Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

26/10/2013

A VOTRE ÉCOUTE COÛTE QUE COÛTE: "L''AVEUGLE QUI VOULAIT QU'ON PARLE D'AUTRE CHOSE"


Par

Margarete de BEAULIEU

 

A VOTRE ÉCOUTE COÛTE QUE COÛTE

"L''AVEUGLE QUI VOULAIT QU'ON PARLE D'AUTRE CHOSE"

25/10/2013

LA CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER : 01/10/2013

 

LA CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER 

  01/10/2013

08/09/2013

SI NOUS VIVIONS EN 1913: LES BÉBÉS DE 1913

 

SI NOUS VIVIONS EN 1913

LES BÉBÉS DE 1913

 

1913, naissance de la puériculture…

Antoine PROST préside la mission du centenaire de la première guerre mondiale, dont France Inter est partenaire.

Bébé assis © Fylkesarkivet i Sogn - 2013


Je voudrais aujourd’hui vous présenter les bébés de 1913. Nous n’irons pas dans une maternité, elles étaient rares. La plupart des femmes dans tous les milieux accouchaient chez elle assistées par une sage-femme. Le médecin n’intervenait guère que dans les milieux privilégiés. …

15/07/2013

CHARLES BAUDELAIRE: "L’HEAUTONTIMOROUMENOS" -- (LES FLEURS DU MAL)

 

CHARLES BAUDELAIRE

"L’HEAUTONTIMOROUMENOS"

(LES FLEURS DU MAL)

Lu par  Hervé PIERRE

 

Charles Baudelaire naît à Paris en 1821. Il perd son père à l’âge de six ans.

En 1841, sous la pression de sa famille, il embarque pour les côtes d’Afrique et de l’Orient. Il séjourne à l’île Bourbon (La Réunion) et, en rentrant à Paris en 1842, écrit ses premiers textes. En 1844, sa famille s’indigne de sa vie de débauche. Baudelaire devient alors journaliste, critique d’art et critique littéraire.

1857 est l’année de publication des Fleurs du Mal. Baudelaire est attaqué en justice pour « immoralité » (la même année que Flaubert pour Madame Bovary) et condamné : plusieurs poèmes sont retirés du recueil et l’auteur doit payer une amende. Baudelaire est très affecté par cet échec et sombre dans la misère (et dans la maladie). Le poids des dettes s’ajoutant aux souffrances morales, Baudelaire est frappé en 1866 d’un malaise qui le rendra paralysé et aphasique. Il meurt en 1867.

 

Prise de son, montage : Manon Houssin

Assistante à la réalisation : Laure-Hélène Planchet

Réalisation : Juliette Heymann

Poèmes choisis par Laurence Courtois

10/06/2013

VERTIGE IMPULSE

VERTIGE.jpg

 

 VERTIGE  IMPULSE

 

Aux phrases déstructurées par l'incessante agitation des mots,

Le style oscille entre une certaine banalité du quotidien

Et, tout à coup, une fulgurance d'inspiration poétique

Qui, l'air de rien et de manière presque anodine,

Incarne l'intensité irradiante d'un battement de vie.

 

Intemporel imaginaire aux persistances fragiles,

Les images naissent d'associations étranges

Qui, aux parfums de l'existence, ajoute une foisonnante générosité.

 

Il a ce talent rare et précieux qui agence les mots

Avec une concision et une efficacité implacable

Qui leur donnent l'ambiguïté originelle

En les dépouillant de leur part de mythe.

 

Dans la tension vive d'un vertige  impulsé,

Le silence perturbe l'éperdu de l'angoisse

Et la solitude de ce qui ne peut faire taire le sens.

 

P.  MILIQUE

17/05/2013

UNE SI BELLE INCONNUE 16

BELLE INCONNUE.jpeg

A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter)  le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...



UNE SI BELLE INCONNUE

16



Ce furent là les dernières paroles qui franchir le barrage de ses lèvres devenu dès lors hermétique. Elle s'enferma dans un mutisme infiniment douloureux pour moi. Le regard qu'elle portait maintenant sur moi se faisait sans complaisance, morgue. A vrai dire, il n'affichait plus que de l'indifférence, du dédain presque. L'affaire était entendue. La rupture devait être consommée. Je resterai donc pour toujours le protagoniste exalté et solitaire d'une histoire d'amour impossible. Brûlé vif par une sensation d'inachevé marquée au fer rouge. Qu'il est dur d'avoir à se confronter au rêve écroulé d'un amour à peine naissant et déjà dévasté. Parce que, bien sûr, il ne s'agissait que d'un songe, n'est-ce pas, n'est-il pas ? Qu'aurait-ce raisonnablement pu être d'autre ? Je suis si laid et elle était tellement belle!

(A SUIVRE...)


P. MILIQUE




31/03/2013

LE CADRAN SOLAIRE

icadran solaire.jpeg

Précepte d'une sagesse absolue.

 

 

 

LE CADRAN SOLAIRE

 

Sur un vieux cadran solaire, cette devise :

Il est plus tard que vous ne croyez !

 

Et pourtant, il est déjà bien tard semble-t-il !

Malgré la vie qui se consomme,

Qui se consume de toutes ses passions.

Sans aucune modération.

Mais..

 

Il y a l'enchaînement fatal,

L'effritement tragique,

La réalité rigoureuse et imposante

De proximité d'un vieillissement inquiétant.

 

Au moins n'aura-t-il jamais existé l'angoisse de ne pas savoir !

 

Il a toujours cru pour sa part

A la malveillance acharnée du destin.

A cause de cela, arrive fatalement le moment,

Où il devient vital de mettre un terme à cette mascarade.

De s'arracher violemment de l'histoire pour,

Si possible, investir l'imaginaire.

En épouser les possibles en se dotant de certitudes...

 

Des yeux indéchiffrables posent sur le monde

Un regard dépourvu d'avenir.

Avec pour seul lien, mais il est intime,

Un soleil noir qui brûle l'enfer.

Un enfer à la beauté parfaitement dépouillée

Qui rend le périple indolore,

Et soulage la désespérance en réveillant les ombres.

 

Les apparences sont irréfutables.

Il est déjà bien tard, mais :

Il est tellement plus tard que vous ne croyez !

 

 

P. MILIQUE

 

02/03/2013

QUELQUES MOTS DANS UN SOUFFLE 5

A PERTE DE VUE.jpeg

A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter)  le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...


QUELQUES MOTS DANS UN SOUFFLE

5


 

Je veux cessé d'être l'ange qui lit le carnet noir,

La présence spectrale toujours voilée de nuit.
Je veux ne plus jamais en de telles circonstances

Arborer toujours le sinistre visage de la mélancolie

Et ne plus savoir habiller mon âme insatisfaite

Que d'un costume bariolé aux couleurs de la vie.

 

Quelques mots dans un souffle...

Parce que dans ce désormais qui soudain titube

De nul d'autres qu'eux pourra naître la beauté.

 

Un jour, un autre plus tard, sur la route suivie à perte de vie,

Je chuterai à nouveau dans l'abîme d'un profond silence

Au gré d'un ultime rendez-vous pris avec moi-même,

Lorsque sera venue l'heure de faire les poches de ma mémoire,

Sachez qu'il me sera toujours précieux d'Ecrire Lucide

Et d'apprécier au plus intense l'exacte évidence

Du bonheur fascinant qui sans cesse m'étreint

Quand, au détour d'un souvenir, un Jour Moyen Éclot.


FIN

 

P. MILIQUE

24/02/2013

BARBARA ET SON JEUNE PUBLIC

 

BARBARA ET SON JEUNE PUBLIC

Discorama

29/12/1968 - 01min51s

 

BARBARA parle de son public: " les gens de mon âge et leurs enfants...les enfants sont orphelins...ils disent c'est comme si vous étiez ma mère...c'est très important pour moi, on peut pas tricher".

 

Production

 

Office national de radiodiffusion télévision française

Générique

 

Audoir, Jacques

 

Glaser, Denise

 

Barbara-chanteuse

09/02/2013

GALIM " 'Espace des AUGUSTINS " MONTAUBAN le 9 Octobre 2012

GALIM

" 'Espace des AUGUSTINS "

MONTAUBAN

le 9 Octobre 2012

 

Voilà qu'insérés au souffle grondent de lointains ouragans échappés d'un ciel d'hypothèses
Tandis qu'un trait de voix tremblée épice la durée et fait coïncider la chair de l'instant à un désormais qui titube.
Ton écho s'éloigne et la vie qui reprend s'est chargée grâce à toi d'un vertige de possibles. D'un pollen d'amour vibrant et propagé naissent déjà d'autres fleurs perlées d'émotion, lourdes de sourires à cueillir....

Pour cet encore Beau Moment que tu nous a offert ce soir-là Grande Dame GALIM, je n'ai que des Mercis à offrir .... Et c'est ridiculement peu.

11/01/2013

SE RENCONTRER ENCORE 2

RETROUVAILLES.jpeg

A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter)  le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...


SE RENCONTRER ENCORE

2


Il monte en lui, irrépressible et de plus en plus oppressante, une grosse mauvaise humeur. Et il a beaucoup de mal à juguler cet hurlement de colère qui a pris naissance au plus profond de ses tripes et qui encombre son cœur, sa gorge, ses lèvres dans l'attente d'une éructation libératrice. Et puis d'abord, pourquoi le retient-il? Pourquoi ne se laisserait-il pas aller à l'exprimer cette hargne? A l'expurger, à la vomir même! C'est bien après lui qu'il en a, non? A cet instant, il se déteste.

 

 

 

Du monde dans la rue, surtout en fin de semaine, il y en a toujours beaucoup. Mais bon sang, à cet endroit précis, à cet instant précis, on dirait qu'il y en a trop. Beaucoup trop. Décidé à prendre le métro, il accélère le pas et fend la foule d'un pas décidé, se faufilant au mieux pour enfin arriver devant les grilles de la station étonnamment fermées. Fermées? A cette heure-ci?

(A SUIVRE...)

 

07/01/2013

GALIM " 'Espace des AUGUSTINS " MONTAUBAN le 9 Octobre 2012

 

GALIM

" 'Espace des AUGUSTINS "

MONTAUBAN

le 9 Octobre 2012

 

Voilà qu'insérés au souffle grondent de lointains ouragans échappés d'un ciel d'hypothèses
Tandis qu'un trait de voix tremblée épice la durée et fait coïncider la chair de l'instant à un désormais qui titube.
Ton écho s'éloigne et la vie qui reprend s'est chargée grâce à toi d'un vertige de possibles. D'un pollen d'amour vibrant et propagé naissent déjà d'autres fleurs perlées d'émotion, lourdes de sourires à cueillir....

Pour cet encore Beau Moment que tu nous a offert ce soir-là Grande Dame GALIM, je n'ai que des Mercis à offrir .... Et c'est ridiculement peu.