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04/11/2013

Velvet Underground - Concert | Fondation Cartier, 1990 (Lou Reed, John Cale, M. Tucker, S. Morrison)

 

VELVET UNDERGROUND

CONCERT

FONDATION CARTIER 1990

(Lou REED, John CALE, M. TUCKER, S. MORRISON)

 

En hommage à Lou Reed, la Fondation Cartier diffuse pour la première fois ce concert historique du Velvet Underground.

« Le concert n'a jamais été prévu pour être la reformation du Velvet Underground, mais lorsqu'on a invité Lou Reed, dans le cadre de l'exposition Andy Warhol en 1990, toutes les personnes qui sont venues à Jouy-en-Josas l'espéraient. Ce concert s'est tenu l'après-midi du 15 juin et un autre groupe était prévu, mais au dernier moment Lou Reed et John cale sont montés sur scène pour jouer Songs for Drella. Ensuite, lorsque Sterling Morrison et Maureen Tucker les ont rejoint pour commencer Heroin... C'était à tomber. J'ai toujours pensé que c'est l'atmosphère créée par la Fondation Cartier qui a permis cette reformation, parce que nous étions sincères, et surtout pas des professionnels du show-business. Ce qui s'est passé ce jour-là a été un très grand plaisir, un honneur. »
Marie-Claude Beaud, directrice de la Fondation Cartier pour l'art contemporain de 1984 à 1994.
Propos recueillis à la Fondation Cartier, Paris, le 29 octobre 2013

01/11/2013

BRODER LE TEMPS

au magma présent de l'écriture

 

BRODER  LE  TEMPS

 

Dans ce sentiment d'urgence qui donne parfois de l'audace,

Coule sans cesse un flot d'observations surprises

Qui encouragent l'ardente confrontation des idées

Et brassent avec énergie la matière brute de la vie.

 

Démonstration débridée mais remarquablement ajustée

De battements intérieurs aux discours toujours relancés

Au cœur accueillant d'une relation de désir qui tresse les voix,

Créant ainsi une atmosphère douce mêlée de mystère.

 

Dans ce sentiment d'urgence, s'impose l'évidence nue

Qui sublime l'art de broder le temps de paroles vives.

 

P.  MILIQUE

26/10/2013

LA CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER 02/10/2013

 

LA CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER

  02/10/2013

06/10/2013

Robert FRANCIS AU BIKINI TOULOUSE LE 24 Novembre 2010

(Captation Personnelle)

 

Robert FRANCIS

EN CONCERT

AU

BIKINI 

TOULOUSE

LE 24 Novembre 2010

 

Vous ne connaissez pas ce Californien?

Ce n'est pas grave, non!

                                                C'est juste dommage.

30/09/2013

LANIÈRES ACÉRÉES 1

au magma present de l'ecriture

 

LANIÈRES ACÉRÉES

1


Une atmosphère poignant à l’immédiat

Fait que déjà on cherche son souffle.

 

Chaque mot conforte une image :

Vibration, percussion, ébranlement.

La rage qui brûle, insurrection grondante,

Entrailles fouillées par la pulsation

D’heures frénétiques qui encore se tordent.

 

Je vois bien, à travers mes nausées compulsives,

Que tu n’es certes pas perdue pour tout le monde.

Tragédie de la trahison qui trop souvent récidive,

Déchirement soumis aux lanières acérées

De ce qui était et qui soudain n’est plus.

(A SUIVRE...)


P. MILIQUE

11/08/2013

UNE LUEUR DE FIN DU MONDE

 

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UNE LUEUR DE FIN DU MONDE

 

C'est un univers parfaitement incohérent,

Une atmosphère lourde, difficilement descriptible.

Comme derrière tout masque authentique,

S'exprime la part de doute

Et les égarements dangereux de la pensée.

 

Il possède, caché en lui, des forces qu'il ne soupçonne même pas.

Des forces susceptibles de dynamiter les certitudes accumulées.

On peut parfois percevoir, gravées, des marques douloureuses

Sur son visage brûlant et décomposé,

Secoué d'irrépressibles tremblements.

 

On le comprend alors niché au cœur d'un désastre général.

En lui la violence surgit, impromptue,

Dans le déchaînement terrifiant d'éléments

Soudainement devenus incontrôlables.

De lourds nuages noirâtres pleurent une pluie de sang,

Des comètes effrayantes zèbrent sa conscience

Éclairant son tréfonds d'une lueur de fin du monde.

 

De cette lueur-là, il trouvera la force

De renaître à la vie certes, mais avec quel dégoût

Humide à la commissure des lèvres.

 

P. MILIQUE

21/07/2013

L’HOMME ÉTRANGER

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L’HOMME ÉTRANGER


C’est avec une réelle constance que cela s’impose :

Nous nous préservons au cœur de la beauté charnelle

A laquelle on s’identifie, animale ou végétale,

Pour se soustraire du mieux que l’on peut

A cette humanité cruelle et désincarnée

Dont l’attitude fielleuse nous est étrangère.

 

Pour ce faire, on s’établit un périmètre de protection

Au sein duquel l’atmosphère nous est plus arc-en-ciel.

 

Et cependant, un jour l’inéluctable se produit :

Le monde, absurde et cruel, nous rattrape

Et interpelle à nouveau nos étonnements d’enfants.

 

P. MILIQUE

28/06/2013

CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER : 28/06/2013

 

CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER 

28/06/2013

17/05/2013

NILDA FERNANDEZ (CAPTATION PERSONNELLE) "PAUVRE RUTEBOEUF" A MONTAUBAN

 

 NILDA FERNANDEZ

  (CAPTATION PERSONNELLE)

"PAUVRE RUTEBOEUF"

EN "ENFANT DE LEO" 

MONTAUBAN 

SALLE EURYTHMIE

LE 7 MAI 2013

03/02/2013

LE GRAND MÉCHANT DOUX

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LE GRAND MÉCHANT DOUX


 

Une insondable complexité

Scelle l'intérieur de cette vie

Où, naviguant dans une atmosphère

De vide, d'artificiel et d'indifférence,

Tout paraît mort, inanimé, minéral et absurde.

 

Et je ploie en une souffrance infinie

Sous l'atroce poids ce ma culpabilité,

Cherchant refuge dans le délire halluciné,

Tout en niant l'inacceptation désespérée

D'une réalité prégnante et douloureuse,

Peuplée d'êtres maléfiques et démoniaques.

 

La tourmente au tréfonds est terrible,

Le vide de l'absence est énorme

Et la zone de silence insupportable,

Trop assourdissante finalement.

Et je pleure à n'en plus finir

Cet irrémédiable mutisme.
Quelle horreur que cette irritante faiblesse!...

 

Malgré l'ambiguïté probable des apparences,

Malgré mon goût naturel pour la provocation,

Je ne suis rien d'autre qu'un grand méchant doux

Cherchant sans discontinuer dans l'obscurité

L'infime rai de lumière qui lui suffirait

Pour rendre son existence fréquentable.

 

P. MILIQUE

06/10/2012

JE ME REPROCHE 24

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Je me reproche

De ne pas savoir

Offrir à mon quotidien

L'atmosphère carnavalesque

De joyeuse apocalypse et de kermesse métaphysique

Qu'il mérite peut-être.

21/06/2012

VIEILLIR

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VIEILLIR

 

 

 

 

 

Je vieillis…

 

 

 

Je suis soumis à ce temps

 

Qui pourtant jamais ne m’obsède.

 

D’ailleurs, les heures s’épuisent, bien lentes.

 

 

 

Au cœur d’une atmosphère lourde et tendue,

 

Je ne suis qu’une gigantesque erreur de raisonnement,

 

Un douloureux convalescent de la vie.

 

 

 

P. MILIQUE