05/10/2013
LE JOURNAL DE PERSONNE: "PARODIE DE LA VIE..."
LE JOURNAL DE PERSONNE
"PARODIE DE LA VIE..."
13:58 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, parodie, impuissant, vie, guerre, payer, ami, amour, portance, bouche, voler, pauvre, chienne, protéger, ciel, laid, ville, demander de l'aide, arrêter, coeur, le journal de personne, jean-marc le bihan, barbare, brésil, mineur, condamner, exiler, assassiner, seriner, égoôt;oiseau, engueuler, pleurer, tendresse, blessé, jeter au panier, peuple, réveiller, âme déchu, paradis, cause persue, cri, traîner, simple, fou, envie d'aimer, otage, ruiner, usine, enfant, orphelin
01/10/2013
CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER: 11/09/2013
CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER
11/09/2013
13:02 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, philippe meyer, privatiser, tentative, amour, avenir, savoir, jacques brel, falsifier, avertir, duodénum, amoureux, défaite, entrée, feuille morte, au petit jour, prénom, prochain, capture, murmure, étang, fleuve, prison, baiser, chemin, carrefour, bonheur, guerre, affreux, prière, pleurer, vainqueur, martinet, férocité, règne, chaîne, velours, tendresse, faiblesse, navire, ennemi, partir ensemble, pêcher, mélodie, mélopée
08/09/2013
SI NOUS VIVIONS EN 1913: LES BÉBÉS DE 1913
SI NOUS VIVIONS EN 1913
LES BÉBÉS DE 1913
1913, naissance de la puériculture…
Antoine PROST préside la mission du centenaire de la première guerre mondiale, dont France Inter est partenaire.
Bébé assis © Fylkesarkivet i Sogn - 2013
Je voudrais aujourd’hui vous présenter les bébés de 1913. Nous n’irons pas dans une maternité, elles étaient rares. La plupart des femmes dans tous les milieux accouchaient chez elle assistées par une sage-femme. Le médecin n’intervenait guère que dans les milieux privilégiés. …
13:08 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, antoine prost, naissance, puériculture, puéricultice, bébé assis, vouloir, huis-clos, présentation, maternité, rareté, rarissime, plupart, sage-femme, milieu, parturiente, accoucher, assister, médecin, intervenir, intervention, privilégié, montagneux, pamukkale, s'endormir, chance, importance, darras et désumeur, blessure, affectif, anomalie, regret, fruit rouge, rayon de lune, pleurer, printemps, automne;
05/09/2013
SOLEIL IMPÉTUEUX
SOLEIL IMPÉTUEUX
Par bonheur
Il y a eu la rencontre bouleversante,
Le murmure tonitruant et inoubliable.
Par bonheur
Il y eu ce quartz ciselé brûlant d'inespéré,
Ce Soleil impétueux de Princesse fragile.
Par bonheur
Il y eu Toi, mon Amour!
P. MILIQUE
09:54 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, soleil, impéueux, bonheur, rencontre, quartz, cisélé, brûlant, inespéré, princesse, fragile, murmure, tonitruant, inoubliable, mélodie, familier, grammaire, watterlo, communal, taille, bouée, école buissonière, pâle, emmener, sans crier gare, élever, fille, garçon, pleurer, soupir, mourir, fire le premier pas, timidité, oser, robe clait;éclait, baiser, jue, jonquille, gentil
25/08/2013
L'ATTENTE
L'ATTENTE
Une porte poussée d'un négligent geste machinal,
Une table désœuvrée où il installe son habitude,
Le voilà lui et sa mélancolie encore revenus...
Deux euros pour un café sans saveur,
Deux euros pour un rêve, un espoir.
Furtifs coups d’œil répétés
Adressés à l'immobile pendule
Qui le nargue, l'aiguille figée...
Deux euros pour un café sans saveur,
Deux euros pour un rêve, un espoir.
Déjà trois cafés chargés d'atrabile désespoir.
Il tord d'une main rageuse la feuille impassible,
Sa bouche aphone crie d'insanes mots brûlants
Maintenant que le trop tard l'enjoint de partir,
Las d'attendre celle qui n'existe peut-être pas.
Deux euros pour un café sans saveur,
Deux euros pour un rêve, un espoir.
Sous le regard insignifiant de clients avachis,
L'homme se lève en pleurant des larmes taries
Et rejoint l'au-dehors livide sous la lune liquide.
P. MILIQUE
09:11 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, attente, pousser, porte, négligent, geste machinal, table, désoeuvré, installer, habitude, mélancolie, revenus, euros, café, saveur, rêve, espoir, furtif, coup d'oeil, répéter, adresse, immobile, pendule, narguer, aiguille, figer, tordre, main, rageur, feuille, impassible, bouche, aphone, crier, insanités, brûlant, maintenir, tardif, enjoindre, partir, lassé, attendre, exister, regard, insignifiant, client, avachi, se lever, pleurer, larmes
24/08/2013
LA BOÎTE A LETTRES: ROBESPIERRE A DANTON
LA BOÎTE A LETTRES
ROBESPIERRE A DANTON
(© Musée des Lettres et Manuscrits)
Mon cher Danton
Si, dans les seuls malheurs qui puissent ébranler une âme telle que la tienne, la certitude d'avoir un ami tendre et dévoué peut t’offrir quelque consolation, je te la présente. Je t'aime plus que jamais et jusqu'à la mort. Dans ce moment je suis toi-même. Ne ferme point ton cœur aux accents de l'amitié qui ressent toute ta peine. Pleurons ensemble nos amis. Et faisons bientôt ressentir les effets de notre douleur profonde aux tyrans qui sont les auteurs de nos malheurs publics et de nos malheurs privés. Mon ami, je t'avais adressé ce langage de mon cœur dans la Belgique. J’aurais déjà été te voir je n’avais respecté les premiers moments de ta juste affliction .
Embrasse ton ami
Robespierre
01:40 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, robespierre, dnton, guillotine, musée, boîte aux lettres, malheur, pouvoir, ébranler, âme, certitude, ami, tendresse, dévoué, offrir, consolation, présenter, aimmer, mort, moment, fermer, coeur, accent, amitié, ressentir, peiner, peine de mort, pleurer, ensemble, faire, faiseuse d'ange, douleur, profondeur, tyran, auteur, public, privé, adresser, langage, belgique, voir, respecte, premier, justice, affliction, embrasser
13/08/2013
DOULEUR D'AIMER
DOULEUR D'AIMER
C'est un concentré de féminité au regard étincelant.
Lui, se rend compte soudain qu'il a vécu jusque-là dans son attente,
Et qu'elle lui offre avec tellement de générosité,
Cette histoire qui sera la leur.
Parce que c'est un être tout d'amour et de tendresse,
Générateur de complicités bouleversantes
Qui ajoutent tellement de sens au mot-partage.
Il a grandi dans sa solitude,
Et c'est dans un état de grande fragilité
Qu'il se retrouve à se nourrir
De tous ces émois bruissants et foisonnants.
Il obéit, mécaniquement, à des impulsions intérieures inexplicables
Qui l'ouvrent à la découverte de sa capacité d'amour.
Les voilà ensembles, cœurs de porcelaine aux regards séduits,
A traquer les instants fragiles, les moments inoubliables.
De ces moments de prodigieuse harmonie où le temps soudain aboli
Provoque la rareté d'un état d'exaltation sublimée
Qui rend possible l'éblouissement immédiat.
Et, c'est l'inconcevable d'une réalité qui donne la main à l'imaginaire,
Pour atteindre à l'impossible pureté.
Pour fixer les enchantements d'un absolu d'émotions d'où s'extrait,
Souverain, leur diamant intérieur.
Il sait maintenant concevoir pour elle l'ivresse d'un amour perdu.
Un amour aux yeux serrés, sur fond de passion incestueuse
Qui adoucit les blessures du passé mais qui exprime
Encore, sa vulnérabilité.
Le bonheur a de tout temps eu partie liée avec le chagrin.
En devenant diaphane, il devient éphémère.
Même quand il est, croit-on, bien construit et solidement étayé,
Un jour il se meurt de trop d'évidences et,
Toutes les pauvres certitudes patiemment élaborées volent en éclats.
Tombe alors le froid glacial du crépuscule.
Il connaît alors le jour le plus désenchanté de sa vie.
Un jour fracassé de la plus aride sécheresse.
Il se sait condamné encore au lent naufrage
D'une vie ordinairement amenuisée.
Il entre dans un long tunnel extraordinairement sombre et froid,
Avec en lui la sourde désespérance
D'un temps définitivement immobile.
Il a pleuré comme jamais. Il s'est senti dépossédé.
L'échec lui est tellement insupportable,
Avec son lot de souffrances qui le mènent,
Au silence d'une douleur minérale.
Il est devenu un homme tourmenté.
Il est devenu un homme qui pleure.
Cependant, ils ont tellement mal,
Qu'il ne savent plus que se consoler mutuellement.
Et il ne l'abandonne, condamné, qu'avec la certitude
De l'ultime à la retrouver à jour.
Alors, avec cette envie furieuse et lancinante
De ne plus être ce qu'il ne sera jamais
Il s'enfonce, au comble de l'égarement,
Dans les avenues noires et encombrées
De la douleur d'aimer.
P. MILIQUE
05:55 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : douleur, tendresse, soliamourtude, harmonie, sublime, imaginaire, emotion, ivresse, chagrin, crépuscule, désespoir, souffrance, tourment, ténèbres, ultime, retrouvailles, envie furieuse, lancinant, s'enfoncer, combler, égarement, avenue, nègre, encombré, consoler, pleurer, sentir, humer, dépossédé, échec, insupportable, lot de souffrances, mener, minéral, tourmenté, fracassé, aride, sècheresse, condamner, lent, naufrage, ordinaire, amenuiser, tunnel, extraordinaire, sombre, froid, sourd
08/08/2013
COMME UNE LAVE EN FUSION
COMME UNE LAVE EN FUSION
Il lui donne tout mais, il n'a pas su le percevoir,
Son cœur alourdi était affamé d'autre chose.
Peu à peu, elle s'est éloignée de lui,
Distante jusqu'à la presque absence,
Femme aimée de moins en moins aimante.
Son présent désormais se zèbre de fêlures
Tandis qu'il s'éprouve solitaire face à la douleur
Provoquée par l'inexplicable disharmonie.
Malgré la violence du tourbillon, il s'obstine
A vouloir oublier le reflet de sa déchirure
Même s'il sait combien l'entreprise est vaine.
A l'embrasé incandescent d'une blessure inconsolable,
Il pleure la nuit tombée sur une existence amputée d'elle.
Il lui avait tout donné mais n'avait pas su percevoir,
Que son cœur alourdi était affamé d'autre chose.
D'un rêve renaît un après accroché à la mémoire.
La tendresse exaltée, restée sur le qui-vive, l'invite
A utiliser au mieux son art du doux affleurement,
Privilège lesté de mystère qui lui offre quelque atout
Et fait de lui un personnage fréquentable et sensible.
Alors, il se mire dans les yeux de l'Autre gracieux
Pour y chercher de quoi éclairer ses déséquilibres,
Vertiges attirants où noyer ses trop lourds tourments.
D'un sursis de vieillesse miroite un après possible,
Mais il n'est qu'utopie fuyante née d'un rêve forclos.
Puisque résigné à ne jamais atteindre l'inespéré,
Il laisse sourdre du tréfonds à bout de souffle
Un goutte à goutte de mots à pleurer de beauté,
Des mots de larmes brûlantes de lave chaude
Qui coulent dans la poussière de ce qui n'est plus.
Il lui aurait donné bien davantage s'il avait su percevoir,
A quel point son cœur alourdi était affamé d'autre chose.
P. MILIQUE
09:37 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, lave en fusion, tout donner, percevoir, coeur lourd, affamer, chosifier, éloigner, distant, absence, femme aimée, aimant, présence, zèbre, fêlure, éprouver, solidaire, endolori, provoquer, inexplicaple, disharmonie, violence, tourbillonner, s'obstiner, vouloir, oublier, refléter, déchirure, entreprise vaine, embrasé, incandescence, blessure, inconsolable, pleurer, nuit tombée, existence, amputé, rêver, renaître, accrocher, mémoriser, tendresse, exalter, rester sur le qui-vive, inviter, utiliser, art, doux, affleurement, privilégier
05/08/2013
LE JOURNAL DE PERSONNE: "JE T'AIME TEMPS..."
LE JOURNAL DE PERSONNE
"JE T'AIME TEMPS..."
Il est peut être midi
Il est peut être minuit
Pour les uns, il fait jour
Pour les autres il fait nuit
C’est le grand astre qui en décide
Selon qu’il est ici ou là
Non, je ne me rabaisserai pas
Pour demander au temps de suspendre son vol
Je m’en vais suspendre le mien
J’annule mon voyage
Je me débarrasse des bagages
Et je cesse de tourner les pages du passé, présent, futur
Il est quelle heure ?
Quelle heure est- il?
L’heure de changer d’heure
L’heure de décider de l’heure qu’il est
Une valse à trois temps
Au premier temps de la valse
On me présenta le mouvement des astres
Qui nous ont permis de rendre le temps
Mesurable palpable, identifiable
C’est le temps des horloges
Qui s’étale sous nos yeux
Ce temps qui fait tic-tac… boum
Au deuxième temps de la valse
On me présenta le mouvement des âmes
Qui font du temps leur propre drame
Selon le ressenti de chaque UN
Ou le ressenti de chaque UNE
C’est le temps du sentiment
Qui varie selon que l’on rit ou que l’on pleure.
Au troisième temps de la valse
On me présenta le mouvement des êtres
Qui font du temps un être hors du temps
Non, il ne s’appelle plus Chronos mais Aïon
Un fragment d’éternité… que nous autres artistes
Appelons : l’instant… l’instant de vérité
L’instant de toute beauté.
On y passera tous, mais l’instant, lui, ne passera pas
Il demeure… devient l’ultime demeure
Hors de l’espace et hors du temps
C’est l’instant que l’on choisit
Pour accéder à un sens ou pour tirer sa révérence
Seule la musique peut nous en rapprocher…
En arrêtant la roue du temps…. Écoutez!
17:05 Publié dans GOUTTES d'ÂME, POESIES DITES EN IMAGES | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, le journal de personne, ailer, midi, minuit, faire jour, faire nuit, astre, décision, rabaisser, suspendre son vol, annuker son voyage, débarasser, bagages, tourner les pages, passé, présent, futur, changer d'heure, décider, valse à trois temps, présenter, mouvement des astres, permettre, rendre, mesurable, palpable, identifiable, s’étale sous nos yeux, tic-tac… boum, mouvement des âmes, drame, ressenti, sentiment, variation, rire, pleurer, hors du temps, chronos, aïon, fragment, éternité, artiste, appeler, instant de vérité, beauté, ultime demeure, hors de l'espace, arrêter la roue du temps
14/07/2013
MARCELINE DESBORDES VALMORE: "LA COURONNE EFFEUILLEE"
MARCELINE DESBORDES VALMORE
"LA COURONNE EFFEUILLEE"
LU PAR
AUGUSTE VERTU
J'irai, j'irai porter ma couronne effeuillée
Au jardin de mon père où revit toute fleur ;
J'y répandrai longtemps mon âme agenouillée :
Mon père a des secrets pour vaincre la douleur.
J'irai, j'irai lui dire au moins avec mes larmes :
" Regardez, j'ai souffert... " Il me regardera,
Et sous mes jours changés, sous mes pâleurs sans charmes,
Parce qu'il est mon père, il me reconnaîtra.
Il dira: " C'est donc vous, chère âme désolée ;
La terre manque-t-elle à vos pas égarés ?
Chère âme, je suis Dieu : ne soyez plus troublée ;
Voici votre maison, voici mon coeur, entrez ! "
Ô clémence! Ô douceur! Ô saint refuge ! Ô Père !
Votre enfant qui pleurait, vous l'avez entendu !
Je vous obtiens déjà, puisque je vous espère
Et que vous possédez tout ce que j'ai perdu.
Vous ne rejetez pas la fleur qui n'est plus belle ;
Ce crime de la terre au ciel est pardonné.
Vous ne maudirez pas votre enfant infidèle,
Non d'avoir rien vendu, mais d'avoir tout donné.
13:57 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, marceline desbordes valmore, la couronne effeuillée, auguste vertu, porter, jardin, père, revivre, fleur, répandre, âme, agenouiller, secret, vaincre la douleur, larme, regarder, jour, changer, pâleur, charme, reconnaître, désolation, terre, pas égarés, cher, dieu, troubler, maison, coeur, entrée, clémence, douceur, saint, sein, refuge, enfant, pleurer, entendre, obtenir, espérance, posséder, perdre, rejeter, beauté, crime, ciel, pardonner, maudire, infidèle
30/06/2013
CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER : 11/02/2013
CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER
11/02/2013
04:57 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, varsovie, peuple, pigeon, pignon, escalier en colimaçon, professeur, envoler, coeur, amour, heurter, concertiste, cuillir, horizontal, virtuosité, craquer, ruelle, pleurer, mourir, chasser, classer, éloigner, pierre tombale, wally, pologne, sissi impératrice, colombages
25/06/2013
CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER : 25/06/2013
CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER
25/06/2013
13:02 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, coûter, éloigner, pleurer, mourir, bercer, hurler, brûler, moineau, lune, amour, abat-jour, manoeivre, fermer sa gueule, avoir la force, casser, dévorer, éparpiller, saigner, enchaîner, acier, couteau, donner l'heure, plaquer, claquer, éteindre, trancher, broyer, à l'envers, amourette, molosse, regard, rester seul, férocité