29/07/2015
JEHAN JONAS "COMME DIRAIT ZAZIE"
JEHAN JONAS
"COMME DIRAIT ZAZIE"
(1966)
«Jehan JONAS, tu connais?
Né en août 1944, Jehan JONAS a écrit des centaines de chansons, des poèmes, des sketches, des nouvelles, une comédie musicale pour enfants...
Animé par se permanente révolte et son Amour de la Liberté il écrit insatiablement.
Usant d'humour et d'ironie il se bat inlassablement contre la bêtise.
Souvent tendre, il nous emporte dans son univers où l'Amour règne en Prince.
Toujours lucide, il ne voulait pas devenir un «vieux con».
Il meurt en 1980.
Jehan JONAS appartient à ces grands auteurs intemporels et pourtant il fut occulté par les médias.
Cette censure, cette confiscation, sa compagne nous la raconte sans retenue et nous dessine un portrait de cet homme à qui il serait difficile d'attribuer une étiquette...»
(Laure COUSIN)
«Une Confiscation»
Laure COUSIN vient de consacrer quelques années à la réalisation de cette «histoire humaine» qu'elle s'était promis d'écrire un jour.
Depuis l'année 2002 elle est présidente de l'association «Jehan Jonas Second Souffle» qui a pour principal objectif de sortir de l'ombre l’œuvre de son compagnon de vie.
Rendez-vous sur le site de l'Association!
Vous y trouverez, et pourrez vous procurer «Une Confiscation» bien sûr.
Mais aussi, et entre autres, vous aurez l'opportunité de vous offrir la discographie intégrale de Jehan JONAS.
http://www.jehan-jonas.fr/
09:58 Publié dans GOUTTES d'ÂME, Jehan JONAS | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, jehan jonas, comme dirait zazie, laure cousin, permanence, révolte, censure, stupidité, concession, direct, médiocrité, autodérision, écorché vif, jongler avec les mots, humour, ironie, guerre, règne, prince, amant, soldat, bohème
02/06/2015
MIROITEMENT DE SURFACE
MIROITEMENT DE SURFACE
Le fondamental est que chaque individu
Pense être détenteur de la vérité.
Voilà ce qui est bon, voilà ce qui est mauvais!...
Dans la quintessence d'un temps sinistre,
Il subit une violent exclusion à se coltiner au réel
D'un quotidien injuste et nauséabond
Laissant transparaître la souffrance vive
D'humains assujettis en révolte contre le hideux.
Toute créativité doit affronter cette terreur-là
Avec pour seul destinataire identifié l'écho de sa propre voix.
Observateur silencieux d'un monde à l'obstiné de l'étroit,
Qui de gris barre la route des merveilles,
Il découvre l'inaccessibilité prévisible à côtoyer
Le presque rien de la vie de tous les jours.
Alors, acceptant enfin le tragique illusoire
D'un miroitement de surface sous lequel gît un gouffre,
Il se réfugie confiant derrière ce qui lui reste d'enfance,
Au plus profond d'un silence protecteur,
Seul comportement qui communique encore...
P. MILIQUE
10:17 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : miroitement, surface, fondamental, individu, détenteur de la vérité, quintessence, sinistre, violence, esxclusion, se coltiner au réel, quotidien, injuste, nauséabond, transparaître, souffrance vive, humain, assujetti, révolte, hideux, créativité, affrontement, terreur, destinataire, identifier, écho, voix, observateur silencieux, monde, obstiné, étroitesse, barrer la route, merveille, découvrir, inaccessibilité, prévissible, côtoyer, vie, acceptation, tragique, illusoire, gouffre, refuge, confiant, enfance, silence, protecteur, comportement, communication
22/05/2015
BOUILLONNANTE EFFERVESCENCE 2
A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter) le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...
BOUILLONNANTE EFFERVESCENCE
2
Il y a, ajustées à la résonance, différentes manières d'aimer.
Il y a ce qui est le véritable amour et ce qui jamais ne le sera.
D'ailleurs, nul ne saurait se contenter d'un seul demi-bonheur!
L'amour, voilà la pierre de touche, l'indispensable levier, le pivot,
Celui qui ouvre la marche au long d'une large et lumineuse route.
Lent glissando silencieux, sensation aérienne portée au paroxysme.
Surtout, ne pas refuser ce cadeau inespéré. Être juste heureux
De vivre dans l'instant le mystère et la richesse de l'humanité,
Là où règne la bouillonnante effervescence, là où la vie s'agite.
Belle découverte que d'éprouver ce bonheur aux traits détendus,
Humeur sereine qui a chaque infime du temps crée le magnifique.
(A SUIVRE...)
P. MILIQUE
09:17 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, révolte, ajustement, résonance, différence, maniéré, aimer, véritable, amour, jardiner, restaurant, ailleurs, nul, saurien, contenter, seul, demi, bonheur, pierre de touche, indispensable, levier, pivot, ouverture, marche silencieuse, long, large, lumineuse, route, lent, glissendo, silencieux, sensationnel, aérien, meeting, portée, paroxysme, surfer, refuser, cadeau, inespéré, justice, heureux, vivarium, instant, mystérieux, richesse, humanité, règne, bouillonnant, effervescence
24/01/2015
AVEC DES GRAINES D'UTOPIE 2
A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter) le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...
AVEC DES GRAINES D'UTOPIE
2
Quelle merveilleuse distraction que l'espoir!
Fils naturel de la tristesse, il allège d'un coup la fatalité.
Et comme toute contestation (dont il est le palliatif historique) de la réalité, il attise les révoltes en décrétant la résignation obsolète.
Donc, hors-sujet. On le sait, les méandres de la psyché humaine sont prodigieux de complexité: c'est pourquoi l'espoir se lève, sorte de rêve éveillé qui s'affirme lucide en suggérant la dissolution prochaine des tourments dans les volutes d'un avenir radieux.
Qu'importe la rigueur du froid existentiel, l'espoir n'est jamais vain!
(A SUIVRE...)
P. MILIQUE
09:53 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, merveilleux, distraction, fils naturel, allégation, alléger, couperet, fatalité, commun, toupie, contestation, palliatif, historique, réalité, attiser, révolte, décret, décréter, résignation, obsolescence progarammée, hors-sujet, satire, méandres, psyché, hamain, prodogieux, complexité, pourvoir, se lever, sortir, rêve, éveiller, s'affirmer, lucide, suggérer, dissolution, prochain, tourmenter, volutes, avenir radieux, importation, rigueur, froid, existentiel, jump, vain
24/06/2014
L’ABJECT
L’ABJECT
Sensation lumineuse et acide
D’une image qui n’existe pas,
Telle une illusion vomissant l’angoisse
D’un regard sans regard,
M’affligeant cependant la grimace révoltée
D’une absence définitive.
Terrible douleur.
L’abject dans l’éternité, c’est… l’absence.
P. MILIQUE
11:15 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, abject, abjection, ennemi, image, existence, suc, illusion, vomir, angoisse, aimer, salaud, regar, affliger, claquette, trottoir, minuit, grimace, révolte, absence, définition, terrible, douleur, pendule, éternité, formalité, aube, crépuscule, noctambule, conciliabule, cocotte, cocktail, oiseau, mépriser, genou, adoration, faire la cour, poule aux oeufs d'or
10/06/2014
L’AIR DU BEAU
L’AIR DU BEAU
Une sorte de culpabilité à peine corrigée par la rage
Qui génère au vif ce problème de légitimité…
Écrire et ne pas savoir comment assumer cette prétention!
Pourtant, son imaginaire côtoie un quotidien
Des grands frères bienveillants et protecteurs.
Baudelaire l’accompagne au brasier de ses révoltes,
Et il a cette étrange impression de l’entendre lui souffler…
Va, exacerbe le cœur même de l’émotion poétique,
Celle qui offre d’emblée l’éclat de ce qui attend!
Invalide la phrase exclusive et universelle
Qui se délite, à l’image des mots qu’elle décrit
Avec l’iridescente et unique arrière-pensée: ÉCRIRE!
Rédemption libératrice…
P. MILIQUE
11:56 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, baudelaire, air, beau, sortie, culpabilité, peine, correction, corriger, rage, génération, vif, problème, légitimité, écrire, savant, commenter, assuper, prétentieux, imaginaire, côté, côtoyer, quotidien, grandeur, frère, bienveillance, brasier, révolte, étranger, impression, entendre, soufflet, valet, exacerber, cordial, mêler, émotif, poétique, offir, amble, éclater, attendre, invalide, phrase, exclure, exclusif, universel, déliter, image, motiver
26/05/2014
UNE PETITE LAINE AU CŒUR 2
A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter) le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...
UNE PETITE LAINE AU CŒUR
2
Le monde garde-t-il un sens à ne toujours proposer ainsi que des valses inachevées?
Chaque jour la vie est un fardeau trop lourd à porter tant demain n'existe pas.
Aucun fragment d'avenir viable n'est inscrit dans les strates du temps.
Sommé de laisser venir ce qui de toute façon viendra, nul ne peut feindre d'ignorer les scories morbides de la destinée puisque chaque battement de cœur nous en rapproche.
Doit-on pour autant approuver ce que l'on devient sans manifester une légitime révolte, alors que, déjà tapi à l'orée des limbes, le fantôme éthéré de l’au-delà résonne dans le lointain?
(A SUIVRE)
P. MILIQUE
09:18 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, monter la garde, sens giratoire, proposer, valse, inachevé, journaliste, fardeau, lourd à porter, demain, exister, fragment, avenir, fiable, inscription, strates du temps, sommation, laisser venir à nous, façonner, feindre, ignorance, scories, morbide, dstinée, battement de coeur, rapprocher, approuver, devenir, manifester, légitime, révolte, tapir, orée, limbes, fantôme, éthéré, au-delà, résonner, lointain
23/03/2014
L’ECRIT-VAIN ANODIN
L’ECRIT-VAIN ANODIN
Ce sont des phrases qui fascinent à la fois
Par leur simplicité et par leur étrangeté.
Écriture sensuelle, abstraite,
Parfois lyrique ou coléreuse,
Elle est génératrice de quelque chose
Qui va forcément apparaître.
Peut-être dira-t-elle la force et la fragilité
Qu’évoquent parfois les premières amours
Dont l’éclairage final retient la couleur des jours.
Ou alors, elle expliquera le lent glissement
Hors de soi et du vertige du vivant
En ruminant le malheur certain de toute condition humaine.
Lui, l’écrit-vain anodin, balbutie l’écriture
Dans la chair vive des phrases.
Elle lui donne ce faisant
Un lieu unique pour dire la révolte et le courroux.
Cela l’aide à se plonger dans cet univers d’entrailles
Qui renvoie sans retenue a la face du monde
La noire bile de sa laideur et de sa bêtise
Lui permettant ainsi d’offrir à l’attente des autres
L’image perceptible de son consentement à l’impossible.
P. MILIQUE
12:35 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : fascination, étrange, écriture sensuelle, abstrait, lyrisme, colère, générateur, force, fragilité, premières amours, éclairage final, hors de soi, vertige, vivant, malheur, condition humaine, balbutier l'écriture, chair vive, révolte, courroux, entrailles, la face du monde, bile noire, laideur, bêtise, orrir, consentement à l'impossible
ONDE DE CHOCS
ONDE DE CHOCS
Dans le silence tumultueux des nuits sans étoiles, je reste inconsolable. Ce noir d’encre flamboie dans le vide de ton absence. Je ne supporte plus cette douleur qui n’est autre que l’extraordinaire souffrance d’être encore au monde, incroyablement seul avec moi-même. Comment, dans ces espaces désormais couleur de sang, me battre contre ce vide? Il m’est résolument impossible de lutter contre cela.
Mes yeux se mouillent de larmes abondantes. Effroi, horreur, dégoût et haine de moi pour t’avoir laissé prendre la direction trop connue et disparaître dans le gouffre de la nuit sans faire de bruit, sans laisser de trace, en t’excusant presque de n’avoir plus l’énergie de te cabrer, de te raccrocher aux aspérités lisses de ce qui n’était déjà plus depuis si longtemps qu’un brouillon de vie aux échos mille fois répercutés, résonnant dans cette seule issue que tu savais parfaitement n’être qu’une impasse.
Comme transparent à moi-même je t’ai vu t’enfoncer lentement dans la nuit des choses, te précipiter vers l’obscurité non pas tourmenté et ténébreux, mais avec la beauté divine d’un oiseau prenant son envol. Et l’impossible a mis ses habits de vrai.
L’onde choc se propage. Je me retrouve seul, désemparé face au tumulte, avec cet douleur considérable qui ne me quitte plus, enfermé dans un paroxysme de souffrance.
Parce que je sais ce qu’a été ta vie, les éléments déchaînés s’entrechoquent de toutes parts et vomissent leurs viscères en autant d’éprouvantes questions.
Pourquoi une vie si petite, encombrée de choses intolérables et d’humiliations constantes?
Pourquoi tous ces vides et ces peurs?
Pourquoi le fatras pauvre du quotidien?
Pourquoi toutes ces eaux amères, ces vagues en furie?
Comment aurais-tu pu ne pas être abîmé par la vie alors qu’elle ne se présentait à toi que sous ses aspects les plus sombres, les plus abjects, les plus injustes?
Je le dis: la vie s’est couverte de honte à faire de toi un être fragilisé, une proie bien facile pour la camarde aux aguets qui a jouit de sa réussite à te faire trébucher lourdement dans le silence et la poussière ultime.
Comment définir cet innommable immanquablement lié à ton absence qui résonne d’un vide sidéral?
Comment de soumettre l’impuissance des mots à dire le réel?
Il y a cette tempête qui tourmente mon tréfonds.
J’ai dans la tête comme un noyau calciné, dur, noir, définitivement impénétrable.
Cette douleur-là, qui est la douleur de vivre, m’enveloppe d’un essaim de tristesse indicible. Il s’instille en moi le goût amer du fiel. Rien ne saura jamais apaiser les éléments déchaînés. Je vis la traversée de cet enfer où brûle en permanence le feu inaltérable de ton absence. Lugubre et morbide incendie.
Alors, face aux ténèbres enflammées, j’entre en révolte contre cette vie masquée qui se fait l’antichambre de la mort en rendant anonyme le destin essentiel de chacun. La vie, comme un décor de théâtre qui peut s’écrouler à tout moment!
Mon existence bouleversée a basculé, attirée par le vide dans ce lac de désespoir qu’est l’inéluctable de l’absence, la perte définitive de l’être cher.
Si tu savais l’intensité des remords qui m’accablent.
Je n’ai pas pu t’arracher à l’impasse. Je n’ai pas su te dire tout mon amour et – je le sais maintenant -- je suis passé à côté de l’essentiel.
Parfois je cherchais ton regard et lorsque, cela arrivait parfois, je le trouvais, je détournais le visage par pudeur, par respect. S’installait alors un froid brutal qui, à l’infime de chaque instant, me glace encore le sang.
Aujourd’hui, aux limites de ce bout de vie qui me reste, il est trop tard et je le sais. Je sais aussi combien, au cœur de cet infiniment désert qu’est le monde sans toi, j’appréhende de chacune de mes fibres le temps à venir.
Saura-t-on un jour dire, dans les mots tus, dans le silence de certains autres, l’immensité de la douleur d’un fils qui, pour l’éternité, n’a jamais su qu’effleurer le cœur de son Père.
P. MILIQUE
05:40 Publié dans NOUVELLES | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : deuil, inconsolable, encre, vide, absencedouleur, souffrancecouleur de sang, larme, horreur, dégoût, effroi, haine de soi, disparition, gouffre, aspérité, brouillon de vie, impasse, beauté, divinité, onde de choc, paroxysme, vomir, viscères, éprouvant, humiliation, pauvre, abîmer, abject, injuste, fragilité, proie, camarde, jouissance, ultime, absence, impuisance, tempête, tourment, impénétrable, tristesse, amertume, fiel, éléments déchainés, enfer, lugubre, morbide, ténèbres, révolte, l'antichambre de la mort, destin, décor de théâtre
24/01/2014
Yves JAMAIT et Daniel FERNANDEZ: "LE TEMPS DU TANGO" SALLE NOUGARO TOULOUSE
(Captation Personnelle)
Yves JAMAIT et Daniel FERNANDEZ
"LE TEMPS DU TANGO"
SALLE NOUGARO
TOULOUSE
LE 2 Octobre 2010
05:32 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, yves jamait, daniel fernandez, paris, brûler, fumer, empêtrer, cha cha cha, épuiser, épuisement, ogresse, ventre, charnu, horizon, béton, rythme, fougue, emmêler, déclamation, césame, amour, révolte, tendresse, rythmes africain, tombouctou, lo'jo, denis péan, subvenir, subvention, chigno, bourguignon, mémoire, étriqué, souvenir, charnel, parisianisme, ukulele, collaborer, pêter en fleur, peser, inuit, âge de raison, bas-ventre, cari, caribou, roussir, émancipation, émanciper, poisson, tempête
23/01/2014
Yves JAMAIT et Daniel FERNANDEZ " JE PASSAIS PAR HASARD" SALLE NOUGARO TOULOUSE
(Captation Personnelle)
Yves JAMAIT et Daniel FERNANDEZ
" JE PASSAIS PAR HASARD"
SALLE NOUGARO
TOULOUSE
LE 2 Octobre 2010
06:27 Publié dans MUSIQUE | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, yves jamait, daniel fernandez, paris, brûler, fumer, empêtrer, cha cha cha, épuiser, épuisement, ogresse, ventre, charnu, horizon, béton, rythme, fougue, emmêler, déclamation, césame, amour, révolte, tendresse, rythmes africain, tombouctou, lo'jo, denis péan, subvenir, subvention, chigno, bourguignon, mémoire, étriqué, souvenir, charnel, parisianisme, ukulele, collaborer, pêter en fleur, peser, inuit, âge de raison, bas-ventre, cari, caribou, roussir, émancipation, émanciper, poisson
17/01/2014
LAMBEAUX DE MÉMOIRE 1
LAMBEAUX DE MÉMOIRE
1
Porter sur le monde un regard sans complaisance,
Et être attentif à ne pas se vider de sa révolte.
Viser plutôt à éveiller les consciences collectives
Victimes, peu à peu, d'une société qui soulève l'indignation,
Obscur concentré de ce monde tumultueux où ils vivent.
Les voilà projetés dans une situation si extrême
Qu'il ne sert à rien d'attiser le feu de la provocation,
Tant il est nécessaire d'en appeler à l'existence même
Au sens aiguisé par la responsabilité individuelle
Pour en démonter le mécanisme insoutenable de violence.
Comment ne pas franchir un palier supplémentaire
Sans être pris d'un malaise-vertige en ce lieu d'inquiétude?
(A SUIVRE...)
P. MILIQUE
09:40 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, lambeaux, mémoire, porter, monde, regard, complaisance, attentif, se vider, révolte, viser, éveiller, conscience collective, victime, société, soulever, indignation, obscur, concentrer, tumultueux, vivre, projeter, situation, extrême, servir, attiser le feu, provocation, nécessité, appeler, existence, sens, aiguiser, responsabilité individuelle, démonter le mécanismeinsoutenable, violence, franhir un palier supplémentaire, prendre, malaise, vertige, lieu de quiétude, inquiétude