21/04/2014
SOUHAITS
SOUHAITS
J’espère que ta vie se met joliment en place.
J’aimerais tant que tout ensoleille ton quotidien,
Que ta voute céleste s’inscrive en bleu définitif,
Que ton visage se fasse miel et ton regard soleil,
Que certains mots ne se conjuguent plus qu’au pluriel:
Sourire, rire, joie, beauté, rencontre, souvenir, bonheur,
Que tu accèdes à la douceur partagée et au vif Amour.
Il est inexorable de trouver place dans le cœur d’un Autre.
Tant l’ordre existant n’est que l’autre nom du désordre révoqué.
Il est bon alors de s’alimenter à l’aune de l’énergie de chacune
De ses dualités propres afin d’écarter la douleur de son chemin
Et d’atteindre enfin à la réalisation méritée de cette vie devinée.
Pour y parvenir, il faut s’autoriser à vivre au cœur de l’intensité
Tandis que tout semble ne nous prédire que la banalité du déjà-vu.
Ma Fille, il existe ce désir fou de vivre, de jouir d’elle à bras le cœur,
Qui saura nous saturer le quotidien de davantage de folies souhaitées
Et faire que le présent si présent ne se conjugue jamais à l’imparfait.
P. MILIQUE
09:17 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, souhait, espoir, vie, joliment, mettre en place, aimer, ensoleillement, qutotidien, voute céleste, s'inscrire, bleu, définitif, visage, miel, regard, soleil, se conjuguer, pluriel, sourire, rire, joie, beauté, rencontre, souvenir, bonheur, accéder, douceur partagée, vif, amour, inexorable, trouver sa place, coeur, ordre, existence, l'autre nom, désordre, révocation, alimenter, à l'aune, énergie, dualité, propre, écarter, douleur, chemin, atteindre, réalisation, mérite, deviner
26/03/2014
HUBERT VOIGNIER: LES HAUTES HERBES « Dès le retour du beau temps… »
HUBERT VOIGNIER
LES HAUTES HERBES
« Dès le retour du beau temps… »
- les poèmes ne portent pas de titres, il s'agit des premiers mots entre guillemets -
Lu par : Thierry HANCISSE
Références:
Les Hautes Herbes, Cheyne Editeur, 2004, nouvelle édition illustrée par Estelle AGUELON 2011
Aller à la découverte des hautes herbes, au détour de paysages repeints aux couleurs de la reverdie annuelle, est un bonheur comparable à celui de se lever tôt pour constater que le soleil règne en maître absolu sur la campagne, avant que ses rayons, frappant de plein fouet les yeux du promeneur matinal, à peine éveillé, ne le jettent, l’esprit à moitié sonné, sur le carreau éblouissant des routes…
Illustration du premier mouvement du recueil Les Hautes Herbes d'Hubert Voignier Estelle Aguelon © cheyne
Hubert Voignier est né en 1964 à Lyon. Il a publié cinq livres à Cheyne et deux autres chez Deyrolle.
Lecture charnelle du paysage qui se réveille au printemps, Les Hautes Herbes est un récit d’émotions, de sensations et d’angoisses du plein champ, c’est aussi un appel au soleil, au printemps, à la sève qui monte et à ce besoin d’ouvrir les yeux, de humer la nouvelle saison, de boire le paysage, de goûter le vert tendre pour voir s’il n’a pas changé depuis l’an dernier.
***
Extraits choisis par Laurence Courtois
Prise de son, montage : Julien Doumenc et Pierre Henry
Réalisation : Michel Sidoroff
Assistante à la réalisation : Laure-Hélène Planchet
18:01 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, hubert voignier, hautes herbes, thierry hancisse, estelle aguelon, découverte, détour, paysage, repeindre, couleur, reverdir, annuel, bonheur, comparable, se lever tôt, constater, soleil, règne, maître absolu, capagne, rayon, frapper de plein fouet, oeil, promeneur, matinal, peine, éveillé, se jeter, esprit, sonné, sur le carreau, éblouissant, route, charnel, printemps, sève, ouvrir les yeux, humer, saison, boire, gôuter, laurence courtois
16/03/2014
LE JOURNAL DE PERSONNE: "LA POLLUTION"
LE JOURNAL DE PERSONNE
"LA POLLUTION"
Une chose est l’abandon.
Une autre chose : la solitude.
Je dis pardon…
À chaque fois que je songe à ma finitude.
Je suis l’étranger épris de sa condition étrangère.
Je n’ai pas brûlé un livre, mais toute l’étagère!
Je déménage… je ne veux pas être ménagée… ni épargnée par vos caisses d’épargne.
Parce que j’aime le danger, vivre dangereusement… donc joyeusement.
La joie n’est pas le bonheur … heureusement.
Parce qu’il n’y a que le malheur pour indiquer l’heure… l’heure des leurres.
Prendre, ne donne-t-il pas plus de bonheur que donner ?
Et voler encore plus que prendre ?
Qu’ai-je volé ? Maintenant je le sais, j’ai volé le sel à la terre. La cuisse à Jupiter.
Voler c’est tout ce que je sais faire, rien que pour purifier l’air, le grand air.
Je dis non : à la pollution des esprits…
Voler parce que je n’ai jamais supporté avoir les pieds sur terre !
Fendre le ciel : qui dit mieux pour fuir les superficiels?
Oui, je suis un oiseau de proie.
Qui l’eut cru? Qui le croit ?
Le chat qui moutonne ou le mouton qui ronronne ?
Personne ne l’a vu. Personne ne le voit… parce qu’il a l’œil pour crever les yeux à tous les curieux.
Puisque c’est le soleil… le seul œil du ciel.
Tu n’aimes pas Nietzsche… parce que Nietzsche ne t’aime pas.
Ainsi aurait parlé Zarathoustra
12:34 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, le journal de personne, pollution, abandon, solitude, pardon, songer, finitude, étranger, épris, condition, brûler, autodafé, étagère, déménager, ménager, épargner, caisse d'épargne, aimer le danger, vivre dangereusement, joie, bonheur, heureux, malheur, indiquer l'heure, leurres, prendre, donner, voler, sel, terre, cuisse de jupiter, purifier l'air, esprit, supporter, les pieds sur terre, fendre le ciel, fuir, superficiel, oiseau de proie, croire, chat, mouton, ronronner, crever les yeux, curieux, soleil, aimer, nietzsche, ainsi parlait zarathoustra
07/03/2014
IL PLEUT DES REGARDS SOURDS
IL PLEUT DES REGARDS SOURDS
Dans l'incessant travail de mon non-être,
Les éléments mouvants du cauchemar dérivent.
Visions tumultueuses et prémonitoires
Jusqu'à perdre toute trace de vraisemblance.
A l'intime de ce lourd martèlement de l'âme,
Perlent sur mon cœur des quartz de vie.
Sur le pavé en jachère une flamme s'envole
Et, aux vibrations immédiates de la sensibilité,
La lumière indécise ternit la fraîcheur.
Le silence est trop dense,
Il pleut des regards sourds.
Et chaque goutte de cette pluie d'automne
Chaque feuille qui tombe est l'une de mes larmes
Dans cet océan de plénitude dévastée
Maintenant que nous ne savons plus
Qui de nous deux est l'autre !
Alors, dans l'écho assourdissant de ce murmure,
J'entends nos corps frissonner de nos plaies...
Il pleut dès que je ne t'aime plus,
Redis-moi les mots qui brûlent,
Je suis si vieux de toi mon amour !
Obligeons, dans l'éperdue recherche des traits perdus,
L'incandescent soleil à redevenir jaloux de notre secret !
P. MILIQUE
05:45 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : travail, mouvance, cauchemar, dérive, vision, tumulte, prémonitoire, vraisemblance, intime, martèlement, âme, perle, coeur, quartz, pavé, jachère, flamme, envol, vibration, immédiat, sensibilité, lumière, indécis, ternir, fraîcheur, silence, densité, regard, sourd, pluie, goutte, automne, feuille, larme, océanplénitude, dévaster, écho, assourdissant, murmure, corps, frisson, plaie, aimer, mots, brûlure, viellesse, éperdu, perdu, incandescent, soleil
06/03/2014
IVRESSE RIMBALDIENNE
IVRESSE RIMBALDIENNE
Des lambeaux de réalités singulières
S'entremêlent à de fulgurantes réminiscences.
Comment retrouver une relation vraie à autrui,
Et accéder ainsi à la difficile réalisation de soi?
A fleur de mémoire et d'oubli,
L'éventail des possibles est large ouvert.
La préoccupation première d'une vie accomplie
Insiste d'abord sur l'importance du respect
Qui doit émaner de chacun avec délicatesse.
C'est un continuel et incertain équilibre à trouver
Dans la pulsation vive, propre à chaque individu,
Qui fait peser sur chacun des exigences de performance
Et une inévitable propension à exiger sa place au soleil.
Mais il serait tellement plus merveilleux
De laisser s'exprimer le bel enchantement
Qui sourd au murmure inaltéré que l'on porte au tréfonds.
Et à s'abandonner dans quelques détours du côté du rêve
A la rencontre des fantastiques perceptions de l'enfance,
Là d'où s'exhale une fragrance de chaude poésie
Comme seule peut l'induire une ivresse tout Rimbaldienne.
P. MILIQUE
00:10 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : ivresse, rimbaud, lambeaux, entremêler, fulgurance, réminiscence, relation, réalisation, fleur, mémoire, oubli, éventail, préoccupation, accomplir, importance, équilibre, pulsation, exigence, performance, propension, exiger, soleil, merveilleux, encnantement, murmure, inaltérable, tréfonds, abandonner, détours, fantastique, perception, enfance, exhaler, fragrance, poésie, induire
02/03/2014
SOLEIL IMPÉTUEUX
SOLEIL IMPÉTUEUX
Par bonheur
Il y a eu la rencontre bouleversante,
Le murmure tonitruant et inoubliable.
Par bonheur
Il y eu ce quartz ciselé brûlant d'inespéré,
Ce Soleil impétueux de Princesse fragile.
Par bonheur
Il y eu Toi, mon Amour!
P. MILIQUE
09:24 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, soleil, impétueux, impétuosité, bonheur, rencontre, bouleversant, murmure, tonitruant, inoubliable, quartz, ciseler, brûlant, inespéré, princesse, fragile, technique, amour, bustier, axe, chasser, prendre de la vitesse, nappe de brouillard, fautif, affinité, chance, dossart, devinette, divinatoire
LE BONHEUR INSÉCABLE
LE BONHEUR INSÉCABLE
Elle m’a ouvert une porte de lumière
Au cœur d’une nuit chaude, souriante d’étoiles.
Devenue l’horizon pâle qui s’illumine
De chaque pépite au temps qui brille
Au bonheur de la vie, elle est ma musique,
La mélodie sans fausse note d’un Amour
Aux flammes embrasées d’un bonheur de vie
S’égayant en lisière d’une forêt de mots doux.
C’est comme si j’avais toujours su
Que l’on s’aimait depuis longtemps.
Elle est mon Soleil, je me réchauffe à elle,
Lumière tendre dans l’aventure quotidienne.
P. MILIQUE
00:56 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : bonheur, insécable, offir, lumière, coeur, nuit, chaleur, souriant, étoile, horizon, pâle, illuminer, pépite, briller, musique, mélodie, amour, embraserégauer, lisière, forêt, doux, soleil, réchauffer, tendre, aventure, quotidien
28/02/2014
HONTE DE MES FAIBLESSES 2
A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter) le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...
HONTE DE MES FAIBLESSES
2
Aimée, je m’en veux tant de t’asséner sans cesse la litanie de mes bobos !
Pourquoi suis-je à ce point incapable de rester discret, à tout le moins évasif,
Sur ce que véhicule ma tête de négatif, de mesquin, à l’infime de l’instant ?
Est-ce l’amour qui me laisse ainsi croire qu’il m’est possible d’impunément
Lester l’âme de la Femme Aimée d’un fardeau dont il faudrait la préserver ?
J’ai honte de mes faiblesses dispensatrices de mes monologues narcissiques,
Et je te demanderais pardon si de le faire ne relevait pas d’une lâche facilité.
Je sais cependant qu’il m’est déjà accordé puisque tu m’as déjà persuadé
De l’immense réalité l’amour que tu me portes tel un beau soleil défroissé.
Je sais aussi que ces lignes jetées, engorgées d’émotions, ne te plaisent pas,
Au point de te faire dire que tu ne les lis pas !
Comment donc ne pas t’aimer ?
(FIN)
P. MILIQUE
09:52 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, s'en vouloir, honte, faiblesse, tant, asséner, litanie, bobos, à ce point, incapable, rester discret, moins, évasif, véhicule, tête d'oeuf, négatif, mesquin, infime, instant, amour, aimer, laisser croire, possible, impunité, impunément, lester, âme, fardeau, préservation, préserver, dispenser, dispensatrice, monologue, narcissique, demander pardon, faction, relever, lâcheté, lâche, facilité, savoir, accorder, persuader, immensité, réaliser, porter, beau, soleil, défroisser, lignes
16/02/2014
LA RÊVERIE 4
A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter) le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...
LA RÊVERIE
4
S'autoriser à rêver, c'est souvent s'absoudre de préjugés rances parce que périmés. C'est assumer l'euphorie proposée par une drogue douce à même de lacérer nos crépuscules. C'est accéder, cœur ivre, à un soleil de merveilles et d'innocence. C'est entrer dans la beauté qui distille des essences d'amour serties d'évidences. Et l'existence de cet hypothétique no mans land justifie à elle seule la nécessité du rêve qui peut, et doit de ce fait, s'amplifier, y compris de manière diurnambule!
(A SUIVRE...)
P. MILIQUE
09:34 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, patrick milique, rêveur, éveiller, autoriser, souvent, absoudre, préjugés, rance, rancoeur, périmé, périmètre, assumer, euphorie, amphigourie, proposer, proposition, drogue douce, méritoire, lacérer, crépuscule, crépusculaire, accéder, accession, coeur, ivre, ivresse, saoul, soleil, merveille, émerveillé, innocenter, entrée, beauté, distiller, distillerie, essence, amour, sertir, évidence, existence, hypothètique, hypothèse, no mans land, justifier, nécessité, pouvoir, devoire, fake, amplifier
MARIA GABRIELA LANSOL: "JE L'AI REGARDÉE EN FACE..." POEME XXI
MARIA GABRIELA LANSOL
POÈME XXI
(Poème sans titre, il s'agit des premiers mots)
Lecture par VÉRONIQUE VELLA
Références:
in"Le jeu de la liberté de l’âme" deMaria Gabriela Llansol
Traduit du portugais par CRISTINA ISABEL DE MELO
© Pagine d’arte 2009
Poèmes choisis par Lorette Nobécourt
Prise de son : Djaisan Taouss
Montage: Anne-Laure Chanel
05:57 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, maria gabriela lansol, lisbonne, regarder en face, sous-titrage, s'agiter, lecture, véronique vella, référence, le jeu de la liverté de l'âme, critina isabel de melo, pagination, lorette nobécourt, djaisan taouss, anne-laure chanel, diagonale, souffle chaud, parapluie, ruisseler, inachevé, egard perdu, noyer, orage, soleil, pleuvoir, rouillé, agitation, chialer, songeur, sécher, incertitude, habitude, chagrin, pépin, abriter
09/02/2014
AVEC L’ÉNERGIE D'UNE VAGUE 2
A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter) le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...
AVEC L’ÉNERGIE D'UNE VAGUE
2
Avec l'énergie de la vague, la pensée s'énonce en bribes,
Premiers ressacs aboutis d'une vie en dérive
Dont la rédaction de nouveaux fragments
Le contraint à plonger dans l'inconnu des certitudes
D'éléments maintenant exposés à l'ultime lumière.
Strates démesurées chutant en des ténèbres-refuge
Dans l'ascendance qu'anxieux il interpelle
Telle une aube nouvelle éclairée d'un soleil infini.
(FIN)
P. MILIQUE
09:39 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, fred trognon, vaguemestre, penseur, penser, énoncer, annonciateur, étoile, premier, ressacs, aboutir, vie, dérive, rédiger, rédaction, nouveau, frament, contrainte, contraignant, plongée dans l'inconnu, certitude, certifier, élémentaire, alimentaire, maintenir, maintenance, exposer, ultime, ultimatum, lumière, strate, stratifier, démesure, chuter, ténèbres, refuge, ascendance, anxieux, interpellation, interpeller, aube, neuf, éclairage, éclairer, soleil, infini
03/02/2014
A L'APPROCHE DE TOI 1
A L'APPROCHE DE TOI
1
Les mots m’ont déclaré une guerre qu’il m’est malaisé d’endiguer,
Et pourtant il me faut relever l’affrontement pour pouvoir te dire…
C’est le premier anniversaire célébré de mon pur amour pour toi.
Le premier d’une longue série de ce patrimoine commun entrepris.
Que seul désormais le destin, cet intrus familier, pourra interrompre.
Alors plutôt que de les combattre futilement ces mots récalcitrants,
Je prends option de faire l’amitié, la connivence, la complicité avec eux.
Ce besoin m’est vital, pour le meilleur certain et ce pire qui ne sera pas.
Car je t’aime tu sais à quel point. Je suis heureux de toi, pour toi, avec toi.
Tu es comme le soleil rieur qui de ses rayons m’enveloppe et m’embrase
Tu me donnes beaucoup. Tu me donnes tellement. Peut-être trop parfois!
Je suis formidablement heureux que tu existes, si chaleureuse, si apaisante.
Tu m’as récupéré en ce temps de désintégration et a su me rendre entier.
Comprends le choc provoqué ce jour-là où tu m’as fait don de ton amour !
(A SUIVRE...)
P. MILIQUE
09:30 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, approcher, mot, déclarer la guerre, malaisé, endiguer, falloir, relever, affrontement, pouvoir, dire, premier, anniversaire, célébrer, pur, amour, longueur, série, patrimoine, clément rosset, communauté, entreprendre, entreprise, désormais, destin, intrus, intrusion, familier, familiarité, interruption, interrompre, combattre, futilité, récalcitrant, prendre option, amitié, connivence, complicité, besoin, vital, meilleur, certain, pire, empirique, aimer, pointer, pointillés, heureux, soleil, rieur