13/11/2014
EN MODE SURVIE 2
A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter) le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...
EN MODE SURVIE
2
Parfois la tristesse est une enfant
Qui, en descendant sur l'esprit, se pose comme la nuit.
Ou alors, redondante voyageuse solitaire,
Elle s'affirme telle l'ultime fleur
D'un vieil arbre décharné et agonisant.
Un long chemin de pluie sous un immense ciel gris
Sur lequel flâne la tristesse, nonchalante.
On a beau aimer entendre la nuit tomber,
Le froid et l'humidité ralentissent tout de même nos envies.
Et l'on tangue, désarticulé, au roulis du chagrin
Qui est en nous tel une barque qui flotte
Toute en ondulations, chevauchant les remous.
Ce faisant, le moral lui aussi est à la pluie et à la brume,
Et la tristesse semble prendre un malin plaisir
A toujours se déposer sur les points déjà sensibles
Et, lorsque l'on est accablé, on ne voit bien sûr plus
Que la face lasse et sombre de chaque chose.
Après la pluie vient le beau temps assure-t-on !
Cela tombe bien, demain est un autre jour.
Joie prévisible de l'alternance.
D'ailleurs, tout n'était certainement que de la fatigue...
(A SUIVRE...)
P. MILIQUE
10:07 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, survivre, perfection, tristesse, enfance, descendre, spirituel, poster, nictalope, redondance, voyageur, solitaire, s'affirmer, tellurique, liturgisme, ultime, fleurir, vieille, arbre, décharné, agonisant, long;cheminer, pluie, immensité, ciel, gris, flâner, tristounet, nonchalance, beauté, amour, aimer, entendre, tombeau, froid, humidité, ralentir, momifier, envier, tangage, tanguer, désarticulé, roulis, chagrin, barque, flotteur, ondulatoire, chevaucher, remous, friable
12/11/2014
EN MODE SURVIE 1
EN MODE SURVIE
1
Un nuage est passé et tout a obscurci.
Désormais il pleut, il fait froid, le vent souffle et le ciel est gris.
Le ciel s'éprouve vulnérable de mélancolie et de vague à l'âme.
Nous vivons au centre même d'un temps morose
Qui annihile jusqu'à l'envie de bouger.
Il est devenu impossible de mêler l'éclat de nos rires
Aux chaudes larmes de nos délires.
Le spleen s'est abattu au vif des états d'âme
Obligeant à rester là, terré au creux de son lit,
A façonner l'amertume en perles de dégoût,
A errer dans un champ de ruines amères
Disposées en mode survie
Dans laquelle la rage éprouvée envahit tout.
(A SUIVRE...)
P. MILIQUE
09:57 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, tristesse, nuage, passoire, totaliser, obscurcir, désordre, pleuvoir, factieux, froid, ventiler, souffler, ciel, gris, céleste, éprouver, vulnérable, mélancolie, vague à l'âme, vivre, au centre, momifier, tempête, morosité, annihiler, cadavre, envie, bouger, devenir, impossible, en grève, mêler, éclat de rire, chaud, larme, délire, spleen, abattre, état d'âme, obligation, rester, las, terroir, creuser, literie, façonner, amertume, perle, dégoût
24/10/2014
ÉLOIGNEMENT SALUTAIRE
ÉLOIGNEMENT SALUTAIRE
Le désordre s'installe tandis que le désert progresse
Qui donne corps à une ambiance lourde et pesante.
Univers implacable qui maltraite, étouffe et soustrait
Dans l'extrême accumulé d'une souffrance en colère.
Comment apprendre à peu à peu s'éloigner de l'autre?
A échapper de ces bras de vie qui serrent trop fort?
Quelle part de soi doit-on laisser à ceux qui restent?
Une pluie tenace, froide et déloyale,
Donne à entendre l'absence à venir
Qui se tait déjà avec une belle éloquence.
P. MILIQUE
09:53 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, éloignement, salutaire, désordre, installation, désert, progression, donation, corporel, ambiance lourde, pesant, universel, implacable, maltraitance, étouffer, soustraire, extrémiste, accumulation, souffrance, colère, commencement, apprentissage, peureux, autruche, échapper, bras, vie, serrer, fortification, question, particule, soie, laisser, rester, pluie tenace, froid, déloyal, donneur, entendre, absence, venir, taire, belle, éloquence
31/08/2014
AU BORD DE L’ULTIME 1
AU BORD DE L’ULTIME
1
Un homme seul marche, hagard dans la neige,
Vêtu de la seule nudité ostentatoire
D’un entier assujetti aux ténèbres initiatiques.
Juste à porter un regard éclairé sur le monde
Se conçoit le plus amer des constats
Issu d’un quelque chose d’assez retors et plutôt obscène.
Voyage étourdissant, menace aux marges diffuses,
A l’intérieur même d’une situation angoissante,
Le désastre est tel que, frappé d’un mal extrême
Générateur d’un processus au cœur bien froid,
Il devient indécent d’accéder aux méandres
De la conscience d’un être en pareilles souffrances.
(A SUIVRE...
P. MILIQUE
09:50 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, bord, bordure, ultime, omme, marcheur, soliloquer, solitaire, hagard, neige, vêtir, solo, nudité, ostentatoire, entier, assujettir, ténèbres, initiatique, juste, corps, porter, regard, éclairer, modifier, concevoir, amer, constat, issue, retors, plussoyer, obscène, voyage, étourdissant, menace, marge, duffusion, à l'intérieur, momie, situation, aongoissant, désastre, cellulaire, frapper, mal, extrême, générateur, processus, coeur, froid, devinette
01/03/2014
PARCE QUE...
PARCE QUE...
Parce que l'invraisemblable est parfois évident
Parce qu'il y a des sentiments que l'on ne maîtrise pas
Parce qu'il est des êtres qui ont froid au bonheur.
Parce qu'à force de fausses notes
Les lendemains ne savent plus chanter juste
Parce que des mots trop incertains font douter les certitudes
Parce que la vie doit être mémoire mais aussi amnésie.
Parce qu'il reste suspendu au prodige de la rencontre
Parce qu'au-delà de l' insignifiance qu'il se connaît
Elle sait lui faire croire qu'il existe enfin.
Parce qu'à cause de tout cela
Il la sait magnifiquement responsable
Et qu'il peut désormais envisager le jusqu'alors impensable...
Écrire un jour des textes qui parlent !
P. MILIQUE
12:10 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : invraisemblable, évidence, sentiment, maîtrise, froid, bonheur, chanter, incertain, doute, certitide, mémoire, amnésie, suspendu, prodige, rencontre, insignifiance, exister, magnifique, responsable, impensable, écriture
26/02/2014
LE JOURNAL DE PERSONNE: "LA MELANCOLIE"
LE JOURNAL DE PERSONNE
"LA MÉLANCOLIE"
Il y a des jours avec…
Il y a des jours sans…
Que l’incompréhensible soit,
Ce sera toujours répréhensible.
De ne pouvoir vivre avec
De ne pouvoir vivre sans
Avec Dieu, c’est sans risque,
Sans Dieu, c’est avec le danger.
C’est dangereux d’être heureux
C’est malheureux de craindre le danger
Je tourne en rond dans mon pré carré
Avec ou sans conviction
Car je ne crois ni aux amours, ni aux amis
Les paris, c’est fini.
C’est infini la solitude… l’infinitude
Rien dedans… rien autour… rien au dessus
Dedans il fait froid même quand il fait chaud dehors
Autour, des hommes qui me font la cour
Au-dessus des stars ou des tsars qui ne brillent plus
Tout effort est un acharnement thérapeutique
Toute force est d’une faiblesse tragique
Entre le jour et la nuit, j’ai choisi :
Je vais mettre fin à mes jours et vivre la nuit
Ne pouvant me débarrasser de ceux qui me regardent
Je vais cesser de les regarder :
Je vais me mettre un bandeau sur les yeux
Et ne plus rien voir… et tout revoir
Tout re-concevoir avec un œil au noir
Et une tête qui s’entête
Avec ses sempiternelles pirouettes :
Qui perd gagne…
Un de perdu…
Rien ne se perd…
C’est moi qui transforme tout…
Toute lassitude en solitude.
17:05 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, le journal de personne, mélancolie, incompréhensible, répréhensible, dieu, risque, danger, dangereux, heureux, malheureux, craindre, tourner en rond, pré carré, conviction, amour, ami, inini, solitude, infinitude, dedans, autour, dessus, froid, chaud, faire la cour, homme, star, tsar, briller, effort, acharnement thérapeutique, force, faiblesse, tragique, jour, nuit, choisir, mettre fin à ses jours, vivre la nuit, débarasser, regarder, cesser, bandau sur les yeux, concevoir, oeil au beurre noir, coquard, tête, entêté, sempiternel
20/02/2014
GEORGES SCHAEHADE: "SUR UNE MONTAGNE..." SUIVI DE "A CEUX QUI PARTENT..."
GEORGES SCHAEHADE
"SUR UNE MONTAGNE..."
SUIVI DE
"A CEUX QUI PARTENT..."
(il s'agit des premiers mots de ce poème sans titre)
Lecture par CÉLINE SAMIE
Références:
in Les Poésies
© Gallimard 2001
Georges Schehadé (1905 Alexandrie-Paris 1989) est un poète et auteur dramatique libanais de langue française.
Issu d’une famille libanaise aristocrate, Schehadé est l’auteur d’une importante œuvre théâtrale proche des conceptions du nouveau théâtre, dont il est l’un des chefs de file avec, entre autres, Beckett, Ionesco ou Arthur Adamov. La plupart de ses pièces ont été créées par Jean-Louis Barrault et la plus célèbre d’entre elles, Histoire de Vasco (1956), a été traduite en 25 langues, jouée un peu partout dans le monde pendant les années 1950 et 1960.
Schehadé est également l’auteur de plusieurs recueils poétiques (Rodogune Sinne, L’Écolier Sultan, Poésies I à VI, Poésies VII (posthume). Tôt reconnue, son œuvre a été saluée et défendue par les plus grands (Paul Éluard, André Breton, Saint-John Perse, René Char, Jean-Louis Barrault, Octavio Paz, Philippe Jaccottet, Salah Stétié...).
En 1986, il se voit décerner par l’Académie française le Grand Prix de la Francophonie, créé l’année même.
Fuyant la guerre civile (1975-1990) qui menace le Liban, Georges Schehadé quitte Beyrouth en 1978 et s'installe à Paris où il meurt en 1989.
Poèmes choisis par Lorette Nobécourt
Prise de son Djaisan Taouss
Montage Anne-Laure Chanel
00:27 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : : au magma présent de l'écriture, transformation, david, sophia, rose, rajeunir, claire hauter, recevoir, habitué, se métamorphoser, travestis, douche, épilation, maquillage, perruque, rituel, procéder, magie, illusion, pascale picard, montagne, troupeau, froid, origine, paix, douceur, angoisse, sommeil, puits, violette, écarter, genou, oublier, familier, bible, fer, jasmin, heureux, reposer, poreux, chant, rosée, tristesse, sourcier
07/02/2014
CULTIVER L’ÉCRITURE 2
A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter) le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...
CULTIVER L’ÉCRITURE
2
Froide lumière d'une raison enlisée
Dans les sables mouvants d'une nuit indéfinie,
Elle doit être zone de contact,
Foyer de subversion,
Et découper en instantanés emblématiques
Les messages allégoriques, les visions idylliques
Et les mélodies de nulle part.
Pour la voir ainsi procéder à l'épuration agressive
Des changements de perspectives ou des aléas du devenir,
Pour faire taire les rumeurs insidieuses,
Désespérément inexplicables,
En accédant par intermittence à la face sereine de la solitude,
Là où s'estompent les brumes de la fausse conscience.
(FIN)
P. MILIQUE
09:23 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, écrivain, froid, lumière, raisonner, enliser, enlisement, sables mouvants, indéfini, nuitée, zone, contacter, foyer de subversion, foyer d'infection, découper, découpage, instantané, emblématique, message, allégorique, vision, allégorie, vision idyllique, mélodie, nulle part, pourvoirie, procéder, procédure, épuration, agressive, changement, perspective, aléas, devenir, faire, taire les rumeurs, insidieux, désespérer, inexplicable, accéder, accession, intermittence, face, serein, solitude, s'estomper, brume, fausse, conscience
02/09/2013
UN VIVANT ACCESSIBLE AU REGARD
UN VIVANT ACCESSIBLE AU REGARD
Je veux que le temps ralentisse,
Qu'il s'étire jusqu'à l'extrême.
Je te sais si fatiguée parfois.
Je ne veux plus de ce grand froid
Qui t'envahit, de cet étau de pierre
D'une brutalité sourde et fulgurante
Qui sans délicatesse te broie le corps.
Je veux que tu provoques l'éclat de rire
De cet hiver irrémédiable preneur d'aise,
Prétentieux obscène qui s'installe en toi.
Je ne veux plus de ces nuits trop longues
Où les pleurs ravinent ton visage de larmes,
Réceptacle d’un trop-plein de douleurs liquides.
J’aimerais tant te retrouver à naviguer encore
Sur les routes prédéterminées de l’impatience.
Je veux que tu cesses de bercer ta détresse
Aux murmures de désespoirs circonspects.
Que tu cesses d’être absente à toi-même,
De porter ce fardeau de souffrances cachées,
Blessures secrètes à l’énigmatique confus de toi.
Que tu ne saccages pas ton présent de regrets.
Que tu disperses tes étouffants cauchemars
Dans les noires vapeurs de l’immédiat.
Je veux que chaque obstacle se fasse tremplin
Pour traverser, dans la voluptueuse légèreté,
La passerelle joyeuse pour l’inconcevable.
Je veux que tu t’éprouves moins fragile,
Que ta vie soit balisée de traces ordinaires,
Que tu saches être, et que tu saches devenir.
(A SUIVRE....)
P. MILIQUE
09:18 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, survivant, accessible, regard, temps, ralentir, s'étirer, extrême, fatiguer, froid, envahir, étau, pierre, brutalité, sourde, fulgurant, dé;icatesse, broyer, corporel, provoquer, éclat de rire, hiver, irrémédiable, preneur, aise, prétentieux, obscène, installer, nuit, longueur, pleurs, raviner, visage, larmes, réceptacle, trop-plein, douleur, liquide, aimer, se retrouver, naviguer, route, prédéterminer, impatience, bon vouloir, cesser, bercer, détresse, murmure, désespoir
27/08/2013
SI NOUS VIVIONS EN 1913 : NOUS AURIONS PEUT-ÊTRE VISITE L'USINE RENAULT
SI NOUS VIVIONS EN 1913
NOUS AURIONS PEUT-ÊTRE VISITE L'USINE RENAULT
Voiture Renault 1900 - musée de la voiture Compiegne ©
Wikimedia commons - 2013 / P.poschadel
Poursuite de notre remontée en 1913, un an avant la seconde guerre monde. Aujourd'hui, visite de l'usine Renault de Boulogne-Billancourt. Elle ressemblait plutôt à une multitude d'ateliers, employait 4000 ouvriers, et produisait 1300 voitures par an...
17:33 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : : au magma present de l'ecriture, antoine prost, vivre, siècle, vacances, baimmeul, intérieur, gare, ferroviaire, époque, épopée, personne, partir en vacances, rentier, profession libérale, fonctionnaire, commerçant, nseignant, pouvoir, permettre, permission, ouvier, ouverture, s'arrêter, travailler, choix, choisir, marteau-piqueur, retour, retourner, arriéré, paysan, campagne, agriculteur, zone rurale, condition de vie, variable, variabilité, notion de temps, éclabousser, boue, froid, faim, mal d'amour, métro, taxi, manger du pain, soupe, chicorée, la base de l'alimentation
26/08/2013
SI NOUS VIVIONS EN 1913: NOUS MANGERIONS SURTOUT DU PAIN
SI NOUS VIVIONS EN 1913
NOUS MANGERIONS SURTOUT DU PAIN
pain © Wikimedia commons - 2013 / Copyright © 2005 David Monniaux
Retour un siècle en arrière, comme chaque jour. Antoine PROST nous parle ce matin du pain, qui constituait en 1913 la base de notre alimentation.
17:11 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : : au magma present de l'ecriture, antoine prost, vivre, siècle, vacances, baimmeul, intérieur, gare, ferroviaire, époque, épopée, personne, partir en vacances, rentier, profession libérale, fonctionnaire, commerçant, nseignant, pouvoir, permettre, permission, ouvier, ouverture, s'arrêter, travailler, choix, choisir, marteau-piqueur, retour, retourner, arriéré, paysan, campagne, agriculteur, zone rurale, condition de vie, variable, variabilité, notion de temps, éclabousser, boue, froid, faim, mal d'amour, métro, taxi, manger du pain, soupe, chicorée, la base de l'alimentation
25/08/2013
SI NOUS VIVIONS EN 1913: NOUS VIVRIONS A LA CAMPAGNE
SI NOUS VIVIONS EN 1913
NOUS VIVRIONS A LA CAMPAGNE
Retour un siècle en arrière. Même s'il n'y avait pas que des paysans à la campagne, en 1913, il y avait entre 7 et 8 millions d'agriculteurs qui vivaient en zone rurale. Leurs conditions de vie étaient très variables.
Paysans et chaumière en Ardèche cévenole © wikimedia commons - 2013
17:06 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, antoine prost, vivre, siècle, vacances, baimmeul, intérieur, gare, ferroviaire, époque, épopée, personne, partir en vacances, rentier, profession libérale, fonctionnaire, commerçant, nseignant, pouvoir, permettre, permission, ouvier, ouverture, s'arrêter, travailler, choix, choisir, marteau-piqueur, retour, retourner, arriéré, paysan, campagne, agriculteur, zone rurale, condition de vie, variable, variabilité, notion de temps, éclabousser, boue, froid, faim, mal d'amour, métro, taxi