06/02/2014
ROBERT FRANCIS EN CONCERT LE BIKINI TOULOUSE LE 24 NOVEMBRE 2010
05:46 Publié dans MUSIQUE | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, robert francis, le bikini, cancéropole, toulouse, amour, mystère, venir au secours, québec, nappes sonores, prndre la main, le temps qui passe, apocalypse, machiavel, courir le risque, garde à vous, ketyh emerson, greg lake
08/01/2014
AU TREMBLEMENT DE L’INCERTAIN
AU TREMBLEMENT DE L’INCERTAIN
Face aux tremblements de l’incertaine lumière
Le regard invente la vision d’un espace idéal,
Détournement de vérité qui donne à l’ensemble un goût amer.
Il flotte toujours un trouble instant
Au cœur de la netteté d’un monde
Devenu parfois lieu de voyage immobile.
Entraîné jusqu’à la source du désactivé,
Il conserve son intime part au mystère
Des choses assujetties au définitif du révolu,
Avec une sorte de nostalgie qui est singulière
A ce devenir murmuré en tons de confidences inattendues.
P.MILIQUE
09:09 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, tremblement, incertitude, faciès, facilité, lumière, regard, inventer, jimi ehdrix, popa chubby, vision, visuel, espacer, idéaliser, détourner, détournement, vérifier, donneur de sang, ensemble, goût, amer, flottaison, flotteur, trublion, troubler, instinctif, netteté, nettoyer, mordre, devinvoyage, immobile, entraîner, entraînement, source, désactiver, conversation, conserver, intimer, participer, mystère, chose, unifier, définir, tévolution, sortir, nostalgie, singulier, devenir, murmure, ton
05/01/2014
CONNAISSANCE
CONNAISSANCE
Les hiéroglyphes inscrits avec application
Sur le sanctuaire accueillant de son cœur
Sont autant d'inscriptions magiques aux pouvoirs élevés.
Pour pénétrer dans la chambre intime de son âme,
Dédales secrets parcourant une forêt de symboles,
Il faut s'affirmer archéologue de l'immanence.
Il n'est pas inquiet du devenir en cours:
Elle saura déchiffre l'alphabet dissimulé,
Retranscrire à l'exact le vieux langage oublié,
L'énigme du Sphinx et ses mystères entretenus,
Le cercle infini des poètes et des initiés,
Avec une écriture comme fil d’Ariane pour la guider
Jusqu'à la connaissance de l'Autre enfin reconnu.
P. MILIQUE
09:43 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, sphynx, hyérogliphe, connaissance, inscription, appliquer, application, sanctuaire, accueillir, coeur, amour, inscrire, magique, pouvoir, élever, élévation, pénétrer, pénétration, chambre, intimer, amer, dédales, secret, parcourir, forêt, symbole, symplique, s'affirmer, archéologue, archéologie, immanence, inquiéter, inquiétude, devenir, en cours, déchiffrer, alphabet, dissimulation, dissimuler, retranscrire, exact, vieux, putassier, langage, oublier, énigmatique, mystère, entretenir, cercle
28/12/2013
PAPILLONS NOIRS
PAPILLONS NOIRS
Tenté de dire que ce sont ces existences-là
Qui recèlent nombre de drames modestes et de furtives joies.
Souvent dans la douleur, la solitude s'affiche menaçante
A l'écoute du fracas des vagues intérieures.
Au fil d'un ressac d'expériences insatisfaites,
La mélancolie fond parfois sur nous à l'improviste,
Apparaissant comme un bloc de météorite brûlé
Susceptible de disloquer à tout moment l'ordonnancement des choses.
Mû par une horlogerie complexe et mystérieuse,
Rien ne peut devenir plus abstrait qu'un avenir
Présent partout, et cependant visible nulle part.
Dès lors, il ne reste plus qu'a devenir cet exilé volontaire
Cherchant refuge hors la marche prévisible du monde.
Vivre, c'est comme nager ensemble dans l'immanence
Sans possibilité aucune de partager l'éclat de l'impartageable.
Quelle ombre dans le demi-jour d'un destin aussi fascinant
Pourrait mieux expliquer à l'infime de l'instant
L'extraordinaire prolifération de papillons noirs
Aux ailes diaphanes craquelées de mort pressentie.
P. MILIQUE
12:27 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : existence, drame, modestie, furtif, joie, douleur, solitude, menace, fracas, ressac, insatisfait, mélancolie, météorite, brûlure, disloquer, ordonnance, horlogerie, complexité, mystère, abstraction, visible, exil, volontaire, réfugié, immanence, impartageable, ombre, destin, fascination, infimeextraordinaire, proliférationdiaphane, craqueler, mort, pressentment, renouveler, immaner, diaphane, crauelure, amortir, fracasser, international, internement d'office, ressasser, inconsistance, mollesse, remercier, vendanger, récolter, ramassis, torchis
16/12/2013
YVES BOMMENEL: "VIVRE (TO LIVE)"
YVES BOMMENEL:
"VIVRE (TO LIVE)"
L'effluve est rouge et le corps mourant. La viande est putride et l'esprit s'écoule comme du sable sous le vent. Dans un baquet jeté à même le sol, une éponge éponyme. Dans l'eau, de sombres mystères et des fluides visqueux. Quelques grains d'épices amères, un chandelier éteint. Volutes des chuchotis. Clameurs étouffées des rites qu'on prépare. Là un chapelet, ici un encensoir. Sur un établi, les planches rabotés d'un cercueil tout neuf. Martèlement des clous à venir. Catafalque catacombe, encore de ce monde mais déjà presque au-delà... L'instinct guette l'instant où des limbes d'outre-tombe viendra le passeur proposer ses services. Paupières closes prêtes à accueillir la monnaie. Marbres du tombeau l'on vous grave que trop tôt. Lierres gardez nous sous vos manteaux telle la pierre qui s'érode lentement. Ni demain ni même dans un an, presque éternellement...
12:36 Publié dans GOUTTES d'ÂME, POESIES DITES EN IMAGES | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, yves bommenel, effluve, rouge, corps, mourant, viande, putride, esprit, s'écoulersable, vent, baquet, jeter, sol, éponge, éponyme, eau, sombre, mystère, fluide, visqueux, grain, épice, amère, chandelier, éteindre, volutes, chuchotis, clameur, étouffer, rite, préparer, chapelet, encensoir, établir, planche, raboter, cercueil, neuf, marteler, clou, à venir, catafalque, catacombe, instinct, guetter, limbes, outre-tombe, passeur, proposer ses services
10/12/2013
A L’ENCRE DE FEU 1
A L’ENCRE DE FEU
1
Les beaux souvenirs ne meurent jamais
Lorsqu’ils sont inscrits à l’encre de feu.
Comme une lueur étincelant dans un écrin d’étoiles
Quelque part suspendu dans l’espace temps
D’un nulle part et d’un autre ailleurs,
Coule dans ses veines le sang d’une lumière inconnue.
Du plus vide de lui, à l’écho de son cœur,
De ces partitions attendues aux instants de vérité,
Se creusent les sillons d’un éternel mystère
Que même le silence ne parvient pas à taire.
Les beaux souvenirs ne meurent jamais
Lorsqu’ils sont inscrits à l’encre de feu.
A l’ombre des mots immergés dans l’éternité,
Renaît l’espoir irisé d’une aurore au sourire ingénu
Qui exalte la douceur des écrits échangés.
A l’aube des silences aux fondus incrédules,
Alors que la lumière du jour féconde la vie,
Brûle dans ses artères le feu déjà déclaré
D’un cœur et d’une âme secrètement tissés.
(A SUIVRE...)
P. MILIQUE
09:27 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, encre, feu, encrier, beau, souvenir, mourir, jamais, inscrire, inscription, lueur, étinceler, étincelle, écrin, étoile, suspendu, suspension, espace, temps, nulle part ailleurs, autrement, couler dans les veines, sang épais, lumière, inconnu, méconnaître, vide, écho, cardiaque, partition, attendu, attendre, instant de vérité, creuser le sillon, éternel, mystère, silence, parjure, taire, contenir, à l'ombre, mot, immerger, émergence, renaître, espoir, irisé, aurore, sourire ingénu, exalter
28/11/2013
LA SIMPLICITÉ 4
A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter) le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...
LA SIMPLICITÉ
4
Les conséquences visibles au fil du quotidien semblent en exclure toute velléité de perspective. Il y est démontré de manière claire et précise qu'il ne sert pas à grand chose de trop intellectualiser l'évidence: le sourire de la Joconde échappera toujours à l'analyse, les moutons compterons encore les brins d'herbes avant de s'endormir, la ligne d'horizon s'obstinera à se déplacer avec l’œil frisé du bon sens et les marchands de sable ne seront jamais sorciers. Non, il n'y a décidément rien de simple, vraiment.
En fait, rien de ce qui existe n'est anormal, pas plus la ville assoupie que le volcan éteint. C'est ainsi. Il est donc inutile d'employer une loupe à explications pour débusquer les mystères. Nous donnons au jour et, tout autant, nous donnons à la nuit. En conséquence sachons saisir, et apprécier, l'incroyable amplitude qui chemine sans turbulences, juste parce que l'on a, volontairement, mis notre vigilance en sourdine. Avec simplicité.
(A SUIVRE...)
P. MILIQUE
09:51 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, simplicité, conséquence, visible, au fil, quotidien, sembler, exclure, exclusion, vélléité, perspective, démontrer, maniéré, clair, précis, servir, il ne sert à rien, il ne sert pas à grand chose, intellectualiser, évidence, le sourire de la joconde, éhapper à l'analyse, moutons, compter, brin d'herbe, s'endormir, ligne d'horizon, s'obstiner, se déplacer, oeil, frisé, friser, au coin du bon sens, marchand de sable, sorcier, décideur, simple, rien, exister, anormalité, ville, assoupir, volcan éteint, inutile, employer, loupe, explcation, débusquer, mystére, donner le jour
24/11/2013
LE TEMPS QUI PASSE
LE TEMPS QUI PASSE
Il favorise l'acceptation des réalités,
Le noir des nuits, le noir des révoltes,
Et apprivoise les émotions.
Il exprime une fragilité inattendue,
Dans les mystérieuses turbulences de l'âme,
Dans l'opiniâtre complexité des caractères.
Il autorise, magnanime,
Certains rêves à jamais insatisfaits,
Transformés parfois en délires acidulés,
Ténébreux mais sublimes.
Le temps qui passe est ton ami.
Il provoque l'espérance
D'un présent indispensable,
Rebondissant de merveilles en étonnements.
Il modèle une précieuse aspiration
A poétiser la vie,
A cultiver l'intense plaisir
D'un regard qui se sublime.
Le temps qui passe
Oblige les expériences tâtonnantes,
La recherche de l'harmonie,
Le goût et la douceur des choses,
L'écriture des silences
Et le silence des écrits.
Il rend possible, enfin, les rencontres essentielles
Propices aux battements de cœur,
Au glissendo lent et feutré
Vers le bonheur depuis toujours convoité.
Forcément convoité.
Il est ton ami...
P.MILIQUE
|
00:56 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : réalité, révolte, émotions, fragilité, mystère, turbulences, âme, complexité, rêve, délire, acidulé, ténébreux, sublime, espérance, merveille, aspiration, plaisir, harmonie, douceur, écriture, bonheur, favoriser, acceptation, noir, apprivoiser, émotionné, exprimer, inattendu, turbulence, opiniâtreté, caractériel, autoriser, magnanime, revasser, insatisfait, transformer, sublimer, provocation, présence, indispensable
23/11/2013
LE BLUES DE L'AMPUTE
LE BLUES DE L'AMPUTE
Elle a fait de lui son chez elle
Obscène et incontrôlable kyrielle.
Une douleur stridente s'installe
Souffrance absolue, noire et brutale.
Rien ne peut contenir l'active prolifération
Galopante et abjecte d'autant de collections.
L'infection fourbe et monstrueuse se propage
Saturée de prédateurs fous et anthropophages.
Quand la guerre engagée un certain jour se perd
Il comprend rapidement, ils n'en font pas mystère,
Les docteurs vaincus et accablés se taisent
Il n'y aura pas d'avenir autrement qu'en prothèse.
C'est ce supplice féroce qui depuis tout ce temps
Le brise au quotidien de lourds et vifs tourments.
Que tout cela se termine pour enfin anoblir
Cette volonté farouche qui ne voulait faiblir.
L'acte est effectué et le calvaire en est réduit
A le quitter contraint plutôt qu'en éconduit.
Un soulagement vrai, en effet magistral,
Le rend vainqueur d'un hier où ce fut animal.
Mais rien jamais n'est vraiment facile
Aussi pas de regrets, seulement l'indélébile.
Le manque apparaît, indescriptible fatras
De ce qui a été, qui plus jamais ne sera.
Image désolante au souvenir de ce qu'il fut
Mémoire irrémédiable de ce qui est perdu
Il tente de trouver un sens à l'issue inexorable
De ce déni de justice inouï autant qu'inacceptable.
Ce n'est pas seulement une bribe soustraite au hasard du monde
C'est la dilatation de l'unité de vie qui est moribonde
Enveloppe qui davantage encore s'échappe et se diffracte
En questions taraudeuses sur l'absence inexacte.
Il est partie prenante de ce drame impuni
De ce doute qui s'ouvre en fragments d'infini.
L'incomplet, c'est la conséquence du corps éreinté,
Fautive trahison qu'exige la nécessité.
Sensations d'éclatement, de rupture, de dérives,
Ne peuvent s'exprimer qu'en étant destructives.
Alternative désespérée unissant des scissions d'existence
Qui révèlent les échos rugissants de son propre silence.
Profondément perturbé, il perd de sa prestance
Dans ce conflit cruel dont il fait sa pitance.
Étrange confrontation à une violence totalitaire
D'un ultime champ de tension qui ne veut pas se taire.
Furie noire, fulgurance rare et plaintive,
Taillée dans le nerf à nu d'une toile rétive
Assemblage fou d'éclats d'urgence et d'effractions
En l'insatiable subir d'une grande malédiction.
Préoccupations taciturnes comme un genre d'égarement
Dont l'enjeu principal se délite précisément
Labyrinthique atmosphère tissée de décadence
D'une perfide détresse qui se fait évidence.
Les certitudes lacérées et le bonheur en sang
Ne plus rien entendre que pépiement au vent
D'un réel existentiel pesant et désinvolte
Circonstancié encore d'incandescente révolte.
Il croyait avoir gagné. Sauf que le soleil complice s'est voilé
Lorsque son œil rebelle a saisi le cauchemar coupé.
Liberté inconsciente en quête d'un devenir arc-en-ciel
Expression colorée d'un rêve terni d'irrationnel.
En son tréfonds maintenant qu'est passée la stupeur
Règnent en chaos la tristesse, l'atrabile et la peur
Et se conjugue en creux l'étonnement d'être avec celui d'avoir été
Au fil des notes dissonantes et tuméfiées du blues de l'amputé.
P. MILIQUE
|
||||
00:48 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : obscène, douleur, stridence, souffrance, brutal, abjection, infection, monstrueux, guerre, mystère, prothèse, supplice, féroce, tourment, volonté, calvaire, vainqueur, fatras, inxorable, justice, certifier, lacérer, bonheur, bonifier, ensanglanté, entendre, pépiement, vent, réel, existentiel, peser, désinvolture, circonstancié, incandescence, révolte, croire, gagner, soleil, complice, voiler, oeil, rebelle, saisir, cauchemar, couper, liberté, inconscient, quête, devenir, arc-en-ciel
21/11/2013
LE RIRE CLAQUE COMME UNE GIFLE...
Œuvredu "peintre de l'extrême":IBARA
LE RIRE CLAQUE COMME UNE GIFLE...
Le rire claque comme une gifle...
Et relègue tous mes codes si rigidement définis
Au rang d'accessoires désuets.
Je suis homme de soleil et de nuit.
Je suis homme limité,
Repoussant aveuglément l'échéance
Au-delà des bornes du possible
Sans jamais atteindre les lieux extrêmes de l'excès.
Balancement perpétuel entre ombre et lumière.
Refus et embrasement.
Avec la capacité quand même
De percevoir à nouveau l'amitié du temps.
Le rire claque comme une gifle...
Dans l'impalpable hésitation de l'absence.
C'est toujours une souffrance sans nom
Que de vivre dans l'appréhension de ses faiblesses,
De chercher des étincelles entre les mots
Dans l'irrémédiable conscience de leurs mystères.
Et croire en leur pouvoir total
Au moment où ils favorisent l'irruption du merveilleux,
Et qu'ils deviennent simplement colporteurs de bonheur,
Diffuseurs d'incendies
Dans l'évidence d'un feu qui couve sous la glace,
Le regard fixé sur la ligne céruléenne de ma rêverie.
Le rire claque comme une gifle...
Et c'est la décomposition progressive
D'un destin pourtant librement assumé.
Le poids de la déchéance me prive
Des délices jouissifs du repentir.
Ma difficulté d'être séjourne dans un vide central,
Parangon de mes ombres d'antan,
Et je sombre dans le drame prédateur de mes illusions
Au sein de mon désespoir,
Dans l'impossible reconquête
Des paradis de l'enfance et de l'innocence perdues.
Le rire claque comme une gifle...
Brûlure incroyablement douloureuse.
P. MILIQUE
05:57 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : gifle, soleil, déchéance, excès, refus, embrasement, souffrance, faiblesse, conscience, mystère, bonheur, rêverie, décomposition, jouissif, délice, vide, prédateur, désespoir, paradis, brûlure, reléguer, codifier, nécessité, rigidité, définir, au rang, accessoire, désuétude, firmament, limiter, repoussoir, aveugle, au-delà, borne, possible, atteindre, lieu-dit, extrémité, balançoire, perpétuel, embre, lumière, encadrement, capacité, perception, à nouveau
17/11/2013
AILES D’ÉPHÉMÈRES
AILES D’ÉPHÉMÈRES
Quand le langage hésite dans le temps,
Que la phrase reste en suspend et nous avec
Pour glisser dans un mystérieux monde parallèle à la mort.
Les ressassements ne suffisent plus
Dans l’étonnant durable du non maîtrisé
Qui donne, comme fière, sa langue en spectacle.
Lorsque vient l’attendu de nouvelles pensées,
Il est urgent d’ouvrir la fenêtre au chapitre des joies
Et, de donner raison à ces oiseaux aux ailes d’éphémères.
Qu’ils lèvent une poussière d’or absolument légère,
Nimbée du halo lumineux qui exalte la vie
Comme ces chants d’amour oubliés aux ferveurs extrêmes.
P. MILIQUE
17:47 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : éphémère, langage, mystère, mort, durable, fier, spectacle, pensées, urgent, joie, oiseau, or, halo, vie, amour, ferveur, chichon, hésitation, phraséologie, rester en suspend, glissade, mystérieux, ressasser, suffir, étonnement, maîtrise, langue, se donner en spectcle, attendu, nouveauté, pensée, urgence, fenêtre, chapitre, donner raison, oiseleur, poussière d'or, respirer, mourir de rire, nimber, halo de lumière, chant d'amour, champ d'honneur, extrémité, congas
14/11/2013
UN FUTUR ÉTOILÉ 2
A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter) le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...
UN FUTUR ÉTOILÉ
2
Depuis, tu ne peux imaginer le dense trésor qui m’est offert.
Il n’est qu’à penser l’intensité de ce qui en mon âme bouillonne,
Éclate parfois au reflet d’un miroir juste parce que tu existes !
Grâce à l’amour que je te porte et à la certitude que j’ai de toi,
Tu es devenue l’unique réalité en laquelle au quotidien je puise.
Je reçois tellement de toi lorsque ta chaleur s’inscrit en moi !
Tu es le souffle de vie partagé au sensuel des baisers échangés,
Tu es l’inespéré cadeau qui me hisse haut vers un futur d’étoiles,
Lorsque tous les possibles sont accessibles, palpables presque.
Au cœur d’un temps élargi d’or, l’amour exulte de ta présence.
Ainsi, marcher, vivre, se taire, sourire, c’est t’habiter toujours.
Au tintamarre fou de mes caresses, entends-tu combien je t’aime ?
(FIN)
P. MILIQUE
09:22 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, futuriste, étoile, imaginer, dense, trésor, offrande, penser, intensité, âme, bouillonner, éclater, reflet, miroir, exister, grâce, amour, porter, certitude, devenir, unicité, réalisme, quotidien, puiser, recevoir, toiture, chaleur, s'inscrire, souffle de vie, partager, sensuel, baisers échangés, inespéré, cadeau, hisser, haut, possible, asassinat, accessible, palpable, en rage, mister bean, miraculé, ministrable, retrouvailles, mystère, napoléon, patrick fiori, déguiser, gendarmerie