ordre. Tout cela se déclenche mécaniquement. J'ai cru assez longtemps à une rupture énorme entre la vie de paix et celle de guerre. Pas du tout. Une guerre comme celle-ci n'est possible que par les gens qui la font. C’est aussi vache que la lutte économique. Les temps de paix à cette seule différence qu’on tue du monde. Ca ne suffit pas pour renverser les facteurs. C’est la même chose. Ces gens là qui la font, nous autres nous sommes dressés à cette momerie-là.
Du moment que le côté matériel est réalisé, à peu près. Du moment que le côté boulotage etc ne nous manque pas il reste la résistance morale. Tout tient dans cette valeur-là. C'est terrible une attaque, quand des bonhommes qui pendant des heures ont subi une préparation d'artillerie infernale aplatis dans des trous, réduits à l'état de pauvres petites choses, quand on donne l'ordre à ces hommes-là de sortir de leur abris, de franchir un parapet et d'aller sur des mitrailleuses avec leur baïonnette, il n'y a que des hommes modernes pour pouvoir encore un pareil effort. Une armée de métier ne tiendrait pas, mais un peuple qui a vécu la vie tendue et dure de ces 50 dernières années, peut le fournir. Une discipline aussi tendue soit-elle n'arriverait pas à ce résultat-là. On était prêt d'un côté comme de l'autre à cette situation. C'est pour cela que c'est long et que ce n'est pas encore fini. Aucun sentimentalisme dans tout cela. Ça c'est très bien. Il n'y a qu'à l'arrière où on est assez mou pour pleurnicher sur des histoires de cathédrale de Reims bombardée ou de femmes enfilées par les Boches. Ici ça ne mord pas du tout. Et monsieur Barrès n'a aucun succès. On n'a pas idée de demander à des gens qui s'octroient le droit de tuer de respecter des monuments plus moins historiques ou des femmes qui souvent n'ont sans doute pas demandé mieux. En septembre on faisait une guerre de primaire ridicule, mais maintenant c'est autre chose on les a pillé et supérieurement à notre tour, on a décidément plus de talent qu'eux et comme ils n'ont pas le génie, on les aura. Cher Monsieur Basler parlez moi de la peinture. Je pense bien à l'Amérique aussi mais quand tout cela sera fini.
Amicalement.
F. Léger
13:03 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, fernand léger, adolphe basler, aimable, lettre, malheureux, nul, en place, répondre, penser, art, canon, étonner, correction, plume, encre, position, arriver, installer, confortable, relatif, boches, joli, tonnelle, forêt d'argonne, obus, passer, au-dessus de la tête, tranquille, artilleur, comprendre, angulaire, inviolable, confiance, connaître son métier, compréhension, truc, habitude, flottement, finir, guerre, déchet, moderne, s'organiser, maximum de rendement, orchestration, perfection, moyen, tuer
07/06/2013
CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER : 07/06/2013
CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER
07/06/2013
23:46 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, pianiste, caractère, perfection, perdre son temps, sentimental, aimer, dans les bras, amour, ange, nirvana, artiste, satisfaire, pitoyable, crème fouettée, gâteau sec, poivre, piment, pervers, refaire, violon, crier, en baver, qui aime bien châtie bien, gueule fort, hurlement de douleur, sacrifier, torturer, sacrificiel, maya, inca
04/05/2013
UNE SI BELLE INCONNUE 6
A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter) le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...
UNE SI BELLE INCONNUE
6
A un moment, c'était inévitable, elle s'est réveillée. Elle a discrètement étiré ses membres probablement ankylosés par la longue inaction. Elle ne semblait nullement étonnée de se retrouver en ce lieu, comme on peut l'être à s'éprouver en un lieu inhabituel sans plus vraiment se rappeler ni pour quoi, ni comment. Elle était même parfaitement indifférente à un voisinage anodin. Il est fort à parier qu'il ne lui était rien d'autre qu'inexistant, ou à tout le moins sans intérêt aucun.
(A SUIVRE...)
P. MILIQUE
09:31 Publié dans GOUTTES d'ÂME, NOUVELLES | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, beauté, inconnu, moment, inévitable, zlatan, réveiller, discrétion, étirer, membre actif, probabilité, anhylose, long, inction, inactif, sembler, nullité, nullissime, étonner, se retrouver, lieu, éprouver, inhabituel, rappeler, parfait, perfection, indifférence, voisinage, anodin, inexistant, sans intérêt aucun, forteresse, parier
13/04/2013
REVANCHE ANTICIPÉE
REVANCHE ANTICIPÉE
Il faut seulement l'écouter pour l'entendre
Cet homme qui parle avec tant de douceur...
Dans la mise en scène de son imaginaire
Les sentiments contradictoires percent enfin,
Éprouvés à disculper chacune des sensations
Depuis toujours tapies dans la marge du temps.
Certes, il est peu de parler de sa petite existence,
Mais c'est une sorte de revanche par anticipation
D'un retour programmé à la source commune.
Chacun vit comme s'il était unique
Mais le précieux lien d'unicité n'existe pas.
De là vient l'éprouvante peur de l'anéantissement
Offrant l'illusion parfaite de ce qu'aurait pu être la vie.
P. MILIQUE
09:16 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, revanche, anticipation, écouter, entendre, douceur, mise en scène, imaginaire, sentiments contradictoires, percer, éprouver, disulper, sensation, tapir, dans la marge du temps, parler, existence, petitesse, retour, programmer, source commune, unicité, préciosité, anéantir, offir l'illusion, perfection, vacation, vacataire