05/12/2014
L’ÉCOLE DU SENSIBLE
L’ÉCOLE DU SENSIBLE
C’est un texte saturé de mots forts, de situations douloureuses
Parce qu’elles affrontent aux éclats d’un réel que l’on imagine mal,
Autant de raisons susceptibles de réveiller les souffrances endormies.
J’aimerais te faire partager cette école du sensible qui borde le précipice.
Je te connais davantage maintenant, assez pour percevoir que tu possèdes
En ton tréfonds la force de caractère nécessaire pour dépasser cette douleur-là
Et te laisser happer, émouvoir par celle qui suinte dans l’ombre ténue de la page.
Une douleur exacerbée qui pourrait t’aider à supporter une partie des tiennes.
Il est peu probable que tu parviennes à lire ce court livre d’une seule traite.
Il te faudra le reposer, souvent peut-être, tant les mots insurgés s’y bousculent,
Se chevauchent, tandis que dans le lourd silence advenu tu entendras leur cri
D’une souffrance communiquant au final l’essence de ce qui un jour fut beau.
P. MILIQUE
09:33 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, école, sensiblerie, texte, saturation, mot, fort, situation, douloureux, affronter, éclat, réel, imaginer, raisonnable, susceptible, réveiller, souffrance, endormissement, aimer, fraction, partager, border line, précipice, connaissance, avantager, maintenance, percevoir, posséder, tréfonds, force de caractère, nécessaire, dépasser, douleur, laisse, happer, émouvoir, suintement, ténu, page, exacerber, pourriture, aider, supporter, partie, tinter, propension, parcourir, lire, court, seul
20/07/2014
LE SOI DÉPOSSÉDÉ
LE SOI DÉPOSSÉDÉ
Cela exprime l'inévitable sentiment d'injustice
Éprouvé face au palpitant vif d'une disparition.
Tous les repères sont abolis, plus rien désormais n'a de sens
A soulager les souffrances causées par ce départ inconcevable.
Confrontation douloureuse et nécessaire dans l'instant
Qui souligne l'altération de l'identité dans le chaos du deuil.
Au regard d'une présence à la fois insistante et fantomatique
Il reste seulement le souffle de l'impuissance et du chagrin
Induite par la disparition de celle qui plus jamais ne sera,
Ainsi que la sensation constitutive d'être dépossédé de soi
Qui lui fait écrire d'étranges poèmes augmentés de violence.
P. MILIQUE
09:11 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, posséder, possession, expression, inévitable, sentiment d'injustice, éprouver, face à face, palpitation, vif, disparition, repère, abolition, abolir, désordonné, sens interdit, soulager les souffrances, causalité, départ, inconcevable, confrontation, douloureux, nécessaire, à l'instar, souligner, altération, identifier, chaos, deuil, regard, présentable, insistance, fantomatique, restaurer, solo, souffle, impuissance, chagrin, induire, induction, sensation, cognitif, constitutif, écrire, étrange, poème, augmentation, violence, agressivité
26/04/2014
COMPAGNON DE PEU 2
A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter) le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...
COMPAGNON DE PEU
2
Vous qui me lisez avez, c'est probable, déjà jeté de solides fondations.
Cela vous a peut-être pris du temps, celui de la nécessaire germination.
Il ne vous reste plus, là est le complexe, qu'à le consolider de définitif.
A faire de lui un bonheur historique, originel, propriété de vous seul.
Parce que c'est seulement lorsqu'il devient précisément fixé par le
Mystérieux ciment de votre intime qu'il devient impartageable, unique.
Mais tout cela n'est pas que réalité. Le passage existe et rien ne pourra
Contenir le trop-plein d'étoiles qui ne manquera pas de jaillir, traces
Stridentes et colorées dans le ciel complaisant, étoiles d'une merveille
De bonheur que l'un, l'autre, parmi ceux qui vous aime, refermera
Au creux d'une main de satin pour l'enrichir d'essentiel quotidien.
(FIN)
P. MILIQUE
09:54 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, lire, probable, jeter, solide, fondation, prendre le temps, nécessaire, germination, rester, complexe, consolider, définitif, bonheur, historique, originel, propriété, soliste, devenir, précision, fixer, mystérieux, ciment, intime, impartageable, unique, réalité, passage, contenir, trop-plein, étoile, manquement, jaillir, trace, strident, colorer, ciel, complaisance, merveille, amour, refermer, creux, main, satin, enrichir, essentiel, quotidien
17/04/2014
AU CENTRE D'UN RIEN
AU CENTRE D'UN RIEN
Certaines lignes ploient sous tant de souffrances...
Ce sont des lignes qui conversent au cœur de la nuit,
Éléments déchaînés de visions acides et cinglantes.
Elles livrent la pulpe quotidienne de sa vie telle qu'elle est
Et non telle qu'elle se donne à voir à des yeux étrangers.
Elles disent l'ultime de la mort-maladie, de la mort-décision.
Et il se sent humilié par ce qu'il traduit en échec personnel.
Il en est ainsi chaque fois que l'on doit se séparer de quelqu'un,
Chaque fois que l'on perd ou qu'on nous arrache quelque chose.
Mais il est chair de vie et celle-ci inclut la douleur, n'est-il pas?
Nul ne sait vivre sans souffrir, et c'est souffrance que de subir
Tant nous avons d'immenses besoins, terriblement écrasants.
On peut imaginer qu'elle est nécessaire à combler l'univers limité
Où s'éprouve la peur de s'égarer au cœur d'un vide, au centre d'un rien.
S'engage alors un terrible combat contre soi-même,
Probablement le plus vif et le plus complexe de tous.
Et d'évidence, c'est bien celui-ci qu'il s'agit de gagner.
P. MILIQUE
09:54 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, centre, rien, ligne, ployer, souffrance, converser, coeur, nuit, éléments déchaînés, vision, acide, cinglant, livrer, pulpe, quotidien, donner à voir, eux, étranger, ultime, mort, maladie, décision, se sentir humilié, traduire, échec personnel, chaque fois, devoir, se séparer, perdre, arrachement, quelque chose, chair, vie, inclure, douleur, savoir vivre, souffrir, subir, immensité, besoin, terrible, écrasant, imaginatif, nécessaire, combler, univers décalé, limiter, éprouver la peur
13/03/2014
LE MAL SECRET
LE MAL SECRET
C'est avec une acide pointe d'agacement
Que, dans le désir d'élucider les zones d'ombre de son passé,
S'exacerbe la lueur intime rongée par un mal secret.
On sent la phrase se gonfler avec lenteur
Et sembler perdre le sens de la mesure nécessaire.
Naissent des intrigues multiples d'amples convergences,
Vivantes d'élégantes cruautés et de cynisme revendiqué
Qui, faisant leur deuil d'une poignée de chimères,
Exaltent un texte de rage écumante: un texte de vie.
P. MILIQUE
00:39 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : secret, acide, agacement, désir, élucider, zone, ombre, passé, exacerber, lueur, intimité, ronger, phrase, gongler, lenteur, perdre, sens, mesure, nécessaire, naître, intrigue, multiple, amplitude, convergence, vivre, élégance, cruauté, cynisme, revendiquer, deuil, poignée, chimères, exalter, texte, rage, écumer, vie
19/01/2014
INTERROGATION ÉCRITE 1
INTERROGATION ÉCRITE
1
Pourquoi j’écris?…
Parce que c’est un besoin primaire.
Parce que je ne peux m’en empêcher.
Parce que je ne peux faire autrement.
Parce que cela m’est aussi nécessaire que de respirer.
Parce que je me délecte du plaisir évident de manipuler les mots.
Parce que je suis d’une grande naïveté.
Parce que je ne sais pas parler.
Pour tomber le masque.
Parce que la feuille blanche constitue l’interlocuteur, le confident, le psychanalyste idéal.
A la fois moyen d’expression et de réflexion,
L’écriture est une béquille parfaite au désespéré chronique que je suis,
C'est un moyen unique de supporter le mal de vivre, de traduire une jubilation, de partager.
J’écris pour faire que ceux qui me ressemblent déjà un peu me ressemblent un peu plus.
J’écris pour moi
Pour tous
Pour personne
Pour le plaisir
Pour être conquis.
Pour me réconcilier.
Pour être, par ceux qui me comprendraient, aimé autant que j’aime.
(A SUIVRE...)
P. MILIQUE
09:56 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, interrogation écrite, écrire, besoin, primaire, pouvoir, empêcher, faire autrement, nécessaire, respirer, se délecter, plaisir, évider, manipuler, manipulateur, mot à mot, grandiose, naïveté, parler, tomber le masque, feuille, blancheur, constitutif, interlocuteur, confident, psychanaliste, idéaliser, fois, moyen d'expression, réflexion, béquille, parfair, perfection, désespéré, chronique, chronicité, uniquesupporter, mal de vivre, traduire, traduction, jubilatoire, partager, ressembler, personnifier, conquérir, réconcilier, réconciliation, comprendre, compréhensif, aimer
01/10/2013
LANIÈRES ACÉRÉES 2
A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter) le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...
LANIÈRES ACÉRÉES
2
Folle incompréhension d’un canevas qui lacère
Dans la terrifiante absence d’une lumière nécessaire
Qui s’installe, d’un vertige, au point zéro de l’infini.
Stupéfaction avide dans le sidéral vide désespéré
D’une frustration récurrente et primale qui exaspère.
Il devient urgent d’instiller en soi
L’absolue nécessité de ne rien posséder !
Et voilà que soudain apparaît
L’insondable vrillé de ce qui hante :
Tes lèvres illuminaient mes paupières
Ton regard insistant épousait ma folie
Ta voix étoilait mes heures sombres
Ton souffle ardent électrisait mes sens
Tes mains embrasaient ma chair
Et ta vie pulsait à mon cœur mort.
Et puis, un jour, l’Autre t’a éblouie
Et s’est imposé à moi cet incontournable :
Tromper l’Autre, c’est d’abord se tromper !
(FIN)
P. MILIQUE
09:10 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, folie, incompréhension, canevas, lacérer, terrifier, terrifiant, absence, lumière, nécessaire, s'installer, vertige, point zéro, infini, stupéfaction, avid, sidéral, vide, désespéré, rustration, récurrent, primal, exaspérer, exaspération, devenir, urgent, instiller, abosolu, nécessité, posséder, apparaître, insondable, vriller, hanter, hantise, lèvre, illuminer, paupière, regard, insister, insistance, épouser, voix, étoiler, heure sombre, souffle, ardent, électriser, sens interdit
03/09/2013
JE M'ACCUSE 32
Je m'accuse
De n'avoir jamais su
Parler de la mort
Avec dans la voix, La nécessaire
Exagération de vie.
09:59 Publié dans JE M'ACCUSE | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, accuser, accusateur, dénonciateur, délateur, délation, savoir parler, mort, mortifaire, thuriféraire, voix, vois, voyeurnultime, nécessaire, exagération, vie, soudoyer, petite sonade, berceuse
27/08/2013
LA BOÎTE A LETTRES: ANDRE SUARES, LE 21 novembre 1915
LA BOÎTE A LETTRES
ANDRÉ SUARES,
LE
21 novembre 1915
01:19 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, au magma present de l'écriture, verlaine, rédacteur, masculin, dernier, antépénultième, paraître, mort, journeaux, permettre, permission, prendre, parole, qualiter, habiter, habitation, monde, affaire, sépulcrale, excellence, sépulture, de villiers, l'isle en dodon, adam et ève, souscription, produire, fond, nécessaire, décider, monument, élever, la tombe du poète, ensevelir, restes humains, enlever, cimetierre, batignolles, reposer en paix, transporter, père lachaise, confondre, banalité, nécropole, thiers, se pavaner, temple, ridicule, ridiculiser, alfred de musset
26/08/2013
LA BOÎTE A LETTRES: VAN GOGH, 29 JANVIER 1890
LA BOÎTE A LETTRES
VAN GOGH, 29 JANVIER 1890
01:16 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, au magma present de l'écriture, verlaine, rédacteur, masculin, dernier, antépénultième, paraître, mort, journeaux, permettre, permission, prendre, parole, qualiter, habiter, habitation, monde, affaire, sépulcrale, excellence, sépulture, de villiers, l'isle en dodon, adam et ève, souscription, produire, fond, nécessaire, décider, monument, élever, la tombe du poète, ensevelir, restes humains, enlever, cimetierre, batignolles, reposer en paix, transporter, père lachaise, confondre, banalité, nécropole, thiers, se pavaner, temple, ridicule, ridiculiser, alfred de musset
25/08/2013
LA BOÎTE A LETTRES: VERLAINE, LE 14 mars 1895
LA BOÎTE A LETTRES
VERLAINE
LE 14 mars 1895
Monsieur le Rédacteur,
On a tant dernièrement paraît-il, parlé de ma mort dans certains journaux, qu’il me sera peut-être permis de prendre pour un instant la parole, presque en qualité d’habitant de l’autre monde, dans une affaire sépulcrale par excellence.
Il s’agit de la sépulture de Villiers de l’Isle Adam. Une souscription ayant produit les fonds nécessaires, il a été décidé qu’un monument serait élevé sur la tombe du poète de qui les restes, enlevés du cimetière des Batignolles où ils reposent depuis sa mort seraient transportés au Père Lachaise ! Voilà qui me confond. Pourquoi le Père Lachaise, banale nécropole où M. Thiers se pavane en un temple d’ailleurs ridicule tandis que Musset, croirait-on, grelotte sous un saule dérisoire « Obtenu par prière » en place, pour le créateur d’Akédysséril et de L’Eve future, de ce petit, un peu sauvage cimetière hors murs, tout plein de vieux officiers, dont quelques-uns chevaliers de Saint Louis, dignes compagnons de repos du catholique et du royaliste... dans l’idéal que fut Villiers.
Et puis laissez-moi pour conclure exprimer un gros regret tout égoïste si vous voulez, mais je crois, par exception, égoïste bien. J’ai dans ce même cimetière des Batignolles mon tombeau de famille où dorment déjà mon père et ma mère : j’y ai ma place... avec une place encore par-dessus. Pour qui ? Sans doute le plus tard possible – pour un fils que j’ai.Il me serait donc douloureux de penser que mon cher ami de si longtemps, que mon grand Villiers qui me fut fidèle et doux en cette vie ne restât pas mon compagnon de l’au-delà. Et c’est pourquoi cette lettre qui est comme une protestation.
Si vous pouviez l’insérer dans un de vos prochains numéros, vous combleriez d’aise votre Paul Verlaine (16 rue St Victor).
01:13 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'écriture, verlaine, rédacteur, masculin, dernier, antépénultième, paraître, mort, journeaux, permettre, permission, prendre, parole, qualiter, habiter, habitation, monde, affaire, sépulcrale, excellence, sépulture, de villiers, l'isle en dodon, adam et ève, souscription, produire, fond, nécessaire, décider, monument, élever, la tombe du poète, ensevelir, restes humains, enlever, cimetierre, batignolles, reposer en paix, transporter, père lachaise, confondre, banalité, nécropole, thiers, se pavaner, temple, ridicule, ridiculiser, alfred de musset, croire
04/08/2013
LA PARISIENNE LIBEREE: "LA GUERRE CONTRE LE MAL"
LA PARISIENNE LIBEREE
"LA GUERRE CONTRE LE MAL"
Paroles et musique : la Parisienne Libérée
C’est une guerre africaine, soi-disant nécessaire
Une guerre aérienne, un combat exemplaire
Une guerre juste et bonne – il paraît que ça existe
Qui protège l’uranium en tuant des terroristes
Il neige sur Paris des flocons bien légers
Les bombes du Mali se sont mises à tomber
Dans l’union nationale, dans l’unanimité
La guerre contre le Mal a commencé (bis)
Les mouvements islamistes ne sont pas plus islamiques
Que les scientologistes ne sont scientifiques
On a chacun nos fous, qu’on fabrique quelquefois
Avant de lâcher les loups et les avions de combat
Il neige sur Paris des flocons bien légers
Les bombes du Mali se sont mises à tomber
Dans l’union nationale, dans l’unanimité
La guerre contre le Mal a commencé (bis)
On a tout plein de soutiens, mais toujours pas de mandat
Le parlement discute mais il ne vote pas
Nos alliés, nos amis, donnent chacun un avion
Un drone, une pharmacie et puis un petit camion
Il neige sur Paris des flocons bien légers
Les bombes du Mali continuent à tomber
Dans l’union nationale, dans l’unanimité
La guerre contre le Mal a commencé (bis)
Je vois les cristaux qui dansent dans le feu des lampadaires
À Douentza quand j’y pense, on doit vivre l’enfer
Je regarde à la télé cette belle guerre en 3D
Faire la guerre pour la paix, je ne m’y ferai jamais
Il neige sur Paris des flocons bien légers
Les bombes du Mali continuent à tomber
Dans l’union nationale, dans l’unanimité
La guerre contre le Mal a commencé (bis)
13:33 Publié dans GOUTTES d'ÂME, MUSIQUE | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, guerre contre le mal, guerre africaine, soi disant, nécessaire, guerre aérienne, combat, exemplaire, guerre juste, exister, protéger, uranium, tuer, terroriste, il neige sur paris, flocon, léger, bombe, mali, se mettre à tomber, union nationale, unanimité, guerre du mali, mouvement islamiste, scientologiste, scientifique, fou, fabriquer, lâcher les loups, avion de combt, soutien, mandat, parlement, discuter, voter, allié, ami, drone, pharmacie, camion, cristaux, danser, feu, lampadaire, douentza, penser, vivre l'enfer, regarder la télé, paix